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L'AMOUR DU PRÉSIDENT

L'AMOUR DU PRÉSIDENT

AmedHyn

4.9
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65
Chapitres

Dans la vie nous avions tous au temps que nous sommes des rêves et le mien c'était de devenir un homme politique encore plus loin un Chef d'État. Je ne fais rien par contrainte bien au contraire j'ai toujours adoré avoir une place au sein du gouvernement. Mes amis pensaient que mon esprit était probablement détourné ou mieux charmé par une belle demoiselle dehors. Ils ne comprenaient rien de mon changement brusque. Mais est ce que je pouvais imaginer un seul instant que ces personnes qui sont la cause de mon changement brusque n'étaient entre autre que ma soit disant mère et mon oncle ?

Chapitre 1 Chapitre 1

Très tôt le matin.

** Pierre Sonon **

Maman (criant): Pierre Pierre réveille toi.

Moi (fatigué) : Oh maman matin bonheur comme ça et tu commences par crier ?

Maman : Réveille toi vite je veux te parler.

Moi (en fronçant les sourcils) : Mais il y a quoi encore cette fois-ci maman.

Maman (ton sec) : Tu n'as pas honte de dormir jusqu'à 08 heure ?

Moi (agacé) : Je suis fatigué, laisses moi dormir un peu s'il te plaît.

Maman (froide): Leves toi j'ai quelque d'important à te dire ici et maintenant. Si tu continues, je vais renverser de l'eau chaude sur toi.

Quand j'ai entendu l'eau chaude, le sommeil a pris rapidement la fuite et je me suis réveillé en sursaut pour l'écouter. Ah oui je sais qu'elle est capable de me verser de l'eau chaude dessus.

Moi (en baîllant) : Maman je t'écoute alors.

Maman (glaciale): Founnnn c'est quelle odeur nauséabonde ça ? Ta bouche sent trop Pierre vas te brosser les dents.

Moi : Mais maman je viens....

Maman (me coupant) : Il n'y a pas de mais qui tienne. Vas faire ce que je te dis.

Je me suis levé difficilement du lit pour rejoindre les toilettes. Cette vieille me fatigue trop voyons. Je finis et je la rejoins dans la chambre.

Maman (sourire):

Moi : Quoi encore ?

Maman (amusée) : Est-ce que tu m'avais salué aujourd'hui ?

Moi : Bonjour maman.

Maman : Bien, je vais au marché et j'ai voulu t'informer avant de m'en aller.

Moi (écarquillant les yeux) : Hein c'est tout ?

Maman : Oui mon fils. À tout à l'heure.

Moi (énervé) : Mais maman tu délire trop là. J'en ai marre de tous ces mascarades. Assez je dis assez.

Elle ne me répond même pas et sort de la chambre en fermant la porte avec brutalité. Elle vient de gâcher mon sommeil comme ça. Mais pouf j'y peux rien. Si c'était un ami, bon Dieu je vais le bastonner. Aujourd'hui ma bien aimée Solange viendra me rendre visite. Une heure après, elle vient dans une robe sexy laissant voir ses rondeurs. Tchaï cette fille m'excite grave même. Solange a une taille moyen.

Toc toc toc.

Moi (faisant semblant) : C'est qui.

Solange : C'est moi Solange.

Moi : Entres la porte est ouverte.

Quand elle met pied à l'intérieur de la chambre, j'ouvre grandement ma bouche et je la regarde de la tête au pied. Mais putain je suis tout excité. J'étais à fond dans mes pensées quand elle me toucha l'épaule.

Solange : Héé oooo est-ce que tout va bien ?

Moi (avalant la salive) : Oui oui chérie t'inquiète tout va bien.

Solange : Hum je te parlais depuis là mais tu ne réagissais pas.

Moi (ouvrant la bouche) : Mais t'as vu un fantôme ou quoi ? Je...

Elle n'avait pas terminée sa phrase quand je saisi rapidement ses lèvres pulpeuses dans la bouche. Elle répond favorablement à mon baisé et on s'est embrassé pendant une dizaine de minutes. Je lèche bien son cou, ensuite ses seins et je descends langoureusement vers son kpêtou (vagin). Je lèche passionnément les lèvres de son minou et elle gémit à voix basse en mettant ses deux mains sur ma tête et en croissant ses pieds autour de ma hanche. Ma main gauche était sur l'un de ses seins tout en le malaxant tandis que ma main droite était entrain de titiller son clitoris avec des va et vient de mes doigts. Elle toute mouillée et au bout de quelques secondes, elle jouit abondamment dans ma bouche.

Solange (en gémissant): Ohh chéééééri je n'en peux plus, je veux maintenant sentir ton kiki en moi.

