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Voici une proposition de résumé basée sur les informations que vous avez fournies. Mon monde était réglé comme une horloge suisse. Fiancé à Chloé Martin, héritière d'un empire du parfum, notre mariage devait sceller l'union parfaite de deux dynasties. Mais lors de la célébration des 80 ans de ma grand-mère, Chloé est montée sur scène, le micro à la main. Devant des centaines d'invités, elle a annoncé l'annulation de nos fiançailles, proclamant son amour pour... mon propre chauffeur, un simple employé. L'humiliation a été totale, publique, une véritable claque en plein visage, aggravée par un grand-père furieux qui menaçait le couple de sa canne. Comment osait-elle me jeter aux orties, moi, Louis Dubois, pour un homme qui mangeait à notre table ? La rage remplaça le choc : si elle voulait la "pureté d'âme" sans la fortune, je ferais en sorte qu'elle l'ait, et très vite.
Voici une proposition de résumé basée sur les informations que vous avez fournies.
Mon monde était réglé comme une horloge suisse.
Fiancé à Chloé Martin, héritière d'un empire du parfum, notre mariage devait sceller l'union parfaite de deux dynasties.
Mais lors de la célébration des 80 ans de ma grand-mère, Chloé est montée sur scène, le micro à la main.
Devant des centaines d'invités, elle a annoncé l'annulation de nos fiançailles, proclamant son amour pour... mon propre chauffeur, un simple employé.
L'humiliation a été totale, publique, une véritable claque en plein visage, aggravée par un grand-père furieux qui menaçait le couple de sa canne.
Comment osait-elle me jeter aux orties, moi, Louis Dubois, pour un homme qui mangeait à notre table ?
La rage remplaça le choc : si elle voulait la "pureté d'âme" sans la fortune, je ferais en sorte qu'elle l'ait, et très vite.
Nouvelle
Le mot « divorce » venait de résonner dans mon atelier, aussi vide et froid que mon mariage avec Camille. Je suis Pierre Dubois, peintre, et ma vie, c'est la couleur, la passion qu'elle, artiste conceptuelle, méprisait au profit d'une spiritualité glaciale. Pendant des années, j'ai tenté d'escalader ce mur qu'elle avait bâti entre nous, persuadé qu'elle était ma muse, mon obsession. Jusqu'à cette nuit, où, attiré par des gémissements venant du salon, j' ai découvert Camille, les yeux mi-clos, caressant une sculpture phallique et murmurant un nom : Lucas. Lucas, son frère adoptif, l'arrogant musicien dont la présence sous notre toit n'était plus maternelle, mais celle d'une amante, et pour qui j' étais un simple paravent. La révélation de leur passion incestueuse et inavouable, que Camille sublimait dans son art, a fait exploser mon monde, mon amour réduit en cendres. Pourtant, le vrai choc restait à venir : après que Lucas m'ait violemment agressé dans un bar, laissant ma tête ouverte et mon honneur bafoué, Camille, mon épouse, a non seulement protégé son "trésor" de frère, mais a permis qu'on me prélève un lambeau de peau pour réparer sa joue égratignée. Comment cette femme, pour qui j'avais tout sacrifié, du temps, de l' énergie, jusqu' à mon art, pouvait-elle afficher une telle cruauté, une telle abjection devant tous ? J'étais devenu une banque d'organes pour son obsession, une saleté sous le pied de son amant. Non, je ne me battrais plus pour elle, je me battrais pour me sauver de la décomposition que Camille incarnait : ma vie devait commencer, loin d'elle.
