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À 18 ans, j'étais Amélie, la prodige de la pâtisserie lyonnaise, sur le point de conquérir la finale du Meilleur Apprenti de France. Mon rêve s'est brisé en direct à la télévision, quand on m'a accusée de tricherie, un micro-écouteur caché dans ma broche. L'humiliation fut telle que mes parents, incapables de supporter la honte, se sont suicidés, et mon cœur a lâché dans le froid glacial de ma cellule. Qui ? Pourquoi cette haine si féroce de la part d'inconnus, détruisant tout ce que j'avais ? Mais au lieu de la mort, je me suis réveillée dans ma chambre, la veille du drame, avec la voix de Chloé, ma meilleure amie, me souhaitant une bonne nuit.
À 18 ans, j'étais Amélie, la prodige de la pâtisserie lyonnaise, sur le point de conquérir la finale du Meilleur Apprenti de France.
Mon rêve s'est brisé en direct à la télévision, quand on m'a accusée de tricherie, un micro-écouteur caché dans ma broche.
L'humiliation fut telle que mes parents, incapables de supporter la honte, se sont suicidés, et mon cœur a lâché dans le froid glacial de ma cellule.
Qui ? Pourquoi cette haine si féroce de la part d'inconnus, détruisant tout ce que j'avais ?
Mais au lieu de la mort, je me suis réveillée dans ma chambre, la veille du drame, avec la voix de Chloé, ma meilleure amie, me souhaitant une bonne nuit.
Nouvelle
Le froid. C'était la dernière chose que j'avais sentie en mourant, abandonnée dans une ruelle parisienne. Puis, une lumière aveuglante et une voix familière, pleine de colère : celle de Marc, mon fiancé. Je venais de revenir. J'étais de retour au jour même où tout avait commencé, la dispute qui allait détruire ma vie. J'avais une seconde chance de tout changer, de sauver mes parents du scandale et de la mort. Mais même en modifiant le passé, le destin semblait se refermer sur moi. Une vidéo infâme de moi, dans un hôtel de luxe avec plusieurs hommes, inondait Internet, accompagnée d' une vague de haine virulente. Mon fiancé, Marc, m'a hurlé sa rage, refusant de croire mes dénégations, aveuglé par les preuves : ma fausse carte d' identité, mon ADN retrouvé sur une coupe de champagne dans la suite. J' étais un monstre, une traînée, aux yeux du monde, de mon employeur, de mes voisins, et même de Marc. Comment était-ce possible ? Je n'avais pas été là ! Mon nom, ma réputation, ma vie : tout était détruit, et pourtant, j'étais innocente. Mais en pleine déroute, un éclair de lucidité : la carte de crédit utilisée pour payer la suite, une American Express Platinum, n' était pas la mienne. C' était la sienne. Celle de Marc. Et ma vieille carte d' identité, utilisée pour l'enregistrement, la seule que je ne possédais plus, il l' avait eue en sa possession. Le piège était diabolique, mais j'avais une nouvelle certitude, une certitude glaçante : je savais par où commencer.
Nouvelle
Ma vie, architecte d'intérieur à Paris, semblait parfaite sur le papier. Jusqu'à ce que j'aie cette conversation glaçante avec Sophie, mon amie de toujours. Elle venait de m'annoncer l'impensable : nos maris partageaient la même maîtresse, une certaine Chloé. La trahison m'a clouée sur place, un coup de poignard dans le dos. Le dîner que j'avais préparé pour Marc, mon mari restaurateur, ce soir-là, est resté froid. Il n'est jamais rentré, préférant Chloé, me laissant face au silence et à la colère. Le lendemain, les aveux ont été impitoyables. "Les papiers du divorce", lui ai-je tendus. Il n'a pas combattu, il a juste murmuré : "C'est Chloé Dubois. Mon amour de jeunesse." Le mépris dans ses yeux s' est accru, et j'ai su que tout était fini. Je me suis jurée de ne pas me laisser abattre. Puis, l'impensable est arrivé. En me rendant au bureau de Marc pour finaliser un dossier, je l'ai trouvée là. Chloé. Elle a joué de son hypocrisie avant de simuler une agression, me renversant du café dessus, et hurlant à l' aide. Marc est accouru, ne me laissant même pas m' expliquer. Dans ses yeux, il n' y avait que du mépris. "Tu es pathétique ! Sors d' ici ! Sors de ma vie !" m' a-t-il crié. À cet instant précis, j'ai compris. Je n'étais plus qu'un fantôme pour lui. Mon amour s'est éteint en moi, laissant place à un vide glacial et à une soif de vengeance. J'ai claqué la porte derrière moi, et une nouvelle femme est née. Je n'étais plus Léa Dupont, l'architecte trompée, mais un instrument de justice. Et il allait payer, de la manière la plus amère qui soit.
