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Un Amour Inespéré

Un Amour Inespéré

FLORAISON

5.0
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Déjà deux semaines que maya et Habiba travaillaient dans la supérette de Didier. Tout se passait bien et Didier commençait à être satisfait de leur travail, contrairement à maman yossa il était très gentil avec elles et ne les faisait pas beaucoup travailler. Elles passaient les journées au travail et le soir parfois il leur donnait de l'argent parfois rien. Habiba tente tant bien que mal de cacher le fait qu'elle ne sache pas écrire ni lire elle a l'impression que son patron a remarqué mais il ne manifeste pas. Elle a peur de se faire renvoyer pour ça. Ce soir elles viennent d'arriver à la maison, comme tous les soirs et le matin elles font le trajet à pied pour aller au travail et rentrer. Maya va directement se jeter sur le matelas, son ventre lui fait un peu mal.

Chapitre 1 1

Déjà deux semaines que maya et Habiba travaillaient dans la supérette de Didier. Tout se passait bien et Didier commençait à être satisfait de leur travail, contrairement à maman yossa il était très gentil avec elles et ne les faisait pas beaucoup travailler. Elles passaient les journées au travail et le soir parfois il leur donnait de l'argent parfois rien. Habiba tente tant bien que mal de cacher le fait qu'elle ne sache pas écrire ni lire elle a l'impression que son patron a remarqué mais il ne manifeste pas. Elle a peur de se faire renvoyer pour ça.

Ce soir elles viennent d'arriver à la maison, comme tous les soirs et le matin elles font le trajet à pied pour aller au travail et rentrer. Maya va directement se jeter sur le matelas, son ventre lui fait un peu mal.

Habiba : le bébé bouge déjà ?

Maya : j'ai juste eu mal ça va

Habiba : ok. Je vais aller chercher quoi manger. Tu peux je reposer

Maya : d'accord

Le bailleur masayo fit son apparition il est à la porte

Masayo : bonsoir les filles

Maya ; bonsoir monsieur

Masayo : jusqu'à présent j'attends toujours que vous complétez votre argent de loyer

Maya : euhh oui on va le faire dès le début du mois prochain, ce n'est que maintenant qu'on a pu trouver du travail

Masayo : vous allez me donner 2 mois de plus, pas moins. Vous savez que c'est grâce à Idriss que je vous ai accepté ici. Donc j'attendrai ça sinon dehors

Maya : d'accord monsieur

Il est parti.

Habiba : merde il ne blague pas hein

Maya : je te dis. Dès que Didier nous paye on lui donne ses deux mois on quitte sur ça

Habiba : on a pas le choix.

Maya : quand je regarde tout ce qu'on a encore à faire, je me demande si on va arriver. Regarde la maison c'est vide, on a même pas les assiettes même pas un gobelet pour boire de l'eau, si ce n'était pas la générosité de Idriss c'est qu'on dort toujours au sol. Comment on va élever un enfant dans cette condition ? Je vais même pouvoir acheter ses habits ? Ne serait-ce que les couches, je vais acheter ? Si on continue à travailler et verser tout dans le loyer on va manger quoi ? Même une marmite on a pas. Hummm je me pose des questions

Habiba : Dieu va aider.

Maya : c'est tout ce que je souhaite vraiment.

Habiba : j'arrive en route tu as besoin d'autres choses ?

Maya : un sachet d'eau glacée

Habiba : tu aimes bois de l'eau glacée je ne sais pas si c'est bien pour le bébé

Maya : c'est ce que le bébé veux pardon achète seulement

Habiba est partie, elle a croisé Idris qui revient du travail

Habiba : bonsoir Idriss

Idriss : miss Habiba tu vas ou comme ça

Habiba : chercher quoi manger. Tu rentres sans ta femme aujourd'hui

Idriss : elle est déjà rentrée. Bon après alors

Habiba : ok

Il est parti chez lui. Sa femme est dans la chambre et fouille partout, il s'asseoit au salon et braque le ventilateur sur lui

Idris : oufff enfin la chaleur ci peut tuer.

Lisette suit sa voie et sort de la chambre

Lisette : tu es là hein

Idriss : bonsoir. Tu faisais quoi

Lisette : je cherche le matelas qu'on lance au sol pour se coucher tu as mis ça ou.

