Ma vie était celle d'un vigneron comblé. Le domaine Dubois, mon héritage, était mon monde. Élodie, ma femme, et Luc, mon meilleur ami et maître de chai, étaient mes piliers. Puis vint ce jour, après mon soi-disant "accident de chasse" qui m'avait brisé la jambe. Devant tous nos distributeurs, Luc a levé son verre pour annoncer qu'IL était le nouveau propriétaire. Et Élodie l'a embrassé passionnément sous mes yeux. Je n'étais qu'un infirme en fauteuil roulant, poussé dans la salle, moqué, piégé. Ils m'avaient fait signer l'acte de cession en me faisant croire à un achat de terrain. Ma propre femme, la femme que j'aimais, se réjouissait de ma chute, me demandant de dégager. Ce n'était pas un accident, m'a révélé Luc, mon chauffeur avait tiré sur ses ordres. Trahi par ma femme, mon meilleur ami, l'homme de confiance, humilié et dépouillé de tout. Comment pouvaient-ils être si cruels, si lâches ? J'étais à genoux, brisé, vaincu... en apparence. Car au moment où ils célébraient leur victoire, mon sourire s'est esquissé. Et lentement, je me suis levé, mes deux jambes parfaitement solides, pour reprendre ma place. Leur jeu était terminé, mon contre-plan ne faisait que commencer.
Ma vie était celle d'un vigneron comblé.
Le domaine Dubois, mon héritage, était mon monde.
Élodie, ma femme, et Luc, mon meilleur ami et maître de chai, étaient mes piliers.
Puis vint ce jour, après mon soi-disant "accident de chasse" qui m'avait brisé la jambe.
Devant tous nos distributeurs, Luc a levé son verre pour annoncer qu'IL était le nouveau propriétaire.
Et Élodie l'a embrassé passionnément sous mes yeux.
Je n'étais qu'un infirme en fauteuil roulant, poussé dans la salle, moqué, piégé.
Ils m'avaient fait signer l'acte de cession en me faisant croire à un achat de terrain.
Ma propre femme, la femme que j'aimais, se réjouissait de ma chute, me demandant de dégager.
Ce n'était pas un accident, m'a révélé Luc, mon chauffeur avait tiré sur ses ordres.
Trahi par ma femme, mon meilleur ami, l'homme de confiance, humilié et dépouillé de tout.
Comment pouvaient-ils être si cruels, si lâches ?
J'étais à genoux, brisé, vaincu... en apparence.
Car au moment où ils célébraient leur victoire, mon sourire s'est esquissé.
Et lentement, je me suis levé, mes deux jambes parfaitement solides, pour reprendre ma place.
Leur jeu était terminé, mon contre-plan ne faisait que commencer.
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