L'Humiliation et la Vengeance
le grand salon de la villa Dubois. C'était l'anniversaire de ma grand-mère, quatre-vingts ans
ière de l'empire du parfum Martin. Notre mariage, prévu dans trois mois, était la fusion de deux dyn
a scène depuis son fauteuil, un sourire satisfait aux lèvre
musique s'
ous les regards se sont tournés vers la petite estra
treinte. Elle était montée sur
a été la confusion.
rangement dans le silence. « Je vous remercie d'être venus
ant l'assemblée avant de se poser sur moi
e personnelle à faire.
le. Je sentais le regard de
mme une accusation. « Notre mariage est annulé
tour de moi, les murmures se sont transformés en exclamations stu
é n'avait
apparu, grand, vêtu d'un uniforme de chauffeur. C'était
en prenant la main de Marc. « Parce que je suis amo
visage rayonnant
a richesse de Louis ne pourra jamais acheter : une pureté d'âme. Il est vrai, il est authentique. Avec l
énigrait, elle insultait ma famille, nos traditions, tout ce que nous représentions.
incapable de bou
rauque a dé
ÎTRES
me de quatre-vingt-cinq ans, mais à cet instant, il semblait posséder la force d'un taurea
on amant de bas étage ! Vous
battait, les yeux injectés de sang, brandissant sa canne en directi
i, jouant le rôle du protecteur. Il levait une ma
bois, calmez-vous », a-t-il di
jouant la victime effrayée. Mais je pouvais voir le triomphe dan
violence que je fuis ! De cette obsession pour l'honneur et l'argent ! Marc m'offr
nt pour mes fiançailles. L'humiliation était totale, profonde, insupportable. Mon poing s'est serré jusqu'à ce que mes ongles s'enfoncent da