Adèle Contre-Attaque
dèle Dupont. Elle a levé la tête de son carnet de croquis, le cœur batt
et a desserré sa cravate avec un
l faut qu'
aleur habituelle. Adèle a senti un fris
passe, Marc ? Tu
fixant un point vague s
ois est e
Adèle a mis une seconde à comprendre. Mme Dubois, sa patronne. La directr
e réussi à articul
avait aucune trace de culpabilité dans son re
'est d
naient en boucle dans sa tête, refusant de former une pensée cohérente. Elle le
ffaires... » a-
voyage d'affaires, Adè
la météo. Le choc initial a laissé place à une d
urqu
question qu'ell
s elle les a retirées vivement. Il a soupiré de nouvea
lle part, je n'ai rien. Mme Dubois, elle peut tout m'offrir. Une position, un
le fixait, incrédule. L'homme qu'elle aimait, l'homme avec qui elle
e et de chagrin. « Tu as couché avec ma patronne, tu l'as mise
. « C'est un sacrifice. Pour nous, à long terme. Pense-y. Une foi
ir vers moi quand elle se sera lassée de toi ?
uler, de la faire passer pour celle qui ne comprenait pas, qui n'était pas
une styliste talentueuse mais discrète. Elle était la fille unique de Jean-Jacques Dupont, le magnat de la haute couture, propriétaire d'un empire que l'entrepr
l la voyait comme une petite chose fragile et dépendante, une fille sans relations ni fortune. Il ne savait
e, chassant la confusion et le désespoir. El
fini,
aient nets,
a soudaine fermeté. Il s'attendait prob
ça. Adèle, sois raisonnable.
« Tu as détruit tout ce que nous avions, et tu oses m
e. Son masque de martyr fatigué est tombé, r
toi, tu me laisses tomber à la première difficulté. Tu es vra
le. Mais c'était trop tard. Le charme était rompu. Elle ne voyai
épété, sa voix glaci