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Quelques jours après, Ruby et Gabriel avaient déjà passé leur examen qui étaient corrects. Il avait prévu de l'emmener chez lui le weekend après une bonne soirée arrosée avec ses amis. Ce jour au boulot, pendant la pause, Dora est venue le voir avec de quoi manger et boire. Ils sont dans son bureau. Gabriel : Tu as fini de réceptionner tes marchandises ? Dora : Oui tout y est. Je me suis trouvée un vendeuse. Gabriel : Ah c'est bien. Comme tu as l'habitude de sortir faire les livraisons et autres la boutique restera ouverte Dora : justement. Le téléphone de Gabriel sonne il sourit avant de décrocher Gabriel : hello baby Ruby : ça va ? Gabriel : Oui et toi ?.tu as mangé ? Ruby : je ne suis pas sortie. Mon patron m'a apporté des croissants Gabriel : Pardon ? Pour quelle raison il t'apporter ça Ruby : mais il m'a gardé ou est le problème Gabriel : on va gérer ça après. Je te cherche le soir Ruby : d'accord bébé. Tu es occupé ? Gabriel : non je suis avec une amie qui me rend visite Ruby : d'accord. Après alors je m'assoupi un peu Gabriel : ok bisous Il raccroche. Dora : Donc tu as vraiment une copine Gabriel : j'ai cru que avant de le dire à ma mère tu étais sur Dora : j'espérais que je me sois trompée. Ça me brise le coeur Gabriel : on ne va pas revenir sur ça j'ai été clair avec toi. Dora : je ne savais pas que tu me détestais à ce point Gabriel : Ah les femmes ! Maintenant je te déteste. Au contraire c'est parce que je t'aime que je ne veux pas que tu t'engage dans une relation qui ne t'apportera rien ou pire même qui te fera souffrir Dora : mais qu'est-ce que tu en sais Gabriel ; je le sais parce qu'il s'agit de moi. Je ne veux pas être avec toi pour te faire plaisir ou faire plaisir aux parents, tu en souffrira Dora : Essayons , Gabriel : Or tu ne vas pas recommencer ça devient chiant la. A la maison maman ne me lâche pas toi tu fais pareil vous me fatiguez à la fin Dora : ok je te fatigue merci. Tu es vraiment ingrat après tout ce que j'ai fait pour toi. Ce travail ci c'est grâce à mes connaissances que tu es ici. Gabriel : hahahaha le chantage à commencé. Oui tu m'as aidé à trouver ce boulot mais ne fait pas comme si je ne l'avais pas mérité, j'ai passé un test et j'ai réussi, mes compétences sont félicités tous les jours donc ne fait pas comme si tu avais fait recruter un illettré. Et tu penses que c'est parce que tu m'as aidé dans ce sens que je devrais être à ta merci ? Tu dis quoi de tout ce que moi même j'ai fais pour toi, est ce que je te fais du chantage en les utilisant ? Entre amis, on ne doit pas se soutenir ? Ou bien c'est la monnaie d'échange, ton raisonnement est très bas

Chapitre 1 1

Quelques jours après, Ruby et Gabriel avaient déjà passé leur examen qui étaient corrects. Il avait prévu de l'emmener chez lui le weekend après une bonne soirée arrosée avec ses amis. Ce jour au boulot, pendant la pause, Dora est venue le voir avec de quoi manger et boire. Ils sont dans son bureau.

Gabriel : Tu as fini de réceptionner tes marchandises ?

Dora : Oui tout y est. Je me suis trouvée un vendeuse.

Gabriel : Ah c'est bien. Comme tu as l'habitude de sortir faire les livraisons et autres la boutique restera ouverte

Dora : justement.

Le téléphone de Gabriel sonne il sourit avant de décrocher

Gabriel : hello baby

Ruby : ça va ?

Gabriel : Oui et toi ?.tu as mangé ?

Ruby : je ne suis pas sortie. Mon patron m'a apporté des croissants

Gabriel : Pardon ? Pour quelle raison il t'apporter ça

Ruby : mais il m'a gardé ou est le problème

Gabriel : on va gérer ça après. Je te cherche le soir

Ruby : d'accord bébé. Tu es occupé ?

Gabriel : non je suis avec une amie qui me rend visite

Ruby : d'accord. Après alors je m'assoupi un peu

Gabriel : ok bisous

Il raccroche.

