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Ange est convainquante

Ange est convainquante

Le tournant

5.0
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64
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2
Chapitres

INTRODUCTION Moi c'est Ange, 22 ans, Marseille d'origine d'Autriche Hongrie , mdrr ce n'est pas une description ça, bon soyons sĂ©rieux. Moi c'est Ange Torres , j'ai 22 ans, fraĂźchement diplĂŽmĂ©e j'ai enfin mon appartement !! J'ai eu mon bac l'annĂ©e derniĂšre,oui Ă  21 ans mdrr mais que voulez-vous,les profs je me les sakais pas et quand j'aime pas, je le dis . En fait mon bac je l'ai eu hein croyez pas j'ai rien dans la tĂȘte mais avec mon comportement ils me l'on refusĂ© ces batards. Depuis quand travail et comportement ça a avoir mĂȘme ? N'importe quoi ! Vous aurez compris que mon sal caractĂšre m'a souvent mise dans la merde mais j'assume mdrr ! Bref physiquement ? Une Princesse avec les rondeurs d'une p*te,c'est pas moi qui le dit hein ! La perfection n'est pas de ce monde ? Poussez-vous alors miss Anna est dans la place !

Chapitre 1 Chapitre 1

TITRE: Ange est convainquante

GENRE: Dramatique et Romantique

___________đŸŒČ _____________

Chapitre 1 : Une fille pas comme les autres.

Moi : oui allĂŽ ?

Elle : madame...

Moi : ah Vanessa ! Combien de fois je t'ai demandĂ© de ne pas m'appeler ainsi et d'arrĂȘter de me vouvoyer hum ?

Vanessa : excuse-moi ange, mais on a un problĂšme Ă  l'entreprise.

Moi : c'est urgent ?

Vanessa : un peu moui.

Moi : lequel ?

Vanessa : en fait un client n'a pas reçu sa voiture en temps et en heure alors il nous fait un scandale. Et il demande à te voir en personne.

Moi : orhh j'arrive dans une petite demi heure.

Vanessa : trĂšs bien.

Moi : ah ! Au fait ! envoi moi son dossier par Ă©mail pour que je revois son cas.

Vanessa : tout de suite.

Moi : merci.

En effet j'ai trÚs bien réussi ma vie, les apparences sont trompeuses. Je suis PDG dans une entreprise de vente de voiture de luxe.

Je me dirige vers la salle de bain y prends une douche vite fait, m'habille exactement comme la photo à la différence des chaussures, j'avais mis des talons hauts pour paraßtre le plus présentable possible.

Je lus le dossier que venait de m'envoyer 'Nessa et ferma mon Macbook. Mr Ledigne est malheureusement un de nos trÚs bon client donc interdiction de mal parler il faut donc que je m'excuse auprÚs de lui. J'aime pas ça moi, m'excuser. Je préfÚre les choses interdites....

Mr Ledigne : ah bah vous voilĂ  Mlle torres !

Moi : en effet, me voici. Veuillez me suivre dans mon bureau.

Il se leva et me suivi dans la gigantesque piĂšce qui me servait de bureau. Je lui demanda de s'asseoir ce qu'il fit. Je demanda alors :

Moi : thé ou café ?

Lui : non merci.

Putain comment j'aime pas me prendre des vents ! Tchrrr il a de la chance d'ĂȘtre un bon client lui.

Moi : trĂšs bien. Quel est le problĂšme ?

Lui : il se passe que j'avais demandĂ© Ă  avoir une voiture le jour mĂȘme de l'anniversaire de ma femme et voilĂ  que la voiture n'est arrivĂ© que 2 jours plus tard ! C'est inadmissible ça !

Moi : je vous présente toutes mes excuses pour ce désagrément. Cela ne se reproduira plus à l'avenir.

Lui : Ă©videmment pas vu que je compte changer d'entreprise.

Moi : écoutez moi bien monsieur cela fait plus de dix minutes que je vous écoute vous plaindre, à présent c'est vous qui allez m'écouter. Votre voiture vous a été donné oui ou non ? Alors si vous voulez changer d'entreprise cela est votre problÚme. Mais moi Ange Torres on ne me cris pas dessus compris ? Maintenant vous allez lever vos vilaines fesses de ma chaise et sortir de mon bureau avant que je n'appelle la sécurité.

Lui : Non mais quel insolence ! Je jure de vous faire couler putains.

Moi : *rire nerveux* si vous me faites couler je jure de vous liquider vous et votre chĂšre et tendre femme. Maintenant barrez-vous ! Cochon !!!

N'importe quoi lui ! Me faire couler moi Ange Torres ah ? Mdrr JE fais couler mais JAMAIS l'inverse Tchrrrr. Il m'avait mit les nerfs en 2/2 pfff. Je continua tranquillement mon travail. Une fois tous mes dossiers rĂ©glĂ©s, je jetta un coup d'Ɠil Ă  ma montre qui indiquait 12h30. Pile l'heure du dĂ©jeuner. Je rangea mes affaires et me dirigea vers l'accueil.

Moi : euhm 'Nessa j'ai des rendez vous pour ce soir ?

'Nessa : non aucun.

Moi : okay et rien de particulier ?

'Nessa : si,demain viendra le nouveau directeur commercial. Tu dois ĂȘtre prĂ©sente Ă  9h00 pour tout lui montrer.

