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Folle de lui
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TITRE : FOLLE DE LUI GENRE : ROMANTIQUE BONNE LECTURE A VOUS _____intrigue________ . L'amour existe entre deux mĂȘmes sexes et deux sexes opposĂ©s, mais pourquoi pas entre un prof et une Ă©leve ? Je m'appelle Sophie Brois j'ai 16 ans et je vais vous raconter mon histoire. Clique sur commencez Ă  lire pour avoir l'Ă©pisode un.

Chapitre 1 Chapitre 1

TITRE : FOLLE DE LUI

GENRE : ROMANTIQUE

PARTIE 01

.

Vendredi 31 août , 15 heures

'Hey dad, look at me, think back and talk to me, did I grow up according to plan ? ... ♫'

La chanson Perfect de Simple Plan rĂ©sonnait dans le « cochon » (vous voyez c'est le haut parleur qui joue de la musique) tandis que moi, sirotant de l'ice-tea, affalĂ©e sur le transat, j'essayais tant bien que mal de bronzer sous le soleil prĂšs de la piscine. J'observais le reflet du soleil sur la piscine, tandis que Laura ma meilleure amie se trouvait un peu plus loin au tĂ©lĂ©phone avec Julien son petit ami. Ils sont mignons ceux-lĂ , si vous les voyez ! ComparĂ© Ă  Jordan et moi, ça fait deux ans qu'on est ensemble, je l'aime, mais je commence Ă  m'en lasser, lui aussi j'en ai l'impression. On est en fin aoĂ»t, j'ai peut-ĂȘtre eu 16 ans en fĂ©vrier mais je crois en l'Ăąme sƓur, mais mon Ăąme sƓur j'en suis sĂ»re, n'est pas Jordan. Laura venait de raccrocher, plongea dans sa piscine et fit quelques brasses pour venir s'asseoir sur le rebord en face de moi. Elle avait le sourire jusqu'au oreilles, laissant apparaĂźtre ses jolies fossettes. Les yeux pleins d'Ă©toiles, elle m'annonça d'une voix enthousiaste.

« Devine quoi ? Ce soir pour moi c'est un tĂȘte-Ă -tĂȘte dans un restaurant de luxe avec Julien ! Je suis trop contente Sophie, je l'aime tu ne peux pas savoir Ă  quel point !

« Je suis contente pour toi ma chérie ! » répondis-je en sirotant encore un peu d'ice-tea, « Tu vas mettre quoi pour ce soir ? »

« Je pense mettre ma robe rouge. Ça ne te dĂ©range pas si je te laisse seule Ă  la maison ce soir ? »

Elle me regarda avec ses grands yeux vert-pomme, Laura était blonde, bénéficiant de longs cheveux ondulés. Elle est petite de taille et a des formes là ou il faut. Elle est vraiment belle ma meilleure amie.

« Non ne t'inquiÚtes pas ! » dis-je.

« Et Jordan ? Vous n'aviez rien prévu pour ce soir ? » me questionna-t-elle.

« Ça fait trois semaines que j'ai aucune nouvelle de lui. Mais bon je ne vais pas te cacher que ça m'est complĂštement Ă©gal, je pense rompre Ă  la rentrĂ©e. »

*vrr vrr* C'Ă©tait Jordan !

'15h26, Jordan mon amour

C'est fini entre nous Sophie. On s'expliquera à la rentrée si tu veux mais pour moi il n'y a plus rien. Tu ne trouve pas que notre relation était plate ces derniers temps ?'

Laura me demanda avec hùte ce qu'il a dit, je me contentais juste de lui passer mon téléphone et elle se mit à lire ce fameux sms. Elle finit de le lire et sans me quitter des yeux elle me demanda.

« Tu es sûre que ça va Sophie ?

« Oui ne t'inquiÚte pas, je n'ai presque plus de sentiments pour lui, mais je ne vais pas te cacher que ce message m'a blessée mais on n'était pas fait l'un pour l'autre tu vois ? »

« Ouais je te comprends, tiens je vais annuler mon tĂȘte-Ă -tĂȘte avec Julien et on va passer la soirĂ©e ensemble, qu'est-ce que t'en dis ? »

« D'accord si tu veux... Je suis fatiguée je vais me reposer un peu sur le transat. »

« Bonne sieste Soso ! »

« Ne m'appelle surtout pas comme ça ! »

« Je t'appelle comme je veux ahahahah ! »

« Ah tu es enfin réveillée ! Ce soir je suis toute à toi, regarde ce que je t'ai préparé ! »

Sur la table basse de son salon se trouvait des pizzas encore chaudes, des chips, des bonbons, des barres de snickers, de la vodka et une compilation de tous mes films préférés. Tout ce que j'aime quoi. Laura ? Je t'aime.