Dora : Donc tu as vraiment une copine

Gabriel : j'ai cru que avant de le dire à ma mère tu étais sur

Dora : j'espérais que je me sois trompée. Ça me brise le coeur

Gabriel : on ne va pas revenir sur ça j'ai été clair avec toi.

Dora : je ne savais pas que tu me détestais à ce point

Gabriel : Ah les femmes ! Maintenant je te déteste. Au contraire c'est parce que je t'aime que je ne veux pas que tu t'engage dans une relation qui ne t'apportera rien ou pire même qui te fera souffrir

Dora : mais qu'est-ce que tu en sais

Gabriel ; je le sais parce qu'il s'agit de moi. Je ne veux pas être avec toi pour te faire plaisir ou faire plaisir aux parents, tu en souffrira

Dora : Essayons

,

Gabriel : Or tu ne vas pas recommencer ça devient chiant la. A la maison maman ne me lâche pas toi tu fais pareil vous me fatiguez à la fin

Dora : ok je te fatigue merci. Tu es vraiment ingrat après tout ce que j'ai fait pour toi. Ce travail ci c'est grâce à mes connaissances que tu es ici.

Gabriel : hahahaha le chantage à commencé. Oui tu m'as aidé à trouver ce boulot mais ne fait pas comme si je ne l'avais pas mérité, j'ai passé un test et j'ai réussi, mes compétences sont félicités tous les jours donc ne fait pas comme si tu avais fait recruter un illettré. Et tu penses que c'est parce que tu m'as aidé dans ce sens que je devrais être à ta merci ? Tu dis quoi de tout ce que moi même j'ai fais pour toi, est ce que je te fais du chantage en les utilisant ? Entre amis, on ne doit pas se soutenir ? Ou bien c'est la monnaie d'échange, ton raisonnement est très bas

Dora : hummm

Gabriel : je répète, je ne veux pas briser notre amitié et si t'obstine à le faire ça t'engage. Arrête de te faire manipuler par ma mère, Tu es une grande fille donc sois sage. Il faut que je continue de bosser pour ne pas perdre le précieux travail que tu m'as trouvé

Dora : ok c'est pour me demander de te laisser. Je m'excuse si mes mots t'ont blessé je ne le pensais pas

Gabriel : ok. Samedi on va sortir si tu veux tu te joins à nous

Dora : je verrais. A plus

Gabriel : merci pour le repas.

Elle est partie. Tout ça devenait compliqué pour lui, il fallait gérer ses parents et gérer encore Dora qui ne voulait pas lâcher l'affaire. Il craint juste que ça impacte sa relation avec Ruby. Le soir il est allé chercher Ruby, elle est sortie de l'entreprise avec sa collègue qui lui tient le fauteuil.

Ruby : merci ma chérie à demain

Sa collègue est partie et Gabriel est venu vers elle, il se baisse et l'embrasse.

Gabriel : Tu dis que ton boss t'a donné les croissants pourquoi?

Ruby : donc tu ne peux pas oublier ça

Gabriel : pourquoi devrais-je oublier ce n'est pas normal qu'il te rapporte à manger comme si tu avais faim c'est comme ça que ça commence demain ça serait des chocolats n'est-ce pas tu vas me dire

Ruby : chéri je suis fatiguée allons, tu vois toujours le mal ou il yen a pas

Gabriel : ok tu me diras.

Ils ont pris le taxi pour aller chez Ruby de là, Gabriel n'est pas directement rentré il est resté dîner avec eux . Ils ont parlé de la sortie de samedi Ruby ne voulait pas y aller mais il l'a convaincu, il a aussi invité Blanche quand à Zena elle ne sera pas disponible samedi pour les accompagner ce qui l'a rendu un peu triste et très jalouse de savoir que Ruby sera avec Blanche. Gabriel a passé toute la semaine a éviter sa mère et Dora qui n'arrêtait pas de lui envoyer des messages d'excuses et autres. Il se demande s'il l'a verra encore comme l'amie qu'il a eu depuis des années.

Samedi dans l'après-midi, Ruby est au salon de coiffure avec Blanche, elle veut se mettre des extensions dans les cheveux.

Blanche : tout ça pour la soirée la c'est simple ?

Ruby : tu devrais t'asseoir aussi on te coiffe je trouve tes cheveux sales ne me dis pas que tu vas partir avec les nattes sur la tête

Blanche : ça va faire quoi ?

