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Et si les vampires étaient réels ?

Et si les vampires étaient réels ?

Malik publishing

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Fraîchement débarquée sur cette île tropicale avec sa famille qu'elle aime tant, Lydia ne s'imagine pas une seule seconde que son destin tout entier est sur le point de basculer lorsqu'elle rencontre Icare, un mystérieux garçon solitaire, qu'elle n'arrive pas vraiment a cerner. Du moins, jusqu'à ce qu'elle découvre son horrible secret. Et si les vampires étaient réels ?

Chapitre 1 01

Il était sept heures du matin lorsque j'entendis ma mère monter le grand escalier qui menait à ma chambre.

- Debout, Lydia ! Il est déjà tard, si tu ne te lèves pas maintenant, tu...

Elle se stoppa net quand elle se rendit compte que j'étais réveillée et habillée

Je la regardait d'un air lasse en ajoutant :

- Je suis déjà debout, par contre le petit monstre ne l'est toujours pas, vas la réveiller elle!

- Lydia! Soupira-t-elle, bon...Très bien, mais descend au moins prendre ton petit-déjeuner.

Ma mère n'aimait pas que je traite ma petite sœur, Avery, de monstre. Elle disait souvent que la famille était plus forte que tout. J'étais entièrement d'accord avec elle, cependant Avery pouvait vraiment agir comme une petite peste parfois. Ma petite sœur aimait vraiment me pousser à bout.

Comme, par exemple, la fois où elle subtilisa mon baladeur mp3 et le cassa en s'amusant à le lancer chez les voisins, pour que nôtres vieux chien, Rex, aille jouer à « vas chercher la balle ». Elle me faisait souvent sortir de mes gonds, mais elle restait ma sœur. Elle n'avait que huit ans je ne pouvais pas lui en vouloir trop longtemps. Je l'aimais bien plus que je ne le laissais paraître.

Une fois mes longs cheveux blonds bouclé coiffer, je descendis dans la salle à manger, là où ma mère avait préparée le petit-déjeuner pour la famille.

Mon père était là, lui aussi.

Tiens, je trouvais ça étrange. Je ne comprenais pas ce qu'il pouvait encore faire ici. Il aurait déjà dû être au travail. Ses horaires aléatoires avaient toujours soulever une part de curiosité en moi.

- Tu n'es pas encore à ton bureau, papa?

Il me regarda avec un sourire et ses grands yeux bleus. J'étais très fière d'avoir héritée des mêmes yeux. Mon père m'avait une fois raconté qu'il avait des origines hollandaises. Ce qui expliquait pourquoi toute sa famille était blonds aux yeux bleu. Et cela était valable pour moi aussi. Ma mère quant à elle était originaire de cette île. Les boucles de mes cheveux ne peuvent venir que d'elle.

- Non pas encore, j'ai rendez-vous ce matin à huit heures trente pour discuter de mon prochain reportage qui doit se dérouler en Asie, me répondit-il en buvant une gorgée de son café.

Mon père était journaliste, ou plus précisément envoyé spécial. Vous savez, le genre de personne que l'on apercevait à la télévision quand il se passait une galère ou un fait divers quelque part dans le monde. Il était donc souvent absent à cause de son travail, ce qui ne nous empêchait pas d'être une famille unie ! Il arrivait même parfois à ma mère de l'accompagner durant ses missions qui duraient normalement une à deux semaines. Dans ces cas-là, ils faisaient appel à une nounou qui nous gardait, moi et ma petite sœur, et ce même si j'estimai être assez âgée pour surveiller Avery toute seule.

- Ah! Super, ça sera pour combien de temps, cette fois?

J'étais assez curieuse de nature, et je voulais savoir si ma mère allait partir avec lui.

- Normalement deux semaines, mais je dois en discuter au boulot, je vous en parlerais quand vous rentrerez de cours toi et ta sœur, en attendant dépêche-toi de manger ou tu vas rater ton bus, m'avertit-il en fronçant les sourcils.

- D'accord, Chef!

Je m'exécutai, buvant mon bol de lait d'une seule traite tout en rangeant ma pomme dans mon sac. Une fois le petit-déjeuner pris, je montai à la salle de bain me brosser les dents, je croisai ma sœur dans les escaliers qui me fit une petite grimace à mon passage.

Je restai bouche bée. Il était d'une beauté renversante. La première chose qui me frappa chez lui fut ses yeux d'une couleur que je n'avais encore jamais vu, ils étaient d'une rare couleur émeraude tirant sur le miel doré. Et ses cheveux plus noir que noir. Il était grand, imposant même, la peau hâlé rappelant l'éclat d'un caramel de caractère, vêtu d'un débardeur noir faisant ressortir ses muscles et ses yeux de jade ainsi qu'un short blanc. Il tenait fermement une des bretelles de son sac qui pendait quelque peu sur son flanc droit. Cela ne faisait que affiner sa silhouette déjà très sportive.

