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Je m'appelle FOKOU Daniel, jeune homme célibataire de 34 ans sans enfants. je travaille dans un journal, plus précisément la presse écrite vous savez le genre qu'on lit le matin au bureau ou à la télé ou même dans les kiosques. Je suis assistant de la directrice générale depuis 3 ans. J'aime beaucoup mon travail ça me pasionne mais j'aimerais évoluer pourquoi pas être éditeur ou même rédaction, je fais tout pour avoir une promotion mais rien à l'horizon. Je me sens bien dans mon lieu de service mes collègues sont sympas on s'amuse super bien . Par contre la directrice, mon Dieu c'est une personne atypique je vous assure qu'elle fait peur à tout le monde. Moi même je me demande comment j'ai fais pour la supporter durant toutes ces années' cette femme terrorise pratiquement tout le monde au service. Quand elle n'est pas la nous sommes heureux on s'amuse et s'éclate mais quad elle est là l'entreprise est comme un cimetière chacun est concentré devant sa machine. Cette femme est comme une sorcière, il est impossible de savoir quand elle est heureuse ou pas d'ailleurs même je ne me rappelle pas de la dernière fois que je l'ai vu rire. En passant elle s'appelle Robyn le prénom des hommes même, son nom est difficile à prononcer du coup ça m'énerve elle est compliquée comme son nom. Elle n'est pas du pays c'est une Sud Africaine, c'est comme si elle est tombée du ciel elle est toujours seule, je n'ai jamais vu un membre de sa famille. Sérieusement elle me fait peur. Je supporte encore à cause de l'amour que je porte pour mon travail et aussi je sais qu'elle a toujours besoin de moi, elle sait qu'elle peut compter sur moi à tout moment je suis son plus proche collaborateur. Figurez vous qu'elle m'appelle souvent à 6h pour ne pas oublier de lui prendre son café ou même me demander où se trouve un dossier. C'est chiant parfois j'ai envie de lui donner un coup de poing ou même de mettre du poison dans son café. Je ne comprends pas pourquoi une femme peut être si amère, fade, aigri et ça l'a rend Vilaine or elle est bien jolie. Me voici en route qui court pour arriver au bureau, c'est un lundi si elle arrive avant moi je suis mort. Ma voiture est en panne obligé de prendre un taxi et vous savez comment le matin les embouteillages nous manque de respect. Je suis arrivé à l'entreprise, nous sommes situés au troisième niveau dans un immeuble de la ville. J'entre vite dans l'ascenseur et monte au 3e étage. Dès que j'arrive je me dirige vers la machine à café je lui prend ce qu'elle aime et je prend aussi pour moi. En me tournant je me bouscule avec un collègue et l'un des café tombe et se verse

Chapitre 1 1

Je m'appelle FOKOU Daniel, jeune homme célibataire de 34 ans sans enfants. je travaille dans un journal, plus précisément la presse écrite vous savez le genre qu'on lit le matin au bureau ou à la télé ou même dans les kiosques. Je suis assistant de la directrice générale depuis 3 ans. J'aime beaucoup mon travail ça me pasionne mais j'aimerais évoluer pourquoi pas être éditeur ou même rédaction, je fais tout pour avoir une promotion mais rien à l'horizon. Je me sens bien dans mon lieu de service mes collègues sont sympas on s'amuse super bien .

Par contre la directrice, mon Dieu c'est une personne atypique je vous assure qu'elle fait peur à tout le monde. Moi même je me demande comment j'ai fais pour la supporter durant toutes ces années' cette femme terrorise pratiquement tout le monde au service. Quand elle n'est pas la nous sommes heureux on s'amuse et s'éclate mais quad elle est là l'entreprise est comme un cimetière chacun est concentré devant sa machine. Cette femme est comme une sorcière, il est impossible de savoir quand elle est heureuse ou pas d'ailleurs même je ne me rappelle pas de la dernière fois que je l'ai vu rire. En passant elle s'appelle Robyn le prénom des hommes même, son nom est difficile à prononcer du coup ça m'énerve elle est compliquée comme son nom. Elle n'est pas du pays c'est une Sud Africaine, c'est comme si elle est tombée du ciel elle est toujours seule, je n'ai jamais vu un membre de sa famille. Sérieusement elle me fait peur. Je supporte encore à cause de l'amour que je porte pour mon travail et aussi je sais qu'elle a toujours besoin de moi, elle sait qu'elle peut compter sur moi à tout moment je suis son plus proche collaborateur. Figurez vous qu'elle m'appelle souvent à 6h pour ne pas oublier de lui prendre son café ou même me demander où se trouve un dossier. C'est chiant parfois j'ai envie de lui donner un coup de poing ou même de mettre du poison dans son café. Je ne comprends pas pourquoi une femme peut être si amère, fade, aigri et ça l'a rend Vilaine or elle est bien jolie. Me voici en route qui court pour arriver au bureau, c'est un lundi si elle arrive avant moi je suis mort. Ma voiture est en panne obligé de prendre un taxi et vous savez comment le matin les embouteillages nous manque de respect. Je suis arrivé à l'entreprise, nous sommes situés au troisième niveau dans un immeuble de la ville. J'entre vite dans l'ascenseur et monte au 3e étage. Dès que j'arrive je me dirige vers la machine à café je lui prend ce qu'elle aime et je prend aussi pour moi. En me tournant je me bouscule avec un collègue et l'un des café tombe et se verse