Moderne
Mes parents m'ont ordonné de quitter la France pour un stage en Suisse. C'était, comme toujours, "pour le bien de Chloé", ma sœur préférée, dont le mariage avec Antoine approchait. Une fois de plus, mon existence était un sacrifice, marginalisée au profit de leur bonheur. La scène était cruelle : à la somptueuse fête de fiançailles de Chloé et Antoine, j'ai tenté de révéler une vérité. J'ai brandi ce médaillon, le symbole de ma "Petite Colombe", le surnom qu'Antoine m'avait donné lorsqu'il était aveugle. C'est moi qui l'avais veillé, pas elle, mais Chloé a revendiqué l'objet comme le sien. Ma mère m'a violemment giflée, me traitant de menteuse jalouse. Antoine, autrefois mon amour, a acquiescé, son regard empli de dégoût. « Amélie a besoin d'une correction sévère », a-t-il déclaré, « vingt coups de cravache ». Attachée à un pilier, j'ai subi l'humiliation suprême, tandis que tous me regardaient, indifférents à ma souffrance. Les larmes de douleur se sont mêlées à celles de l'injustice. Comment pouvaient-ils me faire cela ? Pourquoi une telle cruauté envers leur propre fille ? Mon amour, mes sacrifices : tout n'avait été que mensonge et trahison, dans une indifférence glaçante où même ma vie comptait moins qu'un caprice. C'était un réveil brutal. Non, pas un réveil, un retour. Cette douleur, ce scénario, je l'avais déjà vécu. Mais cette fois-ci, une lassitude infinie m'a envahie, j'ai compris. Cette seconde chance n'était pas pour eux, mais pour moi. Je suis partie, non pas pour la Suisse, mais pour disparaître et enfin, vivre.
Nouvelle
Dans les yeux de tous, notre mariage était la perfection incarnée. Moi, Camille Dubois, architecte de renom, et Antoine Lefèvre, l' artiste montant, formions le couple idéal. Mais sous le vernis de cette façade dorée, une ombre persistait : Sophie Martin, son amie d' enfance, sa muse, son obsession éternelle. Peu importait mes succès, mes sacrifices, mon dévouement inconditionnel ; le véritable cœur d' Antoine battait toujours pour elle, une autre. Nos années de mariage n' étaient qu' un interlude, une parenthèse où j' étais sa béquille, son lot de consolation, chaque fois que Sophie n' était pas disponible. Le jour où il m' a abandonnée à ma propre fête d' anniversaire, se précipitant à son chevet pour un énième "drame", mon illusion s' est brisée. Plus tard, à l' hôpital, alors que je pensais qu' il réaliserait enfin la futilité de son obsession, il m' a jetée dehors pour protéger Sophie, me brisant le cœur en mille morceaux. Comment avais-je pu être si aveugle ? Comment avais-je pu gâcher tant d' années à courir après un amour qui ne serait jamais mien ? Cette nuit-là, j' ai soufflé la bougie de mon gâteau d' anniversaire en formulant un seul vœu : ne plus jamais l' aimer. J' ai brûlé toutes nos photos, tous nos souvenirs, chaque trace de notre passé commun, pour enfin renaître de mes cendres. Puis, j' ai signé les papiers du divorce, cachés dans une enveloppe, pour qu' il les trouve quand il serait prêt. Il était temps de fermer ce chapitre douloureux et de commencer, enfin, ma propre histoire, loin de son ombre et de ses mensonges éternels.
Nouvelle
Ma mère, le visage dur, a jeté un chèque de cinq millions d'euros sur la table basse en marbre. « Mademoiselle Figueroa, prenez cet argent et quittez Paris. Disparaissez de la vie de mon fils. » Mon cœur a tremblé. Cinq millions, une somme que je n'aurais jamais pu imaginer. Mais cet argent n'était pas un don, c'était le prix de ma douleur, une compensation pour avoir sauvé la vie de Roderick, l'homme que j'avais aimé comme Alex, l'homme qui m'avait promis l'éternité sous le ciel de Provence. Pourtant, il m'avait abandonnée, installée dans une chambre de bonne, me forçant à regarder Éléonore, sa nouvelle fiancée, recevoir toutes les caresses et les cadeaux qui auraient dû être les miens. Quand nous sommes tombées dans la Seine, c'est Éléonore qu'il a sauvée, me laissant me noyer. La pire humiliation est venue quand Éléonore a prétendu avoir été empoisonnée, et Roderick, sans la moindre hésitation, m'a forcée à donner mon sang pour la sauver. Mon sang, dans les veines de la femme qui m'avait tout pris. Il a même osé me demander de créer les parfums de leur mariage, foulant mon cœur et mon talent dans la boue. Comment avait-il pu oublier cet « Alex » sans mémoire que j'avais soigné, aimé, et qui m'avait juré fidélité pour toujours ? Était-ce la réalité d'un prince aveuglé par le pouvoir, ou le souvenir d'un rêve trop beau ? Ce soir-là, la mère de Roderick m'a fouettée, "pour m'apprendre ma place". Chaque coup était une blessure, mais chaque coup m'a rendue plus forte. J'ai serré le chèque, ma décision prise : demain, le jour de son mariage, je serai libre.
