Premier round
urine qui le jaunissent. L'odeur en devient dérangeante, presque insupportable. Je commence à
mon canapé devant l'épisode final d'une série espagnole. La sonnette de mon appartement a retenti à deux reprises, inopinément. Je n'attendais personne. Bien que maugréan
uis-
onnement autour de moi. Il n'y a
ent appliquée. Des graffitis d'amateurs, quelconques, et des insultes obscènes transpercent encore sous la
elas insalubre sur lequel je suis étendu. Deux portes aux encadrements métalliques
ger dans un coin, comme une bête en cage... Inconcevable. D'autan
dents. Mes molaires sont en place. Je me réveille le visage en effectuant des grimaces infernales. Je m'étire et fais craquer chaque articulat
e, jean et débardeur blanc. Les pieds nus
es portes, tente de l'ouvrir. En vain. Fermement verrouillée. Je tire un peu plus, m'excitant sur la poignée. Rien ne cède. Je tam
ce en guise d
onnée. Putain, laissez-moi sortir ! Je me doute que c'est utopique de penser qu'on viendra s
lugubre, sans repères ni raison valable. Aucune brèche dans ces cloisons en béton épais ne me permet de définir si le soleil est à son point
me soulage, mais me renvoie à
is ca
re m'envahit peu à peu. Connaître le sort qui m'est réservé
e à l'intérieur de ma peau et me mets à l'œuvre. Minutieusement. Quelque c
murs barbouillés –Allez tous vous faire enculer, Gouvernement de fachos, etc. –, exam
ng
e de quoi il s'agit sans difficulté. Mais à qu
on rôle est sûrement primordial. En effet, une inscription y est gravée, comme une légende sou
r du problème. Un événement mals