Moi : pouf. Bon bah tchao Ă  demain alors !

'Nessa : tcha' tchao !

Je m'installa Ă  une table dans le restaurant italien en attendant ma pizza. Je textotais avec Mima ma cousine quand je sentais la prĂ©sence de quelqu'un au dessus de moi, je releva la tĂȘte tout doucement afin de lui montrer mon agacement.Il tira la chaise juste en face de moi en me regardant avec insistance.

Moi : je t'ai demandé de t'asseoir ?

Lui : ......

Moi : tchrrrr bon tu m'as assez regarder maintenant j'aimerais bien que tu t'en ailles merci.

Lui : et si j'ai envie de rester ? Tu me fais quoi ?

Moi : j'aime pas trop m'Ă©nerver tu vois ? donc tu vas te lever sans que j'ai besoin d'utiliser la force !

Lui : t'es trop belle quand tu t'Ă©nerves meuf.

Moi : pas seulement quand je m'Ă©nerve, mais lĂ  n'est pas la question crois moi tu vas t'en prendre plein la gueule avec moi...

Il veut jouer ah ? On va jouer. Je vous laisse admirer mon talent de sĂ©duction. J'aime pas trop qu'on me dĂ©range ou me tienne tĂȘte, c'est toujours MOI qui gagne.

Lui : je l'avoue, tu es magnifique chérie.

J'enroula une de mes mĂšches de cheveux sur mon index en balançant ma tĂȘte vers l'arriĂšre.

Moi : ah bon ? On ne me l'avait jamais dis pourtant.( souriant)

N'importe quoi, on me la sort Ă  chaque fois. C'est quand je vais trouver un gars plus intelligent deh tchrrr ? Pas grave, je joue le jeu jusqu'Ă  la fin moi.

Lui : Si si je t'assure.

Le serveur m'amenna ma commande et parti. Il continua Ă  me sortir des phrases et des compliments du genre : Ton pĂšre il travaille chez Nintendo ? Parce que t'as un corps de DS. Et plein d'autres choses encore. Des trucs de gamins la vie, pff j'ai pas mon temps Ă  perdre pour ce genre de.... D'omelette. Le pire c'est qu'il portait des chaussures tellement grande qu'on pourrait l'enterrer dedans !

Moi : attends, t'essaies de me draguer lĂ  ?

Lui : ouais ça se voit pas ?

Moi : Yeeeeh ya eu mieux que toi qui me drague tu vois ? et ça n'a pas marché ! Et c'est pas pour ta gueule que ça va changer !

Vu que j'avais déjà payer je me leva et avança vers ma voiture. Au moment de rentrer dans celle-ci juste pour le fun je lui dis :

Moi : ah ! Au fait, revois ta technique de drague. Le truc du tu es belle quand tu t'énerve là évite. Je dis ça, je dis rien.... Bon bah tchao !

Lui : .....

Je claqua ma porte et démarra en trombe.

Attendez ! je suis Autrichienne Ă  100%.

Comme je disais je suis Autrichienne ,musulmane et pratiquante. MalgrĂ© ma façon d'ĂȘtre je suis quelqu'un de trĂšs gĂ©nĂ©reux, j'ai beau avoir des dĂ©fauts j'ai beaucoup de gentillesse en moi.

Question physique je suis fine mais mes formes restent présentes. J'ai les yeux d'un marron pur, brillant et assez clairs. Pour la couleur de peau j'ai un teint plutÎt métisse clair.

Par contre moi je suis pas comme toutes les autres. Bien sĂ»r je rĂȘve du jour oĂč je me marierais en robe blanche avec une dĂ©coration grandiose.

Mais si vous remixez ça ne sera pas la mĂȘme chose, moi je serais en jeans, veste et bottines en cuir noir, une arme attachĂ© Ă  la ceinture.Je ferai mon cortĂšge en Chevaux et c'est moi qui conduirai MĂȘme tout le cortĂšge. Mdrrr si c'est pas beau ça !

Bref, une fois arrivĂ© chez moi je me lava, pria et Ă©tudia le dossier du nouveau directeur commercial de mon entreprise. Younes Amir Khane s'appelle. Demain je me ferais un plaisir de lui expliquer le fonctionnement de l'entreprise. Une fois fini je consulta mes mails, fis un tour sur mes rĂ©seaux sociaux dont Twitter, Facebook, Instagram tout en mangeant. Quand j'en fus lassĂ©e je jetta un coup d'Ɠil Ă  ma montre 23h54 oulaaa il faut que je me couche moi. Demain est une longue journĂ©e.

Il est 7h20 quand je rentre dans mon bureau. Je commença mon travail quand on toqua à ma porte.

Moi : hum entrez !

La porte s'ouvrit pour laisser place Ă  la tĂȘte de 'Nessa.

'Nessa : je peux ?

Moi : entre, entre !

'Nessa : on a petit changement au fait.

Moi : mhmm, je t'Ă©coute.

'Nessa : tu dois te rendre Ă  l'entreprise ********-*** pour un stage d'une demi heure.

Moi : ahhh de suite lĂ  ?

'Nessa : oui...

Moi : trĂšs bien. J'y vais.

Je me leva pris mes clés de voiture et me dirigea vers le parking. De là j'entra dans mon Audi et saisi l'adresse dans le GPS.