Moi : merde tu faisais quoi derrière moi

Lui : tu ne t'excuse même tu as failli me brûler

Moi : c'était le café de madame maintenant je fais comment Il ya plus de lait dans la machine

Lui : donne-lui pour toi ou bien tu commences à arranger tes affaires pour partir 😂😂😂😂

Moi : c'est pas drôle.

Une femme est sortie de l'ascenseur

Elle : madame arrive ohh

Il fallait voir tout le monde se dépêcher pour s'assoir à sa place et faire semblant de travailler. Moi alors je ne savais quoi faire avec son café versé. Le temps de réfléchir qu'elle était déjà entrée. Silence de mort durant son trajet de l'ascenseur jusqu'à son bureau, même pas un bonjour à ses employés, elle est trop Vilaine. Je l'a suit dans son bureau et ferme la porte je lui donne mon café, tant pis. J'aime bien sa façon de s'habiller, jupe droite tailleur avec un chemisier à sortir avec ses escarpins. Elle a des longs cheveux avec lesquels elle fait souvent un chignon ou elle laisse en queue de cheval. Elle pouvait bien être mannequin mais avec son visage triste toujours nerveuse qui devait même la regarder stuippp

Elle : eh oh tu rêve ou quoi

Moi : euh non madame

Elle a bu son café

Elle : pourquoi il ya pas de lait

Moi : euhh madame c'était le mien le votre a eu un accident désolé

Elle : ce n'est pas bon je n'en veut pas

Elle a déposé sur la table.

Elle : je t'écoute

Moi : ok monsieur TALLA a déprogrammé votre rendez-vous il a eu un empêchement familial, vous avez rendez-vous dans 1h avec le professeur Smith. Enfin, il ya aussi réunion avec le groupe des médias c'est à 16h à l'hôtel des princes

Elle : tu iras à la place

Moi : moi ?

Elle : ça te pose un problème ?

Moi : non madame

Elle : es ce que le reportage sur le maire a été fait si oui j'aimerai l'avoir. Je veux aussi m'entretenir avec celui qui s'est chargé de la rédaction sur la biographie du ministre, rappelle moi à midi j'ai un rendez-vous important. Si c'est tout tu peux disposer

Moi : d'accord madame

Elle : je veux mon café

Je suis sorti. Pfff une idiote. Elle ne connait même pas le nom de ses employés que ohh celui qui a fait ci, celui qui a fait ça c'est terrible hein. Je vais voir ma collègue pour lui dire

Moi : eh ma douce madame veut te voir

Elle : par rapport à quoi encore

Moi : c'est toi qui était chargé de faire la biographie sur le ministre nor j'espère que tu as bien avancé sinon bonne chance

Elle : chance que j'ai bossé sur ça hier es-ce que c'est de ma faute si le ministre se fait désirer.

Moi : pendant que tu l'occupe moi je cherche comment lui trouver son café.

Je vais vers la réceptionniste pour lui signaler que le lait est fini dans la machine, une chance qu'elle en avait encore au magasin sinon j'aurais été obligé de sortir. Elle me l'a donné et j'ai préparé son café... Je regarde partout il y a même pas l'aratta que je peux jeter dedans pfff. Je souffre comme ça depuis 3 ans vous allez dire que je n'ai pas le choix mais si j'en ai. Je suis dans la plus grande chaîne de presse écrite du pays et je compte bien évoluer. Son café près je vais lui donner et je retourne à mon bureau en vitesse. Oufff enfin je peux papoter sur internet avec les amis avant qu'elle ne m'appelle. Mon téléphone retenti subitement c'est ma mère. Oulaa je prend directement

Moi : oui maman

Elle : ça va ?

Moi : oui ça va et toi

Elle : je vais bien. Tu sais que l'anniversaire de ta grande mère c'est ce samedi et on t'attend ici

Moi : d'accord maman j'espère être là

Elle : fait tout pour y être c'est quand même 85 ans. Elle sera très content de te voir tu sais que ca fait longtemps qu'elle ne t'a pas vu

Moi : d'accord maman je serais là

Elle : ok. Ça va avec ta mystérieuse patronne ?