Nouvelle
C' était le jour du choix, la cérémonie emblématique qui scellerait mon destin. Ma robe haute couture, imprégnée de l' aura unique de ma lignée Dubois, devait désigner l' homme à qui j' offrirais mon empire et mon âme. Mais mon cœur, lui, battait la chamade, non pas d' amour, mais de la terreur glacée d' un souvenir. Car j' avais déjà vécu ce jour. Dans ma vie antérieure, Antoine Dubois, l' héritier flamboyant, avait été mon obsession. Aveuglée par un amour insensé, j' avais commis l' impensable : j' avais manipulé l' aura pour le choisir lui. Pour lui, j' avais tout sacrifié : mon talent, ma fortune, mon être. Je l' avais élevé au rang d' empereur de la mode internationale, un nom vénéré de tous. Et le jour de notre triomphe, de notre couronnement, il m' a trahie. « Léa Dubois, tu es répudiée. » Ses mots résonnent encore, glas funèbre. Devant l' élite mondiale, il m' a humiliée. Il a anéanti ma famille, s' emparant de nos biens, de nos secrets. Il m' a fait défigurer, briser les mains qui avaient bâti sa gloire. J' ai été réduite en esclavage, jouet de ceux qui m' avaient servi. « Tu n' étais qu' un prétexte pour que je puisse conquérir le monde de la mode ! » Il avait craché ces mots avec un mépris infini, alors que je gisais dans la fange, avant d' ajouter : « Sans toi, j' aurais tout aussi bien réussi ! C' est à cause de toi que Camille a été forcée d' épouser un autre et a été brisée ! Tu vas payer pour ça ! » Camille, sa maîtresse, la chanteuse de rue innocente qu' il gardait secrètement à ses côtés. Pourquoi moi ? Pourquoi tant de haine ? Je n' ai jamais cessé de me poser la question. Mais le destin, dans sa cruauté ou sa pitié, m' a offert une seconde chance. Je suis revenue. Revenue à cet instant précis, dans cette salle, quelques instants avant que la cérémonie ne commence. Cette fois, je ne commettrai pas la même erreur. Je ne manipulerai rien. Je laisserai l' aura choisir.
Nouvelle
À la veille de mon mariage, la vie était parfaite : une carrière brillante comme architecte de "smart city" et l'amour d' Édouard Lefèvre, le PDG charismatique dont j' étais folle. Puis, une intuition glaciale m'a poussée à ouvrir le dossier secret sur son ordinateur qui a tout brisé. Chaque e-mail, chaque conversation a révélé que j' étais une simple étape dans son plan machiavélique pour voler mes innovations, me vidant de ma substance professionnelle et personnelle. Le sol s'est dérobé sous mes pieds, une trahison si totale que la pièce a commencé à tourner. Le lendemain, au lieu de la mairie, son bureau a été le théâtre de ma rage, où son visage s' est figé dans un masque de mépris. « Aurore, sois réaliste, » a-t-il lancé, sa voix dénuée d' émotion. « Tes innovations ? Sans moi, elles ne seraient rien. Maintenant, sors de mon bureau. » En quelques heures, j'ai tout perdu : mon fiancé, mon travail, ma réputation. Édouard a usé de son pouvoir pour me bannir de la profession, personne ne voulait plus m'embaucher. Quand Marc Dubois, mon ancien rival, a frappé à ma porte, je n' aurais jamais imaginé l' ampleur de la manipulation à venir. Il m' a avoué son amour secret, proposé de créer notre entreprise. Ensemble, notre succès a été fulgurant, me faisant oublier la douleur passée, jusqu' à ce que le destin me frappe une seconde fois, plus fort encore. En rentrant au bureau plus tôt que prévu, j' ai entendu Marc au téléphone avec son ex, Sophie Bernard. « Sophie, mon amour, » disait-il, « Aurore est si facile à manipuler. » C' était une mise en scène macabre, mon sauveur s' avérant être un monstre encore plus froid que le premier. Dévastée, le cœur en miettes, j' ai découvert une « porte de sortie » sur mon « Système de gestion de carrière », une option pour l' échec total. « Êtes-vous sûre de vouloir initier la procédure de 'disparition' ? Cette action est irréversible. » « Oui, » ai-je murmuré, « Fais-moi disparaître de ce monde. »