Une fois arrivée je sors de la voiture et entre dans le magnifique building. Je me dirigea vers l'accueil.

Moi : bonjour.

Secrétaire : bonjour

Moi : euhm excusez-moi mais pourriez vous m'indiquer le lieu du stage je vous prie ?

Elle : oh oui bien sûr,c'est le 2e étage juste la porte en face de vous quand les portes de l'ascenseur s'ouvriront.

Moi : merci.

Elle : je vous en prie.

Je fis comme elle me l'avait dit. Quand je fus en face de la porte je frappa deux petits coups brefs. Si tout le monde en fait 3 alors moi j'en ferais 2. Quand je vis la personne qui se trouvait en face de moi je dis :

Moi : non c'est trop pour moi n'importe qui mais pas lui.

Je referma la porte et m'en alla. En aucune façon je ne ferai un stage en compagnie de cet homme. Je veux bien ĂȘtre gentille mais n'abusons pas non plus.

L'homme qui se trouvait juste en face de moi n'était autre que le cher monsieur qui m'avait, si on peut appeler ça comme ça, draguer l'autre jour dans un restaurant italien.

Je continua mon chemin jusqu'Ă  ma voiture et au moment mĂȘme oĂč j'allais ouvrir ma portiĂšre on me saisis violemment le poignet.

Je me retourna prĂȘte Ă  me battre. Quand je tomba nez Ă  nez sur l'homme dont je vous parlais il y a 2 secondes.

Moi : que puis-je faire pour vous ?

Lui : comme vous pouvez le voir je suis Saphir de Global Corporation ( se lit en anglais ).

Moi : c'est donc vous le fameux Saphir Bensid ?

Lui : en personne.

Moi : eh bah ! Laissez-moi vous dire qu'Ă  part votre nom vous n'avez rien d'autre. Sur ce Ă  jamais.

J'entra dans ma voiture et parti de la mĂȘme façon dont je suis venue.Mdrr quand j'y repense je viens de ridiculiser Mr Saphir Bensid,ce mĂȘme monsieur dont les mĂ©dias ne cessent de louer ses mĂ©rites.

Quand je vais raconter ça à Mima, elle en croira pas ses oreilles, elle qui l'admirait tant ! Je peux vous dire qu'elle sera déçue, oh ça oui !

Pour vous dire moi aussi je l'admire ce trÚs cher monsieur, je vous explique : Global Corporation est une entreprise qui se bat contre la destruction des quartiers pauvres de la ville. Saphir Bensid est donc le directeur de cette entreprise il a remplacé son pÚre Mr Foued Bensid.

Mais niveau beauté c'est pas trop ça. Heureusement que Dieu a donné de l'argent à ce genre de gens deh sinooonn papapa.

Vous devez sûrement vous demander pourquoi je fais un stage là-bas, c'est trÚs simple, je lui vend des voitures pour ses déplacements personnels ainsi que pour ses patrouilles.

Bref, vu qu'il me restait un peu de temps avant 9 heures je pris la direction du centre commercial, j'allais y faire quelques petites courses surtout en matiĂšre de lingerie mdrr.

Une fois arrivée, je me gara,pris mon sac et sorti de la voiture. Je m'en allai alors direction la premiÚre boutique de lingerie en vue. J'y entra et commença mes achats.

.... : euhm excusez-moi ?

Je me retourna vers la voix que je venais d'entendre, c'Ă©tait un homme de mon Ăąge. Qui en passant est trĂšs beau.

Moi : oui ?

Lui : excusez-moi mais pourriez vous m'aider ?

Moi : bien sûr, que cherchez vous ?

Lui : eh bien ma femme m'a demandĂ© de lui prendre de nouveaux sous vĂȘtements sauf que je ne m'y connais pas trop.*rire*

Moi : *rire* je vois ça. Elle porte du quoi ?

Lui : du E je crois.

Moi : trĂšs bien. Je vous conseille ceux lĂ .

Il choisit les sous vĂȘtements et me remercie.

Lui : merci beaucoup.

Moi : de rien.

Lui : enchanté d'avoir fait votre connaissance....

Moi : Ange, Ange Torres.

Lui : Noooooon Tana c'est toi ?

Moi : Ahmed ?

Lui : ehhh oui, pfffiou mais tu dates !

Moi : mdrr c'est toi t'as disparu plutĂŽt ! Alors il devient quoi Mehda ? Mdrr.

Lui : Ă  ce que je vois tu n'as pas changĂ©e et je t'ai demandĂ© au moins mille fois d'arrĂȘter de m'appeler ainsi Tana ! Sinon bah ça va hein je suis mariĂ© il y a 2 ans aujourd'hui.

Moi : whooow ! Et t'es papa ?

Lui : ouais des jumeaux et une fille. Et toi tu deviens quoi ? Toujours cette haine contre les gars ?

Moi : mdrr on change pas les bonnes habitudes. Je suis mariée avec la nourriture jusqu'à ce que la date de péremption nous sépare.

Lui : mdrr ! Non, tu mens ! Toi célibataire ?

Moi : eh oui gros. Et le travail ?

Lui : bah ça va hein je dirige un petit restaurant,en mĂȘme temps j'ai en ma possession un hĂŽtel 6 Ă©toiles qui Al Hamdulilah marchent trĂšs bien. Et toi ? Tu l'as eu ton bac finalement ?