Ruby : eh la fille si tu sors même d'où ne vient pas me souiller là-bas. (S'adressant à la coiffeuse) ma chérie après tu la coiffe tu fais n'importe quoi pourvu que ce soit présentable je vais payer

Blanche : est- ce que j'ai alors le choix. Zena ne vient pas pourquoi ?

Ruby : Elle est allée au village avec ses parents pour une cérémonie elle est de tout cœur avec nous

Blanche : humm avec vous pas avec moi je sais qu'elle ne m'aime pas

Ruby : son amour va t'apporter quoi ? Stuippp en fous toi comme moi. Tu ne m'aimes pas je m'en fous mon chéri m'aime

Blanche : C'est comme ça que je parlais de Traoré je suis redescendue sur terre j'espère que ça ne serait pas le cas avec toi

Ruby : si ça arrive ah je vais pleurer et ça va finir. La vie est faite d'échecs ma chérie et quand cet échec ne vient pas de toi tu peux rester tranquille et attendre ton jour de gloire et si ça vient de toi et bien tu t'améliore pour la prochaine relation.

Blanche : facile à dire. J'aime beaucoup ta coiffure si j'avais les extensions à ma couleur de cheveux j'allais les placer.

Ruby a demandé à la coiffeuse celle-ci n'en avait pas. Elle lui a fait tes rouleaux et l'a coiffé.

Ruby : si tu entretenais tes cheveux c'est que c'est très beaux.

Blanche se regarde dans le miroir c'est bien la première fois qu'elle se coiffe aussi bien, Elle vois une autre Blanche très différente et ça lui plaît

Blanche : je suis jolie avec.

Ruby : Alléluia tu te trouves jolie c'est déjà un début allons-y

Blanche : merci ma puce.

Ruby : De rien. On va je me fait les ongles

Blanche : toi et le nyanga hein

Ruby : je ne blague pas avec mon apparence ohh surtout que je vais sortir avec mon chéri et ses amis il faut être propre

Elles sont allées dans un autre salon Ruby a obligé Blanche à se faire aussi les ongles, au final elle a été satisfaite et n'arrête pas de regarder ses mains en les brandissant

Ruby : hahahaha tu vas me percer les yeux

Blanche : c'est beau je voyais ça chez les filles je ne savais pas que je pouvais aussi me les mettre. C'est bien ohh

Ruby : C'est ce qu'on appelle prendre soin de soi. On le fait d'abord pour soi-même pour se sentir bien dans sa peau avant de le faire pour autrui. Maintenant on rentre

Blanche : merci ma puce

Blanche est très contente de son nyanga elle est arrivée à la maison et l'a montré à sa mère, celle ci lui a demandé de le faire plus souvent elle l'a même aidé à chercher un vêtement adapté pour l'événement de ce soir, alors que dans sa tête elle voulait mettre un jeans et un t-shirt, sa mère s'est moquée d'elle.

Le soir, Gabriel est venu chercher Ruby.

Elle est dans sa chambre avec sa sœur qui l'aide à lui mettre ses talons, elles suivent Gabriel discuter au salon avec les parents

Mabelle : ton prince est déjà là

Ruby : je suis comment ?

Mabelle : Tu es très belle. Je suis jalouse

Ruby : hihihihi

Mabelle : attend je te film

Elle a pris le téléphone et l'a filmé, elles sont sorties

Gabriel : voilà mon petit trésor

Maman Tina : ma chérie tu es trop belle

Ruby : merci maman. Tu as vu mes cheveux

Maman Tina : Ouais et je vais aller acheter les mêmes c'est très bien fait

Papa DIFFO : amusez vous bien et ne soyez pas pressé de rentrer

Gabriel : il faut le dire à Ruby papa

Ruby : Ah non non je vais m'amuser sans regarder l'heure. Bye ohh

Ils ont dit aurevoir et sont partis

Papa DIFFO : j'ai jamais vu ma fille aussi heureuse j'espère qu'on ne va pas dire que c'était trop beau pour être vrai parce que si ça se passe mal elle va déprimer

Maman Janie : ça va bien se passer Dieu me l'a dit

Papa DIFFO : Ah ma femme cause avec Dieu c'est une bonne nouvelle dis lui d'aller souffler dans les oreilles de mon boss il me nomme ministre

Maman Janie : hahahaha très drôle.

