La carte postale oubliée
ions de sœur
re depuis maintenant plus de deux ans après avoir suivi des études d'infirmière et œuvrer ici à Angers pour venir en aide aux filles recueillies et am
ence ici, mais aucune visite de sa sœur aînée n'était mentionnée si ce n'était pour payer les frais de pensions d'Angélique chaque trimestre m
de donner l'adresse de la
te de lieutenant de la SRPJ d'Angers, seul détail dont elle se souvenait... Julien dont les souvenirs d'Angélique revenaient chaque jour plus précis demanda à sœur Marie Thérèse si elle avait une photo récente de sœur Angèle. Après avoir cherché dans ses archives, sœur Marie Thérèse donna à Julien une photo où l'on voyait sœur Angèle aux c
de l'enfant
eant la Maine qu'il traversa sur le pont puis il contourna le château si particulier d'Angers pour remon
gué, mais surtout impatient de ce qu'il allait découvrir... Julien savait avec certitude qu'Angélique avait eu un enfant qui avait été confié à cette famille d'adoption qui vivait à Ancenis où il se rendait s
démarche auprès de la famille Dubon qui a
qu'il avait découvert auprès de sœur Marie Thérèse, mais ce dont il était sûr c'était qu'Angélique s'appelait
rait d'
à dessin et un crayon qu'il installa sur la tablette devant lui, et il se mit à
e figurait à côté de mère Thérèsa en Inde au milieu d'une foule
mplacé le voile de sœur Angèle
r le regard accrocheur des mendiants dans les rues de Paris où ailleurs,
ndée par sa mission auprès des pauvres. On lisait sur son visage qu'elle aimait les gens tels qu'ils étaient sans jugement comme si elle était là uniquement pour
en demanda au guichetier s'il
e avec la s
l'adresse du magasin Dubon à côté d
s il se dirigea vers la place de la mairie son sac de voyage sur l'épaule, s
in il tomba en face d'un magasin de vêtements où sur la vitrine, il lut « chez Dubon, il n
ne jeune femme souriante d'une trentaine d'années. Il se
nfirma qu'il était bien chez les bons Dubon car
ur une photo de famille où l'on pouvait voir les deux jeunes femmes entourées de leurs parents qui se tenaient dr
i précisa qu'il s'agissait de s
son voyage en train en y mêlant ses souvenirs à ce qu'il percevait de la photo qu'i
ut un mouvement de recul en disant : « mais c'est
e sa démarche, il lui montra la carte postale et lui parla de ses décou
la Charité du Bon Pasteur par ses parents qui avait fait un testament pour léguer une partie de leur fortune à la congrégation sans rien laisser à Marie qu
ologique reconnue, avait hérité du magas