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Le train de Brest s'immobilise, et mon cœur bat à l'unisson avec l'excitation de ma rencontre imminente. Six mois de conversations enflammées avec Brandon Scott culmineront demain, ici, à Paris. Mais ce soir-là, un coup de fil anodin me pousse à écouter en secret sa partie de poker en ligne. Et là, j'entends l'homme de mes rêves me décrire comme « la petite provinciale » naïve, mes cadeaux bretons comme des « trucs de paysan » bons pour la femme de ménage. Il ordonne même à son ami, Kyle, de me « virer poliment » à sa place. Le sol s'effondre sous mes pieds. La gifle est plus forte que si son poing m'avait frappée. Je suis dévastée, trahie, humiliée jusqu'à la moelle. Comment a-t-il pu être aussi cruel ? Comment ai-je pu être aussi aveugle ? Ma naïveté m'a rendue vulnérable à une telle méchanceté. Mais mes larmes vont vite se transformer en une colère froide, glaciale. Brandon Scott, tu as voulu jouer ? Très bien. Mais ce n'est pas ta « petite provinciale » qui va se présenter, et ton ami Kyle ne sera pas le seul à être surpris.
Le train de Brest s'immobilise, et mon cœur bat à l'unisson avec l'excitation de ma rencontre imminente. Six mois de conversations enflammées avec Brandon Scott culmineront demain, ici, à Paris.
Mais ce soir-là, un coup de fil anodin me pousse à écouter en secret sa partie de poker en ligne.
Et là, j'entends l'homme de mes rêves me décrire comme « la petite provinciale » naïve, mes cadeaux bretons comme des « trucs de paysan » bons pour la femme de ménage. Il ordonne même à son ami, Kyle, de me « virer poliment » à sa place.
Le sol s'effondre sous mes pieds. La gifle est plus forte que si son poing m'avait frappée. Je suis dévastée, trahie, humiliée jusqu'à la moelle.
Comment a-t-il pu être aussi cruel ? Comment ai-je pu être aussi aveugle ? Ma naïveté m'a rendue vulnérable à une telle méchanceté.
Mais mes larmes vont vite se transformer en une colère froide, glaciale. Brandon Scott, tu as voulu jouer ? Très bien. Mais ce n'est pas ta « petite provinciale » qui va se présenter, et ton ami Kyle ne sera pas le seul à être surpris.
Nouvelle
Le rapport médical dans ma main tremblait légèrement. Les mots noirs dansaient devant mes yeux : une maladie sexuellement transmissible, incurable, agressive. Le nom de Jean-Luc Moreau, mon fiancé, était là, en haut, mais je savais, avec une certitude terrifiante, que ce poison venait de Sophie Laurent, ma meilleure amie. J'étais devant la porte de l'appartement que Jean-Luc et moi devions partager. Des rires, des murmures, des soupirs qui n'étaient pas les miens. Dans ma vie précédente, j'aurais défoncé cette porte, brandi ce rapport. J' aurais crié ma trahison au monde. Et je l'avais fait. Le souvenir était une cicatrice brûlante. Sophie, humiliée, avait fui, heurtée de plein fouet par une voiture. Morte sur le coup. Jean-Luc ne m'avait jamais pardonné. À ses yeux, j'étais une meurtrière. Son amour pour Sophie s'était transformé en haine. Il avait maintenu notre mariage, un piège cruel. Le jour de nos noces, dans la chambre d'hôtel, il m'avait livrée à une bande d'hommes, filmant tout, un sourire de vengeance sur son visage. La torture avait duré des jours. Mais le destin m'avait donné une seconde chance. Je m'étais réveillée quelques mois plus tôt, le jour même où je devais recevoir les résultats de l'enquête que j'avais commandée sur Jean-Luc, soupçonnant déjà son infidélité. Cette fois, je ne défoncerai pas la porte. Je ne crierai pas. Je ne sauverai personne de son propre poison. Ma main, ne tremblant plus, tourna doucement la clé. La porte s'entrouvrit sans un bruit. Sur le canapé, Jean-Luc et Sophie étaient enlacés. « Tu es sûr que ça va ? » demanda Jean-Luc, sa voix pleine d'une tendresse que je ne lui avais jamais connue. « Tu as l'air si fatiguée ces derniers temps. » Sophie se blottit. « Ce n'est rien, mon amour. » « Juste un petit virus, le médecin a dit que ça passerait avec du repos. » Un petit virus. Mon regard dériva vers le croquis de ma robe de mariée sur la table basse. La nausée m'envahit. Je reculai doucement, refermant la porte avec une précision de chirurgien. Puis, mon père. Il me serra dans ses bras. « Papa, » ai-je sangloté. « C'est fini. » « Je ne l'épouserai pas. » « Je sais, Amélie. » « Comment... ? » « Moi aussi, Amélie. » « Je me souviens de tout. » Le sol se déroba. Ce n'était plus ma vengeance. C'était la nôtre. Une nouvelle force, froide et puissante, s'installa en moi.