Moi : si elle ne me tue pas je risque la tuer

Elle : hahahaha mon chéri tu n'est pas obligé de rester là-bas avec ton niveau tu peux travailler ailleurs

Moi : Ailleurs c'est ou maman ici c'est le fief c'est le journal de la référence c'est ici que tout se passe nous sommes les grands frères je ne vois aucun journal qui peut me payer comme je suis payé ici. Je vais rester jusqu'à ce qu'elle va connaître ma valeur et me donner la place que je mérite en espérant que je ne l'ai pas encore tué

Elle : hahahaha. Du courage alors c'est toi qui voit. Je te laisse travailler

Moi : ok bisous à mamie

J'ai raccroché. Ah ma grande mère maternelle elle est solide cette femme, 85 ans elle est toujours debout j'aimerais bien savoir quel est son secret.

L'interphone retentit

Pfff c'est elle, qu'es ce qu'elle me veut encore. C'est mieux que je décroche avant qu'elle ne sorte

Moi : madame

Elle : j'ai besoin du dossier sur les grèves.

Elle raccroche sans me dire exactement de qu'elle grève elle veut il yen énormément ici. Stuippp une plaie cette femme. Bon je vais emmener avec moi 3 dossiers je suis sur que l'un sera ce qu'elle veut. Dans son bureau ma collègue y était toujours il fallait la voir transpirer malgré la climatisation.

Moi : madame il s'agit de quelle grève

Elle : des enseignants bien sûr

Chance que ça fait partie des dossiers que j'ai pris. Je lui ai donné et je suis sorti. J'ai un bloc que je suis en train d'écrire je lui avais proposer ça comme une rubrique dans le journal. On pourra la publier 2 fois par semaine. Elle m'avait dit qu'elle va lire ça fait un mois aujourd'hui elle ne m'a plus donné de suite et je suis très sur quelle n'a pas lu. Je vais encore la relancer. Je croise les doigts pour qu'elle accepte. Je dois calculer le jour où elle sera de bonne humeur. Comment donc savoir quelle est de bonne humeur.

La journée est passée, elle est allée à son rendez vous de midi et moi j'en ai profité pour aller manger avec les collègues. Que ça fait du bien de nous retrouver en dehors de l'entreprise, on peut rire aux éclats et se dire du n'importe quoi surtout parler de madame Robyn ah oui il ne se passe pas une minute sans qu'on ne l'insulte un peu ça nous fait du bien. Nous avons finis nos deux heures de pause et sommes rentrés au bureau. Pfff elle était déjà là stuippp pourquoi la voiture ne l'a pas cogné en route, pourquoi elle ne tombe jamais malade genre elle reste même 2 semaines à l'hôpital, la joie de ça. Quand j'arrive directement elle m'appelle dans son bureau. J'y vais sans perdre de temps

Moi : madame

Elle : tu étais ou ?

C'est qu'elle question ça !

Moi : à la pause madame

Elle : tu n'est pas obligé de mettre autant de temps. Tu dois assister à une réunion il faudra te préparer j'attendrai le compte rendu ce soir même avant de dormir.

Moi : très bien Madame. Euhh vous avez déjà lu le blog que je vous ai donné ?

Elle : non

Moi : d'accord et vous comptez le lire quand même ?

Elle : tu veux me mettre la pression ou quoi

Moi : non non madame prenez votre temps.

Elle : appelle monsieur Smith je vais le recevoir maintenant je n'ai pas eu le temps ce matin

Moi : d'accord Madame

Je suis allé l'appeler à mon bureau, elle est toujours comme ça tu ne peux pas lui donner un programme jusqu'à ce qu'elle respecte elle reçoit les gens quand elle veut. Je n'aime pas cette façon de fonctionner. Et voilà j'ai bien dit elle n'a pas lu mon blog et je sens qu'elle ne lira jamais, peut être qu'il faut que je donne ça au chef de rédaction, ah non celui là alors il ne m'aime pas beaucoup je ne sais pourquoi. J'ai appelé monsieur Smith il a accepté venir, c'est une chance qu'il soit libre. Je m'apprête à aller à la réunion des chefs de médias je vais la représenter je n'aime pas ça mais en même temps ça me donne les points, j'ai souvent assisté a ce genre de réunion plusieurs fois des fois en sa présence des fois tout seul. elle me fait confiance et ça me plaît, sur ce côté là je ne l'ai jamais déçu. Après son entretien avec Monsieur Smith elle va rentrer et moi après la réunion je vais directement rentrer chez moi lui faire son rapport et l'envoyer par mail.