Balayant la pièce du regard, l'individu s'avança avec aisance vers l'institutrice afin de la regarder droit dans les yeux.

-Désolé pour le retard... J'ai eu un problème avec mon bus, dit-il en arborant un sourire destiné à mademoiselle Hélène.

Il semblait sûr de lui, mais réellement désolé de son retard. Son charme ne sembla pas déstabiliser que moi, l'enseignante mit plusieurs secondes à reprendre ses esprits, encore ébahie du spécimen ce tenant devant elle.

-Je... Je t'en prie, ce n'est pas grave, nous étions en train de nous présenter et je pense que c'est à ton tour, qu'en penses-tu ? S'empressa-t-elle de répondre sûrement pour cacher son embarras.

Le jeune homme acquiesça de la tête et prit place devant le tableau qui faisait face à l'ensemble de la classe.

-Je m'appelle Icare Lilith, je suis née sur cette île et j'ai actuellement dix-sept ans, dit-il d'une simplicité déconcertante.

Il ne bégaya pas, ne mâcha pas ses propres mots.

Icare dégageait une sorte d'aura mystérieuse. Son regard, sa voix, sa façon de marcher avec simplicité et son sourire dévastateur. On aurait vraiment dit la personnification de la beauté elle-même. Son charme n'avait rien a envié au plus grands mannequin. J'étais hypnotisée. Comme happée par son attraction naturelle.

Mais...Lilith... Ce nom me disait vaguement quelque chose...

Je buvais chacune de ses paroles, comme toute la classe d'ailleurs. Sa voix sonnait comme une mélodie qu'on ne se lassait d'entendre.

- Bien, Icare, c'est un bien joli prénom que tu as là, prends place, nous pourrons ainsi continuer les présentations.

Il s'exécuta en passant près de moi pour s'installer au seul bureau qui était libre, mais s'arrêta net devant moi, huma l'air et continua son chemin. Je pus sentir l'odeur qu'il répandait à chacun de ses pas. Une délicate odeur de jasmin embaumait son espace.

- Continuons ! À toi jeune fille, enchaîna notre enseignante en me désignant de la tête.

C'était le moment. Le stress s'installa en moi à une vitesse folle en sachant qu'un tel individu se trouvait juste derrière moi. Il était très attirant, certes, mais il dégageait quelque chose de... Malsain ?

Non, je ne devrais pas le juger sans le connaître, même si, pour une raison que j'ignorais, une petite partie de moi me suppliait de m'éloigner le plus vite possible de lui.

Je devais absolument garder mon sang-froid.

Ne m'étant toujours pas levée, je pouvais quand même sentir tous les regards braqués sur moi.

Bon j'exagérais peut-être un peu, mais je sentais très particulièrement le regard d'une personne toute proche de moi, je crus même entendre un grognement s'échapper de la poitrine d'Icare.

Un grognement ? Reprend-toi, ma pauvre fille, le stress te fait totalement délirer.

Me chargeant de courage, je plaçai mes mains moites dans mon dos avant de me lever et de prendre la parole.

- Je m'appelle Lydia Spencer, je... je viens de Toulouse en France, j'ai seize ans et je suis installée sur cette île depuis trois semaines maintenant.

J'avais la voix tremblante, je crus que mes jambes allaient se dérober sous mon poids.

Je me rassis aussitôt, le pire étant derrière moi. Je pris alors une grande inspiration le plus discrètement possible pour essayer de reprendre mon calme.

Mademoiselle Hélène me remercia tout en m'assurant que j'allais passer d'excellents moments ici, chose dont je ne doutais absolument pas.

Une fois les présentations terminées, nous devions commencer le premier cours de l'année qui allait porter sur la mythologie grecque.

Notre professeure avait mis un point d'honneur pour que Icare nous raconte l'histoire d'où était tiré son prénom, car je cite « Il est rare d'avoir des élèves aillant des prénoms issus de la mythologie grecque» avait-elle assurée.

L'intéressé commença donc son récit, qui avait même scotché mademoiselle Hélène et la classe par la même occasion. Sa voix était si envoûtante, je ne pouvais m'empêcher d'écouter le moindre mot qui sortait de sa bouche. Alors que beaucoup s'était tournés vers lui afin de l'écouter, moi je n'avais pas bouger d'un millimètre. Craignant de croisée ses iris des déstabilisantes.

Ce qui n'échappa pas à Katy qui me dévisageait avec un sourire narquois.

- Il te plaît hein ? ! M'avait-elle chuchoté à l'oreille.