Nouvelle
La dernière chose que j'ai vue, c'était le visage déformé par une joie cruelle de Chloé Moreau, ma soi-disant meilleure amie. Ma voiture plongeait dans le vide, les freins sabotés, l'abîme m'engloutissant. Elle m' avait hurlé que j' avais toujours tout eu, et surtout Marc, mon fiancé, qui, selon elle, aurait dû être à elle. J'avais cru à ses mensonges dans ma vie antérieure, quand elle m'avait montré de fausses preuves que Marc me trompait, me poussant à rompre nos fiançailles, à l'insulter, à le repousser, le cœur brisé et le sien anéanti. Mais Chloé, frustrée que Marc n'ait jamais cédé à ses avances malgré mes renoncements, avait décidé que si elle ne pouvait pas l'avoir, personne ne l'aurait. Elle avait saboté ma voiture, et quand ça n'avait pas suffi, elle m'avait entraînée à mon dernier souffle vers le précipice. La douleur avait été brève, mais la trahison, elle, éternelle, alors que je fermais les yeux sur son sourire triomphant. Et puis, je les ai rouverts, me retrouvant dans mon lit, l'odeur du café, Marc à mes côtés, le jour de l'annonce de nos fiançailles. J'étais revenue, avec une seconde chance. Cette fois, personne ne me prendrait mon bonheur, surtout pas elle.
Nouvelle
À vingt ans, le poids des dettes familiales m'étouffait, me poussant vers un mariage arrangé censé nous sauver de la ruine. J'ai choisi son nom, Antoine Lefèvre, l'homme que j'aimais éperdument, mais notre mariage est devenu mon pire cauchemar. Enceinte, à l'agonie sur ma couche, j'ai vu Antoine éventrer mon ventre, écraser notre nouveau-né, avant de siffler : "Tout ça, c'est de ta faute. Colette ne se serait jamais réfugiée à la campagne. Des vagabonds l'ont agressée là-bas. C'est toi qui l'as mise en danger !" Quatre heures d'horreur, trahie, agonisant seule, tandis qu'il préparait les funérailles grandioses de sa maîtresse, me jetant, moi, à la fosse commune, oubliée de tous, sauf d'un homme. Cet homme, Henri de Montaigne, a recueilli mon corps, a vengé ma mort avant de se donner la sienne sur ma tombe ; aujourd'hui, j'ai rouvert les yeux, et cette fois, le sort n'aura pas le dernier mot. Cette fois, je ne manipulerai pas le tirage au sort, je ne ferai pas le même choix. Cette fois, je m'agenouille devant mon père et je n'ai qu'une seule demande : "Père, je vous en supplie, arrangez mon mariage avec Henri de Montaigne." Alors que je pensais mon destin enfin scellé, le passé m'attendait au détour d'une ruelle, Antoine et Colette. Elle s'effondre, simule, m'accuse d'avoir brisé la jambe de son frère, tout en me dénigrant à voix haute : "Madame, si je vous ai offensée en quoi que ce soit, vous pouvez me frapper, m'insulter... mais pourquoi ? Pourquoi avez-vous fait briser la jambe de mon frère ?" Antoine, protecteur, me toise de son mépris : "Je te croyais plus digne que ça. Tu as déjà supplié ta famille d'arranger un mariage ! Écoute-moi bien, Adeline. Si tu ne t'agenouilles pas immédiatement pour t'excuser auprès de Colette, je te jure que même si je dois défier les ordres de nos familles, tu ne mettras jamais un pied dans la mienne !" Ma servante, Marie, les gifle chacun à tour de rôle, défiant leur arrogance. Mon rire sec fuse : "Le gendre ? Tu penses vraiment que le document de mariage que mon père m'a donné porte ton nom ?" Il persiste, aveuglé par sa vanité : "Évidemment. Tu m'aimes de façon si éhontée depuis des années. Tu as attendu jusqu'à devenir une vieille fille juste pour moi. Si ce n'est