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Boss of my Heart

Chapitre 4 Chapitre 4 -

Nombre de mots : 3378    |    Mis à jour : 02/05/2023

our me

oin de l’œil sa routine. La façon dont il se lève et parcourt la pièce lorsqu’il reçoit un appel important, son sourire qui se déploie pendant ses conversations au

nement Karen, me sortant litté

i, Da

d’œil et je glousse

l, non ? contin

arme, c’est v

un sourcil

samedi, il avait l’

ère remarque, mon

, Violette à l’ap

te, vene

et rencontre directement les yeux de mon c

par-dessus sa tête pour me faire comprendre que je dois le rejoindre. Est-ce que je dois quand même taper à la porte alors q

eyez-

e quelques feuilles de

nt à votre contr

ave

pos de samedi ? Bam, retour à l’envoyeur, je vais retrouver ma Vendée plus vite que je ne l’avais prévu. Comment j

sse, se contente-t-il de dire en j

hau

avons signé un bon contrat. Vous avez eu du flair

comp

ace lui passe

le six cents dollars

e six

out répéter et

ui, bé

u’il vient de me remettre. Je m’assure que tout est

lui sou

r un peu les alento

as, lui réponds-je e

poste de directeur gé

’es

lez-vous vou

i la bouche sèche. Depuis quand c

gement, je poursuivrai sur u

aine ici, est-ce que vous voulez qu’on

pu avec mon petit-ami avant mon départ pour Boston. Six mois loin l’un de l’autre, ce n’était ni juste pour lui, ni pour moi. À nos âges, on sait pertinemment que la durabilité des relations est minime, alors que devrions-nous en dire quand la distance vient s’y greffer ? On s’est dit qu’on verrait ce qu’il en serait à mon retour, mais en attendant, on e

ntena

ge dans deux mois, mais on peut déjà dialoguer de vos premièr

acco

e siège en cuir et je me tr

trop de ti

s ner

yeux au ciel

s pouvez arrêter

on, mo

e à maîtriser vos émotions. Je peux dire que vous êtes stressée, là maintenant. Vou

rivez à m

ce l’arêt

vez du caractère et que vous cherchez

’ac

oude à s

? Vous avez l’impression

é moi en songea

le tour des lieux. J’aime beaucoup être ici

iez chez Eagle Investing depuis plusieurs années.

au petit matin et faire l’impasse sur mon quota de som

n du tout,

Vous êtes toujours souriante, et ce serait mentir de dire que ce n’est pas agréable de venir travailler avec quelqu’un d’aussi joviale que vous.

regard pétillant de malice le trahi. Je m’en

vous le faites. Vo

me

z pas votr

’oublier, dis-je co

c’est un fait. Je récupère mon contrat et m’en vais, en es

; timbrer le courrier, le poster, distribuer dans les services celui qui vient d’arriver… Puis, j’ouvre le tout dernier message et mon regard

Jones@EagleI

tte_duboi

: UR

Viol

vas bien depui

emander si tu accepterais de m

e bonne

ni

ants dans ma valise, non ? Bref, tout ça ne doit pas impacter sur mon investissement au sein de l’entreprise. Je vais continuer à bosser d’arrache-pied jusqu’à ce que mon patron en ait les yeux exorbités. J’ai besoin d’avoir un rapport de stage vantant mes mérites, et non pas mes maladresses et défauts. J’ai besoin que tout soit parfait. Paul a raison : mon besoin de contrôle est omniprésent. Je ne sais pas lâcher prise, c’est difficile. Je suis du genre à ressasser énormément, à penser que j’aurais pu faire mieux, à croire que les mots que j’utilise ne sont pas les meilleurs et que d’autres conviendraient mieux. Enfin bon. Je suis toujours en guerre avec moi-même. J’aime quand on m’écoute et qu’on respecte mes indications. Le contrôle occupe une grande partie de ma personnalité. Je traine au bureau jusqu’à dix-sept heures trente, je boucl

arents et vais me coucher. Je laisse encore la lampe allumée, malgré ça, j

je suis seule. Il est sept heures trente, j’ai encore bien le temps. La musique mise sur mon ordinateur résonne dans la pièce et j’élève la voix sur ROAR de Katy Perry. Je range mes dossiers dans l’armoire derrière moi, en me dandin

ir en forme, di

est pas vrai, pes

êtes

ous, a

ille et l’éclair qui passe dans ses iris me donne e

treprise ? se

de pied au cul et qu’on me dise de

e pensais êt

que d’avoir une employée qui vient au boulot en

tout envoyé à Karen pour qu’elle approuve mes

ès b

egarder sans trop savoir commen

un café ? lu

amenez dans

e laisse marcher sur les pieds ? Et ses enfants, sont-ils aussi impolis que lui l’est ? En tout cas, son épouse est une petite veinarde, quand on voit le morceau qu’est son mari… J’en fera

un pacha derrière son écran et peste à voix basse parce que

e, venez vous asse

estionné-je

, donne un coup de menton vers u

-vous à c

urqu

-il en

mmence à m’expliquer comment m’en servir et pourquoi. Il se lance dans des explications concernant des logiciels dont je n’ai jamai

café, mais Paul lui assure qu’on va très bien et l’intime de commencer sa journée. Il me garde avec lui une bonne partie de la matinée et je m’émerveille de toutes ces n

nger quelque cho

laissé envouter par la voix de Paul, par ses gestes et sa façon d’arpenter son bureau. S’il avait sept ou huit ans de moins,

? insi

cendre m’achet

dog, c’

Ba

n téléphone et Karen d

, mon

ourne v

n, ça vo

Pourquoi dirais-

mmander deux plats ch

bien, m

ramisus e

i pri

s coupable. Je suis dérangée par le fait que K

ce qui se

n ? m’é

s triturez vot

eu que Karen aille

son épaule puis se rapproche. Je me sens conne à me tenir debout du

de demander et même d’ordonner

s lèvres tout en

tabilité, c’est Magaly, au

’ac

depuis le tout début et je lu

que Karen entre les bras chargés. Je m’empresse d’aller l’aider et la

soin d’autre c

endre votre pause, Ka

et le professionnalisme de Karen ne laisse rien paraitre. Serait-ce parce qu’elle est à ses côtés depuis de nombreuses années ? Elle s’en va en lui souriant en retour et je repose mon

aim, mademois

s cro

cinquante nuances de Grey, je devrais lui demander s’il est tenté d

plats sur la table ou

, me

e que j’

précipitant vers la table

ise, assis sur le fauteuil et ar

st pas vraiment con

aller, il se décale au bout du fauteuil pour me faire une place. Quand je m’assieds finalement, la proximité en

jà allé en Fra

je ne suis jamais

nna

urqu

jamais eu l’o

aller en Europe ? Pa

se les

bien aller

rement plissé et j’ai envie de tendre l

uoi vou

Normandie, les plages du débarquement

ais pas, mais je me laisse emporter dans notre conversation. Paul sourit peu, mais

ureau, heureuse d’avoir appris de n

e l’av

t qu

caractère, dit-elle avant de se

é, allume la télévision et souris en voyant les messages de Louison qui me demande des avis sur plusieurs mecs de Tinder

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