Les funérailles de mon père, agent secret mort en mission, baignaient dans un silence solennel à Paris, ma mère, Madame Dubois, digne dans son chagrin, serrant ma main glacée. Soudain, la porte claqua. Chloé Lambert, une influenceuse à la réputation sulfureuse, fit une entrée fracassante, vêtue d' une robe rouge provocante, son regard défiant l' assemblée. Elle s' arrêta devant ma mère et moi, posa théâtralement sa main sur son ventre à peine arrondi et déclara, sa voix résonnant tel un coup de poing : « Je suis venue dire adieu au père de mon enfant ! » Un murmure s' éleva, tandis que les téléphones filmaient déjà cette scène impensable. L' humiliation était totale, publique, une attaque directe contre l' honneur de notre famille. Elle voulait tout détruire, jusqu' à la mémoire de mon père. La suite fut pire. Chloé s' introduisit chez nous par une ordonnance de justice, exigeant champagne et macarons, traitant notre majordome avec mépris. Elle me montra la montre de mon père et une photo truquée, preuve d' une liaison inventée, tout en me lisant sur mon visage son assurance. Elle savait, elle connaissait notre secret : mon père était stérile, une blessure de guerre intime et inviolable. Elle jouait avec notre dignité, utilisant la presse, menaçant de révéler cette vérité privée pour nous extorquer de l' argent et salir son héritage. Quand ma mère s' effondra, brisée par les accusations de Chloé, qui menaçait de dévoiler le secret de stérilité de mon père par l' intermédiaire de la presse, je savais que chaque tentative pour la contrer pouvait nous anéantir. J' étais piégée, un gouffre s' ouvrait sous mes pieds. Puis, le directeur des services secrets français, mon père, le mentor de mon père, apparut, son regard d' acier balayant le chaos.
Les funérailles de mon père, agent secret mort en mission, baignaient dans un silence solennel à Paris, ma mère, Madame Dubois, digne dans son chagrin, serrant ma main glacée.
Soudain, la porte claqua.
Chloé Lambert, une influenceuse à la réputation sulfureuse, fit une entrée fracassante, vêtue d' une robe rouge provocante, son regard défiant l' assemblée.
Elle s' arrêta devant ma mère et moi, posa théâtralement sa main sur son ventre à peine arrondi et déclara, sa voix résonnant tel un coup de poing : « Je suis venue dire adieu au père de mon enfant ! »
Un murmure s' éleva, tandis que les téléphones filmaient déjà cette scène impensable.
L' humiliation était totale, publique, une attaque directe contre l' honneur de notre famille.
Elle voulait tout détruire, jusqu' à la mémoire de mon père.
La suite fut pire. Chloé s' introduisit chez nous par une ordonnance de justice, exigeant champagne et macarons, traitant notre majordome avec mépris.
Elle me montra la montre de mon père et une photo truquée, preuve d' une liaison inventée, tout en me lisant sur mon visage son assurance.
Elle savait, elle connaissait notre secret : mon père était stérile, une blessure de guerre intime et inviolable.
Elle jouait avec notre dignité, utilisant la presse, menaçant de révéler cette vérité privée pour nous extorquer de l' argent et salir son héritage.
Quand ma mère s' effondra, brisée par les accusations de Chloé, qui menaçait de dévoiler le secret de stérilité de mon père par l' intermédiaire de la presse, je savais que chaque tentative pour la contrer pouvait nous anéantir.
J' étais piégée, un gouffre s' ouvrait sous mes pieds.
Puis, le directeur des services secrets français, mon père, le mentor de mon père, apparut, son regard d' acier balayant le chaos.
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