On a passé la soirée à s'empiffrer, à jouer « Au grand jamais », à regarder des films, à rigoler, papoter... C'est fou comme elle me remonte le moral !

Mardi 4 septembre

7 heures du matin

Mon réveil sonne, dans une heure c'est la rentrée, j'y crois pas. Je l'éteignis rapidement pour me rendormir encore dix minutes, j'adore faire ça ! Dix minutes passées, je me lÚve pour me préparer comme tout les matins avant les cours, je mets un t-shirt blanc simple, un jeans rouge bordeaux et des vans noires. Je vais dans la cuisine prendre mon petit-déjeuner. Mon petit-déjeuner avalé j'ouvre la porte d'entrée, Laura m'attendait. Je lui claque la bise et on se dirige vers le lycée.

ArrivĂ©e au lycĂ©e, j'ai retrouvĂ© ma bande, composĂ©e de Laura, Imane (une marocaine drĂŽle, un peu folle parfois mais je l'adore), Fatouma (elle vient du Djibouti, elle me donne parfois de trĂšs bon conseils), Quentin (il est vraiment beau gosse et a auparavant eu des sentiments pour moi, j'espĂšre qu'ils ont disparu car je le vois comme un ami et pas plus) et Julien le petit ami de Laura. Je les adore ! On est tous allĂ©s voir si on serait dans la mĂȘme classe. Laura et moi Ă©tions dans la mĂȘme classe, avec Julien et Imane. Mais Fatouma et Quentin Ă©taient dans une autre, c'est dommage.

Donc ce matin en gros on a rencontré la plupart des profs, comme le prof d'histoire qui a l'air sympathique, la prof d'espagnol, la prof de philo qui a l'air classe et agréable et le prof de sport.

« Vous l'aimez bien vous la prof d'espagnol ? Personnellement non, elle a l'air chiante. » soupirai-je, en entamant mon yaourt nature. Nous étions actuellement à notre self.

« Bof, bof. » renchérit Laura, en croquant dans une pomme bien verte.

« Je partage ton avis Sophie. » certifia Julien.

« Tu me connais bien Sophie, j'ai toujours une tĂȘte de dĂ©primĂ©e en espagnol, alors avec cette prof... N'imagine pas ! » grommela Imane.

« Je vois je vois Imane ! » affirmai-je, un sourire en coin.

« Je pense que je suis la seule à l'aimer ! » avoua Fatouma.

« Hmm ouais je crois bien ouais ! Ahahah. » dit Julien en donnant un coup de coude à Fatouma. « Sinon à ce qui parait on aura un nouveau prof d'anglais. » ajouta-t-il.

« Oui on l'aura aussi. Il s'est présenté ce matin il s'appelle Romain Stevenson. » dit Quentin, il avait la bouche pleine, comme toujours.

« Il est beau ? » demanda Laura, je sentai de l'enthousiasme dans sa voix.

« Tant mieux on n'aura plus cette vache de Mme Fitch, elle me saoulait ! » protesta Imane.

« Ouais il est beau, pendant son heure de cours toutes les filles n'avaient que d'yeux pour lui, sauf moi bien entendu. » informa Fatouma, d'un ton lassé.

Un peu plus tard sonna la fin de la pause déjeuner.

On entra dans la salle de classe, je me suis mise au premier rang ma place prĂ©fĂ©rĂ©e. Non je rigole, mĂȘme si ce n'est pas drĂŽle. Je me suis assise vers le fond Ă  cotĂ© de Laura ma meilleure amie que j'aime tant ! Le prof attendait que tout le monde soit assis pour se prĂ©senter. Ce fameux Romain Stevenson Ă©tait vraiment beau gosse. Il Ă©tat jeune, avait tout pour plaire. Il avait les cheveux noirs trĂšs foncĂ©s en bataille, des yeux bleus transperçants et profonds. Il portait un jeans noir, une chemise bleue un peu dĂ©boutonnĂ©e. Il avait mĂȘme des airs de JĂ©rĂ©my Kapone, franchement je ne vais pas vous mentir il correspondait Ă  tous mes critĂšres ! Mais il faut revenir Ă  la rĂ©alitĂ©, il est mon professeur et je ne suis qu'une simple lycĂ©enne.

