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Premier round

Premier round

Olivier M.

5.0
avis
2.7K
Vues
32
Chapitres

Quatre hommes, que tout oppose, se réveillent dans un milieu hostile. Que font-ils là ? Qui les a piégés ? Ils devront dès lors lutter pour leur survie et vaincre leur propre noirceur. Quelles limites seront-ils prêts à franchir pour sauver leur peau ?

Chapitre 1 Jo

Mon verre de vin, un pessac-léognan d'un délicat rouge rubis, est toujours à portée de main. Quand je ne suis pas au travail, je bois. Pas au point de m'en rendre malade, bien entendu, mais assez pour me sentir bien. Oublier tous ces papillons noirs qui agitent parfois le creux de mon ventre... « L'alcool pâlit beaucoup de maux », m'a-t-on répété, tout gosse, tandis que ma mère rentrait saoule de ses fêtes sans modération entre copines.

Fils unique, j'ai appris à me débrouiller seul rapidement. À l'âge de neuf ans, plus personne ne m'accompagnait à l'école. Même le premier jour de la rentrée. À treize, je me préparais le dîner, mangeais et passais des soirées devant des jeux vidéo de type survival horror, attendant patiemment le retour de ma mère. Elle rentrait souvent tard, encore plus pintée que la veille. Mon cocon n'avait rien de familial. À seize, j'ai pris mon indépendance grâce à mon premier job : peintre en bâtiment. Je louais alors un studio dans les combles aménagés d'un couple de retraités, avec le strict minimum. Dix ans plus tard, je me délecte dans mon deux-pièces et suis désormais agent de sécurité dans une centrale nucléaire. J'assure mes fonctions la nuit.

Bien que le jour je dorme beaucoup, je consacre l'autre moitié de mon temps libre à peaufiner ma cave à vin, arrangée dans mon cellier. Un petit caviste me reçoit une fois par mois et me propose de découvrir de nouvelles saveurs, de nouveaux crus. J'ai un faible pour les vins terreux, à la robe foncée, avec un arrière-goût de végétaux, de sous-bois. Si la dégustation me convainc, je mets le prix et conserve les bouteilles pour les savourer à leur juste maturité. Sans attendre une occasion particulière. Occasion que je ne déclencherai pas... En revanche, il m'arrive également d'acheter de la piquette, pour m'enivrer à grosses lampées. Transmission sûrement maternelle.

Je n'ai pas d'amis, je n'en ai jamais eu. Au collège, évidemment, quelques potes avec qui je fumais à l'abri des regards, derrière une vieille usine abandonnée. Mais dès le premier jour de mon émancipation, je me suis confiné à l'intérieur d'une bulle, appréciant de plus en plus ces instants en retrait, loin des bains de foule et de toutes les facilités de la société. Je me suis accommodé à la vie solitaire, apprenant à m'en satisfaire.

Malgré cela, je me considère comme un garçon sympathique. Je m'entends de manière cordiale avec ceux qui m'entourent. Sans véritable effort. Je salue amicalement mes voisins et mes collègues, ceux qui prennent la relève à l'aube. Je téléphone une fois par semaine à ma mère, qui semble vouloir garder les mêmes habitudes qu'à l'époque de mes treize ans. Je crois volontiers qu'elle est rassurée d'entendre le timbre paisible de ma voix. Elle papote un quart d'heure et a toujours une anecdote agréable. Néanmoins, elle ne pose jamais de questions sur mon travail, ma santé, mes éventuelles relations... On n'évoque pas ces choses-là : chacun son intimité, comme un sanctuaire bien gardé. Secret. Le superflu nous suffit, nous apaise. On ne propose jamais de se voir plus que de raison. Nos rituels sont actés : le réveillon de Noël et les anniversaires, où j'apporte une bouteille de vin. La meilleure.

Mon père, lui, a disparu de mon existence depuis fort longtemps.

Je me souviens de son départ. Je revenais de l'école, réjoui d'être en week-end. Je l'ai surpris sur le parking de la résidence, remplissant le coffre de la voiture de plusieurs cartons et sacs de voyage. Il était stupéfait de me voir : il ne m'attendait visiblement pas si tôt...

Naïvement, j'ai cru qu'il nous préparait une surprise, un périple quelque part à la montagne. Lorsque j'étais tout petit, on allait souvent dans les Alpes, tous les trois, pour randonner à travers les cimes majestueuses. On dormait sous une tente, à la sauvage. On avait froid, alors la proximité de nos corps nous réchauffait. À l'instar d'une famille unie.

Seulement, je faisais erreur.

J'ai mis du temps à comprendre qu'on ne ferait pas partie de son évasion. Ni ma mère ni moi. Je me rappelle seulement de cette femme à la peau métissée, aux yeux pers, assise sur le côté passager, peut-être navrée, et mon père qui m'a pris dans ses bras et m'a glissé à l'oreille : « Dis à maman qu'il faudra payer le loyer avant la fin de la semaine. Je dois m'en aller quelques jours ».

Quelques jours : la blague.

Je ne l'ai plus revu et il ne m'a pas recontacté. Terminé : privé d'un père à dix ans. Simplement ces derniers mots en mémoire, un baiser furtif sur la joue et la vision d'une voiture qui s'éloigne. En trombe. Sans jamais faire demi-tour. J'ai monté quatre à quatre les escaliers menant à l'appartement, le cartable m'écrasant les épaules et cherché une lettre, un mot d'explication. Rien. Un abandon pur et simple.

S'en sont suivis l'incompréhension de ma mère, ses crises d'angoisse et de larmes, sa déchéance, l'ivresse... Et ma prise de conscience qu'il me faudrait apprendre à vivre seul.

