Adèle Dupont, professeure de littérature dévouée, a eu l' impression que le sol se dérobait sous ses pieds en recevant sa lettre : « Licenciement pour faute grave. » L' accusation était absurde, invraisemblable : corruption, favoritisme, vente de sujets de baccalauréat. Les mots dansaient devant ses yeux, porteurs d' une injustice cinglante. Le proviseur, lâche, détournait le regard, citant les "témoignages sérieux" des élèves Amélie Dubois et Marc Lebrun, appuyés par l' influente et redoutable Madame Dubois. Adèle comprenait la machination. Il ne s' agissait pas de corruption, mais d' un échec personnel dont on cherchait à lui faire porter le chapeau. Ses élèves, Amélie et Marc, avaient échoué sur les sujets qu' elle avait tant insistés, refusant d' écouter ses conseils. À peine rentrée chez elle, le téléphone d' Adèle a explosé. Une déferlante de haine sur les réseaux sociaux, orchestrée par Madame Dubois, la dépeignait comme une « professeure corrompue et incompétente », allant jusqu' à la traiter de « ratée frustrée » et d' « alcoolique ». Même sa collègue la plus proche, Claire, terrifiée par l' influence de Madame Dubois, refusait de la défendre publiquement. Le harcèlement s' est intensifié, atteignant son paroxysme lors d' une épreuve de rattrapage au lycée où Marc Lebrun l' a délibérément bousculée, lui fracturant le coude. Une vidéo, astucieusement montée, la faisait passer pour une déséquilibrée, attisant la cabale médiatique. La douleur était intense, mais l' humiliation l' était encore plus. Adèle était piégée, submergée par l' injustice. Pourquoi une telle haine ? Comment rétablir la vérité face à un mensonge aussi vorace ? Mais quand Madame Dubois a franchi une ligne rouge, brisant le nain de jardin sur son paillasson et menaçant de « ruiner sa carrière pour de bon », la peur d' Adèle s' est métamorphosée en une colère froide et déterminée. Elle n' allait plus reculer. C' était le début de son combat pour la vérité.
Adèle Dupont, professeure de littérature dévouée, a eu l' impression que le sol se dérobait sous ses pieds en recevant sa lettre : « Licenciement pour faute grave. »
L' accusation était absurde, invraisemblable : corruption, favoritisme, vente de sujets de baccalauréat. Les mots dansaient devant ses yeux, porteurs d' une injustice cinglante.
Le proviseur, lâche, détournait le regard, citant les "témoignages sérieux" des élèves Amélie Dubois et Marc Lebrun, appuyés par l' influente et redoutable Madame Dubois. Adèle comprenait la machination. Il ne s' agissait pas de corruption, mais d' un échec personnel dont on cherchait à lui faire porter le chapeau. Ses élèves, Amélie et Marc, avaient échoué sur les sujets qu' elle avait tant insistés, refusant d' écouter ses conseils.
À peine rentrée chez elle, le téléphone d' Adèle a explosé. Une déferlante de haine sur les réseaux sociaux, orchestrée par Madame Dubois, la dépeignait comme une « professeure corrompue et incompétente », allant jusqu' à la traiter de « ratée frustrée » et d' « alcoolique ». Même sa collègue la plus proche, Claire, terrifiée par l' influence de Madame Dubois, refusait de la défendre publiquement.
Le harcèlement s' est intensifié, atteignant son paroxysme lors d' une épreuve de rattrapage au lycée où Marc Lebrun l' a délibérément bousculée, lui fracturant le coude. Une vidéo, astucieusement montée, la faisait passer pour une déséquilibrée, attisant la cabale médiatique.
La douleur était intense, mais l' humiliation l' était encore plus. Adèle était piégée, submergée par l' injustice. Pourquoi une telle haine ? Comment rétablir la vérité face à un mensonge aussi vorace ?
Mais quand Madame Dubois a franchi une ligne rouge, brisant le nain de jardin sur son paillasson et menaçant de « ruiner sa carrière pour de bon », la peur d' Adèle s' est métamorphosée en une colère froide et déterminée. Elle n' allait plus reculer. C' était le début de son combat pour la vérité.
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