- Quoi ? ... Tsss ! Non, pas du tout ! Essayai-je de mentir alors que je me sentais déjà rouge comme une tomate.

- Mouais... Tu ne rougirais pas autant si ce n'était pas vrai.

Je voulus répondre, mais notre professeur annonça que nous allions partir en excursion dans la forêt durant quatre jours à partir de la semaine prochaine.

- Nous allons y étudier la faune et la flore endémique de cette île. Pour ce faire je vais vous passer cette petite fiche vous expliquant le déroulement de la sortie, papier qui, je vous avertis, doit obligatoirement être signée par vos parents.

Elle me désigna pour distribuer la paperasse au reste de la classe, c'était bien ma veine, ça !

Je ne pouvais m'empêcher de trembler, spécialement arrivée à la table d'Icare. Et enfin... Ce que je craignait le plus arriva fortuitement. Nos yeux se croisèrent et je crus que tout autour de moi allait s'écrouler tant son regard était persan.

Il me fixa et je fis de même. Ce petit échange dura quelques secondes, secondes durant lesquelles il ne paraissait plus respirer. Sa façon de m'observer, on aurait dit qu'il lisait au plus profond de moi. Ou qu'il voulait ma mort.. dure à savoir dans mon état. Mon cœur se serra dans ma poitrine. Affolé.

Je lui tendis d'une main tremblante une des feuilles qu'il attrapa aussitôt avant d'ajouter sèchement :

- Merci.

Je n'osai pas répondre, j'étais beaucoup trop intimidée pour lui demander ce qu'était son problème. Qu'est-ce que j'avais pu dire ou faire qui justifie ce ton froid ?

Puisque c'était comme ça, je passerai mon tour la prochaine fois au moment de la distribution.

La fin de l'heure passa relativement vite, je n'avais même pas remarquée qu'il était temps d'aller déjeuner.

En sortant de la classe, Katy m'attrapa le bras en m'entraînant dans les escaliers qui menaient au réfectoire doublant au passage quelques personnes dans la précipitation.

-Dépêche-toi, il y a toujours foule et c'est pénible d'attendre, j'ai faim, moi !

-Je te signale que je ne peux pas aller plus vite que mes jambes...

Elle rigola et me tira de plus belle. Sérieusement, cette fille était vraiment pleine d'énergie, beaucoup trop même. Mais elle était comme ça et une part de moi adorait ça.

Quelques personnes attendaient déjà devant la porte du réfectoire, nous nous mîmes derrières elles.

Nous étions quelques instants plus tard, rejointes par Gareth et Victor, qui nous proposèrent de manger avec eux, étant donné qu'ils ne connaissaient pratiquement personne ici.

Plus les minutes passaient, plus du monde arrivait, je me ne sentais pas vraiment à l'aise avec tous ces inconnus autour de moi, qui plus est dans un espace aussi réduis.

La porte s'ouvrit, c'était l'heure. Tout le monde se précipita à l'intérieur, bousculant tout sur leur passage. J'appris qu'il ne fallait pas sous-estimer une bande de lycéens affamés.

Katy m'agrippa la main, pour ne pas que l'on soit séparées.

Soudain, une odeur qui me semblait familière vint me titiller les narines, une odeur de fleur que j'appréciais énormément. Je compris qu'Icare n'était pas loin. Je le cherchai de la tête mais impossible de le trouver parmi toute cette foule. Compressée comme je l'étais, je ne pouvais même pas voir Katy qui me serrait pourtant la main de plus en plus fort derrière moi. J'étais plutôt petite, c'était fichu d'avance, je n'aurais jamais pensée me perdre dans un marée humaine aussi facilement.

Je pus enfin apercevoir Icare lorsque plusieurs personnes me laissèrent un peu de place pour pouvoir me mouvoir. Sa grande taille et l'aura qu'il dégageait naturellement le rendait plus facilement reconnaissable. Cependant, il était bien plus proche de moi que je ne l'avais imaginé, et pour une raison que j'ignorais, il me fixait et paraissait surpris. Sa bouche était même légèrement entre-ouverte.

Je compris ce qui provoqua cette réaction chez lui quand il fit glisser ces yeux vers le bas, je suivie automatiquement son regard pour voir que je lui tenais la main... LA MAIN?

- Euh... Ex... Excuse-moi, tentais-je d'articuler en lui lançant sa propre main. Je...Je.. pensais que... C'était Katy.

J'étais très embarrassée, je devais lui avoir tenu la main depuis au moins trois bonnes minutes et je n'avais rien remarqué. Il n'avait même pas râlé non plus. Sa peau était d'une douceur... Et ses grandes mains si fermes... Comment je n'ai pas pu me douter de quoi que ce soit ?!

