•NOËLLA KASONGO•
Quand j’étais petite, ma vie était paisible et j’étais heureuse avec mes deux parents qui étaient toujours prêt de moi et me comblait de beaucoup d’amour.
Mon père était un grand entrepreneur ce qui faisait qu’on ne manquait de rien. Et en dehors de ça il avait en sa possession une entreprise de transport ou des camions faisaient des livraisons.
Ma mère quant à elle était une styliste, elle avait un petit atelier de couture là où elle confectionne des tenues en pagnes .
Mes deux parents et moi étions vraiment très heureux et on était aussi une petite famille parfaite. J’étais leur unique fille donc je recevais tous leurs amours.
Mais tout changea à l’âge de 18 ans ou ma mère mourut d’une maladie étrange. Mon père était vraiment anéanti car il aimait beaucoup ma mère.
Le voir autant mal me faisait vraiment souffrir et j’étais fatigué de voir mon père ainsi. Deux ans plus tard, mon père est devenu l’ombre de lui-même, il se montrait fort devant moi mais je savais qu’il était malheureux.
Pendant les deux années, tante Anne une dame âgée de 45 ans et qui était la meilleure amie de ma mère avait toujours été là pour nous et elle faisait tout son possible pour nous rendre heureux.
Elle comblait le manque que ma mère avait laissé et me traitait comme étant son enfant. Elle m’aimait beaucoup, c’est ce que je croyais plutôt.
Alors je voyais en elle une deuxième maman et l’idée de faire en sorte qu’elle soit l’épouse de mon père m'était venue en tête.
Un soir alors que tante Anne cuisinait pour nous dans notre cuisine , j’ai décidé de savoir ces intentions envers mon père. A vrai dire je voulais savoir si elle voudrait être la femme de mon père et aussi ma mère.
__ tante Anne, dit moi , tu aimes mon père ?
Tante Anne : mais bien sûr il est comme un frère pour moi
__ non je ne parle pas d’aimer dans ce sens là
Tante Anne : tu parles de quoi alors ?
__ es-tu amoureuse de mon père ?
Tante Anne : comment peux tu me poser une question pareil ? Tu sais très bien que ton père est le mari de mon défunte meilleure amie
__ oui et elle n’est plus de ce monde donc s’il te plaît réponds moi
Tante Anne : oui j’avoue que j’aime ton père mais c’est impossible qu’il est quelque chose entre lui et moi car il a été le mari de ma meilleure amie
C’est dès lors que j’ai fait tout mon possible pour que mon père épouse tante Anne mais je ne savais pas que j’allais faire entrer le diable dans notre vie.
Après que mon père ait épousé tante Anne, elle est venue s’installer avec son fils Celvin qui est âgée de 25 ans.
Elle avait pris possession de l’atelier de ma mère. Elle travaillait pour ma mère en étant son assistante mais maintenant elle était l’unique patronne.
Je devais prendre possession de l’atelier de ma mère quand j’aurai fini mes études et j’étais en deuxième année universitaire avant le bts.
Vu que je ne pouvais pas d’abord travailler, je ne trouvais pas de problème à ce que tante Anne puisse être la patronne en attendant que je sois prête.
Quelques mois plus tard tante Anne a commencé à monter son vrai visage. Elle me maltraitait lorsque mon père n’était pas là et me prenait pour sa servante.
Elle me menaçait en me disant de ne rien dire à mon père sinon elle rendra mon père tellement misérable qu’il se tuera et je serai maintenant orpheline de père et de mère alors par peur j’ai gardé cela pour moi.
Elle a même détruit l’atelier que ma mère avait laissé pour moi en le ruinant complètement.
3 ans maintenant que cette sorcière vit chez nous et que je subis toute sa méchanceté. Son fils à même plusieurs fois essayé de me violer mais ça toujours été sans succès.
J’avais vraiment marre de cette vie alors je m’étais décidée à dire toute la vérité concernant la manière dont tante Anne me traitait à mon père.
Un soir alors que j’avais fini les cours et le temps de rentrer à la maison il était 19h.
Lorsque j’arrive à la maison je vois du monde dehors et aussi la police. J’entre à l’intérieur de la maison avec le cœur battant, arrivée à l’intérieur mes yeux tombent sur mon père allongé sur le sol dans un marre de sang .
Mes larmes coulent le long de ma joue et je cours en allant me jeter dans les bras de mon père mais les policiers m’arrêtent.
* en pleurant * __ non papa tu ne peux pas être mort , réveil toi tout de suite