L'Amour Blessé, Vengeance de la Reine

L'Amour Blessé, Vengeance de la Reine

Gavin

5.0
avis
10
Vues
12
Chapitres

Les jointures de mes doigts me lançaient une douleur sourde et familière. J'étais Émilie Dubois, légende de la mode, recluse en Provence pour trouver la paix loin du tumulte, loin du vide laissé par Marc. Mon fils, Léo, dirigeait l'empire que nous avions bâti. Il était ma fierté, mais aussi ma plus grande inquiétude. Le calme de mon jardin fut déchiré par un cri strident, puis un autre. C'était la voix d'une jeune femme, Chloé, la nouvelle muse de Léo. « C'est un voleur et un menteur ! Il mérite une punition sévère ! » cria-t-elle, accusant Jean, mon jardinier loyal, de l'avoir défiée. Elle menaça Jean, jurant que Léo la croirait. Je suis intervenue, refusant de laisser cette injustice se produire chez moi. Chloé, vêtue de sa robe de créateur extravagante, me toisa, me prenant pour une simple employée. « Et toi, t'es qui ? La gouvernante ? Occupe-toi de tes affaires ! » lança-t-elle avec arrogance. Puis, une gifle violente claqua sur mon visage. La douleur fulgurante me coupa le souffle. Personne, jamais, ne m'avait frappée. Mon monde bascula. Son rire mauvais résonna alors qu'elle me traitait de « vieille maîtresse du jardinier ». Le summum de l'horreur arriva quand elle ordonna froidement : « tuez-moi cet insecte. » Les gardes tordirent le cou de Jean. Un craquement sinistre. Puis le silence. Ce n'était plus de l'arrogance, mais de la pure cruauté. La fille angélique décrite par Léo était un monstre. « Tu vois ce qui arrive quand on me contrarie ? » me dit-elle avec un sourire suffisant. Elles riaient de la vie et de la mort, me donnant la nausée. Je murmurai, la rage au ventre : « Vous allez le regretter... Je suis sa mère. Je suis Émilie Dubois. » Mais Chloé ricana : « Tu n'es qu'une paysanne. Rasez-lui la tête. » Mes cheveux tombèrent, chaque passage du rasoir une humiliation. Puis : « Brisez-lui les doigts. » CRAC. CRAC. La douleur m'aveugla. « Cousez-lui la bouche. » L'aiguille transperça ma chair. Mes lèvres furent scellées. Je ne pouvais plus crier, seulement gémir. Enfin : « Fouettez-la. » Les coups s'abattirent, me laissant une masse brisée et sanglante. « On l'amène à Léo, » dit-elle triomphante. « Je vais lui montrer comment je protège sa famille. » Dans le sac, l'air vicié, je priais pour Léo. Sa voix puissante résonna : « Chloé ! Qu'est-ce que c'est que ce cirque ? » Chloé, douce et plaintive, répondit : « J'ai trouvé la femme qui répand des rumeurs infâmes sur ta mère. » Et tout le monde la crut. « Où est-elle ? » rugit Léo. Il s'approcha. Une lueur d'espoir. Puis, une douleur aiguë. Le métal froid d'une lame me transperça. Mon propre fils venait de me poignarder. « Même pas toi, misérable. » Le rire triomphant de Chloé résonna. « Ouvre le sac, regarde son visage immonde ! » Le monde bascula. La dernière chose que je vis fut le visage de Léo, figé dans l'horreur absolue tandis qu' il me reconnaissait enfin. Le malentendu était absolu. Il croyait en ses mensonges. « Elle a dit ça... de ma mère ? » demanda-t-il, sa voix glaciale. « Elle a tué le jardinier... » Mon fils, mon Léo, me détestait. Il ordonna de me jeter dans l'enclos des loups. Je fus traînée, sans voix, sans force, ne pouvant que le regarder détourner les yeux, son visage dur comme la pierre. Dans les siens, je ne voyais que la haine. Une seule pensée tournait dans mon esprit qui s'assombrissait : Il ne sait pas. Et il ne saura jamais. Mais le destin, parfois, réserve des tours diaboliques. Le silence prolongé de ma mère, Émilie Dubois, légende vivante de la mode, commençait à ronger Léo. Il sentait que quelque chose n'allait pas. « Ma mère n'est pas « déconnectée » ! » cria-t-il. « Elle est la femme la plus brillante que je connaisse. » Puis, une lueur de compréhension traversa ses yeux. Une terrible possibilité. Il devait retourner à la villa. Il ne savait pas ce qu'il allait y trouver, mais il savait déjà que quelque chose d'irréparable s'était produit. Il rentra, découvrit Jean mort, et ma disparition. Chloé admit fièrement avoir ordonné le meurtre de Jean et de « l'autre ». « Elle criait qu'elle était ta mère ! » s'exclama son amie. Un hurlement de pure agonie, de remords, s'échappa de la gorge de Léo. Le puzzle s'assemblait. Il courut vers l'enclos des loups. Maman était là, inconsciente ! Et les loups étaient calmes. Un miracle. Il se tourna vers Chloé avec une fureur glaciale. Sans un mot, il lui décocha un coup. « CETTE FEMME QUE VOUS AVEZ TORTURÉE... QUE J'AI POIGNARDÉE... CETTE FEMME, C'EST MA MÈRE ! C'EST ÉMILIE DUBOIS ! » La vengeance fut longue et terrible. Émilie, retrouvant ses forces, se présenta aux cachots. Chloé et ses complices subirent le même sort, les cris résonnant dans le domaine. Mais la culpabilité dévorait Léo. Il prit une décision irrévocable. « Je ne peux pas me pardonner. C'est ma main qui tenait le couteau. » Un coup de feu. Léo tomba. Seule, Émilie se dressa. Le conseil d'administration voulut la manipuler. Mais elle les regarda avec une froideur d'acier. "Je suis sa mère. Et maintenant, je suis votre reine. Cette entreprise m'appartient." Elle brandit la preuve de leurs trahisons. La femme douce avait cédé la place à une impératrice, forgée par la douleur, le sang et la vengeance. L'ère d'Émilie Dubois commençait.