Moi : ouais ouais ouais, je suis PDG dans une entreprise de vente de voiture de luxe.

Lui : popopow tu blagues plus hein !

Moi : il faut,il faut ! Sinon ton hĂŽtel c'est ici ?

Lui : non au Qatar.

Moi : ah ouais carrément, d'ailleurs j'y vais dans trÚs peu de temps pour un mercenaire et pour une nouvelle affaire. Et vu que je ne possÚde pas de maison là-bas j'aimerais bien y aller.

Lui : ah non non il n'y a pas de problÚme. Ce serait un plaisir que ma meilleure amie séjourne dans mon hÎtel.

Moi : t'inquiĂšte pas, tu sais trĂšs bien que je suis franche je ne me gĂȘnerai pas pour critiquer deh.

Lui : mdrr comment oublier ta franchise.

Moi : ayiwa je t'aurai prévenu.

Lui : tkt tkt.

On fini nos achats et on part s'installer dans un petit café pour continuer de prendre des nouvelles. Ahmed c'est le seul gars que j'arrivais à supporter et avec qui je partageai tout. Je l'ai toujours considéré comme un frÚre.

Moi : Ahmed j'ai vraiment été trÚs contente de te revoir. Mais je dois retourner au travail en urgence pour 9 heures.

Lui : pas de problÚme. Passe moi ton numéro de téléphone et dÚs que tu auras le temps viens faire un tour dans mon restau tu mangeras gratuitement. Et on pourra continuer notre conversation.

Moi : merci. Je viendrai dĂšs que je peux ne t'inquiĂšte pas.

On s'échange nos numéros et chacun va de son cÎté. Je repars alors vers l'entreprise.

***

9h00

Je sors de mon bureau pour accueillir Mr Younes Amir Khane.

Quelques minutes aprÚs un homme habillé en mode survet', superstar et lunette se dirige vers moi.

Lui : bonjour.

Moi : oui bonjour, c'est pour ?

Lui : je suis Younes Amir Khane. Votre nouveau directeur commercial.

À l'entente de ses paroles j'ouvris grand mes yeux. Un directeur commercial qui se pointe à son travail en survet' ? Du jamais vu.

Moi : Je suis Ange Torres votre PDG. Suivez-moi.

Je lui fis visiter tous les lieux, lui expliqua le fonctionnement de l'entreprise, les rĂšgles Ă  respecter, tout quoi ? .

20h00

Moi : Ă  prĂ©sent vous connaissez tout de l'entreprise. J'espĂšre ne pas ĂȘtre déçue par votre travail.

Lui : si vous m'avez choisi c'est que vous savez de quoi je suis capable.

Moi : trÚs bien. Soyez mieux habillé pour demain j'exige que vous portiez un costume.

Lui : quoi ?! Un costume ? Je ne peux pas rester en survet' ? C'est beaucoup plus confortable !

Moi : Autrement dit vous ne serez pas accepter au sein de l'entreprise. Maintenant que tout est clair vous pouvez vous en aller.

Lui : c'est pas possible putain, un costard ! À croire je vais à un mariage.

Moi : en effet, vous ne partez pas à un mariage. Mais sachez que des personnes trÚs importantes dans la société défilent toute la journée dans mon entreprise. Je ne tiens pas à ce que votre tenue vienne gùcher mon statut.

Lui : c'est bon j'ai compris t'as pas....

Moi : vouvoyer moi. Je suis votre PDG et non votre pote.

Lui : bien sûr que je vous vois vous avez cru que vous étiez invisible oulaaa mdrr !

Moi : trĂšs bien, le travail commence Ă  7h30 soyez Ă  l'heure.

Lui : j'y veillerai.

Moi : ce n'est pas une question, mais une exigence.

Lui : compris.

Une fois l'entretien fini je range mes affaires et rentre chez moi. J'ai du boulot avec celui lĂ  dit donc et son caractĂšre pff je prend sur moi.

Une fois ma douche prise et mon pyjama mis, je décida de contacter Mima.

*Conversation téléphonique*

Mima : Anngeeeee !

Moi : mdrr je vois que je t'ai manqué grave.

Mima : tchrr manqué ? Pas du tout.

Moi : ah toi aussi je rigolais avec toi seulement.

Mima : Bref tu dis quoi ?

Moi : ahhh faut trop que je te raconte !

Mima : accouche ma poule !

Moi : c'est moi ta poule ah ? C'est bon je te dis mĂȘme plus.

Mima : nooon vas-y dis lĂ  !

Moi : bon tu vois Saphir Bensid ?

Mima : c'est le directeur de Global Corporation ? Bah wesh

Moi : lui-mĂȘme !

Mima : eh bah ?

Moi : tais toi je finis de parler non orhh.

Mima : c'est bon je t'Ă©coute Accouche putains.

Moi : genre j'Ă©tais parti faire un stage lĂ -bas et aprĂšs * je lui ai tout raconter *

Mima : .............

Moi : bah parle !

Mima : c'est pas toi tu m'as dis de me taire ah ?

Moi : Mima j'en peux plus de toi vraiment.

Mima : mdrr non sÚbÚla ( sérieusement ) j'y crois pas moi je le voyais comme un beau gosse tout droit sorti du tur-fu et toi tu me balance ça comme ça ! Comment j'suis trop déçue de lui !