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_Vous... vous avez bien dit que vous me payeriez 1000 euros pour une heure, c'est ça ? Demanda-t-elle _Oui Lisa, je confirme que c'est bien ce que j'ai dit, répondit-il avec un grand sourire. Lisa s'allongea sur le matelas, et le deuxième homme s'approcha d'elle. Elle se dit qu'elle devrait se méfier, mais étrangement, le bel inconnu lui inspirait confiance. _ Maintenant, il va falloir vous déshabiller, dit-il de sa voix douce et chaude. L'adolescente de 18 ans savait qu'elle était venue pour cela, mais elle hésita tout de même un instant. Elle ne s'était jamais déshabillée devant des hommes auparavant ; en vérité, elle était vierge. _Et... Vous promettez que vous n'essayerez pas de me faire l'amour ? demanda encore Allyssa tout en baissant les bretelles de son débardeur. Elle ne portait pas de soutien-gorge, et elle vit les yeux des deux hommes d'affaires scintiller dans l'obscurité lorsqu'elle révéla ses beaux seins semblables à des melons bien mûrs. _Je vous le garantis, dit le plus âgé des deux. Mon associé et moi-même avons des postes à haute responsabilité. Nous souhaitons éviter tout scandale, et nous ne désirons pas tromper nos épouses en couchant avec d'autres femmes. Tout ce que nous voulons, c'est goûter au sexe d'une jolie adolescente de 18 ans comme vous. Lisa frissonna à nouveau en entendant ses paroles. Elle ignorait si elle avait peur, ou bien si elle commençait à être excitée. Elle retira alors son jean, puis son string en dentelle blanche, et elle s'allongea alors en serrant les dents. Le plus âgé des deux hommes s'approcha près d'elle, puis il s'agenouilla à ses côtés. _Puis-je commencer ? demanda-t-il. _Je... Euh... Oui... _Ecartez les cuisses, s'il vous plaît. La jolie rouquine obéit doucement.L'homme d'affaires se pencha entre ses cuisses afin d'observer sa jolie petite chatte totalement rasée. Il vit alors une légère goutte de rosée perler sur sa vulve déjà humide... Vous mouillez, Allyssa ? _Je... Oui... Peut-être... murmura-t-elle, la voix presque coupée L'homme d'affaires huma alors l'intimité de Allysa comme s'il s'agissait d'une friandise exquise. _Vous sentez délicieusement bon, commenta-t-il. On m'a toujours dit que les rousses avaient un parfum envoutant, c'est pourquoi nous vous avons choisie, Allysa L'adolescente plaqua instinctivement ses deux mains sur sa bouche. Elle n'arrivait pas à croire qu'elle était en train d'écarter les cuisses dans une cave obscure, pour ces deux hommes assoiffés de sexe...

Le sénateur impitoyable

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ecrits d'une Mariam
5.0

- Ma puce ne va pas te jeté dans la gueule du loup stp cet homme est très dangereux et impitoyable. Tout en m'habillant je regarde ma meilleure amie le visage triste ,elle a complètement raison Liam Brown est le sénateur des États Unis,le plus impitoyable,froid, arrogant et coléreux que je n'ai jamais connu de toute ma vie. Je n'ai jamais eu l'occasion de le voir physiquement un jour mais je le voir à travers les écrans,j'ai appris qu'il détestait les femmes et j'avoue que j'ai très peur de lui c'est indéniable. - Ma puce je comprends ton inquiétude,même moi aussi j'ai peur mais je n'ai pas le choix,regarde la maison dans laquelle je vis,tout est sans dessous dessus,il y a des fuites d'eaux chaque soir,la chaleur me tue à petit feu,je n'en peux plus d'être tout le temps dans l'inquiétude du faite qu'à tout moment elle peut s'effondrer,tu vois bien dans quel état piteux la maison se trouve non?je n'ai pas le choix j'ai besoin de cet travail,en plus je vais juste m'occuper de son fils de 8ans juste pendant deux mois et tu sais bien qu'il a voyagé et ne reviens que dans trois mois alors il n'y a aucune chance que je le rencontre tout va bien déclarais je en pleurant. - Son enfant est comme lui ,depuis que sa mère a essayé de le tué à l'âge de 5 ans il fuie les femmes,aucune babysitter n'a pu résister pendant une semaine,stp n'y va pas nous allons trouver une autre solution,mais pas ça tu as déjà assez souffert,cet enfant n'est pas facile rétorque Nancy en pleurant. Je l'a serre dans mes bras tout en pleurant,elle a totalement raison mais je peux y arriver,je relèverai ce défit ,je donnerai de nouveau le sourire à ce petit garçon que sa mère monstrueuse a voulu tué ,je me demande si elle va bien dans sa tête, pendant ses deux mois il ne sera plus un enfant à part entier,qu'il était depuis 3 ans. - Tout ira bien Nancy,je m'occuperai de lui le temps que le personnel du Sénateur lui trouve une personne spécialisée dans le domaine du babysitting,une personne qualifiée,je peux y arriver,en plus il vont bien me payer, avec ses sous que j'aurais durant ses deux mois je pourrais sortir de cette todie ,et commencer un commerce ,stp aie confiance en moi répondis je. Pour toute réponse elle me serra très fort,je sais que je vais y arriver, j'irai travailler en tant que babysitter dans la maison du Sénateur le plus craint de New York ,du moment que je n'aurais jamais à rencontrer Liam Brown je n'ai pas peur. En passant moi c'est Stéphania William d'origine américaine,j'ai 28ans célibataire sans enfants. - Donc ta décision finale est... - Oui Nancy,ma décision finale est oui je serai la baby-sitter de l'enfant du Sénateur peux importe qu'il soit facile ou difficile à vivre je sais que je vais y arriver et je suis certaine que je n'aurais pas à rencontrer Liam le ténébreux déclarais je avec conviction....

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