Nouvelle
Le curseur clignotait sur "Soumettre". Mon rêve, celui de reprendre "Le Délice d'Antan" avec Sophie et Marc, mes amis d'enfance, mes frères de cœur, était à portée de clic.\n\nMais un intrus, Antoine Moreau, influenceur charismatique au sourire parfait, venait de briser ce pacte sacré. Il s'était immiscé dans nos vies, tissant sa toile, volant mes créations, s'appropriant mon univers.\n\nLa veille, je l'avais surpris dans mon laboratoire de pâtisserie, mon sanctuaire, le carnet de mes recettes secrètes entre les mains. Quand j'avais enfin osé protester, Sophie et Marc s'étaient interposés, non pour me défendre, mais pour le protéger, ce gamin qu'ils connaissaient à peine.\n\n« Ne sois pas si paranoïaque et égoïste », m'avait lancé Sophie, la voix froide. « Antoine peut nous apporter tellement. Tu penses à l'avenir du restaurant ou seulement à tes petits gâteaux ? » Marc avait ri de mes accusations, aveuglé par la promesse de célébrité.\n\nLeurs mots étaient des coups de poignard. Mes amis, ma famille, m'avaient trahi, me laissant seul face à un prédateur. La douleur était insoutenable, la colère immense.\n\nJe n'avais plus rien à faire ici. Mon avenir ne s'écrirait pas avec eux. Je cliquai. « Soumettre ». Une nouvelle vie, loin de Paris, loin d'eux, allait commencer à l'Institut Paul Bocuse.
Nouvelle
Amélie, une enfant brisée par le chagrin, fut recueillie par Monsieur Dubois, un ami de son père, qui fit d'elle sa princesse, la couvrant de luxe et d'attentions. Elle grandit dans cette cage dorée, bercée par l'illusion d'un bonheur retrouvé. Pourtant, le soir de ses dix-huit ans, un geste innocent – le simple fait de s'emparer d'un chapelet maternel – fit basculer son univers. Monsieur Dubois, le visage déformé par la fureur, la traita de "dégoutante", l'accusant d'un "désir incestueux". Du jour au lendemain, son monde s'écroula. Son rêve d'intégrer la Sorbonne fut réduit en miettes, sa lettre d'admission déchirée sous ses yeux. Elle fut bannie, envoyée de force dans une abbaye reculée, un lieu d'horreur où elle fut soumise à des tortures physiques et psychologiques inimaginables pendant trois longues années. Pourquoi une telle cruauté ? Pourquoi tant de haine pour un amour filial qu'il avait lui-même cultivé ? La petite fille adorée était devenue une anomalie, une chose "dégoûtante" à ses yeux. Lorsque Monsieur Dubois revint la chercher, il n'était pas seul, accompagné de Claire, sa nouvelle fiancée, dont le sourire dissimulait une âme machiavélique. Amélie se retrouva piégée, ignorée par celui qu'elle considérait comme son oncle, et victime des machinations de Claire. Mais Amélie, bien que brisée, avait un plan : fuir. Elle économisa et acheta un billet simple pour le Canada. Son départ était imminent, une nouvelle vie l'attendait, loin de cet enfer.
Pour payer les frais médicaux de son frère, Rozanne Clark a été forcée de coucher avec un inconnu, sans savoir qu'il s'agissait de Zayden Nelson, le président du groupe Accenco. Cependant, elle a été chassée de la famille Clark dès qu'elle a terminé sa tâche. Elle n'a donc eu d'autre choix que de partir à l'étranger. Plus tard, elle a donné naissance à une paire de jumeaux. Cinq ans plus tard, Rozanne a terminé ses études et est devenue andrologue. Un jour, elle a rencontré Zayden à l'hôpital. Zayden était beau et super riche. Cependant, son seul défaut était qu'il ne s'intéressait à aucune femme. Il a donc demandé à Rozanne de lui rendre visite pour soigner sa maladie. Pendant ce temps, il continuait à chercher la femme avec laquelle il a couché il y a cinq ans. De façon inattendue, une fois touché par Rozanne, la bosse de Zayden a durci de façon incontrôlable...