« Ça va tu as fini de le mĂąter un peu ? Dalleuse va ! Toutes les filles de cette classe s'y mettent, mĂȘme toi la vache ! » me souffla Laura. « Il est beau mais il ne faut pas en faire des tonnes ! » continua-t-elle.

« Mais qu'est ce que tu racontes ?! » murmurai-je.

« Fais pas genre, je te connais par CƒUR. Bref si tu veux vraiment en savoir un peu plus sur lui chut car il va se prĂ©senter. » me conseilla Laura.

Quand le silence se fit dans la classe (pas trop tÎt) le prof se lança.

« Bon. Je m'appelle Romain Stevenson et je serais votre professeur d'anglais pendant toute l'annĂ©e –« annonça-t-il.

« Vous ĂȘtes cĂ©lib' m'sieur ? » s'exclama Imane, en le coupant.

« Oui. » avoua-t-il. « Mais ça ne te regarde pas. »

Toute la classe fit un « OUUUUUUUUUUUUUUUH ça fait mal, tu as pris cher Imane ! » général. Moi j'étais morte de rire, ce prof m'amusait !

« SILENCE. » exiga le professeur. « L'annĂ©e derniĂšre, je vivais Ă  Toulouse et je viens d'emmĂ©nager ici Ă  Paris. C'est ma premiĂšre annĂ©e en tant que professeur et j'espĂšre que tout va bien se passer. Vous ĂȘtes les 1Ăšre ES A car il y aussi les B c'est bien ça ? »

« Oui m'sieur ! »

« Bon je vais parler anglais. » informa-t-il. « So I would like to test your skills in English so today you will have to write an essay of 250 words on these two questions 'What is your biggest dream ? And your worst nightmare ?' «

Là la classe rigolait moins ça se voyait. Je suis bilingue, dieu merci !

« Il a dit quoi ? » murmura Laura, la pauvre elle était un peu perdue, le premier jour !

« Il veut tester nos connaissances en anglais, donc aujourd'hui enfin tout de suite quoi, il faudra faire une expression Ă©crite de 250 mots en racontant notre plus grand rĂȘve et notre plus grand cauchemar. »

« Ah d'accord merci ! » me remercia-t-elle. Elle sortit docilement une feuille de son sac.

« Commencez maintenant vous aviez jusqu'à la fin de l'heure. » informa le prof, les mains posées tranquillement sur sa table.

Tout le monde sortait des feuilles y compris moi. Bon il ne faut pas perdre de temps, je ne sais pas pourquoi mais je voulais Ă  tout prix l'impressionner. Ok Sophie quel est ton plus grand rĂȘve ? RĂ©flĂ©chit un peu... Le saut en parachute ? Non mais qu'est ce que je raconte ? J'ai le vertige mĂȘme Ă  4 mĂštres d'altitude ! RĂ©flĂ©chis, rĂ©flĂ©chis et surtout NO STRESS. Ok bon je vais Ă©crire que mon plus grand rĂȘve est de cartonner dans la chanson, j'adore chanter depuis toute petite... Bref je vais dĂ©tailler tout ça. Passons Ă  mon plus grand cauchemar... Ok lĂ  ça devient plus perso. Quand j'avais douze ans j'ai Ă©tĂ© anorexique, et juste le fait d'y retomber me fait peur. J'ai dĂ©taillĂ© ça dans ma copie. Je n'en parlerai pas lĂ  c'est dĂ©jĂ  assez douloureux comme ça. Fini ! Mais il veut que ça fasse 250 mots, il veut qu'on compte les mots ou quoi ? Bref ça allait presque sonner et le prof commença Ă  ramasser les diffĂ©rentes copies.

Le soir dans mon lit, je n'arrĂȘtais pas de penser Ă  cette expression Ă©crite, il avait intĂ©rĂȘt Ă  les avoir corrigĂ©es. Sa bouille me tarde, son sourire me tarde, ma note me tarde.

Mercredi 5 septembre

Il n'a toujours pas rendu nos expressions écrites, NO STRESS Sophie. J'ai vu Jordan embrasser Julie dans la cour, connard. C'est un connard. Il veut jouer ? Alors la partie vient juste de commencer. Enfin je dis ça mais ce n'est pas comme si j'avais les « armes » nécessaire pour jouer là.