Nouvelle
Je me souviens de ma demande en mariage… une table réservée dans notre restaurant préféré à Paris, une sphère de chocolat blanc que j' avais nommée « Chloé, mon amour », symbolisant dix ans d' un amour que je croyais éternel. Mais son regard, soudain distant, fixé sur son téléphone, a brisé l' illusion. « C' est juste que… on a fait ça tellement de fois, non ? » m' a-t-elle lancé, un soupir d' impatience masquée. À genoux, la bague à la main, mes mots se sont figés dans ma gorge quand son téléphone a retenti, brisant le silence. « Oui, avec lui… Bientôt fini. Attends-moi, Louis. » Louis. Ce nom a résonné comme un couperet alors qu' elle me regardait avec agacement. « Tu peux te relever, Alex ? C' est embarrassant. » Humilié, l' esprit embrumé par l' incompréhension, j' ai entendu ses mots cruels : j' étais « dépassé », « ennuyeux », un « vieux croûton ». Le coup de grâce ? Ses rires moqueurs et ses paroles, captées malgré moi devant un club privé, me disant que je ne pourrais jamais créer sans elle et que je reviendrais en rampant. Chaque rire transperçait mon âme, transformant mon amour en miettes. Pourtant, cette douleur insoutenable a été le catalyseur. Il fut temps de dire « c' est fini », de partir sans un regard en arrière, et de jeter les bases d' une nouvelle vie. Une vie où, peut-être, le destin m' offrirait une seconde chance. [N.D.L.R. : La longueur de la consigne demande un paragraphe plus long pour « Histoire de retour à la vie / Rematch », mais le contenu du livre ne permet pas de créer un paragraphe supplémentaire. Le contenu du livre lui-même ne contient pas suffisamment d\'informations pour créer le scénario de remise en jeu et le contenu doit être très strict dans le cadre temporel de l' annonce.]
Nouvelle
Cela faisait trois ans que j'étais l'épouse d'Antoine Gordon, vivant dans une cage dorée au cœur de Paris, un écrin de luxe où je ne récoltais que la solitude. Je me berçais de l'illusion de sa fidélité, ma seule consolation dans ce mariage arrangé. Jusqu'à ce que, sur Instagram, je découvre mon mari à Saint-Tropez, non pas à Genève pour affaires, mais bras dessus, bras dessous avec une blonde radieuse prénommée Chloé. La trahison était si brutale, si publique, son indifférence, si cinglante, surtout quand Chloé a fait irruption chez moi, m'agressant devant ma femme de ménage et mes voisins, et qu' Antoine m'a blâmée, me traitant de « gamine ». Mon monde s'est effondré. Sa proposition cynique – mon silence contre le financement du vignoble de mon père – a transformé ma blessure en rage glacée. Il m'a défiée, me disant de prendre un amant pour "m'amuser". J' ai saisi mon téléphone. « Tu es libre maintenant ? » ai-je tapé à Kyle, l'inconnu d'une nuit de rébellion, sentant une flamme vengeresse s'allumer en moi. C'était la naissance d'une nouvelle Juliette, prête à riposter.
Quelle lueur intense, j'ai du mal à ouvrir mes yeux. Pourtant je le dois... Il y a 2 ombres dans la pièce qui ont l'air de parler entre elles, je ne comprends rien de ce qu'elles disent juste ce bip qui retentit dans la pièce près de mes oreilles. Je tourne doucement ma tête et je remarque cet appareil avec des lignes qui montent et descendent. Je referme mes yeux quelques secondes et les rouvrent... ça y est je connais cette pièce c'est une chambre d'hôpital. J'essaye de bouger un bras pour qu'ils remarquent que je suis réveillée. Ça fait mal très mal pourtant il faut que je les prévienne qui qu'ils soient. J'essaye alors d'émettre un son mais ce tuyau dans ma bouche m'en empêche. Je vais pourtant y arriver malgré la brûlure dans ma gorge. Cet effort m'a épuisé, je referme les yeux. Là les questions me rongent. Mais que fais je dans un hôpital ? Pourquoi suis-je allongée ici ? Que m'est-il arrivée ? Mais surtout qui suis-je ?