pas mon nom, ce serait celui de qui ?" "Arrête de rêver", lui dis-je, avant d'ordonner aux gardes d'éloigner Antoine. Le lendemain, mon sanctuaire, la source thermale où je prépare les remèdes pour Henri, est profané. Antoine s'y prélasse, avec Colette et son frère infirme, qui se sert de ma source pour son "bain". "Quand elle m'épousera", ricane Antoine, "toutes les propriétés de sa famille seront à moi. Absolument tout. Alors, quel mal y a-t-il à ce que ton frère se baigne dans ma source ? Oserait-elle me dire non ?" Mes propres gardes, corrompus par ses mensonges, me méprisent. La rage me submerge. Je dégaine mon couteau et égorge les deux gardes qui m'ont manqué de respect. Cette fois, personne n'hésite. Antoine, fou de rage, me pousse dans la source, me laissant me noyer. Un homme masqué me tire hors de l'eau, sa voix rauque me dit : "Madame, je suis arrivé en retard." C'est Henri. "Je sais que Madame n'a demandé à épouser votre humble serviteur que pour provoquer Monsieur Antoine. Demain, j'irai moi-même voir votre père pour rompre les fiançailles. Je ne veux pas vous mettre dans l'embarras." Je le retiens, ma voix nouvelle, mes mots clairs : "Il n'y a personne d'autre. Depuis le début, la seule personne que je voulais épouser, c'était toi." Ses oreilles rougissent. De retour chez moi, le valet d'Antoine exige deux sages-femmes pour Colette, enceinte. Je le fais battre. Antoine et Colette débarquent, il me gifle, m'humilie devant toute la maison. Mais cette fois, je me relève, mon âme libérée : "Antoine Lefèvre, Cette gifle efface tout ce qu'il y a eu entre nous. Nous sommes quittes." Des gardes armés entrent, ma voix porte ma décision : "Antoine Lefèvre a tenté de tuer la fille du boulanger du duc. Traînez-le dehors et battez-le à mort." Sa mère le sauve de justesse, me soumettant à de nouvelles humiliations, tentant même de me faire violer par son fils, avant que Henri ne m'arrache à ses griffes. "Dans trois jours, le jour de ton mariage, tu épouseras un coq !" lance-t-elle, au comble de sa fureur. Le jour du mariage, un coq est là, Henri le décapite d'un coup d'épée. Antoine arrive, incrédule, pour s'apercevoir que le destin a changé. Mon document de mariage, bien en vue, ne porte que nos noms, Henri et le mien. "Impossible ! C'est impossible ! Tu m'as toujours aimé !" "Assez !" La foule murmure l'humiliation du jeune homme. Colette, traînée par Marie, pâle et terrifiée, le ventre arrondi, confirme mes dires. La famille Lefèvre est ruinée, Antoine ligoté et traîné dehors. Mon cœur est empli de paix, et je jure fidélité à Henri. Le lendemain, notre cortège nuptial s'étire sur dix lieues. Henri promet fidélité à mon père : "Si un jour je manque à mon devoir envers Madame, que le ciel me punisse et que je meure misérablement." Sa mère, bienveillante, me révèle la blessure d'Henri : "Henri a été blessé lors d'une bataille il y a quelques années. Une attaque surprise de l'ennemi. Son visage... il a été défiguré." "Je l'aime." Henri retire son masque, et son visage est parfait, d'une beauté saisissante. Il avoue : "Je voulais juste t'attendre. Toi. J'avais peur que d'autres familles essaient d'arranger un mariage avec moi... Alors..." "Alors tu as inventé toutes ces rumeurs ?" Son hochement de tête coupable me fait rire. "C'est trop tard pour changer d'avis. Et tu n'auras plus jamais à vivre caché derrière un masque." Nous nous embrassons sous le pêcher en fleurs, mon bonheur est complet.
