Les voies sinueuses du cœur

que de ses propres attentes quant à la vie future de l'être auquel elle avait donné la vie, Alice n'avait pas conscience d'avoir malencontreuseme

it difficiles d'accepter, par un sentiment inextricable d'abandon, par des violences autant physiques que psychologiques qu'il avait subi et qu'il n'était plus prêt à enduré. Tout ce q

la mère et pour le fils. Excédés l'un et l'autre par une relation qu'ils auraient souhaité ne jamais avoir, A

que tu as abandonné les bancs alors que tu avais à peine fini l'école primaire et entamé le collège. Mais, dis-moi, ceux pour

in Déhazi et toi tu parles d'avenir envi

e. Mais dis moi oh monsieur Senin Déhazi, que serais-tu donc sans ce nom? Absolument

ue moi, ma vie ne s'arrêterait en aucune façon. Je ne serais pas aussi

n devant des gens qui rient de toi dans ton dos sont à moi et non à toi. Tout ça là, c'est le fruit du travail et des sacrifices que ton

travail et de sacrifice aux gens. Et même si on doit parler de sacrifices, tu peux me dire pourquoi et pour

t légion Senin. Un beau jour, ton père qui ne supporte déjà

e ton rejeton, cette espèce de petit bâtard que tu lui as flanqué, et que tu n'as pas voulu p

'était écriée Alice avant de se figer les yeux écar

cas, comment l'avait-il découvert? Depuis quand avait-il appris qu'André n'était pas son père biologique? Était-ce la cause de son comportement infernal, la raison pour laquelle durant toutes

ce ton bâtard et toi

de quoi... Tu... Bégayât–elle sans p

doigt d'honneur aux médisances outrageuses et sa grande fierté très tôt contrariée par autant de frustrations que l'indicible honte avec lesquelles elle était contrainte de vivre. En proie à des sentiments mitigés, les lèvres tremblantes, les mots restaient coincés dans sa g

s détruit l'harmonie qui régnait dans cette famille de tes pro

sans vraiment se soucier de ceux qui l'entouraient. Hautaine vis-à-vis de toutes les personnes qu'elle considérait inférieur, elle méprisait toutes celles qu'elle estimait l'avoir déçu et ne se remettait jamais en cause. Tout était toujours de la faute des autres et non de la sienne. Il l'interrompît

sans ton mari. C'est encore toi toute seule qui, un jour, es partie on ne sait où pour te livrer à on ne sait qui et es revenue sous le toit de ton mari avec une grossesse. Dire que tu t'es donnée autant de peines toutes ces semaines pour pouvoir tomber ence

s la fe

tout ce que tu lui jetais à chaque fois à la figure quand il était question de ton précieux fils. Être un enfant ne signifie pas

t possible pour y remédier. Alors que des rumeurs sur l'infidélité de sa mère circulaient déjà dans le village, ce jour-là pour une question de friandises que son père refusait qu'il mange, cette femme sans vergogne avait crié à qui voulait l'entendre qu'un impotent, incapable de mettre une femme