Il me fixa et parut hésiter à réagir, il réfléchissait ? Je n'en savais trop rien, Icare faisait partie du genre de personne avec lesquelles on ne savait jamais ce qu'elles pensaient.

- Ne t'excuse pas, ce n'est pas grave, finit-il par dire en souriant sincèrement.

Il venait de me parler, avec un sourire cette fois, alors que plus tôt c'était tout le contraire.

Je sentais déjà mes joues rougir, je me retournais afin qu'il ne le remarque pas et tombai nez à nez avec Katy, qui elle, me regardait avec un air triomphant.

- Toi ! Prépare-toi à des représailles hostiles, lui chuchotai-je.

- Bouh ! Aidez-moi, par pitié, simulât-elle.

Nous avancions dans la file en prenant chacun un plateau avant que les cuisiniers ne nous servent.

Aujourd'hui, menu spécial rentrée: Steak et frite. Ils n'étaient pas allés chercher l'idée bien loin.

Nous nous installions à une table libre et commençons à parler du cours qui venait de se dérouler et de la sortie qui allait avoir lieu prochainement.

Mais étrangement, je ne pouvais m'empêcher de penser à Icare. D'ailleurs, où était-il ?

Je balayai le réfectoire d'un rapide coup d'œil. Rien... Je me demandais bien où il était passé. Katy sembla remarquer que j'avais l'esprit ailleurs.

- Si c'est Icare que tu cherches comme ça du regard, il est parti.

- Comment ça, parti ? Il ne mange pas ? Fis-je, perplexe.

- J'en sais rien, rajouta-t-elle, je l'ai vu sortir du réfectoire avec son plateau.

Étrange... Cela dit, je ne l'avais vu parler avec personne hormis moi tout à l'heure. Peut-être était-il seul et que manger sans compagnie le déprimait. Personnellement, je pensais que personne ne méritait d'être seul. Je me sentais triste pour lui. Je devrais lui donner la pomme que j'ai pris avec moi ce matin... Non ? Raaah... Je ne savais pas comment agir avec lui et ça compliquait sérieusement les choses.

Nous terminions de manger,en silence, Gareth semblait être particulièrement intéressé par Katy. Vu la façon dont il la regardait pendant tout le repas, ça ne faisait aucun doute. J'avais le nez pour se genre de chose. Enfin... Quand il s'agissait des autres. Moi je n'avais jamais eu ne serait-ce que l'ombre d'un petit-ami.

Le reste de l'après-midi passa également très vite, les cours allaient se terminer à quinze heures trente, exceptionnellement, aujourd'hui. Pendant toute l'après-midi je me demandais ce à quoi Icare pouvait bien penser, il semblait se tenir éloigné des autres. Je l'avais même vu totalement ignorer les quelques filles qui s'étaient armées de courage pour venir lui adresser la parole. Pourquoi faisait-il cela ? Cherchait-il vraiment à éviter le moindre contact social ? Je n'en savais trop rien, pourtant il m'avait bien souris lorsque je lui avais pris la main... Grr! Tout cela allait me rendre chèvre, c'est fou, comment une personne pouvait-elle prendre autant de place dans mon esprit en si peu de temps ?

La sonnerie annonçant la fin des cours retentit.

Katy me raccompagna à l'arrêt de bus, bien qu'elle ne le prenne pas avec moi. Son frère allait la ramener en scooter. J'aperçus également les jumeaux au loin et leurs fis un signe de la main pour leur dire au revoir. Ils me répondirent tous deux avec un grand sourire.

Mon bus arriva quelques minutes plus tard, une dizaine de personnes montèrent à bord et le trajet de retour me parut bien plus rapide que l'aller ce matin.

Une fois arrivée chez moi, je montai directement dans ma chambre et m'affalai sur mon lit en soupirant. Si toutes les journées ressemblaient à celle-là, je devais me préparer psychologiquement, cette journée avait été un véritable ascenseur émotionnel. J'étais cependant très heureuse d'avoir fait la connaissance de Katy et des Jumeaux, j'avais ce qui, pour le moment, se rapprochait le plus d'une bande d'« amis » et j'étais assez fière de ça.

Il n'était que seize heures, pourtant je sentais la fatigue me gagner.

Il n'y avait personne chez moi, mes parents devaient sûrement être à leur boulot respectif. Quant à Avery, elle devait toujours être à l'école.

Je restai donc là, sur mon lit, à rêvasser, me remémorant les moments de cette journée.

- Icare... Lilith, chuchotais-je à moi-même, en enfonçant ma tête dans un coussin pour cacher mon embarra.

Il est vrai que son nom me disait vaguement quelque chose... J'avais tendance à beaucoup trop me prendre la tête. Quand je voulait savoir un truque, je ne lâchais rien avant d'obtenir ce que je désirais..

Continuer

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