Nouvelle
Alexandre Dubois et Sophie Moreau, mercenaires d'élite du "Cercle Noir", étaient inséparables, leurs vies entrelacées par le danger et un amour silencieux qu'Alexandre nourrissait depuis des années. Mais l'arrivée de Marc Fournier, leur nouveau client, riche héritier charismatique, a brisé cette illusion de normalité. Sous les yeux d'Alexandre, Sophie s'est transformée, affichant une tendresse inédite, ignorant les règles pour Marc, allant jusqu'à lui offrir leur précieux symbole, une douille gravée de leur sacrifice commun. Comment Sophie a-t-elle pu jeter aux orties une décennie de loyauté, d'amour et de sang partagé pour un homme qu'elle venait à peine de rencontrer ? Détruit par cette trahison, Alexandre choisit la vengeance : il simule son homosexualité devant Sophie et Marc, dans une tentative désespérée de la blesser en retour, avant de clore ce chapitre douloureux.
Nouvelle
Une douleur fulgurante m'a transpercé le bas-ventre, me coupant le souffle, alors que je venais de finir un dîner silencieux et tendu avec Marc, mon fiancé. Pliée en deux, la sueur froide au front, j'ai supplié : « J'ai mal… Appelle une ambulance, s'il te plaît. » Mais Marc, les yeux rivés sur son téléphone, m'a toisée avec un dégoût glacial : « Qu'est-ce que tu as encore, Jeanne ? Arrête ton cinéma. J'ai une réunion capitale demain, je ne peux pas passer ma nuit aux urgences pour un mal de ventre. Prends un Doliprane et va te coucher. » Sa cruauté m'a frappée plus fort que la douleur physique. Quand j'ai tenté d'appeler les secours moi-même, il m'a arraché mon téléphone, hurlant : « Ne me fais pas honte. Pense à l'image de la famille. » Le choc que j'ai ressenti en moi n'était pas seulement physique, mais la déflagration de l'amour autrefois partagé, anéanti par sa lâcheté et son mépris. Je l'ai regardé droit dans les yeux, ma voix claire et ferme malgré la douleur : « C'est fini, Marc. » Alors que j'agonisais sur le sol de notre appartement, seule, forcée d'appeler l'aide avec mon téléphone professionnel, il me menaçait de ruiner ma carrière et ma vie, prouvant que la Jeanne naïve et amoureuse était morte dans l'ambulance, et qu'une avocate, froide et déterminée, allait désormais se battre.