Introduction

Les jointures de mes doigts me lançaient une douleur sourde et familière. J'étais Émilie Dubois, légende de la mode, recluse en Provence pour trouver la paix loin du tumulte, loin du vide laissé par Marc.

Mon fils, Léo, dirigeait l'empire que nous avions bâti. Il était ma fierté, mais aussi ma plus grande inquiétude.

Le calme de mon jardin fut déchiré par un cri strident, puis un autre. C'était la voix d'une jeune femme, Chloé, la nouvelle muse de Léo.

« C'est un voleur et un menteur ! Il mérite une punition sévère ! » cria-t-elle, accusant Jean, mon jardinier loyal, de l'avoir défiée.

Elle menaça Jean, jurant que Léo la croirait.

Je suis intervenue, refusant de laisser cette injustice se produire chez moi. Chloé, vêtue de sa robe de créateur extravagante, me toisa, me prenant pour une simple employée.

« Et toi, t'es qui ? La gouvernante ? Occupe-toi de tes affaires ! » lança-t-elle avec arrogance.

Puis, une gifle violente claqua sur mon visage. La douleur fulgurante me coupa le souffle.

Personne, jamais, ne m'avait frappée. Mon monde bascula.

Son rire mauvais résonna alors qu'elle me traitait de « vieille maîtresse du jardinier ».

Le summum de l'horreur arriva quand elle ordonna froidement : « tuez-moi cet insecte. »

Les gardes tordirent le cou de Jean. Un craquement sinistre. Puis le silence.

Ce n'était plus de l'arrogance, mais de la pure cruauté. La fille angélique décrite par Léo était un monstre.

« Tu vois ce qui arrive quand on me contrarie ? » me dit-elle avec un sourire suffisant.

Elles riaient de la vie et de la mort, me donnant la nausée.

Je murmurai, la rage au ventre : « Vous allez le regretter... Je suis sa mère. Je suis Émilie Dubois. »

Mais Chloé ricana : « Tu n'es qu'une paysanne. Rasez-lui la tête. »

Mes cheveux tombèrent, chaque passage du rasoir une humiliation.

Puis : « Brisez-lui les doigts. »

CRAC. CRAC. La douleur m'aveugla.

« Cousez-lui la bouche. » L'aiguille transperça ma chair.

Mes lèvres furent scellées. Je ne pouvais plus crier, seulement gémir.

Enfin : « Fouettez-la. » Les coups s'abattirent, me laissant une masse brisée et sanglante.

« On l'amène à Léo, » dit-elle triomphante. « Je vais lui montrer comment je protège sa famille. »

Dans le sac, l'air vicié, je priais pour Léo.

Sa voix puissante résonna : « Chloé ! Qu'est-ce que c'est que ce cirque ? »

Chloé, douce et plaintive, répondit : « J'ai trouvé la femme qui répand des rumeurs infâmes sur ta mère. » Et tout le monde la crut.