Idris : ah oui j'ai donné ça aux filles là

Lisette : donner à qui ?

Idriss : à Maya et Habiba

Lisette : attend je ne te suis pas bien..tu as pris mon matelas pour donner aux gens cateau c'est ca.

Idriss : Oui c'est ca. Elles n'ont pas de matelas j'ai voulu les aider

Lisette : wandafull. Chéri, tu me dépasse. Comment tu peux porter mon matelas pour offrir comme si ça ne me servais pas

Idris : ça te sert à quoi ? Voici le tapis couche toi la. Un matelas qu'on utilise une fois en 3 mois tu dis que ca te sert

Lisette : ça fait quoi tu n'avais pas le droit de leur donner ça. Et dis moi comment tu as sû qu'elles n'ont pas de matelas tu entre déjà Là-bas

Idris : ces filles n'ont rien lisette je n'ai pas besoin d'entrer pour savoir, quand tu passes là tu vois, même les rideaux elles n'ont pas' donc si je peux aider avec le matelas c'est mauvais ? Deux petites filles qui dorment au sol tu ne peux pas compatir ?.ne soit pas méchante s'il te plaît

Lisette : ok ça va je me calme. J'aurai quand même voulu que tu m'en parle. Elles sortent d'où ? Pourquoi elles n'ont rien ?

Idris : je ne sais pas je n'ai pas demandé

Lisette : tu peux demander nor

Idriss : ça va me servir à quoi ? C'est leur problème moi j'ai les miens. Tu dois aller passer le weekend chez maman elle t'attend

Lisette : ok. Pendant que tu seras ici seul hummm

Idris : ça veut dire quoi ça

Lisette : rien ohh. Le bébé me dérange.

Elle ramasse les pouffes et lance sur le tapis elle se couche dessus

Idriss : tu vois que c'est plus mieux comme ça

Lisette : tu me dois un matelas

Idriss : j'ai compris. Je ne mange pas ?

Lisette : werrrrr chéri c'est quand je me couche que tu veux manger

Idriss : ça va je te dérange je vais manger après. Ma chérie il ya encore le seau de tapioca?

Lisette : oui c'est ce que tu veux manger ?

Idriss : non je vais retirer un peu et l'apporter aux filles ça peut les aider

Lisette : hummm toi et les filles là on va vous voir dans cette cité

Idriss : si tu ne veux pas tu le dis

Lisette : vas-y je ne refuse pas. C'est bien la première fois que tu t'intéresses aux habitants de cette cité donc ça me pousse à me poser des questions

Idriss : hummm j'espère que ce sont de bonnes questions

Idriss est allé à la cuisine, il a pris un plastique ou il a versé quelques boîte de tapioca, a pris quelques morceaux de sucre au frigo et est allée le donner à Maya

Idriss : ma femme vous envoie ça

Maya : oulalala nous sommes gâtées. Merci beaucoup. dis lui merci de notre part

Habiba : merci Idris

Idriss : de rien les filles

Il est rentré

Maya : cet homme est trop gentil

Habiba : ah oui. On va garder ça pour demain

Maya : en rentrant du travail on achète les arachides pour boire avec

Ce même jour au village, Oumou est assise devant sa porte, ASSIBA aussi de son côté. ASSIBA a remarqué que sa coepouse est très Pensive

ASSIBA : ça va Oumou ?tu as un problème ?

OUMOU : non ça va je suis seulement épuisée à cause du champ de ce matin

ASSIBA : ah oui c'était pas facile. Je n'ai pas vu Souley depuis ce matin

OUMOU : euhhh je ne sais pas peut-être qu'il a rejoint son père dans sa plantation.

Awa arrive

Awa : bonsoir les deux femmes de mon père

ASSIBA : Bonsoir ma chérie, tu sors d'où comme ça ? Tu marches déjà trop.hein

Awa : hahahaha j'étais voir une copine elle est venue de la ville elle m'a gardé un parfum

ASSIBA : ah d'accord.

Awa : maman c'est comment tu es pâle

ASSIBA : c'est ce que moi même je constate j'ai l'impression qu'elle est malade

OUMOU : je vais me coucher un peu

Elle est entrée, sa fille l'a suivie.