Nouvelle
Le téléphone a sonné, strident, brisant le silence pesant de mon appartement. Jeanne Dubois, architecte paysagiste de renom. C'était moi, avant. Maintenant, j'étais juste la sœur de Paul. La sœur d'un criminel, selon eux. Mon petit frère, Paul, dix-neuf ans, broyé et jeté en prison pour une fraude financière qu'il n'avait pas commise. « Mademoiselle Dubois. » La voix du père d'Alexandre de Varenne, l'homme dont le fils avait détruit le mien, résonnait, lourde d'une autorité qui ne tolérait aucune discussion. « Votre frère est jeune, il a fait une erreur. Mon fils aussi. Retirez votre plainte. Faites en sorte que votre frère admette sa seule culpabilité. En échange, je pourrai user de mon influence pour que sa peine soit... clémente. » Une erreur. Il appelait ça une erreur. J'ai crié, supplié, frappé à toutes les portes. La justice m'avait glacée, les avocats s'étaient désistés, j'avais été menacée, mon appartement "visité". Ils m'avaient humiliée, isolée, poussée au bord du gouffre. J'avais échoué. J'étais seule. Puis, une image s'est imposée. Mon père, le jour de son départ pour sa dernière mission. « Prends soin de Paul, Jeanne. Et n'oublie jamais, même dans la nuit la plus noire, une seule petite lumière peut tout changer. » Mes yeux se sont posés sur une vieille malle en bois, celle de mon père, jamais ouverte depuis sa mort. Une nouvelle force, froide et tranchante, a surgi en moi. Ce n'était plus du désespoir. C'était de la rage. Une rage pure. « Allez au diable. » J'ai raccroché. J'ai ouvert la malle de mon père. À l'intérieur, sous des vêtements et des souvenirs, il y avait ce que je cherchais. Un carnet de bord et un paquet de lettres. L'écriture de mon père, des noms, des dates, des lieux. Trafic d'armes, détournements de fonds. Et parmi les noms, celui de la famille de Varenne. Alexandre n'était pas juste un jeune délinquant. Il était l'héritier d'un empire bâti sur la misère et la mort. Mon père n'était pas seulement un médecin. Il était un témoin. Il avait collecté des preuves pendant des années, des preuves capables de faire s'effondrer des fortunes. Sa mort, officiellement un "accident", prenait soudain un sens terrible. Ils ne l'avaient pas seulement tué. Ils avaient essayé de faire taire la vérité avec lui. Mais ils avaient oublié une chose. Ils avaient oublié sa fille. La rage avait laissé place à une détermination glaciale. Ils voulaient une guerre ? Ils allaient l'avoir. Mais pas sur leur terrain.
Elena, ancienne héritière choyée, a soudain tout perdu lorsque la vraie héritière l'a piégée, que son fiancé l'a ridiculisée et que ses parents adoptifs l'ont jetée dehors. Tous voulaient la voir tomber. Mais Elena a dévoilé sa véritable identité : l'héritière d'une fortune colossale, une hackeuse célèbre, une créatrice de bijoux de premier plan, une auteure secrète et un médecin doué. Effrayés par son retour en force, ses parents adoptifs lui ont réclamé la moitié de sa nouvelle fortune. Elena a dénoncé leur cruauté et a refusé. Son ex l'a suppliée de lui donner une autre chance, mais elle s'est moquée : « Tu crois que tu le mérites ? » C'est alors qu'un puissant magnat lui propose gentiment : « Tu veux m'épouser ? »
« Que savez-vous vraiment de la trahison ? Rien ou pas grande choses probablement. Moi, je l'ai vécue. » La trahison est l'une des blessures les plus silencieuses, mais les plus ravageuses. Elle ne hurle pas, elle s'infiltre - dans les regards détournés, dans les mots qui changent de ton, dans les gestes qui deviennent froids. Ce qui la rend insupportable, c'est qu'elle vient souvent de ceux dont on n'aurait jamais douté. Commençons. À 18 ans, elle perdit tout en une seule journée. Les voix qui l'entouraient, jadis pleines de tendresse, s'étaient changées en jugements acérés. Celui dont l'amour semblait acquis détourna les yeux, sans même chercher à comprendre. On la bannit sans explication, sans appel. Elle disparut, brisée, abandonnée, effacée. Sept années s'écoulèrent dans l'ombre. Lorsqu'elle réapparut, elle n'était plus la même. Dans son regard : la tempête calmée d'une survivante. À ses côtés marchait un garçon aux yeux perçants, silencieux mais dangereux - son fils. On la raillait, la traitant de mère indigne. On murmurait sur son passage : « enfant né sans père » ...sans savoir qu'il était le fils caché, inavoué, d'un puissant PDG - dissimulé par sa mère pour mieux le protéger... ou mieux frapper.
