L'INCESTE n'est t-il pas ce genre de relation prohibée , qu'entretiennent les membres d'une même famille ? Cette chronique nous relate l'histoire de AMINA, une jeune orpheline qui par le plus grand des hasards se retrouve piégée dans une relation incestieuse. Sous le feu des projecteurs, l'héroïne de notre histoire se découvrira une facette de sa personnalité qu'elle ignorait jusqu'à alors. Fascinée par l'illusion qu'offre la vie citadine et le train de vie d'une Pro du podium, Amina sombre dans l'excès. La débauche et La luxure ont certes un prix, s'en sortira t-elle face à ce malheureux incident occasionné par la perfidie des uns, et son orgueil à elle ? Laissez vous bercer par la lecture..
📍AMINA 📍 Le Mois de juillet battait son plein avec son lot de pluies diluviennes. Clouant animaux de compagnie et hommes dans les cases. C'était par ces temps que je ne jurais que par ma couverture. Dans ce coin perdu qui nous servait de village, la vie y était très chère. Seuls les propriétaires de terres et de bétail s'en sortait dignement. Nous autres prolétaires étions condamnés à travailler pour les autres afin d'avoir de quoi nous nourrir. Et comme si ce n'était pas suffisant, il me fallait supporter la hargne de mes oncles maternelle qui ne me ménageaient pas du tout.
Je suis le dernier rejeton d'une famille de forcenés, qui trouvent du plaisir à me maltraiter. Toute petite déjà ,je devais me faire à moi seule tous les travaux ménagers sans compter les injures et les baffes que je me prenais par ci par là. Mais qu'à cela ne tienne, je prenais tout sur moi et j'avançais avec le sourire. Je ne comprenais pas pourquoi les gens de ma propre famille me méprisaient et me regardaient de haut. Même le plus petit des animaux de la basse cour avait plus de valeur que moi. Je n'étais bonne qu'à faire des corvées. Les prouesses pour porter un seau d'eau sur la tête et un canari de côté, n'avait plus de secret pour moi. Les seuls moments de répit que j'avais, c'était pendant mes balades en forêt pour ramasser du bois mort. Dans cette famille de dingues, je n'avais pour seule alliée que ma grand-mère. Elle avait pris soin de moi dès ma naissance. Ma mère que son âme repose en paix est morte en couche. Laissant un nourrisson derrière elle. À partir du jour où j'eus mes 4ans mon calvaire commença. Ma mamie se faisant très âgée ne pouvait lutter contre les fils de ses co-épouses pour me protéger . Elle était la témoin impuissante de mes malheurs. Dans ce foyer polygame, hadja Nafissatou n'avait eu pour enfant que ma défunte mère. Et comme il est connu ; En Afrique une femme qui ne mets pas au monde un garçon , n'a pas droit à l'héritage, ma grand mère se trouvait donc dans une position inconfortable. Après le décès de son époux, elle faisait l'objet de railleries de la part de ses co-épouses et de sa Belle famille.Notre quiétude était donc menacée à tout moment. Mais il fallait supporter. Dans cette famille on survivait plus qu'on ne vivait. Et comme je le disais tantôt, j'ignorais jusqu'à alors la raison de ces agissements à mon égard. Il n'a fallu que d'un incident de plus pour que ma vie soit bouleversée à jamais.. c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Je ne pouvais plus écouter d'avantage les paroles blessantes de mon oncle Yaya. Mais comme je le disais Avec ces pluies qui ne s'estompent pas, il n'y avait aucun moyen pour moi de m'évader de cet enfer. Je venais tout juste d'avoir huit ans , et on peut dire que je poussais très vite. Je ne faisais vraiment pas mon âge. J'étais d'une insouciance qui irritait. On avait beau crier sur moi , je restais indifférente et prête à répondre de l'affront par un sourire. J'étais loin d'imaginer que mon innocence pouvait susciter une quelconque excitation. Le sourire d'une enfant n'est t-il pas sensé apporter la joie, La gaieté dans le cœur d'un parent ? Je ne cesserais cependant jamais de me demander ce qui attirait mon oncle Yaya vers moi. À ma vue il devenait bizarre, se mordillant la lèvre. Un jour alors que tout était calme, une nuit sans étoiles. J'étais allongée dans le petit lit en bambou de ma grand mère. Elle était en déplacement pour chercher un remède dans sa famille dans une contrée voisine. Ne voulant pas me faire rater l'école que j'avais intégré y'a peu de temps, et dont je montrais un intérêt prononcé, elle partît donc en me laissant