Elle, le vilain petit canard de la famille Gale, porte sur ses frêles épaules le poids d'une réputation infamante. Lui, un homme à la stature noble et au mystère envoûtant, est l'objet de tous les désirs féminins à Bentson City. Tandis que chaque femme rêve de devenir son épouse, elle ne songe qu'à se libérer de cette union. Mais cet homme, avec une autorité implacable, la bloque dans un recoin et déclare : « Divorcer ? Tu n'y penseras qu'après ma mort ! » Si elle n'avait pas été piégée par la ruse de sa sœur, jamais cet homme influent n'aurait croisé son chemin. Alors qu'elle se préparait à vivre un cauchemar sans fin, elle découvre, à sa grande surprise, qu'il la traite comme une précieuse princesse, chérie au-delà de ses espérances.
Pour Stella, le mariage a été un lit d'épines. Elle a vécu comme une esclave pendant six ans, s'occupant de tout pour son mari. Un jour, Waylon, son mari insensible, lui a dit : « Ayla va bientôt revenir. Tu dois déménager demain. » « Je veux divorcer », a répondu Stella. Elle est partie sans verser une larme ni essayer de dissuader Waylon. Quelques jours après leur divorce, ils se sont revus. Mais Stella se trouvait dans les bras d'un autre homme. Le sang de Waylon s'est mis à bouillir en la voyant si heureuse. « Alors, tu n'as même pas pu attendre un peu avant de te jeter dans les bras d'un autre homme ? », a-t-il demandé avec dégoût. « Tu te prends pour qui pour remettre en cause ma décision ? C'est ma vie, c'est moi qui décide. Ne te mêle pas de mes affaires ! » Stella l'a fusillé du regard avant de se retourner pour regarder son nouvel homme avec des yeux brillants. Waylon a immédiatement perdu les pédales.
Après avoir caché sa véritable identité pendant les trois années de son mariage avec Colton, Allison s'est engagée à fond, mais elle s'est retrouvée négligée et poussée vers le divorce. Découragée, elle a entrepris de redécouvrir sa véritable personnalité - une parfumeuse talentueuse, le cerveau d'une célèbre agence de renseignements et l'héritière d'un réseau secret de pirates informatiques. Conscient de ses erreurs, Colton a exprimé ses regrets : « Je sais que j'ai fait des erreurs. S'il te plaît, donne-moi une autre chance. » Pourtant, Kellan, un magnat autrefois handicapé, s'est levé de son fauteuil roulant, a pris la main d'Allison et s'est moqué avec dédain : « Tu crois qu'elle va retourner avec toi ? Tu rêves ! »
Après deux ans de mariage, Sadie était enfin enceinte. Pleine d'espoir et de joie, elle a été prise au dépourvu lorsque Noah a demandé le divorce. Lors d'un meurtre prémédité, Sadie s'est retrouvée allongée dans une mare de sang, appelant désespérément Noah pour lui demander de la sauver, elle et le bébé. Mais ses appels sont restés sans réponse. Bouleversée par la trahison de Noah, elle a quitté le pays. Le temps passe et Sadie est sur le point de se marier pour la deuxième fois. Noah surgit, frénétique, et s'agenouille. « Comment oses-tu épouser quelqu'un d'autre après avoir mis au monde mon enfant ? »
"J'ai entendu dire que tu allais épouser Marceau. Est-ce peut-être ta revanche contre moi ? C'est très risible, Anneli. Cet homme peut à peine fonctionner." Sa famille d'accueil, son ex-infidèle, tout le monde pensait qu'Anneli allait vivre un enfer pur après s'être mariée à un homme handicapé et cruel. Elle ne savait pas si quelque chose de bon en sortirait, après tout, elle avait toujours pensé qu'il serait difficile pour quelqu'un de l'aimer, mais cet homme cruel avec des secrets sombres ne va jamais lui accorder un divorce, car elle le fait oublier comment respirer.
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