Mon rĂ©veil sonna. « Oh non ! » grommelai-je. Rien que le fait d'aller en cours me dĂ©rangeait. Mais bon aujourd'hui on a anglais en premiĂšre heure et rien que ça me donnait envie d'y aller ! Je me levai de mon lit pour prendre une douche. Ma chambre Ă©tait grande, un peu en bordel. Les murs de ma chambre Ă©taient rouges, remplis de posters, de photos souvenirs. Sur mon bureau se trouvait quelques cahiers, une trousse, et d'autres affaires, sans oublier mon ordinateur que j'aime tant. Aujourd'hui je me suis faite belle, j'ai lissĂ© mes cheveux blonds qui sont d'habitude bouclĂ©s, j'ai pris du mascara Ă  ma mĂšre car je n'ai pas de maquillage. J'ai mis deux ou trois gouttes de mon parfum, Lolita Lempicka j'adore ! J'enfilais mon jeans destroy prĂ©fĂ©rĂ©, un tee-shirt avec une tĂȘte de mort en strass et des converses... noires.

Je me depĂȘchais de prendre mon petit dĂ©jeuner et j'ouvris la porte d'entrĂ©e. Laura, comme tous les matins m'attendait, mais elle avait l'air triste.

« Oh qu'est-ce que tu as ma chérie ? » m'inquiétai-je. AprÚs 20 secondes de silence, elle ne me répondait toujours pas.

« C'est Julien ? Si oui je –« . Elle m'interrompa en gloussant. Je ne comprenais rien Ă  rien.

« AHAHAHAHAH ! Tu m'as bien cru hein ! » Oh mon dieu pourquoi ai-je une meilleure amie aussi folle ?

« Bouffone va ! » m'énervai-je d'un air faussement énervé.

« Sinon tu es trop belle aujourd'hui sĂ©rieux ! C'est pour qui ? » me questionna-t-elle. Elle me tapait du coude en rigolant. En pensant au prof je sentais mes joues en feu, Laura par contre n'hĂ©sitait pas Ă  m'envoyer des clins d'Ɠil sans arrĂȘter de rigoler. En parlant du prof, j'espĂšre qu'il a corrigĂ© ces expressions Ă©crites !

« Rien il faut se dĂ©pĂȘcher, on sera en retard sinon ! » pour Ă©viter cette conversation, je mis mes Ă©couteurs et on se dirigea vers le lycĂ©e.

J'Ă©tais dans sa voiture, les cheveux mouillĂ©s, ils ont commencĂ© Ă  friser, je dĂ©teste ça ! Mes habits et mes converses Ă©taient trempĂ©es elles aussi. J'avais froid et je me contentais de regarder les gouttes se courser sur la fenĂȘtre. Je voyais quelques Ă©clairs au fond, ce n'Ă©tait pas qu'une petite pluie en fait ! J'avais froid, je grelottai, il l'a remarquĂ© et m'a donnĂ©e sa veste. Il me regardait de temps en temps en me souriant, son sourire Ă©tait rassurant et me rĂ©chauffait le cƓur. Je lui rendait des sourires timides. Je jouais avec mes mains, comme quand je suis stressĂ©e.

Vous ĂȘtes en train de vous demander oĂč est-ce que je peux bien ĂȘtre ? Je vous explique tout de suite !

Il les a corrigĂ©es et maintenant, il va nous rendre nos copies, je stressais Ă  mort, mes mains Ă©taient moites. Moi qui suis bonne en anglais, je ne devais pas stresser, mais SI je stressais quand mĂȘme ! Monsieur Stevenson s'approcha vers moi, un sourire en coin pour me rendre ma copie.

« Sophie Brois, la meilleure note de la classe, je te fĂ©licite ! 19,5/20, c'est trĂšs bien. Tu viendras me voir Ă  la fin de l'heure, s'il te plaĂźt. » il n'arrĂȘtait pas de me sourire, et moi je sentais mes joues en feu. Maintenant tout le monde me regardait, je dĂ©testais ĂȘtre le centre de l'attention, et c'est ce qui arrivait. Julie, l'allumeuse de la classe, ou celle qui s'est tapĂ© plus de 5 mecs l'annĂ©e derniĂšre me lançait un regard noir. Apparemment elle avait des vues sur monsieur Stevenson, et ça ne lui a pas trop plu que j'aie la meilleure note. Julie Ă©tait brune, aux yeux marrons, bien foutue. Quand je pense qu'avant on Ă©tait amies... Son regard noir me rappelait quelque chose. Une pĂ©riode vraiment difficile pour moi.