Je suis entré chez moi à 19h, cette réunion était plutôt cool c'est bien de traiter avec les gens qui ne crient pas et ne font pas peur comme Robyn, hahaha je l'appelle comme ça quand je suis seul ou avec les collègues et on rit. Je me dépêche à faire le rapport je lui envoie et je me déconnecte. Je n'ai pas envie de lire ce qu'elle va écrire je vais gérer ça demain elle a toujours à dire. Je loue un appartement dans un beau quartier, ah oui je vis seul et j'ai un appartement, c'est du gâchis c'est vrai mais j'aime pas les petites maisons avec les espaces réduits en plus j'ai les moyens de m'offrir un appartement. Je vais me faire à manger. Je sais très bien préparé on a pas le choix quand on a longtemps vécu seul. J'opte pour les pattes avec la viande hachée comme sauce hummm miam miam j'aime ca. Il ya déjà tout dans mon frigo donc je les sors seulement. D'ici 2h tout sera prêt.

Mes parents souhaitent que je me mari je sens déjà comment ils vont me charier avec ça ce weekend. Je donne trop de place dans ma vie pour mon travail au point où je néglige la femme. Des que je suis en couple elle fini toujours pas partir parce que je ne suis pas présent dans la relation. J'essaie de changer mais je n'y arrive pas c'est plus fort que moi. J'aime écrire des blogs d'ailleurs j'en ai déjà écrit plusieurs. Je cherche a tout prix a être publié dans n'importe quelle revue de la presse mais de préférence la mienne. Après avoir manger je suis allé me coucher je ne dors pas directement soit j'écris soit je surfe sur le net à la recherche d'une potentielle copine, oui il ya que là-bas que je peux en trouver je n'ai pas le temps de draguer en route. Le sommeil m'a emporté à minuit.

Fin de la journée.

Le téléphone retenti je me réveille et le prend merde c'est elle il est 5h passé mais qu'est-ce qu'elle me veut cette folle grrrr

Moi : oui Madame

Elle : j'ai perdu le rapport que tu m'a envoyé je l'ai supprimé involontairement je veux que tu me le renvoies j'ai besoin de le lire avant d'arriver au bureau

Moi : d'accord tout de suite

Je raccroche

Vous voyez comment je souffre elle fait souvent ça et comment vais-je avoir une femme chez moi si à 5h je dois me lever parce que madame ma patronne a besoin de quelque chose. C'est une vraie sorcière cette femme à pareil heure les vraies femmes sont en train de faire l'amour avec leur mari celle-ci pense seulement à travailler elle finira sa vie seule. D'ailleurs même qui aimerait avoir une femme narcissique comme elle. Es ce que j'ai alors le choix j'ai renvoyé le rapport et je me suis de nouveau couché. Impossible de dormir. Je suis allé au salon me faire une tasse de thé j'ai allumé ma télé et je me suis assis la pour regarder les informations et suivre aussi la revue de la presse des autres médias. C'est fou comme il.ya la concurrence dans les médias tout le monde veut être le premier à avoir l'exclusivité, heureusement que nous sommes les meilleurs on nous l'accorde facilement et les autres nous copie.

Il était déjà 7h passé quand je suis allé me doucher je ne suis pas pressé aujourd'hui parce c'est mardi et elle n'a pas de rendez-vous ce matin, elle viendra autour de 10h. Eh oui pour avoir travaillé avec elle depuis 3 ans je peux dire que je la connais très bien. Je suis arrivé au bureau et j'ai pris ma place dans mon bureau. Vu que ma porte est vitrée je peux voir mes collègues chacun dans son box et devant sa machine. Comme leur chef n'est pas encore là il y'en a qui sont carrément en train de causer et rire aux éclats. Tant mieux moi j'ai à faire et j'attends les critiques de mon rapport tout à l'heure. Une heure après je les vois en train de regagner leur box en vitesse et la salle est devenue calme. Nous sommes souvent prévenu de son arrivée par la réceptionniste qui est en bas voilà pourquoi elle n'a jamais su qu'on fait le désordre quand elle n'est pas la. L'ascenseur s'ouvre elle sort, toujours sur ses talons qui résonnent dans nos oreilles, c'est le seul bruit qu'on peut écouter à présent. Elle entre dans son bureau et claque la porte comme si elle avait un problème avec celle-ci. Bon j'attends que mon téléphone sonne. 2 min ça retenti.

Moi : madame

Elle : je n'ai pas mon café ce matin ?