Moi (amusé) : Oh non je vais te torturer quelques minutes encore.

Solange (suppliant) : Oh pardon bb je te veux en moi. Je te veux en...

Elle n'avait pas terminé de parler quand j'introduis mon bangala dans sa foufoune avec douceur. Elle pousse un cri de ah chéri vas-y plus fort. Je commence mes va et vient tout en l'embrassa. J'accélère et nous jouissons tous les deux. On est resté collé l'un contre l'autre pendant environ 5 minutes. Elle se lève pour aller faire sa toilette intime. Ça ne fait même pas 10 minutes que l'envie de baiser me revient. J'ai voulu négocier un deuxième petit coup mais ça n'a pas marché.

Moi (voix basse): Chérie t'es où ?

Solange : Hahaha laisses moi tranquille hein. Je suis dans les toilettes non. C'est tout temps qu'on va le faire ? Je veux rentrer à la maison s'il te plaît.

Moi (petite voix): Reste un peu encore avec moi mon amour s'il te plaît.

Solange : Arrêtes la chéri.

Elle prit son petit sac et s'en alla malgré mes multiples négociations pour avoir accès au second coup. Je suis un homme assoiffé du sexe et quand elle vient chez moi, je n'aime plus qu'elle rentre à la maison. Eh oui bien nous sommes en copinage malgré nos âges. Je comptais finaliser toutes les choses pour nous deux avant la fin de cette année. Ma mère et mes sœurs sont contentes pour mes démarches car je suis le fils aîné de notre famille et je prend déjà de l'âge mais jusque là, je ne me suis pas encore marié et à chaque occasion ma mère me le rappelait. En parlant d'elle, là voilà venir vers moi pour me chanter le même refrain comme toujours.

Maman (joyeuse) : Hum.

Moi (étonné) : Hum quoi encore ?

Maman (amusée) : Tu sais bien de quoi je parle. N'essaie même pas de jouer avec moi Pierre.

Moi (criant) : Maman mais soit un peu plus clair noh.

Maman : Je l'ai vu tout à l'heure.

Moi : Qui ça ?

Maman : Celle qui vient de quitter ici.

Je reste là sans rien répondre. Mais comment elle a su que Solange était venue chez moi ? Ou bien ma mère me surveille maintenant ? Vraiment cette dame va me tuer quoi.

Moi (tête baissée): ...

Maman : Tu ne parles plus mon fils.

Bon ça déjà une année que tu fréquentes cette jeune fille. Je sais qu'elle n'est pas de notre village mais du village voisin parce que j'ai déjà menée toutes mes enquêtes sur elle et je pense que c'est une bonne femme avec qui tu peux fonder un bon foyer car à ton âge tu devrais avoir ta propre famille. Mon fils, je sais que je te met de la pression mais pense à moi aussi. Les enfants filles comme garçons de tous mes amis du village de sont déjà mariés mais les miens, toujours rien. Penses-y.

Moi (calme) : Ok j'ai compris maman. Je ferai de mon mieux.

Maman : Dis moi, comment s'appelle t'elle ?

Moi : C'est Solange Djissou son nom.

Maman : En plus c'est un joli prénom. Dit là que je veux la voir ici demain soir.

Moi : Ayiiiii c'est quoi ça encore maman.

Maman : Tais-toi là hein. Comme tu ne veux pas faire les choses comme il se doit, je les ferai à ta place. Ne t'inquiètes pas du tout je vais gérer ça à ma manière. Bon je te laisse car je dois encore repartir au marché maintenant. Passe une bonne journée.

Elle s'en va vaquer à ses occupations. Je reste debout à réfléchir pendant plusieurs minutes à propos de ce que ma mère vient de me dire concernant le mariage. Eh oui elle a bel et bien raison, je dois passer à autre chose et officialiser les choses avec Solange une bonne fois pour toute. Solange est une femme très belle et respectueuse qui me rend tellement fou d'amour. À mes 25 ans, j'étais en relation avec une fille de notre village du nom de Ingrid et au début c'était de l'amour fou, en fait c'est ce que je pensais en ce temps mais je me suis vraiment trompé. Ingrid vient d'une famille très respectueuse, au début on s'était mis d'accord que notre relation sera une relation amoureuse sérieuse et qui aboutira au mariage. Trois ans plus tard, Ingrid humilie toute ma famille et moi. C'était prévu que j'allais la doté et une semaine après, on fera le mariage civil après seulement les membres de nos familles et quelques amis. Des jours sont passés, on a fait la dote et tout le monde était content pour nous et nous félicitait. Au jour du mariage civil, tout se passait bien jusqu'au moment où tout a été un véritable scandale. Monsieur le Maire me demanda : et je réponds :. Tous le monde poussa des cris de joie dans la salle. Monsieur le Maire posa la même question à Ingrid et ma grande surprise, elle répondit. Monsieur le Maire reposa la même question mais elle a été ferme sur sa décision. Comment cela peut m'arriver ? Oh Dieu quelle honte. Je ne comprenais plus réellement ce qui se passait autour de moi en ce moment puisque j'ai senti les yeux s'affaiblient et je me suis évanoui.