Moi : et attends j'ai un autre truc Ă  te raconter.

Mima : je m'attends au pire lĂ .

Moi : il faut deh ayiwa ! J'ai recruté un nouveau directeur commercial pour mon entreprise.....

Mima : tchrr t'es sérieuse là !?

Moi : hiiii mais laisse moi finir ! Le gars il est venu en mode survet', superstar et lunette je te dis ! * je lui raconte mon entretien avec Mr Khane.*

Mima : tu mens !

Moi : Attends tu sais ce qu'il m'a répondu quand je lui ai dis me vouvoyer ah ?

Mima : quoi ?

Moi : que genre que lui il me voit ko moi j'ai cru j'tais invisible deh ah ?

Mima : ptdrr eh bah ! Popopow je sens que ça va ĂȘtre animer lĂ -bas.

Moi : je sais mĂȘme pas comment je vais faire avec Celui-lĂ .

Mima : tchrr en tout cas vous avez les mĂȘmes caractĂšres la vie.

Moi : non mĂȘme pas * je lui raconte ma rencontre avec Ahmed *

Mima : Tu trouves pas que c'est bizarre un homme qui achĂšte des sous vĂȘtements pour sa femme ? Surtout le jour de leur anniversaire de mariage ? En plus du N quoi.

Moi : mdrr toi tu réfléchis deh ! Et puis qui te dit elle a pas un gros fessier.

Mima : non mais sérieusement, genre elle va les essayer aprÚs ils vont....

Moi : ahhhhh stop lĂ  putains !

Mima : mdrr j'allais juste dire qu'ils joueraient aux cartes.

Moi : tchrrrrr si eux ils jouent aux cartes moi je vais jouer avec tes joues deh mes mains en plein dans ta face lĂ  tu vas voir.

Mima : mdrr faut pas venir gĂącher ma face de belle gosse ici deh pardon.

Moi : tchrr belle gosse de oĂč mĂȘme ton visage moche moche on dirait fesses de babouin comme ça ! Tshiiiip.

On continua Ă  parler jusqu'Ă  tard dans la nuit.

