JUDITH
, lorsque les deux familles avaient apprises la bonne nouvelle, moyen de parl
on mari. Ce qui m'avait le plus marqué dans cette histoire, c'est le caractère de Monsieur Yeb
ds avec les siens. Ils leur rappelait sans cesse que le mariage ne se limitait pas seulement à l'
r surmonter toutes les injures que lui proferait sa belle famille surtout. Ce caractè
ait enterré avec un caillou ( chez les Sawa en général et les bassaa en particulier, lorsqu'un homme avancé en âge
e qui faisait sa force. Si au moins tous les hommes pouvaient être comme lui, les choses s
oit de faire quoique ce soit à la maison. À cause de certaines complications, elle s'était retrouvée alitée de peur de perdre son bébé. Son mari s'occu
au centre ville juste pour acheter un pot de yaourt que sa femme ne buvait même finalement pas (rires). Bien qu'il était critiq
fin poser sa main sur un bananier (c'est l'expression coutu
qui avait enfin eu son héritier. Il était si heureux et jovial au sens hyperbo
in de toute la terre. Judith fit une pause à ce niveau et se mit à ruisseler de larmes. J'étais é
e. En fait, son grand frère, qu'elle n'a jamais connu avait été empoisonné par
eté ? Pourquoi ? Nooooon, c'est hallucinant comme l'être humain p
louse, car, dit-elle, cette dernière estimait que son frère ne prendra
erie en plein jour. J'avais aussi une envie de douter, car celle qui me racontait cette
ue Judith était vraie dans ses propos qui la rendaient
onfier à quelqu'un, libérer sa colère envers la vie et moi, j'étais le seul capable de l'écouter et de l
ment perdu son emploi et s'était retrouvé au quartier. La vie lui avait joué un sal tour et il avait trouvé refuge dans l'alcoolisme et le tabagisme.
Tout allait déjà mal pour son couple car sa femme menaçait déjà de rentrer chez elle, mais malheureusement, c'était impossi
tre choix que de devenir une femme débrouillarde qui faisait son
elle avait tenu ferme. Ce genre de femmes méritent des f
ffet de l'assistance de l'un de ses patients qui était devenu agent publicitaire, avai
sa femme dans la ville lumière. Les moments de ple
seignant qui était collerique de tempérament. Toutefois, elle m'avait quand-même promis de continuer la suite après avoir achevé