Moi : si madame je vous l'apporte

Elle : tu viens avec un bloc note

Elle raccroche

Je me dépêche d'aller lui chercher son café et lui apporte. Elle ne m'a jamais dis merci en plus d'être Vilaine elle est villageoise

Elle : programme un rendez vous avec le responsable de la maison d'édition ''la plume'', un autre avec mon banquier et un autre avec mon avocat je veux le voir urgemment aujourd'hui pas demain. A midi tu me commande à manger tu sais ce que je prend avec une boisson fraîche. Demande au comptable de venir tout de suite. Je crois que c'est tout

Moi : d'accord

Elle : une dernière chose ton rapport a beaucoup de manquement il faudra le revoir.

Moi : ok

Elle : samedi on a un dîner d'affaires avec le maire tu m'accompagnera

Moi : madame j'ai l'anniversaire de ma grande mère samedi à l'ouest

Elle : monsieur FOKOU tu veux que je me répète ?

Moi : non madame

Elle : c'est tout.

Je suis sorti. Elle parle de quel manquement elle n'était même pas à la réunion pour savoir ce qui a été dit. Tout ça pour ne pas me dire que j'ai bien fait. Je ne revois rien. Maintenant je fais comment pour samedi ma grande mère sera tellement déçu de ne pas me voir même si elle est déjà habitué. Il faudra que je les appelle pour leur dire. Voilà ma vie en tant que assistant ou main droite de madame Robyn. Comme quelqu'un avait dit le choisir c'est le choisir.

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Je m'appelle Destiny, ah oui mon prénom me plaît trop ça fait genre stars quoi hihihi. je suis une fille ou alors un femme de 32 ans, célibataire sans enfant et boss comme commercial dans une assurance. Je peux dire que je gagne bien ma vie mais ça ne me suffit pas. J'ai un teint clair sans maquillage, forme généreuse comme une vraie africaine, j'ai un piercing au nez c'est sexy je trouve. Je fais 1m69 pour 78 kilos. Pour dire vrai, ce sont mes fesses qui pèsent le plus mdr. ... Je vis dans un appartement avec ma meilleure amie Julia. C'est ma Juju comme on dit chez nous, on se connait depuis plus de 15 ans, du coup elle est comme une sœur pour moi. Je n'ai pas de frère ni de sœur, ne me demandez pas pourquoi je n'en sais rien. Je pense que je vais poser cette question à ma mère la prochaine fois que je la verrais. Mes parents sont divorcés depuis des années, je pense que je n'avais pas plus de 15 ans. Ma mère ne s'est plus remariée et mon père, ah je sais pas. Bref, passons sur eux. Je peux dire que j'ai tout ce que je veux matériellement parlant mais au fond de moi je me sens seule. Je n'ai pas de petit ami, or j'aimerais bien avoir un homme comme mes collègues, la plupart de mes amis mais je n'ai personne. Tous les hommes qui viennent vers moi c'est par intérêt et quand ils constatent que je ne suis pas du genre à entretenir un homme ils s'en vont pffff ca me saoul. je suis fatiguée d'avoir des relations sans lendemain oui parce que parfois je vais en boîte de nuit et je rentre avec un gars finir la soirée en beauté mais c'est juste pour me satisfaire rien de sérieux. Je n'ai plus envie de fonctionner comme ça je veux aussi un homme à moi. Je suis dans ma voiture pour la maison j'ai bien envie d'acheter un bon vin blanc que je vais boire et me saouler devant la télé. Je pense à Julia c'est aujourd'hui qu'elle revient de son weekend passé chez son petit ami donc pas possible de me saouler. J'envie souvent ma copine par rapport à sa relation avec John depuis 1 an déjà. C'est la première fois qu'elle vit une relation d'un an, elle est très contente et espère que ça aboutisse au mariage. Je le lui souhaite dans tous les cas. L'immeuble où je suis possède un parking, je gare donc ma voiture et sort. Il y a déjà quelques voitures garées au parking, mes voisins sont déjà rentrés. La plupart de mes voisins sont des hommes mariés, et les quelques célibataires sont chelou on dirait des vampires on ne les voit jamais. Je prend mon sac et bloque les portières. Je monte jusqu'au 2e' c'est une chance que nous ne sommes pas au 4e c'est la galère pour monter chaque jour. La porte est entrouverte j'entre