Awa : maman il ya quoi

OUMOU : les problèmes ma fille j'ai des problèmes ohh

Awa : il s'agit de quoi encore

Oumou : ton frère veut me tuer.

Awa : ah c'est à cause Souley et sa copine

OUMOU : il t'a mise au courant ?

Awa : oui il m'a raconté

OUMOU : et toi même tu vois quoi Awa es ce que c'est une bonne idée qu'ils soient ensemble ou qu'elle garde cette grossesse

Awa : moi je ne vois pas où est le problème. on doit aller se présenter à la famille de Yasmine et souley peut la prendre en mariage il n'est pas si jeune que ça.

OUMOU : eh ah tu parles comme si tu ne connaissais pas ton père. Donc tu penses qu'il va se lever pour aller voir la famille de jasmine pour dire que oui c'est mon fils qui l'a mise enceinte. Tu m'amuses hein. Et tu parles de la prendre en mariage il va la doter avec quoi ?

Awa : son père va la doter pour lui, ça compte toujours. maman la faire avorter n'est pas bien tu le sais, si on t'attrape en train de le faire tu seras lynché dans le village, toutes femmes qui contractent une grossesse doit accoucher c'est comme ça.

OUMOU : ma réputation est finie dans ce village. Comment Souley peut aller sortir avec la femme de quelq'un

Awa : elle n'était pas encore mariée

OUMOU : mais promise à un homme. Bientôt ils vont programmer son mariage. Eh ah je ris seulement

Awa : en tout cas moi je lui ai dit, s'il est allé jusqu'à dormir avec elle ça veut dire qu'il s'est senti grand garçon et si tel est le cas il devra s'occuper d'elle et de l'enfant. Il faut assumer ses actes. Le jour où vous allez l'annoncer à papa pardon dites moi à l'avance pour que je ne sois pas là

Oumou : woookooo je suis scandalisée. Depuis je cherche des solutions sans voir et le temps passe, l'enfant grandit, la nouvelle date pour son mariage arrive. Hummm si je pouvais disparaître comme Maya je le ferais

Awa : lol. Je vais moi rentrer ohh

Papa Esso entre

Awa :. Bonsoir papa

Papa Esso : bonsoir. Tous les jours tu es ici ta maison te gratte ?

Awa : me voici qui part ohh.. maa bye

Elle est partie.

Papa Esso : ASSIBA dis que tu ne te sens pas bien tu as quoi ?

OUMOU : elle exagère je lui ai dis que je suis fatiguée j'ai beaucoup travaillé au champ

Papa Esso : tant mieux. Et souley?

Oumou : j'ai cru qu'il était avec toi

Papa Esso : je ne l'ai pas vu. L'enfant là disparaît déjà trop il faut toujours que je sois en train de le chercher. S'il vient tu me réveille j'ai une commission pour lui

Il est parti se coucher. Dans le village voisin, chioma est dans sa cuisine, elle a le regard dans le vide et n'ecoute pas sessimé entrer.

Sessimé : chioma

Elle sursaute

Chioma : oui

Sessimé : c'est toi que j'attends depuis pour purger l'enfant

Chioma : d'accord on va alors.

Elle l'a suit dans sa chambre chioma prend l'enfant et le purge avec les produits qu'elle avait apprêté.

Chioma : voilà c'est bon

Sessimé : merci. Tu vas bien ?

Chioma : non ça ne va je suis désespérée sessimé. le temps passe et Habiba ne revient pas. J'ai comme l'impression que baba ne l'a cherche plus

Sessimé : tu veux qu'il cherche encore ou ?.on a fouillé partout. Moi je pense qu'elle est dans une autre ville

Chioma : laquelle alors

Sessimé : c'est ça que je ne sais pas.

Chioma : je me dis aussi qu'elle a sûrement envie de rentrer mais a peur qu'on va la taper ou la marier

Sessimé : humm je ne sais pas ohh. Il faut aller voir le voyant du village BALE on m'a dit qu'il est bon pour voir à distance

Chioma : il est trop cher. Je vais en parler à baba s'il accepte. Je te laisse je pars continuer à pleurer

Elle est sortie. Même si elle sait que sessimé est très hypocrites elle s'en fout c'est la situation de sa fille qui l'intéresse le reste elle ne met pas le cœur

Deux semaines après, Maya est derrière la caisse, elle a laissé Habiba vendre car la position debout lui donne des vertiges. Depuis le matin il y a beaucoup de gens qui viennent faire des achats, Habiba s'en sort plutôt bien, ça fait un mois qu'elles sont là, elle a beaucoup appris. Didier arrive il gare sa moto et entre il salut Habiba au passage et va vers Maya.

