JUDITH
moi son meilleur ennemi (rires), elle se demandait comment est-ce que moi qu'elle persécutait sans cess
re d'aller à la cantine et admirer les autres manger. J'avais donc jugé nécessaire à défaut de remplir mon ventre, de nourrir mon esprit en lisant une œuvre littéraire nommée "Afrika ba'a''
pain avec moi. Grand était mon étonnement car c'est à peine que je comprenais ce qui venait de se passer là, j'avais l'impression d'être dans un rêve. Judith p
ien ? J'avais cordialement accepté ce bout de pain et je l'avais rapidement envoyé dans mon estomac sans perdre du temps
raison pour laquelle tu as
urieux mais surtout, il fallait que ça sorte de la bouche de Judith ''la fille qui ne se mélange à personne'' (rires)!!! Ne dit-on pas souven
eux, elle me répo
comme à l'accoutumée, sûrement à cause de l'aide apport
rmément du fond du cœur, car sans le
lle, c'est à moi de te remerc
latinos, américains et occidentaux. Peu à peu, un climat harmonieux s'établissait déjà entre nous... très souvent, nous
ré génie et il a tout mon respect. À nous voir rigoler et converser, on pouvait s
'on s'y atarde car chacun devait gérer sa vie comme bon lui semblait. Puisque notre relation était essentiellement basée sur le désordre, je ne voyais aucun inté
heureusement, nous n'avions pas eu la malchance ou la chance de continuer ensembles, car il avait été définitivement renvoyé du lycée à cause de la consom
is par mon attitude, au point où mes camarades ont commencé à me traiter d'hypocrite. Cela m'était totalement égal et ça me laissait à 15 comme le disent si bien les Sawa. Chacun savait ce qu'il était venu chercher et ce qu'il vo
deux dés avant de rentrer faire cours de philosophie à la troisième heure. Ayant perdu tous mes paris, j'étais rentré en classe avec une mauvaise mine du coup,
Les inspecteurs régionaux étant en tournée dans la ville d'eseka, il fallait commencer par notre lycée, le lycée d'es
ux m'entretenir avec Judith et mettre
onjour
Bonjour
ment étai
illeure et
idem,
son amie portait sur une affaire de sexe ou de couple, mais c'était trop me rabaisser quand même !!! Je lui avais dir
le disait souvent, elle s'en alla visiter ses amies du club danse dans
continuer notre entretien où nous l'avions laissé. Sauf qu
s frères? Des sœurs? Bref, fais moi u
en profondeur, mais il fallait tout de même que je s
e famille de 5 garçons uniquement
triste et je voulais bien savoir pourquoi ! C'est à ce moment qu'elle se confia à moi