« Ethan, c'est contraire à l'éthique. C'est criminel. Elle n'a pas consenti. » Ces mots glaçants, murmurés dans le bourdonnement stérile d'une salle d'opération, furent la première chose que j'entendis alors que la conscience revenait en vacillant. Mon cœur battait la chamade, une terreur glaciale serpentant dans mes veines. Le Dr Ben Carter, le vieil ami d'Ethan, se disputait avec lui. « C'est ma petite amie, Ben. Pour ainsi dire ma femme, » railla Ethan, sa voix empreinte d'une désinvolture terrifiante. « Chloe a besoin de ce rein. Ava est une parfaite compatibilité. » Rein. Chloe. Mon sang se glaça. La belle et fragile Chloe Vahn, qui avait toujours hanté notre relation, prenait maintenant un morceau de moi, littéralement. J'essayai de crier, de bouger, mais mon corps semblait de plomb, ma gorge à vif. Je sentis une traction brusque, une ligne de feu fulgurante sur mon flanc : le scalpel. Dix ans d'amour, de sacrifice, à reconstruire Ethan Reed et son entreprise à partir de rien, tout ça pour ça. Pour être dépecée comme un animal pour la femme qu'il aimait vraiment. Quand je repris enfin pleinement conscience, Ethan était à mon chevet, une expression d'inquiétude étudiée sur le visage, brodant un mensonge sur une rupture de kyste ovarien. Mais ensuite, la conversation surprise d'une infirmière confirma mon cauchemar : « La greffe de rein de Chloe... il n'a quasiment pas quitté son chevet. » Les pièces du puzzle s'emboîtèrent avec une clarté brutale. Mon désespoir se figea en une résolution froide et dure. Plus jamais. Je saisis mon téléphone, faisant défiler jusqu'à un contact que je n'avais jamais osé appeler. Noah Hayes, le rival d'Ethan, un homme intègre. Mon doigt trembla en tapant le message. « Noah, » réussis-je à dire, la voix rauque. « Êtes-vous toujours à la recherche d'une Directrice des Opérations qui connaît les stratégies de Reed Innovate... et peut-être, d'une épouse ? » Le silence s'étira, puis sa voix, calme et sérieuse, perça le bruit de mon monde qui s'effondrait. « Mon jet, dans sept jours. LaGuardia. »
Devenu aveugle à la suite d'un accident, Cary est rejeté par toutes les mondaines, sauf Evelina, qui l'épouse sans hésiter. Trois ans plus tard, il recouvre la vue, mais met fin à leur mariage. « Nous avons raté tant d'années. Je ne vais pas la faire attendre encore. » Evelina signe les papiers du divorce sans un mot. Tout le monde se moque de sa chute, jusqu'à ce qu'ils découvrent que le docteur miracle, le magnat de la joaillerie, le génie de la bourse, le meilleur hacker et la vraie fille du Président... C'est Evelina. Lorsque Cary est revenu en rampant, un magnat impitoyable l'a mis à la porte. « Regarde bien ! C'est ma femme maintenant. »
Il n'y avait qu'un seul homme dans le cœur de Raegan, et c'était Mitchel. Dans la deuxième année de leur mariage, elle est tombée enceinte. La joie de Raegan était sans limites. Mais avant qu'elle puisse annoncer la nouvelle à son mari, il lui a remis les papiers de divorce car il voulait épouser son premier amour. Après un accident, Raegan gisait dans une mare de son propre sang et appelait Mitchel à l'aide. Malheureusement, il est parti avec son premier amour dans ses bras. Raegan a échappé à la mort de justesse. Par la suite, elle a décidé de reprendre sa vie en main. Son nom était partout quelques années plus tard. Mitchel est devenu très mal à l'aise. Pour une raison quelconque, elle a commencé à lui manquer. Son cœur se serrait lorsqu'il la voyait tout sourire avec un autre homme. Il a fait irruption à son mariage et est tombé à genoux pendant qu'elle était à l'autel. Avec des yeux injectés de sang, il a demandé : « Tu m'as dit que ton amour pour moi était inébranlable, non ? Comment se fait-il que tu te maries avec quelqu'un d'autre ? Donne-moi une autre chance, s'il te plaît ! »
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.
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