Didier : ça va Maya

Maya : très bien monsieur.

Didier : super. Tu vas m'apporter la recette dans mon bureau

Maya : d'accord

Didier : tu n'as pas constaté que Habiba n'aime pas écrire ? A chaque fois que je lui demande d'écrire quelque chose elle vient toujours te donner de le faire, tu es sur qu'elle sait écrire

Maya : ah monsieur je n'ai pas constaté ça hein. Elle écrit mais elle a une très mauvaise main d'écriture je lui ai demandé de me laisser écrire c'est plus lisible.

Didier : ok si tu le dis..et toi c'est comment je t'ai vu vomir hier soir quand tu rentrais tu es malade ?

Maya : ah non monsieur j'ai mangé un truc que mon ventre a rejeté

Didier : ok ne tombe pas malade hein j'ai besoin de toi ici. Tu es une bonne gérante

Maya : merci monsieur

Didier : bon je t'attends dans mon bureau

Il est parti derrière..maya sort la caisse et compte tout ce qu'il.ya à l'intérieur elle va le donner à son patron qui compte à nouveau

Didier : super les filles

Il retire son porte-monnaie et sort 20 mil qu'il tend à Maya

Didier : voilà ton salaire

Maya ; merci monsieur

Didier: fais venir Habiba

Elle est sortie toute souriante, elle qui pensait qu'il allait se comporter comme maman yossa et leur payer après plus d'un mois. Habiba est allée à son tour.

Didier : ça va Habiba

Habiba : ça va

Didier : dis moi tu as quel âge ?

Habiba : 17 ans peut-être 18 déjà je ne sais même plus

Didier : hahahaha toi tu es toujours drôle. Tu ne sais pas quand tu es née

Habiba : monsieur j'ai les problèmes plus important, la date de mon anniversaire n'en fait pas partie, l'essentiel ce que je vive et je grandisse.

Didier : hahahaha d'accord.

Il sort 20 mil de son portefeuille il lui donne

Habiba : merci monsieur

Didier : je te donne un petit bonus tu sais pourquoi ?

Habiba ; non pourquoi

Didier : tu es vaillante.

Il prend deux miles sur sa table qu'il lui donne.

Habiba : merci

Didier : tu as mon numéro de téléphone ?

Habiba : je pense que maya l'a

Didier ; Maya ce n'est pas toi. Tiens je te le donnes tu m'appelles quand tu as un problème d'accord

Il lui donne sa carte

Habiba : d'accord je le ferais

Didier : j'attendrais

Elle est sortie toute contente elle a montré son argent à Maya en plus du bonus

Maya : tu as eu le bonus et pas moi c'est la combine.

Habiba : être sauvage aussi à des bénéfices hein

Maya : haahhaa. Donne moi je garde

Elle lui a donné Maya a mis dans la poche de sa robe. Elles ont fini le travail et sont d'abord allées au marché faire quelques achats tels que deux plats, deux gobelets, une serviette, quelques sous vêtements. Elles ont gardé 22 mil qu'elles ont donné au bailleur au moins ça les rassure pour le loyer, l'eau et l'électricité. Le reste d'argent elles ont gardé

Maya : voilà 40 mil qui est fini hein

Habiba : c'est à cause du loyer..le mois prochain on va plus économiser.

Maya : ah on a quand même fait les achats j'aurais voulu acheter un ventilateur dommage qu'on va encore attendre..

Habiba : monsieur didier est gentil. Il n'est pas comme maman yossa il fallait crier pour qu'elle nous paye

Maya : Vraiment. Il m'a demandé si tu ne sais pas écrire je lui ai dit que tu écris mal et c'est moi qui t'a demandé de ne plus écrire donc s'il te demande dis lui que tu n'a pas une bonne main d'écriture

Habiba : d'accord. il m'a donné son numéro de l'appeler si j'ai besoin de quelque chose

Maya : hein ? L'appeler ? D'abord il te donne 2 mil comme bonus de je ne sais quoi maintenant c'est le numéro

Habiba : ne soit pas jalouse s'il me préfère

Maya : Moi jalouse ? Tu es folle j'ai le temps là ? Je m'interroge c'est tout. Et je trouve ça bizarre

Habiba : Maya toi tu vois toujours le mal partout rien n'est bizarre c'est un monsieur gentil il veut seulement m'aider

Maya : si tu le dis. Tu me diras si il te parle encore

Habiba : bien sûr.

