La saison
rt
ré
er le flamenco sur l'estrade du centre commercial, que je la vois courir comme ce matin-là, nue sous son tee-shirt trop court, t
occupe de la vente. Il lui a donné tous les pouvoirs. Il lui a juste demandé de faire l'évaluation avec Jean-Claude Durfort, le banquier. C'est Patrick, le fils de Michel, qui a racheté l
gué. Il est décédé peu de temps après. À son enterrement, madame Chastan
n quelques années puis, un jour, un nouveau propriétaire est arrivé. Avant leur dépa
mis à boire. En peu de temps, il était devenu une épave. Lui aussi a disparu mais on ne l'a jamais retrouvé. Les trois associés, ceux qu'on appelait « Le Patron », n'ont jamais été inquiétés. Ils ont payé l'avocat des Neuf-trois et peut-être
ssée de la résidence, puis un jour les fenêtres se sont rouvertes, chassan
qu'il exploite sur le front de mer. Il ne le dit à personne mais chaque année, à la fin du mois d'août, il dépose un bouquet sur le ponton, ou de ce qu'il en reste. U
, à la fin de l'été. Il venait de déposer des fleurs sur le ponton et s'était assis contre ce qu'il en restait, sur
appareil photo jetable que les gendarmes nous ont rendu quelque temps après l'enquête
ir l'enveloppe mai
Romain, attends
e avec sa cousine, des soirées pique-nique du groupe, des jeux, des fous rires. Elle avait su photographier la sensibilité qui se dégageait de chacun d'entre nous et l'émotion qu'elle ressentait les soirs de pleine lune sur le ponton quand elle allait danser. Elle avait photographié l'amour qui la transportait : Lui, souriant devant le four de la pizzeria ; Elle, p
t. À la fin, quand il vit mes larmes il me demanda pardon et les rangea dans une boîte. Il ne m'a ja
le : une mauvaise rencontre, au mauvais endroit, au mauvais moment. Des jeunes en perdition qui avaient trop fumé ou trop
gardé de cette année-là, ce q
Canelli m'appela depuis son bureau de l'agenc