Une semaine après quand j'ai ouvert les yeux dans une hôpital que ma mère m'informe que Ingrid s'est mariée avec un homme riche libanais. J'ai commencé à pleurer à chaudes larmes comme un bébé et cette déception m'a plongé dans l'alcool. Il n'y a pas ce jour là que je ne bois pas. Chaque jour, c'était l'alcool sur alcool j'étais depuis alcoolique au point même ou jusqu'à 100 mètres, les gens sentent déjà l'odeur des boissons sur moi. Vraiment ça été compliqué dans la vie et je voulais me pendre mais grâce à ma mère, j'ai pu tenir tête haute face à cette situation. Hum la déception amoureuse n'est pas camarade de quelqu'un hein surtout quand tu aimes une personne de tout ton cœur et toute son âme. Si un jour quelqu'un me disait que Ingrid allait me faire ça, j'allais me battre avec la personne et même la tuer. Je passais de kiosque à kiosque juste pour pouvoir l'oublier complètement et ça m'a fallu deux ans pour y arriver mais pas totalement. C'est à cause de ces choses là antérieures que je ne me suis pas impliqué dans ma nouvelle relation avec Solange. J'ai commencé à l'aimer à fond petit à petit. Bon je vais aller chez elle ce soir pour la dire que ma mère veut la rencontrer. Il est 19 heure, j'enfile une chemise et un pantalon direction chez Solange.

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Romance

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Prologue : Dans la pénombre de la vieille demeure Smith, le silence pesant semblait s'étendre, presque palpable. La grande table du dîner brillait encore des éclats des couverts en argent et des verres de cristal, témoins d'une soirée ponctuée de murmures et de regards en coin. Au centre de ce tableau familial, Edward Smith, patriarche et chef de la lignée, trônait en silence, le regard sombre fixé sur les visages de ses fils et petits-enfants. L'annonce de la visite inattendue de la famille Anthony avait laissé un goût amer dans l'air. Cette famille déchue, autrefois proche alliée, venait réclamer l'application d'un accord de mariage ancien, comme une dette oubliée, qu'Edward espérait ne jamais voir resurgir. En observant ses petites-filles, Stellah et Stacey, qui tentaient de défendre leur avenir, il ne pouvait s'empêcher de ressentir un mélange de frustration et de désarroi. Leur révolte était prévisible, légitime même, mais l'accord ancestral était inéluctable. C'est alors que la tension monta d'un cran, lorsque Richard, son fils cadet, désigna froidement Sandra, la plus jeune petite-fille, pour honorer ce mariage imposé. Sandra, la fille d'Andrew, celle que tous avaient dénigrée en silence, celle dont l'existence dans la famille n'était que tolérée. Son retour après dix-huit ans d'absence n'avait fait qu'amplifier le mépris à son égard, comme si elle représentait à elle seule les erreurs et les hontes de la lignée. Les regards se tournèrent vers Sandra. Cette dernière, d'un calme glacial, écouta les injures et le mépris qui fusaient de toute part. Les reproches, les mots cruels de ses grands-parents et oncles pleuvaient, tentant de la réduire à l'ombre qu'ils s'étaient évertués à voir en elle. Mais au milieu de cette tempête, elle se leva, silencieuse, et marcha lentement vers eux. Son visage impassible cachait une détermination que nul n'avait anticipée. - Je vais épouser Levy Anthony, déclara-t-elle d'une voix implacable, coupant court à toutes les protestations. L'effet fut immédiat : la pièce entière plongea dans un silence choqué. Et dans ce calme soudain, Sandra posa ses conditions, son regard défiant la famille entière. Elle avait accepté, oui, mais elle n'était pas sans armes. Les mots froids de Sandra firent frémir l'assemblée, rappelant à chacun l'ultimatum inscrit dans l'accord ancestral : si une des petites-filles refusait de s'unir aux Anthony, la fortune des Smith s'évanouirait dans des œuvres de charité, anéantissant la vie de privilèges à laquelle ils étaient accrochés. Ce soir-là, la maison des Smith fut témoin d'une scène qui changerait le cours de son héritage, où un simple accord allait sceller les destins et révéler l'inflexible volonté d'une jeune femme longtemps rejetée, mais qui allait, contre toute attente, renverser les règles de cette famille.

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