Mariage avec un zillionnaire secret
L'héritière de génie brille après le divorce
Le Prince est une fille : Esclave captive d'un roi vicieux
Retour de l'héritière de la mafia
Les regrets de mon ex-mari
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Reviens mon amour
Ex-mari, je ne t'aime plus
Elle a tout pris, même mon cœur
L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Jean était un jeune homme de vingt-cinq ans, grand, élancé, avec un regard qui ne laissait personne indifférent. Né et élevé dans une banlieue parisienne, il avait toujours rêvé de s'élever au-dessus de sa condition. Fils unique d'une mère célibataire qui se battait pour joindre les deux bouts, Jean avait vite compris que, dans ce monde, l'argent était la clé de la liberté.
Un soir, alors qu'il traînait avec des amis dans un bar miteux de la ville, Jean rencontra Max, un homme aux cheveux grisonnants, avec une attitude qui respirait l'autorité. Max était l'un de ces types qui, sans être particulièrement impressionnants physiquement, dégageaient une aura de danger et de mystère. Il avait remarqué Jean depuis un moment, l'observant de loin, jaugeant son potentiel.
- Max : « Tu veux changer ta vie, gamin ? »
Jean, surpris par l'approche directe, plissa les yeux.
- Jean : « Qui ne le voudrait pas ? Pourquoi tu me demandes ça ? »
Max se pencha vers lui, un sourire en coin.
- Max : « Parce que je peux t'aider à y arriver. Tu as l'air d'un gars malin. Avec le bon réseau, tu pourrais te faire une place ici, peut-être même dans les hautes sphères. »
Jean savait ce que Max insinuait. Il avait entendu des rumeurs sur cet homme et ses activités. Mais à cet instant, il ne voyait que l'opportunité qui s'offrait à lui. L'idée de continuer à vivoter dans un monde où tout était limité ne l'intéressait plus.
- Jean : « Ok. Je suis partant. Qu'est-ce que tu attends de moi ? »
Max alluma une cigarette, inspirant profondément avant de répondre.
- Max : « Simple. Tu bosses pour moi. Tu vends pour moi. Et je t'assure que, si tu fais bien les choses, tu n'auras jamais à retourner à cette vie misérable. »