icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
L'appel du sang

L'appel du sang

Auteur: HELSI
icon

Chapitre 1 Prologue

Nombre de mots : 2199    |    Mis à jour : 21/04/2023

pièces verrouillées à l'i

hambre de la douleur, les t

hommes, ils vienn

mmes, ils viennent

ol

nten

. L'air qui s'immisçait par les fenêtres entrouvertes et qui faisait virevolter mes rideaux grisâtres, les petits tremblements

umière, une autre, puis une qui clignote. Et il y avait des gens, des petits groupes de personnes, qui attendaient, abrités quelque part, que la pluie s'arrêtent, et ceux qui n'avaient pas le choix. Comme ces petits mendiants qui jouaient à la plongée des pieds sur une flaque d'eau près d'un camion, aux pointes du bonheur simple. Et les embouteillages monstres... Des klaxons énervés troublaient le calme du centre-v

maisons des autres, qui gâchaient leurs vies, qui donnait le rhume aux mendian

alheur des autres ? Aimer les sources de catastrophes ? Après tout,

vitre me sentant un peu ridic

ait en confort. Je reposais ma mini couette grise sur mes jambes frissonnantes

e révère : la pluie, le c

t l'odeur de la pluie mêlée à l'odeur du café fort, la sensation d'humidité. Y avait-il meil

Les mêmes. Il était vingt heures passé et je n'avai

i

r la fenêtre q

geant et purgatif. Je me demande

a section au-dessu

. J'aime imaginer leur douleur avant qu'elle ne leur arrive. J'aime à imaginer leur intensité, si elle leur fera manquer d'air dans des nuits noires, au milieu d'un lit chaud. Chaud de leur propre chaleur. J'aime imaginer leurs cœurs seuls, leurs pensées solitaires. J'aime imaginer leurs larmes couler... Je pe

entiment de... supériorité. Un

spoir, pas par les peines. Si j'étais une voix je serais celle qui leur dirait : « Si vous saviez ce que j

bon, toutes ces peines qui ne m'appartiennent pas... qui ne

sont pas tou

sur le commentaire. « D

ls dans mes tergiversations folles ? Je remontais pour relire le texte une deuxième fois. Les mêmes questions me passèrent par l'esprit. J'avais donc écrit ça ? A quoi pensais-je ? Qui étais-je ? C'est

s dérangée ? Un peu comme un esprit troublé ? Comme

répondre au commentaire. Elle m'avait remercié d'être

vé ce que tu es venue che

ontinuais de défiler sur le livre que je lisais. Mon téléphone se mit à vibrer sur la table alors qu

aya ? » dit l

touffe de cheveux au sommet de mon crane passan

ma ch

e oublié mon

s oublié son

olée. Tu sais, mon patron, il m'a donné... Une punitio

e dans ta

rop grand pour ses mains. Croyant à mon mensonge si, si stupide. Chaque année

enf

e faisait des « Ah » et des « oh » l'air de vraim

es petits gens dedans qui me rappelle ton annivers

je te pa

e je chante

Ou

me délectais de ses rires animés quan

cadeau et ton gâteau d'accord

aura que maman

oupi

ée ma c

i de m'expliquer la différence entre

longues minutes attendant que le journal finisse avant d'éteindre et de descendre. Maman était déjà couchée. Et lui aussi. Je rej

étais pas concentrée. Je savais que c'était mal. De penser à autre chose lorsqu'on s'adresse à Dieu. Mais je ne pouvais pas. J'accélérais la cadence, je récitais les s

à coté de maman qui buvait son lait. Elle mit sa main sur mes cheveux. Je la regardais. Elle me jaugeait. Jaugeait mon humeur, l'état de mon cœur. Son regard était plein de sentiments qui me donnaient envie de prendre mes jambes à mon cou. Mais je gardais les fesses plaquées sur le canapé et les yeux fixés sur la télé. La voix posée de la journaliste faisait un briefing tout calme de tout

tu sais. Encore. » Dit-ell

ier. Je me rattraperais.

le

er avant d'all

toujours

.. » Commença-t-elle plus bas

is tu ne peux

Posais mes yeux sur les pantoufles quelques part, le chapel

? » demanda-t-

i ma

le

dija de m'appele

t froide. Je continuais de regarder un peu partout en comptant dans ma tête. Quand le temps resté avec elle me parut assez conv

, fit mes prières en désordre dans ma tête. Yeux fermés. Puis j'attendis. J'attendis. Il ne faisait pas encore trop clair. Le temps morose pouvait tromper sur l'heure qu'il faisait. J'allais être en retard. Puis elle commença. Enfin. Elle sanglota. Le torrent de larmes. Elle se baissa, posa sa mai

chetés à Fatima à la maison. Fais attention en prenant le

ournais sans p

que je m'éloignais d'elle. Je sortis du c

ivèrent à mes oreilles comme d'une chanson vieillotte, sans effets. J

l allait pleuvo

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir