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Et si les vampires étaient réels ?

Chapitre 5 05

Nombre de mots : 2465    |    Mis à jour : 18/03/2024

ssu. Puis vint le moment où nous dûmes repartir. Le temps s'était écoulé tellement vite. Cet après-mi

y et les garçons afin de se raconter nos après-midis respectifs. Icare, quant à lui, ne voulut pas s'inviter

es trente, lorsque Jackson revint vers

utes, ce n'est pas très grand ici. Di

mixtes, de même pour les douches à l'air libre, cachées par une simple bande

très pudique, cela a

oir. Icare s'installa juste à côté de moi cette fois-ci. Cela ne devait pas étonner que moi, puisque mes

llement proche de moi, que je pouvais aisément sentir son odeur de jas

e priais les dieux pour faire en sorte de ne pas rougir. Pourquoi il souriait comme ça sans raison ? C'é

chose attira

de plateau ?

. Icare était la seule personne dans tout le réfectoire à ne pas en

pas très faim..

i tu ne manges pas, ça peut avoi

r moi là, par hasard ? Dit-il au fur et

Peut être

nquiéter de la santé de mes amis. Je

re. Il renifla l'air discrètement. J'aurais pu ju

t déjà attentivement. Il repr

********

e vingt-et-une heure, notre enseignante revint avec une monitrice du nom d'A

chaleur ce dégagea alors du foyer. Nous nous rassemblions t

des deux équipes. Je vais vous récompenser comme il se doit. Dit-elle avant de se lever

de son habitation de fortune. Puis, elle sembl

! Finit-elle

ongs cheveux étaient dans tous les sens, quant à s

it et c'était la première fois que je le voyais rigoler comme ça, c'était

t juste un énorme paquet de marshmallow. Elle en distribua une poignée à chacun, accompagnée par des petits piques en fer afin de les fair

, sa façon de toujours prendre les choses bien, j'en étais persuadée. Cette dernière se retira dans sa tente, après nous avoir in

r du feu, profitant de ses flammes avant de l'éteindre. Je ne sais plus qui av

empêcha pas mademoiselle Hélène de sortir de sa tente à vingt-deux heures trente tapan

ans vos tentes vous couch

partager ma tente avec Katy, qu

ons côte à côte et nous nous

oi. Enfin, de cette journée dans sa généralité. Quelques minutes plus

mença, suivi d'un autre, puis d'un autre. Cela ressemblait beaucoup à des bruits de pas. Il était évident que quelqu'un dehors, prévoyait de se faire une escapade nocturne. Je regardai ma montre, elle affichait

'abord la tête dehors, l'air plus frais me frappa le visage. Il faisait sombre, trop sombre, pour distinguer qu

'Icare. Tente qui, à mon grand étonnement, avait été grossièrement refermée. C'

tarder à connaît

t doucement afin de ne réveiller personne, et surtout pas ma

ment, afin d'observer les alentours. Ma myopie, et

houette. Elle semblait avancer d'un pa

, il était de dos, marchant droit devant lui. Sa grande tai

a ? Se fichait-il vraimen

ent qu'il ne m'en parlerait jamais de lui-même. Ma curiosité était

Hélène se rendais compte de notre absence, on allait avoir de gros ennuis. Et j'a

des tentes d'un pas silencieux, observant de loin la silhouette svelt du jeune homme s'éloigner un peu plus à chaque instan

distance entre lui et moi et me mis à le suivre. Il

u plus tôt. Cela ne me rassurait pas du tout. Là nuit ajoutait toujours une part de mysticisme, cela jouait forte

ne forêt de grands conifères. La lune inondait de lumière ce petit espace délaissé par les arbre

cette dite forêt. Mais pourquoi faisait-il cela ?

nettement plus sombres que la clairi

é les pieds. Des branches cassées, des traces de pas laissées dans l'humidité de la terre ou encore son odeur qui flottait enc

des probables animaux sauvages. Me fiant uniquement à "l'instinct en carton " que je venais de développer dans cette nuit noire. Plus j'avançais, plus l'espace autour de mo

ivière. Cela me rassura. J'aimais beaucoup reconnaître quelque chose de familier. Je voulus m'en rapprocher, su

rt sentiment d'ango

tre... Je devais vraiment être devenue folle pour m'aventurer la nuit dans un lieu

it d'un affrontement, d'un carnage. Je pouvais nettement entendre les gémissements d'agonie d'une

autre silhouette la retenait fermement au sol. Une silhouette que j'imaginais beaucoup plus grosse que ça. Mais quel genre d'animal cela pouvait être ? Je plissai les yeux par instinct, voulant identifier le deuxième animal. C'était peine perdue, il faisait beaucoup trop sombre et je n'avais pas pris ma fichue paire de lunettes. J

qui était penché sur la gorge de

d'où j'étais venue. Je courus, courus pour rentrer au campement et faire comme si je n'avais jamais rien vue de ma vie ! Comment un être humain normalement constitué, serait capable d'attraper et de tuer à mains nues une bic

qu'une rafale de vent me fit perdre l'équilibre au moment même où je voulus enjamber une grande pierre au sol. Le choc fut direct. Par chance, mon avant-bras venait de couvrir l'impact. Mais une vive douleur me lançait maintenant dans le bras, ainsi que dans la cheville. Je le portai à vue en me relevant et constatai une grande entaille, recouvrant

HORREUR. Il n'était plus là. Je ne pouvais que distinguer le cadavre iner

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