Les voies sinueuses du cœur
par avoir finalement raison de l'intégrité du fragile équilibre mental qu'il s'était efforcé de ma
ce et s'effondra dans l'une des ruelles attenante à l'entrée principale de l'Hôpital Central, ce même hôpital où au c
conduit à l'éclatement de toute sa vie, non seulement la sienne, mais aussi celle de tous les membres de sa famille, Franck se souve
en souvenait maintenant. Il appartenait bel et bien à une véritable famille de quatre qui, toutefois, s'était agrandie avec l'arrivée de la petite Irène. Il se souvenait qu'avec sa mère Annabelle, son père Philipe, Irè
is leurs premiers pas sur cette terre des hommes malgré le contraste de leur appartenance sociale, l'improbable amitié qui les liait avait nettement évolué pendant leur adole
vec laquelle il se retrouvait ; Annabelle et Philipe ne s'étaient jamais avoués vaincus. Malgré les difficultés de la vie de couple et de leur quotidien, ils avaient continué leur bout de chemin main dans la main. Au fil des années, grâce aux fruits de leurs durs labeurs et des nombreux sacrifices consentis, ils avaient réussi à effectués ensemble divers investissements dans le secteur de l'immobilier qui leur avaient permis de posséder de nombreux bâtiments locatifs dans la capitale parmi lesquels se comptaient des immeubles de bureau, des appartements, des maisons construites en duplexe, des locaux commerciaux. Les revenus de ces investis
tourage l'image enviable de cette représentation parfaite du couple fusionnel avec des assises a
se traversée de part en part par un long fleuve que ses affluents rejoignaient dans un impressionnant décor qui offrait une vue panoramique dune beauté incomparable, digne des plus belle images de paysage de carte postale. Le choix de Philipe et Annabelle pour la ville de Cahenys avait été motivé par plusieurs raisons. Le choix du couple avait surtout été motivé princ
ieux de leur plus grand tourment, ils résidaient à la Cité Prestige, le quartier huppé où vivaient les familles les plus aisées de la ville. Les Denao y menaient une existence paisible, loin de se douter des funestes années qui les attendaient jusqu'au jour où l'infor