Gabriel a fait monter Ruby dans la voiture, après l'avoir embrasser passionnément

Gabriel : Tu es magnifique trésor

Ruby : merci.

Gabriel : Tu n'as pas dis à tes parents que tu rentres demain

Ruby : Ah bon ? Je vais rentrer demain ? Et pourquoi

Gabriel : parce que tu vas passer la nuit avec ton mec

Ruby sourit de toutes ses dents, il l'embrasse à nouveau. Comment lui résister ? (se demande-t-elle). Ils sont d'abord allés chercher Blanche qui les attendait déjà dans sa petite robe. Ça se voit qu'elle se sent mal à l'aise.

Ruby : ma copine est sexy ohh

Blanche : ma mère m'a obligé à porter ça c'est bizarre sur moi

Ruby : hahahaha ma Blanche.

Gabriel : Tu es très bien habillée détend toi.

Ruby : Dieu a eu raison de ne pas tout me donner quand je vois les choses qui je ne peux pas faire et ceux qui peuvent le faire crâne même j'ai mal

Gabriel : s'il te donnait les pieds tu allais chercher à t'en voler

Ruby : hahahaha peut-être.

Ils ont pris la route pour la ville. Donald et sa fiancée Carmen sont déjà là, Koffi arrive après quelques minutes ils attendent les autres.

Donald : Gaby dis quoi ?

Koffi : il est en route avec sa ... Je ne sais même pas quoi dire

Donald : hahahaha

Carmen : ah ça va arrêter de faire aussi comme si c'était un extra terrestre stuippp

Koffi : laisse l'hypocrisie toi tu ne peux pas sortir avec un handicapé

Carmen : Qu'est-ce que tu en sais

Koffi : s'il a l'argent oui parce que vous les filles même avec un monstre friqué vous allez accepter

Donald : mon ami n'a pas lui les dos.

Gabriel entre avec Ruby et Blanche, il repère ses amis et va vers eux. Koffi les as vu

Koffi : wandafull maintenant il ya une Nguenguerou il faut qu'on sauve notre ami

Ils éclatent de rire

Gabriel : Salut les gars.

Ruby :. Bonsoir

Carmen : bonsoir

Gabriel : chérie je te présente Carmen la fiancée de Donald

Ruby : enchantée Carmen

Gabriel : Nous sommes avec Blanche une copine de Ruby

Donald ; bonsoir à vous. Comme Blanche est seule elle peut tenir compagnie à Koffi

Koffi : (ironique) merci c'est gentil

Ruby voit bien qu'ils sont mal à l'aise et les regarde de travers. Tant pis, elle est là pour passer un bon moment, les regards et autres ne lui font rien.

Ruby ; chérie porte moi

Gabriel : avec plaisir ma douce colombe

Il la porte elle passe ses bras autour de son cou et lui fait des bisous

Gabriel : ça te plaît hein

Ruby : grave je sens que je vais m'amuser

Gabriel : cool

Il l'a fait asseoir et garde bien son fauteuil en sécurité, Blanche s'assoit aussi. Ruby commence à bouger la tête au rythme de la musique

Gabriel : ah ça commence à venir

Ruby ; yeahhh j'adore

Koffi ; est ce qu'on peut commander

Gabriel : Bien sûr. En passant, la personne qui boit le jus commence à entrer

Ruby : hahahaha

Blanche : je ne bois pas la bière

Gabriel : Tu vas prendre une bière légère d'accord

Blanche : ok

Gabriel : Et toi ma douce tu prends quoi ?

Ruby : euhh je ne sais pas propose pour moi.

Il lui passe la main à la taille et l'attire contre lui, il lui chuchote des mots à l'oreille, elle est morte de rire. Ses amis sont dépassés.

Koffi : Passez ma commande je vais aller appeler dehors

Il est sorti appeler Dora

Dora : oui koffi

Koffi : Tu fais quoi nous sommes tous là

Dora : je ne sais pas si je vais venir je suis fatiguée

Koffi : comment tu peux faire ça toi aussi tu m'as pourtant dit que tu seras là

Dora : je t'avais dis que je n'étais pas sûr. Vous êtes déjà en place hein

Koffi : oui Gaby vient d'arriver avec sa go et une Nguenguerou, le gar là m'inquiète hein il doit être dans une secte

Dora : attend il est là avec sa go ?

