Le furet
décrits ici sont imaginaires ou utilisés de manière fictive. Toute ressemb
mystère de la
e d'officier de police. Il avait été recruté à la brigade des stupéfiants,
obité étaient connus de tous ses professeurs et collègues d'école. Ce n'était pas un hasard : il était le digne fils du lieutenant Éric Martin, au sens moral et à la probité rigoureus
une fin tragique et incompréhensible dans l'exercice de ses fonctions. Il avait en effet été sauvagement assassiné une quinzaine d'années auparavant, lors d'une opération d'arrestation motivé
ic avait fournis à Éric concernant les dealers n'étaient pas de nature à inquiéter vraiment celui-ci. Le patron d'Éric avait donc jugé que cette vulgaire affaire de drogue entre petits dealers ne
ellement, en effet, sauf cas exceptionnel, les dealers n'étaient pas vraiment armés. Pris en flagrant délit, ils n'offraient généralement pas de résistance
du milieu des délinquants comme des hommes dangereux. Excepté peut-être l'acheteur, arrêté deux ou trois fois pour vente d'herbe, et ayant fait l'objet de quelques mois d'emp
t absolument aucun renseignement sur lui, ce qui signifia
décidé que celui-ci prendrait la tête de cette opération d'arrestation sur flagrant délit, et n'était donc accompagné
er comme un geste banal, une routine bien connue, avait cependant tourné a
qui avait finalement été retenu comme motif, les investigations ultérieures po
Connaissant cela, Philippe, l'équipier d'Éric au moment de l'arrestation, s'était d'ailleurs après le crime, fortement étonné de cette violence inutile qui l'avait surpris, et qu'il ne po
as vraiment efficace et faisait défaut. Ce manque de clarté environnante pouvait donc aussi avoir influé dans le déroulement des faits. Le vendeur et l
bien l'argent, que le vendeur ait de son côté ouvert la valise dans laquelle se trouvait la drogue, et après que les deux policiers aient fait les sommations d'usage suivant la constatation de ce qu'Éric et Philippe voyaient comme un banal flagrant délit, le père de Damien, probablement gêné par cette quas
-ci avait mise à profit pour déguerpir en sautant dans son véhicule et en démarrant en trombe, et s'évanouir dans la nuit qui régnait au moment de la tentative d'arrestation. Cette même nuit qui n'avait pas pe
sion de ce qui venait de se produire, et suivant les sommations de Philippe, avait jeté son arme à terre
fort et était resté près du corps d'Éric en compagnie de l'acheteur menotté, en attendant s
t en catastrophe, mais cela n'avait rien donné. Les pneus, dont les scientifiques avaient réussi non sans difficulté à en déterminer le type et la marque, étaient d'un usag
beaucoup trop courant, ainsi que la couleur du véhicule. Par ailleurs, la plaque minéralogique inexistante comme il l'avait constaté à l'arrivée du vendeur était un obstacle pour trouver son propriétaire. Mais comme beaucoup le pensaient, cela n'aurait peut-être pas servi à grand-chose dans
été enregistré pour un véhicule semblable à celui utilisé par le vendeur la veille de l'échange, et le propriétaire avait été interrogé. Mais finalement, les enquêteurs avaient conclu que c'était bien le véhicule
investigations. L'incendie ayant effacé toute trace. Les plaques devant équiper le véhicule étaient inexistantes, vraisemblablement enlevées po
sinat prémédité, et pas vraiment vers la panique d
ant et assez étrange avait aussi été relevé par les enquêteurs en charge de cette affaire : le vendeur, après avoir accompli son geste meurtrier, et dans la confus
heteur qui avait été récupérée contenait bien l'argent du deal. Les deux valises avaient bien sûr fait l'objet d'une inspection rigoureuse des scientifiques. Mais à la différence de c
du deal ? Et peut-être surpris par la présence impromptue des policiers et par son propre geste instinctif et irréfléchi, avait préféré détaler immédiatement. Ce qui pouvait accréditer
e que cela pouvait aussi avoir l'allure d'un règlement de comptes e
endeur et le père de Damien. Éric aurait-il pu être de mèche avec le voyou pour empocher l'argent ? Et celui-ci l'aurait-il élimi