A SUIVRE

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5.0

PARTIE 1 â€Ș20 DĂ©cembre 15h45,‬ -Cliente : Dommage y'a pas ma taille. -Moi : Je peux vous la commander, elle sera disponible la semaine prochaine. -C : Mouais. Autant acheter sur internet alors, ça revient au mĂȘme. Je soupire. -C : Bon, commandez alors. Taille 38. -Moi : Ok. Je vais Ă  la caisse pour passer la commande sur mon ordi, et dis au revoir Ă  ma derniĂšre cliente.. -.. : Dua ! -Moi : Efendim Iknur abla* ? (Oui Iknur?) *Abla= signe de politesse qui signifie grande-soeur. Qu'elle soit ta sƓur ou pas, si la personne est plus que toi, on dit « abla » par respect. -I : Je dois rentrer plus tĂŽt que prĂ©vu, j'dois chercher mon fils â€ȘĂ  16h‬ et l'emmener aprĂšs chez son dentiste. Tu peux fermer la boutique stp ? -Moi : Euh.. -I : Je sais c'est la premiĂšre fois que j'te le demande, mais lĂ  j'ai vraiment pas le choix. Babangile ben haber ederim istersen. (Je prĂ©viens tes parents si tu veux.) -Moi : Yok tamam, ben ararim onlari. (Non c'est bon, je peux les appeler.) -I : Tamam ozaman, Allah razi olsun ! (Ok alors, que Dieu te bĂ©nisse!) Je lui souris et elle se prĂ©pare pour sortir. J'arrive jamais refuser quelqu'un, c'est mon plus grand dĂ©faut. Pour info, Iknur abla c'est ma chef, elle est responsable de la boutique. On est obligĂ© de fermer le magasin â€ȘĂ  19h‬, parce que â€Șvers 18h30‬ le livreur ramĂšne nos commandes chaque jour. Je suis un peu nerveuse, d'habitude je termine â€ȘĂ  16h‬ mais lĂ  je dois carrĂ©ment fermer la boutique, soit â€ȘĂ  19h‬. C'est pas que c'est tard, mais en hiver Ă  cette heure-ci il fait nuit et moi je crains toujours la nuit. J'aime pas ĂȘtre dans les rues en fait, j'suis pas bien au fond de moi. Sans attendre, j'prends mon portable pour appeler ma mĂšre. -M : Kizim ? (Ma fille?) -Moi : Anne, n'apiyorsunuz ? (Maman, vous faĂźtes quoi?) -M : Rien, j'pense au menu de ce soir avec ta grand-mĂšre. Et toi, t'es sortie ? -Moi : Non. Maman, Ilknur abla a dĂ» sortir plus tĂŽt et c'est moi qui doit fermer la boutique. Jt'ai appelĂ© pour te prĂ©venir que je vais rentrer un peu tard ce soir. -M : Hmm, neyse tek bir gĂŒn için. Eve gelirken dikkat et tamam mi ? (Hmm, c'est juste pour un jour. Fais attention quand tu rentres, ok?) -Moi : Tamam, merak etme sen. ÖptĂŒm ! (Dac, tkt pas. Bisous!) Je raccroche et range un peu la boutique. Mon pĂšre et mon frĂšre travaillent, sinon ils pouvaient venir m'accompagner vu que je n'aime pas ĂȘtre seule dans les rues le soir, mais c'est pas la peine. C'est pas comme si il va m'arriver quelque chose.. AprĂšs le passage de deux clientes, je remarque que j'ai reçu un message de Kadir, mon fiancĂ©. « Bien ta journĂ©e ? » Je lui rĂ©ponds aussitĂŽt. -Moi : Oui ça va, comme tous les jours hein. Sauf que je vais sortir Ă  19h aujourd'hui. Et toi ? -K : Ça va, c'est pas trop tard. Prends le bus tranquille. Moi ça va, j'viens de rentrer. -Moi : Cool alors. -K : Ouais, bref vas-y j'vais manger et jouer Ă  la play aprĂšs. On se capte plus tard. J'rĂ©ponds pas. Que rĂ©pondre Ă  un mec non attentionnĂ© ? Vous allez dire « comment ça se fait que t'es fiancĂ©e alors ? ». Bah c'est simple, sa mĂšre m'avait vu Ă  un mariage et elle a contactĂ© ma mĂšre. Mes parents ne voulaient pas, mais en voyant le mec j'ai voulu. C'est la XĂšme famille qui demande ma main, mais c’est la premiĂšre fois que j'ai voulu essayer. Du coup on a commencĂ© Ă  se parler, Ă  se connaĂźtre.. et on s'entendait bien. Puis on a dĂ©cidĂ© de se fiancer il y a un mois. Mais depuis quelques temps, j'ai l'impression qu'il se lĂąche un peu. -Moi : Bref, c'est pas le moment de penser Ă  n'importe quoi. Le temps passe et l'heure de la fermeture arrive enfin. Je prends le bus, descends Ă  mon arrĂȘt et commence Ă  marcher. Malheureusement le plus proche arrĂȘt est Ă  20 minutes Ă  pied de chez moi, c'est vraiment pas pratique de marcher dans le froid dans un coin perdu. Oui parce que j'habite un peu loin de la ville de Grenoble. Je marche dans la rue tranquille, jusqu'Ă  que j'aperçois trois hommes assis sur les escaliers. Je baisse direct ma tĂȘte, et accĂ©lĂšre mes pas en lisant Ayet-el KĂŒrsi (sourate Ayat Al Kursi) dans ma tĂȘte. -H1 : Mais qui voilĂ  ? Mdrrr -H2 : Une voilĂ©e mdrrr. Je fais pas attention Ă  ces alcooliques, et continue mon chemin. -H1 : Attends miss, on va pas te manger ! -H2 : Pourquoi tu mens ? Mdrr -H3 : Laissez-la tranquille, c'est pas une meuf pour nous. -H1 : Parce qu'elle a le voile ? Et alors ? Une femme reste une femme. Je commence limite Ă  courir mais ils bloquent mon chemin. -H1 : T'es pressĂ©e ? Ça tombe bien, nous aussi. -H2 : Elle a de beaux yeux en plus. -Moi : Laissez-moi tranquille ! J'voulais m'Ă©loigner d'eux, mais l'homme1 me tient par le bras. -Moi : LĂąche-moi ! -H1 : Allez, on va juste s'amuser un peu. -Moi : Mais allez vous faire f.. Je reçois une gifle, et l'homme2 me tient aussi en fermant ma bouche. J'essaye de me dĂ©battre, de leur donner des coups, mais j'arrive pas. -H3 : Vous ĂȘtes fous ! Ça sera sans moi cette fois-ci