Koffi : oui

Dora : j'arrive

Elle raccroche

Koffi : ekieeee. Donc je l'invite elle est fatiguée mais il faut prononcer le nom de Gabriel pour qu'elle vienne stuippp

Il est rentré. Les boissons ont déjà été servies. Ruby est toujours dans les bras de Gabriel, elle se secoue un peu le corps en lui faisant des bisous.

Koffi : Dora dit qu'elle arrive

Gabriel : tu es allé l'appeler hein

Donald : il y aura choc

Gabriel : choc de quoi ?

Ruby : c'est qui Dora bébé

Gabriel : ma pote dont je t'ai parlé

Donald : humm ta pote

Gabriel : Tu as un problème ?

Donald : du tout

Ruby : Carmen s'il te plaît tu peux nous prendre en photo

Carmen : bien sûr

Ruby lui a donné son téléphone elle les as filmé

Gabriel : est ce qu'elle n'est pas mignonne mon trésor

Carmen : vous êtes très beaux. J'aime beaucoup tes cheveux Ruby

Ruby : merci.

Gabriel : ça va Blanche ? tu es trop calme

Blanche : ça va

Gabriel : on va danser

Blanche : je ne sais pas danser

Gabriel : moi non plus on va se débrouiller

Gabriel l'a presque tiré sur la piste de danse avec toute la honte qui se dessine sur son visage. Ruby se prend des selfies qu'elle envoie à Zena. Dora entre et les retrouve

Carmen : ohh la voyageuse c'est toi qui manquait ici

Dora : bonsoir à vous

Elle regarde Gabriel et ouvre les yeux elle va chuchoter dans les oreilles de Koffi

Dora : ne me dis pas qu'il sort avec la Nguenguerou là

Koffi : si c'était au moins elle on pouvait comprendre. C'est sa go assise là à ta gauche.

Dora : Ah !

Elle se tourne vers Ruby

Dora : bonsoir je suis Dora

Ruby : ah ravi de te rencontrer moi c'est Ruby

Dora : Moi de même.

Elle prend une bière qu'elle décapsule avec ses dents et bois

Carmen : la force de l'expérience

Dora : hahahaha. Donald tu es bien calme

Donald : non non la soirée n'a pas encore bien commencée je recharge encore les batteries

Dora : ok

Gabriel revient s'asseoir avec Blanche

Gabriel : bonsoir Dora

Dora : salut

Gabriel : t'a vu Dora mon cœur

Ruby : oui oui on s'est salué. Bébé je veux faire pipi

Gabriel : je te prend ton fauteuil

Il est allé chercher et l'a fait asseoir

Blanche : je vais l'accompagner

Elle est partie avec Blanche et il s'est assis. Dora a les yeux et la bouche ouverts

Carmen : Dora tu vas avaler une mouche ferme ta bouche

Dora : je suis dépassée

Gabriel : Qu'est ce qui te dépasse ?

Dora : donc c'est elle ta copine

Gabriel : Oui. Elle est trop belle n'est-ce pas

Dora : merde.

Koffi : gar je croyais que la go là c'était seulement pour t'amuser mais je vois que tu es sérieux

Gabriel : tu me connais bien tu sais que je ne suis pas du genre à m'amuser avec les femmes. C'est une relation sérieuse et depuis la je vois vos gestes si vous êtes mal à l'aise vous partez on ne va pas vous prier de faire la fête

Dora : Tu es descendu bien bas là

Gabriel : c'est ce que tu crois

Koffi : et l'autre Nguenguerou la c'est qui

Carmen : hahahaha elle fait même peur

Donald : arrête ça tu parles d'une personne et non d'un animal

Carmen : ah vous avez le droit d'insulter Ruby et moi je n'ai pas le droit d'insulter l'autre n'est-ce pas. En tout cas moi je les trouve mignons ils sont amoureux, fichez leur le camp, tu as mon soutien Gabriel

Gabriel : Merci Carmen

Koffi : l'hypocrisie des femmes

Dora : je crois que ma part suffit pour aujourd'hui je vais y aller

Gabriel : alléluia

Koffi : tu es venu pour moi ou pour lui

Dora : je n'ai pas dis mon dernier mot Gabriel. La course de l'enfant c'est le matin

Gabriel : pour les adultes c'est le soir on va donc courir

Carmen : hahahaha vous parlez même de quoi

Dora est partie. Donald est allé l'accompagner. Ruby et Blanche sont revenues. Ruby est toujours très agitée, bras en l'air, elle danse et se remue le corps

Gabriel : c'est ça quand on sort une villageoise de son trou

Ruby : hahahaha j'accepte

Blanche : je vais dehors acheter la viande tu en veux ?