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Dans la ville de Douala, plus précisément au quartier Bonapriso, l'un des quartiers huppés de la ville, vit un couple CHRISTAL âgée de 28 ans, grande de taille avec un corps très fin, elle est qualifiée comme étant une personne très forte, travailleuse aimable, sûr d'elle, très attachée à sa carrière et rêve de devenir internationale. Certains disent d'elle qu'elle est hautaine et se prend la grosse tête à cause de la belle vie qu'elle mène elle nargue ceux qui n'ont pas '' réussi'' et qui ne sont pas fiancé avec un homme riche comme elle ; son fiancé PATERNE âgée de 38 ans, assez grand et robuste. Il est qualifiée comme étant une personne de fort caractère, colérique, bosseur et très habille dans le travail. Certains se plaignent qu'il est hautain, égoïste, impoli et irrespectueux vu qu'il côtoie certaines personnalités de ce pays. Ils ont aménagé ensemble il ya 3 ans juste après la dot de Christal. Ils sont en couple depuis 5 ans déjà. Paterne est un homme d'affaire qui travaille dans l'import et export, aussi il voyage beaucoup à cause de ses multiples affaires. Christal quant à elle est mannequin depuis l'âge de 22 ans. Avec l'aide de son fiancé, elle a su se faire des relations et monter en grade dans son activité, elle voyage aussi beaucoup et affectionne surtout la vie de luxe que son fiancé lui apporte quotidiennement. Christal vient d'une famille démuni, avec un père instituteur à la retraite, une mère femme au foyer et son petit frère Loïc âgé de 22 ans qui vit encore chez ses parents, Christal aide ses parents comme elle peut ainsi que son fiancé qui n'hésite pas souvent à leur apporter son soutien financier. Paterne par contre vient d'une famille moyen. Ses parents n'étaient pas riches mais ils se suffisaient largement. Son père, un ancien fonctionnaire est décédé il ya 2 ans, sa mère une femme au foyer s'est toujours battu à faire de la couture qu'elle a arrêté avec de l'âge. Paterne à une petite sœur Alma âgée de 30 ans qui vient d'avoir son premier emploi après des années d'enchainement de petits boulots. Grâce à son frère aujourd'hui elle a un emploi en temps plein et est très bien payée. Jusqu'ici Christal n'a pas encore pu concevoir ce qui cause des tensions dans le couple, mais pour Christal ce n'est pas un problème elle sait qu'elle le sera et requiert la patience de son fiancé. Ce matin Paterne est devant le miroir en train de nouer sa cravate, Christal est couchée en train de le regarder.

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La circulation est saturée, en plein midi où ça devrait être plus fluide. On peut voir des personnes qui pressent le pas pour rejoindre soit leur domicile, soit leur lieu de travail ou même encore qui vont déjeuner comme le fait Alan PRISO. Le ciel fait grise mine, on peut écouter le grondement torrentiel c'est sans doute ce qui explique cet embouteillage monstrueux des personnes et des véhicules. <Oh merde il va pleuvoir il faut que je me dépêche > dit Alan en traversant la route presque sans regarder ni à gauche ni à droite. Il accélère le pas on aurait dit un combattant qui va livrer une dernière bataille pour délivrer son peuple comme on les voit dans les films. Alan, la trentaine d'années avec des cheveux courts et une taille de girafe, traverse une supérette, et arrive à un carrefour il faut qu'il attende que le feu passe au vert pour qu'il traverse. Les quelques secondes qui ont suivi cette attente lui étaient comme une éternité car il recevait déjà quelques gouttes de pluie sur sa peau bien noire. < fait chier > cria-t-il en traversant la route. Sous ses aisselles, il garde bien enfoui sa serviette qui contient ses documents de l'école où il est enseignant. Sa serviette bien à l'abri des gouttelettes de pluies, il longe le couloir qui mène à son restaurant préféré, par chance il arrive vite avant que le ciel ne verse encore plus de ses grosses gouttes d'eau. _ oufff enfin, dit-t-il entre deux soupirs. Il entra dans le restaurant et alla s'asseoir sur une table vide, près de la fenêtre où il est assis, il peut facilement regarder l'extérieur et voir sa copine arriver. Observer les passants fuir la pluie l'amuse, il a eu la chance de l'avoir échappé de justesse. Subitement il sursaute en fouillant ses poches de partout comme s'il cherchait un objet précieux. Il finit par le trouver et son sourire s'illumine. Alan ouvre l'écrin de bijoux ou se trouve cette magnifique bague de fiançailles et se rappelle du jour où il l'avait acheté. Ça devrait faire plus d'un mois jamais il n'a trouvé le bon moment de demander à Déborah la femme avec qui il vit depuis quelques mois de l'épouser. Au départ il s'est dit que c'était trop tôt pour le faire, ensuite est venu s'ajouter à ça les conseils de son meilleur ami Stéphane qui lui a fait douter de lui et même de ses sentiments. Maintenant il est plus que décidé à faire sa demande, il veut se faire connaître de sa famille, de son entourage tout ce qu'elle aime. Depuis plus d'un an il vit un conte de fée avec cette déesse qu'il veut prendre pour moitié. Il veut l'épouser et faire d'elle la mère de ses enfants. Il aurait pu attendre faire sa demande la semaine prochaine le jour de son anniversaire mais non pour lui c'est très loin à force de repousser il finira par ne plus le faire. Ou même il pourrait la perdre.

