Pendant cinq ans, j'ai été Jeanne Dubois, la "rose épineuse" de Pierre Leclerc, l'une des figures les plus puissantes de Paris. Ce soir-là, sous les lustres scintillants d'un gala de charité, je pensais que notre jeu de domination allait enfin prendre un tournant, scellant notre avenir commun. Pourtant, devant une assemblée ébahie, la perle de ma mère, mon héritage et le symbole de son amour, ne m'a pas été rendue, mais offerte à Sophie, la "fleur délicate" de Pierre, son assistante discrète. Les mots "Tu n'es qu'un passe-temps. Une chienne que je peux remplacer" ont brisé cinq ans d'illusions, me jetant dans une humiliation publique insupportable, mon cœur se tordant de douleur et d'un dégoût glacial. Mais de cette trahison est née une clarté nouvelle, un sourire teinté de mépris : si le maître change, la chienne aussi. J'ai brisé les chaînes, refusant l'or pour mieux dénoncer la futilité de son pouvoir, le laissant seul avec sa rage, son chèque et sa pâle copie. Six mois plus tard, alors que Pierre annonçait son mariage mondain, je me préparais au mien, avec un homme qui me voyait, non pas comme un trophée, mais comme une égale, mon véritable amour. Mais Pierre, incapable de lâcher sa proie, a débarqué à ma cérémonie, tentant une dernière fois de me rabaisser. C'est là que Marc, mon simple et doux fiancé, a révélé son nom : Fournier, héritier d'un empire gastronomique qui éclipsait le sien. J'ai arraché le collier de sa fausse épouse, révélant la fraude: l'objet inestimable qu'il se vantait d'avoir acquis n'était qu'une vulgaire imitation. Aujourd'hui, portant le vrai collier de ma mère et notre enfant, je suis Jeanne Dubois, libre et pleinement heureuse.
Pendant cinq ans, j'ai été Jeanne Dubois, la "rose épineuse" de Pierre Leclerc, l'une des figures les plus puissantes de Paris.
Ce soir-là, sous les lustres scintillants d'un gala de charité, je pensais que notre jeu de domination allait enfin prendre un tournant, scellant notre avenir commun.
Pourtant, devant une assemblée ébahie, la perle de ma mère, mon héritage et le symbole de son amour, ne m'a pas été rendue, mais offerte à Sophie, la "fleur délicate" de Pierre, son assistante discrète.
Les mots "Tu n'es qu'un passe-temps. Une chienne que je peux remplacer" ont brisé cinq ans d'illusions, me jetant dans une humiliation publique insupportable, mon cœur se tordant de douleur et d'un dégoût glacial.
Mais de cette trahison est née une clarté nouvelle, un sourire teinté de mépris : si le maître change, la chienne aussi.
J'ai brisé les chaînes, refusant l'or pour mieux dénoncer la futilité de son pouvoir, le laissant seul avec sa rage, son chèque et sa pâle copie.
Six mois plus tard, alors que Pierre annonçait son mariage mondain, je me préparais au mien, avec un homme qui me voyait, non pas comme un trophée, mais comme une égale, mon véritable amour.
Mais Pierre, incapable de lâcher sa proie, a débarqué à ma cérémonie, tentant une dernière fois de me rabaisser.
C'est là que Marc, mon simple et doux fiancé, a révélé son nom : Fournier, héritier d'un empire gastronomique qui éclipsait le sien.
J'ai arraché le collier de sa fausse épouse, révélant la fraude: l'objet inestimable qu'il se vantait d'avoir acquis n'était qu'une vulgaire imitation.
Aujourd'hui, portant le vrai collier de ma mère et notre enfant, je suis Jeanne Dubois, libre et pleinement heureuse.
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