Le furet
re 4Le
omme les autres membres de l'équipe, lui et Charline participèrent activement à la recherche des délinquants que l'indic de Dorgeo avait signalés. Et cela n'était pas de tout repos, car les coéquipiers se rendirent vite compte que les membres de cette organisation n'avaient rien à voir a
cet indic appartenait à une bande déjà connue de l'équipe de Dorgeo, dont les membres se livraient à de petits méfaits, mais qui n'avaient jamais dépassé certaines limites. En particulier n'avaient jamais commis de gros délits de genre crime de sang. Et cette bande que les policiers avaient à l'œil 24 h/24 et contrôlaient discrètement, était surveillée et acceptée, bien que d
es, il demandait aux policiers de fermer les yeux sur les petits deals de sa bande. Il voyait aussi et surtout d'un mauvais œil le fait qu'un concurrent à sa bande contre lequel il ne pouvait pas vraiment faire le poids s'installe sur le marché de la vent
gré certaines informations obtenues par leurs différents indics qui étaient à présent presque tous connus de Damien et de Charline, aucun flag n'avait pu être établi pour cette nouvelle bande, aucun délinquant repéré, et la violence continuait de progresser de façon insidieuse. Ce qui
ait tous motivés à obtenir des résultats. Il connaissait aussi les difficultés auxquelles ils étaient confrontés, et contre lesquel
aines précédentes étaient bien minces, et les six avaient à cœur d'obtenir quelque ch
dans la région, les échanges étant généralement jusque-là limités à de l'herbe. La transaction devait se passer le mardi soir alors qu'on était le lundi. L'indic avait appris cela de la bouche d'un des membres de son gang qui avait un ami dealer opérant dans une ville voisine. L'un
u des informations données par l'indic, il pouvait s'agir d'une quantité importante de drogue et d'argent en rapport. L'indic n'avait pas pu obtenir de renseignement plus précis ni sur le vendeur, ni sur l'acheteur, n
ance supposée de l'échange, et se souvenant de l'expérience terrible vécue par le père de Damien, il avait donc mobilisé l'ensemble de ses hommes pour l'opération. Une souricière fut donc tendue au lieu de l'éch
ent pour s'enfuir si les choses tournaient mal pendant l'échange. De plus, depuis longtemps les portes d'accès au hangar, devenues inutiles, avaient été volées par de petits voyous, pour en tirer profit. Laissant ainsi grand ouverts les accès au hangar. Épisodiquement le hangar servait de terrain de jeu à des gamins. Enfin, l'endroit presque en ruine, car n
ans le second, et Damien et Charline dans le dernier. Les trois véhicules disposés à des endroits stratégiques. Le hangar possédant 2 sorties : une sur la rue avant et une sur celle de l'arrière, le piège consistait à laisser entrer l'acheteur et le vendeur, attendre que la came et l'argent changent de mains pour constater le flagrant délit, bloquer les deux passage
ent tous les deux un peu fébriles sans vouloir se l'avouer. Aus
lée par René et Pierre et s'immobilisa au centre du hangar. Puis un second véhicule, lui aussi possédant deux passagers, tous feux éteints également, se profila de la même façon dans la même entrée. Un léger temps d'attente, puis une silhouette sortit d
e, l'autre main portant le sac contenant la coke. Il déposa celui-ci ouvert sur le sol, en prenant bien soin de se mettre dans une position qui le protégeait : dans le cas où le con
n dos où il était glissé dans la ceinture, un pistolet équipé d'un silencieux et tira froidement sur l'acheteur qui s'écroula, touché à la tête. Puis tira dans la seconde qui suivit, une deuxième fois en direction du chauffeur de l'acheteur, qui se coucha immédiatement sur le siège pour évit