Pour payer les frais médicaux de son frère, Rozanne Clark a été forcée de coucher avec un inconnu, sans savoir qu'il s'agissait de Zayden Nelson, le président du groupe Accenco. Cependant, elle a été chassée de la famille Clark dès qu'elle a terminé sa tâche. Elle n'a donc eu d'autre choix que de partir à l'étranger. Plus tard, elle a donné naissance à une paire de jumeaux. Cinq ans plus tard, Rozanne a terminé ses études et est devenue andrologue. Un jour, elle a rencontré Zayden à l'hôpital. Zayden était beau et super riche. Cependant, son seul défaut était qu'il ne s'intéressait à aucune femme. Il a donc demandé à Rozanne de lui rendre visite pour soigner sa maladie. Pendant ce temps, il continuait à chercher la femme avec laquelle il a couché il y a cinq ans. De façon inattendue, une fois touché par Rozanne, la bosse de Zayden a durci de façon incontrôlable...
Jennifer Smith était la fille d'Alpha. Sa famille a été détruite par des traîtres qui venaient du sein de leur meute. Sa mère est décédée d'une maladie; son père a été assassiné par le Beta ; et sa meute a été occupée. Seule et emprisonnée, Jennifer s'est échappée pour avoir recours à la meute de Dark River, où elle a fini par être réduite en esclavage. Bien qu'elle ait été constamment maltraitée et insultée, elle n'a jamais cédé ni admis sa défaite. Son compagnon s'est avéré être Anthony Jones, le prince lycan du royaume d'Osman. Le royaume d'Osman régnait sur toutes les meutes. Mais le noble prince semblait avoir son propre secret. Le pouvoir puissant de Jennifer a attiré le prince et elle a rapidement été amenée au terrain royal d'entraînement, où son destin a changé à jamais. Avide de vengeance contre ceux qui avaient détruit sa famille, Jennifer s'est donnée coprs et âme à l'entraînement. Le prince Anthony refuserait-il Jennifer à cause de son humble identité ? Que leur arriverait-il sur le terrain d'entraînement ? Que choisirait-elle entre l'amour et la haine ? Et quel était le secret du prince ?
"Moi, Louise Laurent, je me tiens devant toi, Gérard Langlois , le cœur lourd. Par la présente, je te rejette en tant que mon âme sœur. Le lien que nous avons jadis partagé est devenu fragile, et mon âme aspire à un chemin différent. Puisses-tu trouver le réconfort dans l'amour d'une autre, et puissions-nous tous deux trouver le bonheur que nous recherchons." Gérard n'a pas dit un mot et m'a regardée. Mais il a refusé d'accepter. *********** Louise Laurent est la prochaine Alpha en ligne de la meute de la bande de cendre. Elle cache son identité et s'accouple avec l'Alpha Gérard Langlois de la meute du Lac de Lune, . Trois ans ont passé, mais Gérard refuse toujours de laisser partir son amour d'enfance. Louise est maltraitée et finalement calomniée par cet amour d'enfance. Maintenant, elle part avec cette humiliation et retourne à sa meute, jurant de se venger de ceux qui lui ont fait du mal. Ils attendaient tous qu'elle revienne et implore leur pardon, mais que se passe-t-il lorsqu'ils réalisent que la célèbre meute du Band de Cendre, qui allait aider à la guerre contre les loups solitaires, était dirigée par une femme nommée Louise Laurent . Maintenant, ses Ex partenaires la veulent de retour. Les autres Alphas veulent cette femme... Mais va-t-elle accepter l'un d'eux ? Ou va-t-elle rester indépendante pour toujours ?...
Yelena a découvert qu'elle n'était pas l'enfant biologique de ses parents. Après avoir déjoué leur stratagème qui consistait à l'échanger comme un pion dans une affaire commerciale, elle a été renvoyée dans son lieu de naissance pauvre. C'est là qu'elle a découvert ses véritables origines, une lignée d'une opulence historique. Sa vraie famille l'a comblée d'amour et d'adoration. Face à la jalousie de sa soi-disant sœur, Yelena a surmonté tous les obstacles et pris sa revanche, tout en mettant en valeur ses talents. Elle a rapidement attiré l'attention du célibataire le plus charmant de la ville. Il a coincé Yelena et l'a plaquée contre le mur. « Il est temps de révéler ta véritable identité, ma chérie. »
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