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Je m'appelle Fidèle Noah, oui c'est moche je sais. Je ne comprends pas pourquoi mes parents m'ont donné ce prénom vraiment c'est tellement démodé et pas très adapté pour une fille comme moi. Heureusement que j'en ai deux, Carla est mon second prénom c'est celui-ci que j'utilise toujours et partout, ça me ressemble mieux et me reflète. je suis l'aîné de ma famille, J'ai 30 ans, eh oui je suis déjà une grande fille encore célibataire et sans enfants. Vous allez comprendre pourquoi je n'ai pas d'enfants, c'est volontaire. Je suis issue d'une famille modeste, des anciens riches aujourd'hui pauvres parce que je suis pratiquement la seule qui apporte de quoi manger à la maison. Je vis avec ma petite sœur, Lydie qui est encore à l'école et mon père François Noah qui se bat comme il peut pour m'aider dans les charges de la maison. Ce n'est pas toujours facile parce qu'il est tout le temps malade, il est diabétique et hypertensive du coup il est souvent de repos. Nous logeons dans un appartement, une chance que mon oncle nous l'a laissé lorsqu'il est parti en Europe avec sa famille, je ne sais pas ce qu'on aurait fait si nous avions été en location avec la vie chère de la capitale économique, c'est pas évident. Ma mère pffff je n'aime pas parler d'elle elle m'énerve. J'écoute très souvent les gens parler en bien de leur mère, dire qu'elles sont leur dieu et tout, ça me fait de la peine j'aurai tellement voulu que ma mère soit comme les mamans des autres mais dommage, elle s'est préférée à nous. Il y a quelques années mon père a perdu son emploie, un emploi qui nous mettait à l'abri du besoin, je me rappelle encore bien de cette période là nous étions si heureux une famille presque parfaite, mon père prenait bien soin de nous et de sa femme, nous ne manquions de rien. Un soir mon père rentra du travail tout abattu et affichait la mine désespérée, le pire était arrivé, il avait perdu son emploi suite à un sérieux problème que subissait son entreprise ils ont été obligé de limoger des employés et lui en même temps. Le monde s'est écroulé sous nos yeux, mon père n'avait pas un plan B rien du tout et ma mère, femme au foyer comptait aussi sur lui. Le train de vie a commencé à régresser peu à peu le temps pour lui de trouver un autre emploi. On aurait dit que la malchance était de son côté car il ne trouvait rien, rien à faire malgré ses compétences, rien, même pas un sous métier. Cette année-là a été la plus difficile, ma mère n'a pas pu supporter l'extrême galère dans laquelle nous avons plongé, un beau matin on se réveilla qu'elle avait déserté sans laisser de traces ni de mots. J'avais 22 ans, je pouvais déjà m'occuper des miens comme une femme. J'ai donc pris le relais, j'ai essuyé les larmes de mon père, je me suis occupée de lui tel un bébé il avait perdu confiance en lui, perdu l'amour de sa vie et croyait perdre en même temps notre respect. ça n'a pas été le cas. Ma petite sœur et moi lui avions donné tout l'amour que les enfants pouvaient donner à leur papa. Peu à peu, il s'est relevé et enchaîné des petits boulots grâce à ça j'ai pu obtenir ma licence et j'ai arrêté l'école. Il était temps pour moi de prendre mes responsabilités en tant que grande sœur. J'ai commencé à chercher du travail, je faisais aussi n'importe quel genre de travail pourvu que ça m'apporte quelque chose, avec ce que je gagnais et ce que mon père ramenait on pouvait se gérer et continuer à payer les études de Lydie. Jusqu'au jour où mon père chute, c'était un deuxième choc pour nous il avait arrêté de travailler et j'étais la seule à ramener de l'argent, combien ? Pour combien de personnes ? sans compter ses médicaments, ses soins et visites médicales, avec tout ceci on ne pouvait plus gérer le loyer et avions accepté la proposition de son grand frère, notre oncle de vivre chez lui. Nous y sommes jusqu'à ce jour. Vous comprenez que après tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent je n'ai pas eu la tête posée pour penser à faire un enfant même pas par accident, j'ai toujours pris mes précautions, pour moi ma famille passe avant tout et en dépit de ce qu'on vit je ne voudrais pas, il serait irresponsable pour moi de ramener une autre charge et même ma petite sœur je le lui dis tout le temps. C'est une belle petite fille de 20 ans très intelligente elle vient d'entrer en fac et étudie les finances, je sais qu'un jour elle prendra le relais elle deviendra une grande dame. Le départ de notre mère l'a beaucoup affecté, elle pleurait des fois de son absence moi je ne pouvais rien faire je ne savais pas où elle était jusqu'au jour où sa sœur ma tante nous a fait savoir qu'elle vit chez un blanc, eh ah un blanc du n'importe quoi. Ma mère c'est une mauvaise femme je la déteste vous allez pensez que je suis dur tant pis c'est mon ressenti, je ne veux pas la voir ni aujourd'hui ni demain...