aux bons soins de notre voisine hadja Djelika. [...] J'étais donc allongée là à moitié assoupie , quand je distinguai une ombre au dessus de moi. Au départ je n'y prêtais pas attention jusqu'à ce que cette ombre se matérialisa. Je pus apercevoir un homme arrêté tout près de moi se tenant son membre déjà viril dans les mains. Le caressant dans le sens de sa longueur. Ce spectacle m'étais insupportable d'autant plus que cet homme n'était autre que mon oncle. Le demi frère à ma mère. J'étais apeurée, je tremblais de tout mon corps. Je fermais les yeux très fort pour ne pas avoir à le voir, mais dans ma tête ces images défilaient sans cesse. Après quelques minutes j'entendis un râle sauvage qui s'échappait de sa gorge, j'ouvris un œil et je le vis s'éloigner comme il était venu. Je restais là dans cette chambre plongée dans la pénombre. La lampe pétrole a dû s'éteindre d'elle même à cause du courant d'air qui s'infiltrait à travers la porte entrebâillée. Sans m'en rendre compte je me mis à renifler bruillament . Sentant une montée de larmes que je ne pus retenir. {..} Le jour se lève sur notre village, je suis réveillée comme d'habitude par le bruit des oiseaux qui chantent . Mon corps est tout endolori par une nuit agitée. Des cauchemars venaient troubler la tranquillité de mon sommeil, et d'ailleurs ce n'est que tard dans la nuit que j'ai enfin pu dormir. J'appréhendais encore sa venue mais heureusement rien n'y fit. Comme à l'accoutumée je fis mes travaux ménagers et préparai le petit déjeuner. Qui consistait au reste du lafidi de la veille que j'ai mis à réchauffer au feu. Après, j'appelais tout le monde pour manger en groupe. Bien que ce soit moi qui fasse tout dans cette maison, je n'avais guère le droit de manger dans le même bol qu'eux. Je devrais attendre qu'ils se soient servis avant de me contenter du reste. Et si par malheur ce n'était pas suffisant, j'étais condamnée à passer la matinée le ventre creux. Une semaine déjà que ma grand-mère est partie . Je devais affronter toute seule cette situation plus qu'embarrassante. Désormais chaque soir mon oncle s'introduisait dans la chambre et faisait son rituel habituel. Cependant aujourd'hui il en voulait un peu plus d'avantage. Au lieu de se caresser et ressortir il se rapprocha de moi et s'installa dans le lit. Il se mit à me toucher tout en astiquant son membre. Il défit mon pagne et laissa glisser ses doigts le long de mes jambes. Il marqua une pause avant de se lancer dans un monologue d'un air dubitatif.. ONCLE YAYA Humm pourquoi il a fallu que MARIAM lui préfère lui plutôt que moi. Ta mère savait que j'avais du béguin pour elle, mais elle me fuyait comme la peste. Je ne demandais qu'à l'aimer, la chérir. Mais elle ne voyait en moi qu'un frère. Au diable cette fraternité ! Serions-nous les premiers à avoir ce genre de relation ? Mais non! Bien que ce soit un sujet tabou pour la plupart, un non dit pour certains. Cette pratique existe Belle et bien dans de nombreuses familles. D'ailleurs qui irait le crier sur tous les toits? Ahhh cette satanée MARIAM!! Maintenant c'est à toi de payer pour les erreurs de ta mère AMINA. En plus tu lui ressembles trait pour trait, pour mon plus grand plaisir. Je n'aurai qu'à imaginer que c'est MARIAM que j'ai dans mes bras, et tout ira pour le mieux. Je n'ai pas à te prévenir que si tu en parles à quelqu'un je te tues. Tu m'a bien compris ? - (sanglots) ... - Voilà c'est bien comme ça.. tout doux . Je vais ôter ton slip d'accord ? AMINA Sans crier gare il m'enleva mon dessous et avança son doigt. J'étais terrifiée, non je ne veux pas avoir à subir cela. La vie est trop injuste. N'est t-il pas mon oncle ? Es ce normal de payer pour une faute commise par nos parents ? Je ne crois pas. D'ailleurs que reproche t-il à ma mère.. d'avoir préférée l'amour à l'inceste ? Personnellement j'aurai fait pareil, mais là je ne suis qu'une proie offerte à son bourreau et il n'y a pas âme qui vive pour me sortir de ce pétrin. Sans me retenir je criai de toutes mes forces. Mais les voisins habitués à entendre mes cris étouffés à cause de la bastonnade qui ne manquait de pleuvoir sur moi tous les jours, n'y prêtaient plus attention. Et par cette nuit noire qui se soucierait d'une pauvre orpheline ? Lui qui est censé me protéger va t-il vraiment abuser de moi?
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