« Où est-elle ? » rugit Léo.

Il s'approcha. Une lueur d'espoir.

Puis, une douleur aiguë. Le métal froid d'une lame me transperça.

Mon propre fils venait de me poignarder.

« Même pas toi, misérable. »

Le rire triomphant de Chloé résonna.

« Ouvre le sac, regarde son visage immonde ! »

Le monde bascula. La dernière chose que je vis fut le visage de Léo, figé dans l'horreur absolue tandis qu' il me reconnaissait enfin. Le malentendu était absolu.

Il croyait en ses mensonges. « Elle a dit ça... de ma mère ? » demanda-t-il, sa voix glaciale. « Elle a tué le jardinier... »

Mon fils, mon Léo, me détestait. Il ordonna de me jeter dans l'enclos des loups.

Je fus traînée, sans voix, sans force, ne pouvant que le regarder détourner les yeux, son visage dur comme la pierre. Dans les siens, je ne voyais que la haine.

Une seule pensée tournait dans mon esprit qui s'assombrissait : Il ne sait pas. Et il ne saura jamais.

Mais le destin, parfois, réserve des tours diaboliques. Le silence prolongé de ma mère, Émilie Dubois, légende vivante de la mode, commençait à ronger Léo. Il sentait que quelque chose n'allait pas.

« Ma mère n'est pas « déconnectée » ! » cria-t-il. « Elle est la femme la plus brillante que je connaisse. »

Puis, une lueur de compréhension traversa ses yeux. Une terrible possibilité.

Il devait retourner à la villa. Il ne savait pas ce qu'il allait y trouver, mais il savait déjà que quelque chose d'irréparable s'était produit.

Il rentra, découvrit Jean mort, et ma disparition. Chloé admit fièrement avoir ordonné le meurtre de Jean et de « l'autre ».

« Elle criait qu'elle était ta mère ! » s'exclama son amie.

Un hurlement de pure agonie, de remords, s'échappa de la gorge de Léo. Le puzzle s'assemblait.

Il courut vers l'enclos des loups. Maman était là, inconsciente ! Et les loups étaient calmes. Un miracle.

Il se tourna vers Chloé avec une fureur glaciale. Sans un mot, il lui décocha un coup.

« CETTE FEMME QUE VOUS AVEZ TORTURÉE... QUE J'AI POIGNARDÉE... CETTE FEMME, C'EST MA MÈRE ! C'EST ÉMILIE DUBOIS ! »

La vengeance fut longue et terrible. Émilie, retrouvant ses forces, se présenta aux cachots. Chloé et ses complices subirent le même sort, les cris résonnant dans le domaine.

Mais la culpabilité dévorait Léo. Il prit une décision irrévocable.

« Je ne peux pas me pardonner. C'est ma main qui tenait le couteau. »

Un coup de feu. Léo tomba.

Seule, Émilie se dressa. Le conseil d'administration voulut la manipuler.

Mais elle les regarda avec une froideur d'acier. "Je suis sa mère. Et maintenant, je suis votre reine. Cette entreprise m'appartient." Elle brandit la preuve de leurs trahisons.

La femme douce avait cédé la place à une impératrice, forgée par la douleur, le sang et la vengeance. L'ère d'Émilie Dubois commençait.

Continuer

Autres livres par Gavin

Voir plus
Renaître pour se Venger : L'Épouse Trahie ne Pardonne Pas

Renaître pour se Venger : L'Épouse Trahie ne Pardonne Pas

Moderne

5.0

Le seau d'eau glacée m'a frappée en plein visage, me tirant brutalement d'un cauchemar... ou peut-être m'y replongeant. J'ai ouvert les yeux sur l'odeur de moisi de la petite cuisine du Luberon. Devant moi, Léo, mon fils de quinze ans, tenait le seau vide, un rictus mauvais sur les lèvres. "Alors, la veuve éplorée, on se réveille enfin ?" Sa voix. Le sourire triomphant de ma belle-mère, Madame Leclerc, à ses côtés. Cette scène, ces mots, ce seau d'eau... C'était impossible, et pourtant. Je les avais déjà vécus, dix ans plus tôt, juste après la "mort" d'Antoine. Mon cœur s'est emballé, une panique glaciale m'a envahie. Je me souvenais de tout : l'humiliation, la solitude, et les coups donnés par mon propre fils, manipulé par Antoine et Sophie Girard, mon amie d'enfance. Elle avait volé mon identité, mes diplômes, et même l'héritage de mon grand-père, ce héros de la Résistance. J'avais souffert au-delà du supportable, regardée mourir sans un regret dans une ruelle lyonnaise, traitée de "simple idiote utile". Mais cette fois, la faiblesse et la résignation, c'était fini. Mon corps tremblait d'une rage nouvelle que je ne connaissais pas. Je l'ai regardé, Léo, l'image de son père, et Madame Leclerc. Une décision froide et implacable s'est imposée. Je suis revenue, et cette seconde chance, je n'allais pas la gâcher. Je connaissais l'avenir, leurs mensonges, leurs crimes. Fini les larmes. Cette fois, c'est moi qui mènerais la danse. Je me vengerais.