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PARTIE 1 â€Ș20 DĂ©cembre 15h45,‬ -Cliente : Dommage y'a pas ma taille. -Moi : Je peux vous la commander, elle sera disponible la semaine prochaine. -C : Mouais. Autant acheter sur internet alors, ça revient au mĂȘme. Je soupire. -C : Bon, commandez alors. Taille 38. -Moi : Ok. Je vais Ă  la caisse pour passer la commande sur mon ordi, et dis au revoir Ă  ma derniĂšre cliente.. -.. : Dua ! -Moi : Efendim Iknur abla* ? (Oui Iknur?) *Abla= signe de politesse qui signifie grande-soeur. Qu'elle soit ta sƓur ou pas, si la personne est plus que toi, on dit « abla » par respect. -I : Je dois rentrer plus tĂŽt que prĂ©vu, j'dois chercher mon fils â€ȘĂ  16h‬ et l'emmener aprĂšs chez son dentiste. Tu peux fermer la boutique stp ? -Moi : Euh.. -I : Je sais c'est la premiĂšre fois que j'te le demande, mais lĂ  j'ai vraiment pas le choix. Babangile ben haber ederim istersen. (Je prĂ©viens tes parents si tu veux.) -Moi : Yok tamam, ben ararim onlari. (Non c'est bon, je peux les appeler.) -I : Tamam ozaman, Allah razi olsun ! (Ok alors, que Dieu te bĂ©nisse!) Je lui souris et elle se prĂ©pare pour sortir. J'arrive jamais refuser quelqu'un, c'est mon plus grand dĂ©faut. Pour info, Iknur abla c'est ma chef, elle est responsable de la boutique. On est obligĂ© de fermer le magasin â€ȘĂ  19h‬, parce que â€Șvers 18h30‬ le livreur ramĂšne nos commandes chaque jour. Je suis un peu nerveuse, d'habitude je termine â€ȘĂ  16h‬ mais lĂ  je dois carrĂ©ment fermer la boutique, soit â€ȘĂ  19h‬. C'est pas que c'est tard, mais en hiver Ă  cette heure-ci il fait nuit et moi je crains toujours la nuit. J'aime pas ĂȘtre dans les rues en fait, j'suis pas bien au fond de moi. Sans attendre, j'prends mon portable pour appeler ma mĂšre. -M : Kizim ? (Ma fille?) -Moi : Anne, n'apiyorsunuz ? (Maman, vous faĂźtes quoi?) -M : Rien, j'pense au menu de ce soir avec ta grand-mĂšre. Et toi, t'es sortie ? -Moi : Non. Maman, Ilknur abla a dĂ» sortir plus tĂŽt et c'est moi qui doit fermer la boutique. Jt'ai appelĂ© pour te prĂ©venir que je vais rentrer un peu tard ce soir. -M : Hmm, neyse tek bir gĂŒn için. Eve gelirken dikkat et tamam mi ? (Hmm, c'est juste pour un jour. Fais attention quand tu rentres, ok?) -Moi : Tamam, merak etme sen. ÖptĂŒm ! (Dac, tkt pas. Bisous!) Je raccroche et range un peu la boutique. Mon pĂšre et mon frĂšre travaillent, sinon ils pouvaient venir m'accompagner vu que je n'aime pas ĂȘtre seule dans les rues le soir, mais c'est pas la peine. C'est pas comme si il va m'arriver quelque chose.. AprĂšs le passage de deux clientes, je remarque que j'ai reçu un message de Kadir, mon fiancĂ©. « Bien ta journĂ©e ? » Je lui rĂ©ponds aussitĂŽt. -Moi : Oui ça va, comme tous les jours hein. Sauf que je vais sortir Ă  19h aujourd'hui. Et toi ? -K : Ça va, c'est pas trop tard. Prends le bus tranquille. Moi ça va, j'viens de rentrer. -Moi : Cool alors. -K : Ouais, bref vas-y j'vais manger et jouer Ă  la play aprĂšs. On se capte plus tard. J'rĂ©ponds pas. Que rĂ©pondre Ă  un mec non attentionnĂ© ? Vous allez dire « comment ça se fait que t'es fiancĂ©e alors ? ». Bah c'est simple, sa mĂšre m'avait vu Ă  un mariage et elle a contactĂ© ma mĂšre. Mes parents ne voulaient pas, mais en voyant le mec j'ai voulu. C'est la XĂšme famille qui demande ma main, mais c’est la premiĂšre fois que j'ai voulu essayer. Du coup on a commencĂ© Ă  se parler, Ă  se connaĂźtre.. et on s'entendait bien. Puis on a dĂ©cidĂ© de se fiancer il y a un mois. Mais depuis quelques temps, j'ai l'impression qu'il se lĂąche un peu. -Moi : Bref, c'est pas le moment de penser Ă  n'importe quoi. Le temps passe et l'heure de la fermeture arrive enfin. Je prends le bus, descends Ă  mon arrĂȘt et commence Ă  marcher. Malheureusement le plus proche arrĂȘt est Ă  20 minutes Ă  pied de chez moi, c'est vraiment pas pratique de marcher dans le froid dans un coin perdu. Oui parce que j'habite un peu loin de la ville de Grenoble. Je marche dans la rue tranquille, jusqu'Ă  que j'aperçois trois hommes assis sur les escaliers. Je baisse direct ma tĂȘte, et accĂ©lĂšre mes pas en lisant Ayet-el KĂŒrsi (sourate Ayat Al Kursi) dans ma tĂȘte. -H1 : Mais qui voilĂ  ? Mdrrr -H2 : Une voilĂ©e mdrrr. Je fais pas attention Ă  ces alcooliques, et continue mon chemin. -H1 : Attends miss, on va pas te manger ! -H2 : Pourquoi tu mens ? Mdrr -H3 : Laissez-la tranquille, c'est pas une meuf pour nous. -H1 : Parce qu'elle a le voile ? Et alors ? Une femme reste une femme. Je commence limite Ă  courir mais ils bloquent mon chemin. -H1 : T'es pressĂ©e ? Ça tombe bien, nous aussi. -H2 : Elle a de beaux yeux en plus. -Moi : Laissez-moi tranquille ! J'voulais m'Ă©loigner d'eux, mais l'homme1 me tient par le bras. -Moi : LĂąche-moi ! -H1 : Allez, on va juste s'amuser un peu. -Moi : Mais allez vous faire f.. Je reçois une gifle, et l'homme2 me tient aussi en fermant ma bouche. J'essaye de me dĂ©battre, de leur donner des coups, mais j'arrive pas. -H3 : Vous ĂȘtes fous ! Ça sera sans moi cette fois-ci

