La clé a tourné dans la serrure, un son familier qui annonçait le retour de Marc, mon fiancé, de son voyage d'affaires. Mon cœur battait un peu plus vite, mes croquis restaient en suspens, car après trois ans d'amour, notre avenir semblait tracé. Mais au lieu d'un sourire, son visage était grave : « Adèle, il faut qu'on parle. » Et là, les mots qui ont brisé mon monde : « Mme Dubois est enceinte. Et c'est de moi. » Mme Dubois, ma patronne tyrannique, avait détruit notre bonheur. Mon fiancé, l'homme de ma vie, s'était acoquiné avec la femme qui me haïssait, il avait transformé notre amour en un sordide plan de carrière. Ce "voyage d'affaires" n'était qu'un mensonge, une trahison odieuse, un "sacrifice" pour son ambition démesurée. Le choc s'est mué en douleur, puis la douleur en une rage glaciale quand j' ai entendu son appel avec elle, me décrivant comme une "petite chose fragile et dépendante". Il m'a dit : "Elle n'était qu'un moyen, un sacrifice nécessaire pour t'offrir une belle vie." Un mensonge de plus, une insulte de trop. Non, Marc, je ne suis pas un fardeau, ni ta roue de secours, ni une option de rechange. Je ne suis pas cette "petite fille de province sans rien" que tu as méprisée, ni cette styliste "naïve" que tu as volontairement maintenue dans l'ombre. Ma patience a atteint ses limites quand j'ai découvert qu'ils m' avaient suivie à Nice, là où je cherchais refuge, me confrontant à son chantage et à sa violence. Alors, quand il a osé me menacer, promettant de "détruire ma carrière, mes amitiés, tout", j'ai su que le jeu était terminé. Je ne suis pas une victime, je suis Adèle Dupont. Et vous allez regretter d'avoir réveillé la lionne.
La clé a tourné dans la serrure, un son familier qui annonçait le retour de Marc, mon fiancé, de son voyage d'affaires.
Mon cœur battait un peu plus vite, mes croquis restaient en suspens, car après trois ans d'amour, notre avenir semblait tracé.
Mais au lieu d'un sourire, son visage était grave : « Adèle, il faut qu'on parle. »
Et là, les mots qui ont brisé mon monde : « Mme Dubois est enceinte. Et c'est de moi. » Mme Dubois, ma patronne tyrannique, avait détruit notre bonheur.
Mon fiancé, l'homme de ma vie, s'était acoquiné avec la femme qui me haïssait, il avait transformé notre amour en un sordide plan de carrière.
Ce "voyage d'affaires" n'était qu'un mensonge, une trahison odieuse, un "sacrifice" pour son ambition démesurée.
Le choc s'est mué en douleur, puis la douleur en une rage glaciale quand j' ai entendu son appel avec elle, me décrivant comme une "petite chose fragile et dépendante".
Il m'a dit : "Elle n'était qu'un moyen, un sacrifice nécessaire pour t'offrir une belle vie." Un mensonge de plus, une insulte de trop.
Non, Marc, je ne suis pas un fardeau, ni ta roue de secours, ni une option de rechange.
Je ne suis pas cette "petite fille de province sans rien" que tu as méprisée, ni cette styliste "naïve" que tu as volontairement maintenue dans l'ombre.
Ma patience a atteint ses limites quand j'ai découvert qu'ils m' avaient suivie à Nice, là où je cherchais refuge, me confrontant à son chantage et à sa violence.
Alors, quand il a osé me menacer, promettant de "détruire ma carrière, mes amitiés, tout", j'ai su que le jeu était terminé.
Je ne suis pas une victime, je suis Adèle Dupont.
Et vous allez regretter d'avoir réveillé la lionne.
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