Trop Tard, Monsieur de Valois

Trop Tard, Monsieur de Valois

Moderne

3.8

Mes parents m'ont ordonné de quitter la France pour un stage en Suisse. C'était, comme toujours, "pour le bien de Chloé", ma sœur préférée, dont le mariage avec Antoine approchait. Une fois de plus, mon existence était un sacrifice, marginalisée au profit de leur bonheur. La scène était cruelle : à la somptueuse fête de fiançailles de Chloé et Antoine, j'ai tenté de révéler une vérité. J'ai brandi ce médaillon, le symbole de ma "Petite Colombe", le surnom qu'Antoine m'avait donné lorsqu'il était aveugle. C'est moi qui l'avais veillé, pas elle, mais Chloé a revendiqué l'objet comme le sien. Ma mère m'a violemment giflée, me traitant de menteuse jalouse. Antoine, autrefois mon amour, a acquiescé, son regard empli de dégoût. « Amélie a besoin d'une correction sévère », a-t-il déclaré, « vingt coups de cravache ». Attachée à un pilier, j'ai subi l'humiliation suprême, tandis que tous me regardaient, indifférents à ma souffrance. Les larmes de douleur se sont mêlées à celles de l'injustice. Comment pouvaient-ils me faire cela ? Pourquoi une telle cruauté envers leur propre fille ? Mon amour, mes sacrifices : tout n'avait été que mensonge et trahison, dans une indifférence glaçante où même ma vie comptait moins qu'un caprice. C'était un réveil brutal. Non, pas un réveil, un retour. Cette douleur, ce scénario, je l'avais déjà vécu. Mais cette fois-ci, une lassitude infinie m'a envahie, j'ai compris. Cette seconde chance n'était pas pour eux, mais pour moi. Je suis partie, non pas pour la Suisse, mais pour disparaître et enfin, vivre.

Elle a Tout Quitté : Sauf Son Destin

Elle a Tout Quitté : Sauf Son Destin

Nouvelle

5.0

Mon fils de neuf ans, Léo, m'a regardée avec un mépris glacial, tenant une bouteille de vin vide. « Tu n'es qu'une paysanne sale, indigne de porter le nom des Larson. » Puis, il a violemment abattu la bouteille sur mon épaule, alors que des photos de moi en lingerie – des faux – circulaient parmi tous les parents. Rentré à la maison, mon mari, Jean-Luc, ne m'a même pas regardée, s'empressant de consoler sa maîtresse, Élise, qui venait de piétiner le carnet de dégustation de ma mère, mon dernier lien avec elle. « C'est encore de ta faute, Juliette ! » m'a-t-il lancé, alors qu'Élise remettait un morceau du carnet déchiré à Léo, qui le déchiquetait avec joie sous mes yeux. La douleur de la trahison de mon mari, de l'humiliation publique orchestrée par sa maîtresse, et surtout la haine que mon propre fils me portait, alimentée par des mensonges, m'ont vidée de toute substance. J'étais enceinte d'un enfant qui ne connaîtrait jamais l'amour d'un père, de la même lignée que ceux que sa grand-mère m'avait forcée à avorter par le passé. Face à leur complot, à leur froideur, et à l'accusation d'agression qu'Élise a simulée, mon cœur, autrefois brisé, s'est transformé en pierre. « C'est fini, » ai-je calmement déclaré. « Je demande le divorce. » J'ai signé les papiers, renonçant à tout, même à la garde de Léo, et ai disparu dans la nuit, vers Antoine, mon amour secret de Bourgogne, décidée à reconstruire ma vie loin de ce cauchemar.

Inspirés de vos vus

J'ai Giflé Mon Fiancé et Épousé Son Ennemi Milliardaire

J'ai Giflé Mon Fiancé et Épousé Son Ennemi Milliardaire

PageProfit Studio
5.0

Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.

L'esclave du roi

L'esclave du roi

Kiss Leilani.
4.9

Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre