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La saison

La saison

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1335    |    Mis à jour : 23/05/2023

ouse

sens bizarre. Quelq

iète pas, ma ché

ais

posée sur mon bureau. Je ne l’ai pas ouve

Et

inq ans que je n’a

epu

le

Pa

puis

le

j’ai quelques courses à faire pour le magasin.

quelques centaines de mètres de chez moi. Ils travaillent tous les deux à la Piz

avis. Enseigner ne l’intéressait plus et elle était venue me rejoindre. Le travail lui plaisait mais elle ne se sentait pas capable de gérer seule, administrativement, une équipe de huit personnes. Ils sont quinze maintenant et François a abandonné son ancien métier de courtier pour se

ssite et j’en

ait dix ans. Je suis tout à fait rétabli maintenant, mais, dès que qu

n caractère bien trempé. Ils forment un joli couple. Ils n’ont pas d’enfant et ne se posent pas de ques

is le même jour ni la même heure. Cela dépend de la disponibilité de mon gendre. Ou de la sienne. Elle a de nombreuses acti

étiquette sur la leur, n’autorisant que le passage du facteur, mais moi, je m’y suis refusé. Je trouve que le distributeur de prospectus est

our tout ce qui est important. Les rares lettres sont des publicités ou des avis

. Le nom et l’adresse sont inscrits

r Eliès

se des A

u qui me tracasse, mai

e pour me rejoindre. Ell

ois viendra nous retrouver tout à l’heure. Il ne travaille pa

ls. S’il me demande souvent mon avis, c’est juste parce qu’il m’aime bien et non par néc

alés, c’est une chance pour nous de pouvoir y passer quelle que soit l’heure et d’emporter notre repas tout fumant dans

re repas. Après le dessert, nous nous installon

. Tu es de plus en plus négligent. Il y a plein de choses à ranger sur ton b

s moi et me dit

apa, ce n’est pas

e c’est, me de

je troublé en reposant

l, si tu ne l’ouvres pa

as et me lève pour insérer une doset

s serré pour François, et bien a

s sur la table de la terra

e passe avec l

ul. En engageant la conversation sur la pizzeria, je sais que je fais diversion et que François

a fille en nous rejoig

dis-je. François m’explique le

ir puisque tu ne veux r

rd, je me retrouv

toujours là. Je la regarde. Elle m’attend. Elle n’a pas bougé. Je ne sais pas quoi faire. Je tends ma main qui avance puis qui recule. J’hésite encore un long moment. Je n’arrive pas à me décider. « C’est si loin tout ça. » L’enveloppe e

au nom de Romain Santos. Au verso est écri

décédé la sem

r moment, il m’

te revoir. Peu

e, aurait été

up compté po

ier. Tout ce dont je n’ai jamais parlé. À personne. Tout ce que j’ai bien gardé enfoui au fond de moi. Un été. L’été 83. Le plus bel été du

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