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Romance

5.0

« DESTIN INOPINÉ » PROLOGUE BONNE LECTURE Le coucher du soleil faisait dĂ©jĂ  son concert , drĂŽle de mot , quelque part dans la ville de Conakry, dans une maison en face de la mer , elle dormait comme un nouveau nĂ©, Hawa ne se souciait plus des entraves de la vie , elle voulait juste profiter de sa jeunesse loin de tout stresse , c'est Ă  dire les problĂšmes familiaux et tout ce qui en suit , plusieurs fois Ă©tĂ© manipulĂ© par l'ĂȘtre humain, elle ne s'attendait qu'au pire venant de ce dernier, plus rien ne choquait cette pauvre fille , malgrĂ© tout , elle agissait avec prudence et mĂ©fiance. Nanta: ouvres les yeux s'il te plaĂźt et aides moi Ă  tenir le bĂ©bĂ© Ouvrant lentement les yeux pleins de fatigues, elle aurait voulu dormir tout au long des heures prochaines mais dure de ne pas vivre dans sa propre maison selon elle , Hawa vivait chez sa grande sƓur depuis que cette derniĂšre s'est mariĂ©e Ă  un homme aisĂ©, ce dernier s'occupait de sa scolaritĂ© jusqu'Ă  obtention du baccalaurĂ©at, il le faisait pour faire plaisir Ă  sa femme car il l'aimait Ă©normĂ©ment .... Nanta: tu as dormi presque toute la journĂ©e, c'est le crĂ©puscule, gardes l'enfant pour que je puisse faire mes priĂšres — Uhum , il fait quelle heure? — 19h madame , en plus ta maman a appelĂ© elle voulait te parler Je me suis levĂ©e pour tenir le bĂ©bĂ© sans prononcer un mot , ma sƓur est maman pour la premiĂšre fois d'un petit garçon de 5 mois , il s'appelle Adel , depuis sa naissance ma sƓur vit dans le bonheur, qu'est-ce que c'est mignon... — je vais l'appeler un peu plus tard — Uhum , n'oublie pas de rĂ©chauffer le dĂźner aussi — d'accord !!! Sortant de la chambre, j'avais mon neveu dans les bras , grĂące Ă  lui je m'y connais en baby-sitting, ma sƓur est trĂšs flemmarde, tout ce qu'elle aime , se faire belle et rester devant la tĂ©lĂ© , j'espĂšre qu'elle se rĂ©veillera trĂšs vite , sachant de quoi je parle exactement..... Ma sƓur est revenue quelques minutes plus tard pour reprendre le petit car je devais aussi exĂ©cuter mes priĂšres et mes tĂąches mĂ©nagĂšres , il n'y a pas de bonne ce sont les vacances je m'occupe presque de tout pour que ma sƓur puisse Ă©conomiser , son mari a insistĂ© qu'il allait payer mais bofff je n'ai pas mon mot Ă  dire ça ne concerne qu'eux , je suis lĂ  juste pour mes Ă©tudes , cela fait maintenant trois ans que je n'ai pas vu mes parents, ils me manquent parfois , sinon le mieux c'est d'atteindre mon objectif..... Lorsque son mari est rentrĂ© du boulot et m'a trouvĂ© dans la cuisine son visage a d'un coup changĂ©, je me demandais bien ce qui n'allait pas , je me disais peut-ĂȘtre qu'il ne souhaitait pas que je fasse la cuisine Ă  la place de sa femme , est-ce pour cette raison ? Aucune idĂ©e sachez seulement qu'il n'y avait pas trop de bavardage entre mon beau-frĂšre et moi comme l'indique la coutume, j'Ă©tais mĂ©fiante car je ne souhaitais pas avoir d'ennuis avec ma sƓur , NantĂšnin est trĂšs jalouse et possessive, elle est capable de s'inventer des histoires qui n'ont mĂȘme pas de sens et je sais ce qu'on m'a dit avant de mettre pieds dans cette maison .... Il m'a regardĂ© un moment puis s'est dĂ©cidĂ© de rĂ©pondre Ă  mes salutations, il n'est pas entrain de flasher sur moi juste pitiĂ© car je passe tout mon temps Ă  bosser alors que sa femme ne souhaite pas engager de bonne , elle ne supporterai pas qu'une mĂ©nagĂšre lui pique son mari , c'est trĂšs absurde , peut-ĂȘtre que je suis encore sans expĂ©rience mais un homme ça ne se traumatise pas de cette façon, ça ne me regarde pas .... Thierno : euh j'espĂšre que tu vas bien aussi ? Et ta sƓur ? — oui AlHamdouillah, elle est dans la chambre de Adel Thierno : tu es sure que tu vas bien ? Tu as une drĂŽle de voix , tu es fatiguĂ©e c'est ça ? — mais non tonton , ne vous inquiĂ©tez pas tout va bien Thierno : Uhum , je t'ai dit de ne pas me vouvoyer , je suis ton beau-frĂšre , appelle-moi simplement par mon prĂ©nom Je trouvais cela trĂšs impolie , je n'ai pas l'habitude d'appeler les gens directement par leur prĂ©nom Ă  part mes proches bien sĂ»r , lĂ  c'Ă©tait vraiment dure pour moi , j'espĂšre que ma sƓur ne le prendra pas mal , c'est vrai qu'on se connaĂźt y'a trois ans mais c'est compliquĂ© .... — euh d'accord j'ai compris Thierno : merci Sur ces mots , il a retournĂ© ses talons pour rejoindre ma sƓur , je ne sais mĂȘme pas pourquoi je suis gĂȘnĂ©e quand il est lĂ , certains diront que c'est le mari de ma grande sƓur et donc je devrais ĂȘtre Ă  l'aise avec lui mais hĂ©las , je sais pourquoi je suis distante et c'est mieux ainsi ... J'ai posĂ© la nourriture sur la table et aller prendre une douche , juste dans le couloir j'entends ceci .... « On est jamais mieux que chez soi . Hawa» À SUIVRE

La fille du diable

La fille du diable

Sci-Fi

5.0

Prologue ______=_=_____ Je n'ai jamais aimer les humains, mon pĂšre le diable me faisais toujours comprendre que ce sont des ĂȘtres trĂšs faible et qui se foutent des autres. J'Ă©tais contente de savoir qu'il le sont car j'ai toujours Ă©tĂ© jalouse de ces gens qui vivent dans la lumiĂšre et nous dans l'obscuritĂ©. OuĂŻ nĂŽtre monde est trĂšs sombre et Ă  du feu dans tout le royaume. Le diable Ă  son royaume oĂč j'ai grandis d'ailleurs et je suis sa fille. J'ai dĂ©cidĂ©e de venir moi mĂȘme dans le monde des humains leurs faire vivre l'enfer juste parce que je suis jalouse de vous. Mon pĂšre avait raison les hommes sont trĂšs faibles physiquement. J'ai longtemps adorer tuĂ© les hommes. Je me suis nourrir de leurs sang jusqu'Ă  la derniĂšre goĂ»te. Leurs corps si fragile quand je pĂ©nĂštre mes doigts Ă  intĂ©rieur pour manger tout ce qui s'y trouve Ă  comme un animal fĂ©roce. Ne me demande pas quel est mon problĂšme car je ne saurais te dire. C'est peut Etre parce que vous ĂȘtes Dieu vous aime et nous mĂ©prise. Je l'avoue ça me fais mal au plus profond de mon ĂȘtre. OuĂŻ j'ai mal. Je suis comme ça. Je sais seulement tuĂ© , le diable m'a appris Ă  agir de cette façon qui est de faire le mal au homme comme par exemple me nourrir de la chair depuis toute petite... il m'a toujours fait comprendre que l'amour c'est pour les faibles. Appel moi zena la fille de satan Venez suivre mon histoire #la_fille_du_diable ____^_=___^__=____

Inspirés de vos vus

La reine libérée

La reine libérée

Romance

5.0

Il suffit d'une seconde pour que le monde d'une personne s'Ă©croule. Ce fut le cas pour Hannah. Pendant quatre ans, elle a donnĂ© tout son amour Ă  son mari, mais un jour, il lui dit froidement : « Divorçons. » Hannah rĂ©alisa que tous ses efforts des annĂ©es passĂ©es Ă©taient inutiles. Son mari ne s'Ă©tait jamais rĂ©ellement souciĂ© d'elle. Alors qu'elle assimilait encore le choc, sa voix indiffĂ©rente continua : « ArrĂȘte de faire semblant d'ĂȘtre surprise. Je n'ai jamais dit que je t'aimais. Mon cƓur a toujours appartenu Ă  Eliana. Je t'ai Ă©pousĂ©e seulement pour calmer mes parents. Tu Ă©tais naĂŻve de croire autrement. » Le cƓur d'Hannah se brisa en mille morceaux tandis qu'elle signait les papiers du divorce, marquant ainsi la fin de son rĂšgne en tant qu'Ă©pouse dĂ©vouĂ©e. La femme forte qui Ă©tait en elle se manifesta alors rapidement. À ce moment-lĂ , elle jura de ne plus jamais dĂ©pendre d'un homme. Son aura Ă©tait extraordinaire lorsqu'elle entreprit un voyage pour se retrouver et maĂźtriser son propre destin. À son retour, elle avait tellement mĂ»ri et Ă©tait complĂštement diffĂ©rente de l'Ă©pouse docile que tout le monde connaissait autrefois. « Que fais-tu ici, Hannah ? Est-ce ta ruse pour attirer mon attention ? », demanda son arrogant ex-mari. Avant mĂȘme qu'elle puisse rĂ©pliquer, un PDG autoritaire apparu de nulle part et la prit dans ses bras. Il lui sourit et dit avec audace : « Juste pour te prĂ©venir, Monsieur. C'est ma femme bien-aimĂ©e. Éloigne-toi d'elle ! »

Le mari mystérieux est un milliardaire

Le mari mystérieux est un milliardaire

Romance

5.0

" Carroll Brown est mort ! Mais tu dois l'Ă©pouser au nom de ta sƓur. " Ma mĂšre me dit d'un ton froid. Ma sƓur Ă©tait fiancĂ©e au milliardaire le plus sexy. Cela aurait dĂ» ĂȘtre un mariage parfait. De façon inattendue, Carroll Ă©tait mort dans un accident. Ma sƓur ne voulait pas devenir veuve, alors elle m'a forcĂ©e Ă  Ă©pouser son fiancĂ© dĂ©cĂ©dĂ©. Et je n'avais pas le droit de lui refuser. En fait, j'Ă©tais la fille biologique de la famille Smith. Ma sƓur Ă©tait adoptive. Ma sƓur et moi avions Ă©tĂ© Ă©changĂ©es Ă  l'hĂŽpital alors que nous venions de naĂźtre. Mes parents avaient dĂ©jĂ  eu une relation profonde avec elle. Alors ils ont choisi de me sacrifier. Le jour du mariage, j'ai Ă©tĂ© emmenĂ©e dans la salle de deuil. "Madame, veuillez tenir compagnie au MaĂźtre et laissez-le se rĂ©chauffer." dit la gouvernante avec une expression froide. Je n'ai pas pu m'empĂȘcher de lever les yeux vers le portrait au-dessus du cercueil, et mon cƓur a ratĂ© un battement Ă  ce regard. L'homme du portrait Ă©tait plus beau que les superstars d'Hollywood. Carroll Brown ? Mon mari dĂ©cĂ©dĂ© ? Wow, il Ă©tait vraiment beau ! Je ne savais pas combien de temps s'Ă©tait Ă©coulĂ© lorsque mon estomac a commencĂ© Ă  se rebeller. AprĂšs un coup d'Ɠil au cercueil, j'ai avalĂ© ma salive puis j'ai suppliĂ© en croisant les doigts. « M. Carroll, je meurs de faim ! Puis-je manger vos pĂątisseries ? Cela ne vous dĂ©range pas, n'est-ce pas ? "Je fais." « Ah ! » EffrayĂ©, j'ai eu des sueurs froides. Mes jambes sont devenues molles et je suis tombĂ© au sol. J'ai criĂ© "FantĂŽme !" Carroll retroussa les lĂšvres, se pencha et toucha le cercueil noir. "M. Carroll est ressuscitĂ© des morts. Que pensez-vous de ce titre demain?"

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