Maya : bon je me couche

Habiba : je vais faire mes devoirs dehors tu sais que j'écris déjà une phase

Maya : hummm deux mots tu appelles ça phrase

Habiba : ah c'est déjà beaucoup pour moi.

Elle va s'asseoir dehors pour écrire, Maya se couche. Idriss passe avec sa femme

Idriss : coucou Habiba

Habiba : bonsoir le beau garçon de la cité

Lisette : hummm

Idriss : hahahaha tu es terrible.tu fais quoi dehors

Habiba : je fais mes devoirs comme une grande

Idriss : alors

Habiba : bonsoir madame Idriss

Lisette : salut (en la toisant)

Idriss : écrit bien nous on va au restaurant

Habiba : ok bonne soirée

Idriss : merci Habiba

Ils sont partis.

Habiba : Maya ohh

Maya : oui

Habiba : la femme de Idriss m'a toisé

Maya : haahahaa sérieux ?

Habiba : je te jure. On a quel problème ? Je l'ai salué gentiment comme tu m'as appris

Maya : ah sûrement elle n'est pas d'humeur

Habiba : parce que moi je suis d'humeur ? Stuippp qu'elle ne me tente même pas sinon je vais m'assoir sur son ventre là

Maya : hahahaha pardon laisse moi me reposer.

Habiba a continué d'écrire les seuls mots qu'elle connait papa, maman tata et banane.

A suivre...