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Honey Goldfish
5.0

Andrea Garcia n'est qu'une couverture. Une identité qu'a embrassée Anna Lucia Fedora après avoir fait une fugue lors de ses 16 ans. Depuis ce temps, Andrea se cache et vit dans le mensonge, dissimulant un lourd secret. Andrea a toujours cru être une excellente menteuse. Elle ne faisait que cela depuis sa tendre enfance, conserver les apparences. C'est devenu une seconde nature pour elle avec le temps de mentir, voler, tricher... se cacher, tel un caméléon qui arrive à se fondre dans le décor environnant. En grandissant, Andrea est devenue non seulement une des hackeuses parmi les plus craintes de sa génération, mais aussi l'un des meilleurs agents secrets de Sidov Corp, une société militaire privée qui la recruta par la suite. Depuis sa fugue, Andrea considère être en parfait contrôle de son existence. Plus personne ne la menacera jamais. Plus personne ne la forcera jamais à se soumettre. Plus personne n'exploitera jamais ses talents gratuitement. Elle ne pardonnera plus jamais non plus la moindre trahison et s'est juré d'être impitoyable envers ses adversaires. Plus personne n'a d'autorité ni de contrôle sur elle. Cependant, les nouveaux patrons d'Andrea sont des adeptes de BDSM. Des dominants pur jus. Mais même devant eux, Andrea n'a jamais plié l'échine. Aucun des mercenaires bourrés de testostérones avec qui elle doit souvent faire équipe n'est jamais non plus parvenu à la briser. Mais tout cela va changer le jour où Yuri Ivanov, le nouveau Pakhan au sein de la Bravta à Moscou va entrer dans sa vie. Andrea réalise rapidement que face à ce dom d'expérience, toutes ses tactiques d'évitement ou de manipulation sont ineffectives. Face à lui, cette nature soumise qu'elle refoule depuis si longtemps ne peut s'empêcher de refaire surface. Yuri sait ce qu'il veut, et surtout QUAND il le désire. Avec lui, Andrea apprendra à ses dépens que jamais il ne la laissera mener la danse dans leur relation. Yuri Ivanov ne fait que rarement des compromis. Il peut aussi sentir que la nouvelle petite soumise qui lui est tombée dans l'œil cache un lourd secret. Un secret qu'elle se refuse à partager. Yuri déteste les secrets. Tout comme il a horreur des soumises qui renient leur vraie nature. Deux choses que ne cesse de faire la séduisante et surtout très farouche Colombienne. Yuri a déjà été trahi par le passé, par une femme qui lui avait menti justement. Une femme qui niait aussi sa propre nature... Dans le milieu BDSM, ce genre de comportement peut être extrêmement dangereux et toxique. Le dom d'expérience a donc décidé de donner une leçon à cette soumise au tempérament rebelle qui, selon lui, est incapable de faire preuve de la moindre honnêteté que ce soit envers son dom, envers ses amies ou même envers elle-même. Ce qui, dans le milieu BDSM, est impardonnable. Cependant, ce qui n'était au départ qu'un simple jeu entre les deux amants, tourne rapidement à l'obsession chez Yuri Ivanov, qui est de plus en plus fasciné par la nature très volatile de cette femme au sang bouillant des latinos. Il est fasciné aussi par son intelligence et sa vivacité. Seulement, comme Yuri a déjà été blessé une fois en amour, alors le chef de ka Bravta se refuse à lui concéder la victoire et nie férocement son affection envers elle, ce qui les conduira à une suite de malentendus. Yuri sera forcé petit à petit de s'avouer à lui-même la force des sentiments qu'il éprouve pour Andrea et éventuellement, de les avouer aussi à l'objet de son affection. Mais pour Andrea, c'est trop peu, trop tard... Andrea a elle aussi sa fierté. Issu d'un foyer sans amour, Andrea ne croit plus en l'amour. En fait, à ses yeux, l'amour est la plus grande des souffrances. Pour reprendre les termes du sensei chargé de son entrainement... «L'amour est son petit tyran». Un adversaire féroce contre lequel se bat Andrea depuis la tendre enfance. Parce qu'aimer des personnes qui vous abandonnent toujours par la suite est très souffrant. Nos deux aimants esseulés arriveront-ils à se retrouver? Laisser de côté leurs préjugés respectifs sur l'amour pour enfin s'y abandonner? C'est ce que nous découvrirons dans ce livre!

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