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La fille du diable

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Prologue ______=_=_____ Je n'ai jamais aimer les humains, mon pĂšre le diable me faisais toujours comprendre que ce sont des ĂȘtres trĂšs faible et qui se foutent des autres. J'Ă©tais contente de savoir qu'il le sont car j'ai toujours Ă©tĂ© jalouse de ces gens qui vivent dans la lumiĂšre et nous dans l'obscuritĂ©. OuĂŻ nĂŽtre monde est trĂšs sombre et Ă  du feu dans tout le royaume. Le diable Ă  son royaume oĂč j'ai grandis d'ailleurs et je suis sa fille. J'ai dĂ©cidĂ©e de venir moi mĂȘme dans le monde des humains leurs faire vivre l'enfer juste parce que je suis jalouse de vous. Mon pĂšre avait raison les hommes sont trĂšs faibles physiquement. J'ai longtemps adorer tuĂ© les hommes. Je me suis nourrir de leurs sang jusqu'Ă  la derniĂšre goĂ»te. Leurs corps si fragile quand je pĂ©nĂštre mes doigts Ă  intĂ©rieur pour manger tout ce qui s'y trouve Ă  comme un animal fĂ©roce. Ne me demande pas quel est mon problĂšme car je ne saurais te dire. C'est peut Etre parce que vous ĂȘtes Dieu vous aime et nous mĂ©prise. Je l'avoue ça me fais mal au plus profond de mon ĂȘtre. OuĂŻ j'ai mal. Je suis comme ça. Je sais seulement tuĂ© , le diable m'a appris Ă  agir de cette façon qui est de faire le mal au homme comme par exemple me nourrir de la chair depuis toute petite... il m'a toujours fait comprendre que l'amour c'est pour les faibles. Appel moi zena la fille de satan Venez suivre mon histoire #la_fille_du_diable ____^_=___^__=____

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