Continuer

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Je m'appelle Fidèle Noah, oui c'est moche je sais. Je ne comprends pas pourquoi mes parents m'ont donné ce prénom vraiment c'est tellement démodé et pas très adapté pour une fille comme moi. Heureusement que j'en ai deux, Carla est mon second prénom c'est celui-ci que j'utilise toujours et partout, ça me ressemble mieux et me reflète. je suis l'aîné de ma famille, J'ai 30 ans, eh oui je suis déjà une grande fille encore célibataire et sans enfants. Vous allez comprendre pourquoi je n'ai pas d'enfants, c'est volontaire. Je suis issue d'une famille modeste, des anciens riches aujourd'hui pauvres parce que je suis pratiquement la seule qui apporte de quoi manger à la maison. Je vis avec ma petite sœur, Lydie qui est encore à l'école et mon père François Noah qui se bat comme il peut pour m'aider dans les charges de la maison. Ce n'est pas toujours facile parce qu'il est tout le temps malade, il est diabétique et hypertensive du coup il est souvent de repos. Nous logeons dans un appartement, une chance que mon oncle nous l'a laissé lorsqu'il est parti en Europe avec sa famille, je ne sais pas ce qu'on aurait fait si nous avions été en location avec la vie chère de la capitale économique, c'est pas évident. Ma mère pffff je n'aime pas parler d'elle elle m'énerve. J'écoute très souvent les gens parler en bien de leur mère, dire qu'elles sont leur dieu et tout, ça me fait de la peine j'aurai tellement voulu que ma mère soit comme les mamans des autres mais dommage, elle s'est préférée à nous. Il y a quelques années mon père a perdu son emploie, un emploi qui nous mettait à l'abri du besoin, je me rappelle encore bien de cette période là nous étions si heureux une famille presque parfaite, mon père prenait bien soin de nous et de sa femme, nous ne manquions de rien. Un soir mon père rentra du travail tout abattu et affichait la mine désespérée, le pire était arrivé, il avait perdu son emploi suite à un sérieux problème que subissait son entreprise ils ont été obligé de limoger des employés et lui en même temps. Le monde s'est écroulé sous nos yeux, mon père n'avait pas un plan B rien du tout et ma mère, femme au foyer comptait aussi sur lui. Le train de vie a commencé à régresser peu à peu le temps pour lui de trouver un autre emploi. On aurait dit que la malchance était de son côté car il ne trouvait rien, rien à faire malgré ses compétences, rien, même pas un sous métier. Cette année-là a été la plus difficile, ma mère n'a pas pu supporter l'extrême galère dans laquelle nous avons plongé, un beau matin on se réveilla qu'elle avait déserté sans laisser de traces ni de mots. J'avais 22 ans, je pouvais déjà m'occuper des miens comme une femme. J'ai donc pris le relais, j'ai essuyé les larmes de mon père, je me suis occupée de lui tel un bébé il avait perdu confiance en lui, perdu l'amour de sa vie et croyait perdre en même temps notre respect. ça n'a pas été le cas. Ma petite sœur et moi lui avions donné tout l'amour que les enfants pouvaient donner à leur papa. Peu à peu, il s'est relevé et enchaîné des petits boulots grâce à ça j'ai pu obtenir ma licence et j'ai arrêté l'école. Il était temps pour moi de prendre mes responsabilités en tant que grande sœur. J'ai commencé à chercher du travail, je faisais aussi n'importe quel genre de travail pourvu que ça m'apporte quelque chose, avec ce que je gagnais et ce que mon père ramenait on pouvait se gérer et continuer à payer les études de Lydie. Jusqu'au jour où mon père chute, c'était un deuxième choc pour nous il avait arrêté de travailler et j'étais la seule à ramener de l'argent, combien ? Pour combien de personnes ? sans compter ses médicaments, ses soins et visites médicales, avec tout ceci on ne pouvait plus gérer le loyer et avions accepté la proposition de son grand frère, notre oncle de vivre chez lui. Nous y sommes jusqu'à ce jour. Vous comprenez que après tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent je n'ai pas eu la tête posée pour penser à faire un enfant même pas par accident, j'ai toujours pris mes précautions, pour moi ma famille passe avant tout et en dépit de ce qu'on vit je ne voudrais pas, il serait irresponsable pour moi de ramener une autre charge et même ma petite sœur je le lui dis tout le temps. C'est une belle petite fille de 20 ans très intelligente elle vient d'entrer en fac et étudie les finances, je sais qu'un jour elle prendra le relais elle deviendra une grande dame. Le départ de notre mère l'a beaucoup affecté, elle pleurait des fois de son absence moi je ne pouvais rien faire je ne savais pas où elle était jusqu'au jour où sa sœur ma tante nous a fait savoir qu'elle vit chez un blanc, eh ah un blanc du n'importe quoi. Ma mère c'est une mauvaise femme je la déteste vous allez pensez que je suis dur tant pis c'est mon ressenti, je ne veux pas la voir ni aujourd'hui ni demain...

Inspirés de vos vus

Une autre chance avec mon amour milliardaire

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Romance

5.0

Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »

Une dose d'amour et le cœur d'un CEO, s'il vous plaît

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Milliardaire

5.0

Maria Eduarda Montez Deocca se réveille d'un coma de près d'un an et découvre qu'elle a été abandonnée de tous pendant cette période. Déterminée à surprendre son mari, à qui elle a consacré sa vie, elle fait une révélation choquante : peut-être pendant des années elle avait été trompée par lui et sa meilleure amie, l'une des personnes en qui elle avait le plus confiance. Se sentant seule et fragile, elle décide d'aller dans un bar pour noyer ses chagrins, pensant que boire une dose d'amour-propre serait le remède à son cœur brisé. Désireuse de se venger de son mari, Maria Eduarda couche avec le premier homme qu'elle rencontre. Il ne s’attendait tout simplement pas à ce que cette rencontre inattendue change son destin. Après tout, cet étrange PDG plein de secrets et propriétaire des plus beaux yeux qu'il ait jamais vu était-il son salut ou sa ruine ? Accepterait-elle d’être « l’autre », même si elle voyait à quel point cela faisait mal ? Au milieu d'un réseau de complots qui ont conduit à la ruine financière et émotionnelle de son grand-père, Maria Eduarda se retrouve dans une impasse entre se venger de tout le monde ou profiter de la seconde chance que la vie lui a donnée et essayer d'être heureuse. Dans un scénario de mensonges, d'intrigues et d'ambitions, elle découvre que, même au milieu du chaos, le véritable amour et la véritable amitié peuvent émerger des situations les plus improbables.

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