Ruby : achète pour tout le monde une fois attend je te donne l'argent

Elle lui a donné 5 miles

Blanche arrive dehors, elle ne sait pas où aller tellement il y a beaucoup de vendeurs. Donald l'a voit et vient vers elle

Donald : tu cherches quoi ?

Blanche : je veux acheter la viande

Donald : il ya un gar qui fait ça bien c'est celui en blouse blanche tu l'as vu

Blanche : oui oui merci

Elle est partie vers lui. A côté, Traoré y était avec sa femme. C'est elle qui remarque Blanche et le dit à son mari

Traoré : c'est pas elle, elle ne peut pas être belle comme ça?

Samira : je te dis que c'est elle ehh.

Traoré regarde encore bien

Traoré : c'est vrai c'est elle. Mais qu'est ce qu'elle fait ici en plus dans ce genre d'habits jusqu'à elle s'est même coiffée

Samira : Elle vit tout comme nous

Traoré : je suis curieux de savoir avec qui elle est, elle ne sort pas souvent

Samira : ton problème c'est lequel. Je n'aurais même pas dû te dire que c'est elle

Traoré : je m'interroge rien de sérieux.

Ils changent de sujet mais Traoré tourne chaque fois la tête pour regarder Blanche qui ne les a toujours pas vu.

Samira : Traoré arrête ça hein je vais verser le vin sur toi. Pour une fois qu'on sort s'amuser tu es concentré à regarder une autre

Traoré : désolé je me disais qu'elle nous avait vu

Samira : et même si c'est le cas ça fait quoi. Tu l'as regarde encore je me lève et je rentre

Traoré : sorry

Blanche a reçu sa commande et est partie. Ils ont mangé la viande comme s'ils attendaient ça. Après quelques heures, Koffi est rentré et les autres sont restés jusqu'à très tard. Gabriel a déposé Blanche avant de rentrer chez lui avec Ruby.

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Je m'appelle FOKOU Daniel, jeune homme célibataire de 34 ans sans enfants. je travaille dans un journal, plus précisément la presse écrite vous savez le genre qu'on lit le matin au bureau ou à la télé ou même dans les kiosques. Je suis assistant de la directrice générale depuis 3 ans. J'aime beaucoup mon travail ça me pasionne mais j'aimerais évoluer pourquoi pas être éditeur ou même rédaction, je fais tout pour avoir une promotion mais rien à l'horizon. Je me sens bien dans mon lieu de service mes collègues sont sympas on s'amuse super bien . Par contre la directrice, mon Dieu c'est une personne atypique je vous assure qu'elle fait peur à tout le monde. Moi même je me demande comment j'ai fais pour la supporter durant toutes ces années' cette femme terrorise pratiquement tout le monde au service. Quand elle n'est pas la nous sommes heureux on s'amuse et s'éclate mais quad elle est là l'entreprise est comme un cimetière chacun est concentré devant sa machine. Cette femme est comme une sorcière, il est impossible de savoir quand elle est heureuse ou pas d'ailleurs même je ne me rappelle pas de la dernière fois que je l'ai vu rire. En passant elle s'appelle Robyn le prénom des hommes même, son nom est difficile à prononcer du coup ça m'énerve elle est compliquée comme son nom. Elle n'est pas du pays c'est une Sud Africaine, c'est comme si elle est tombée du ciel elle est toujours seule, je n'ai jamais vu un membre de sa famille. Sérieusement elle me fait peur. Je supporte encore à cause de l'amour que je porte pour mon travail et aussi je sais qu'elle a toujours besoin de moi, elle sait qu'elle peut compter sur moi à tout moment je suis son plus proche collaborateur. Figurez vous qu'elle m'appelle souvent à 6h pour ne pas oublier de lui prendre son café ou même me demander où se trouve un dossier. C'est chiant parfois j'ai envie de lui donner un coup de poing ou même de mettre du poison dans son café. Je ne comprends pas pourquoi une femme peut être si amère, fade, aigri et ça l'a rend Vilaine or elle est bien jolie. Me voici en route qui court pour arriver au bureau, c'est un lundi si elle arrive avant moi je suis mort. Ma voiture est en panne obligé de prendre un taxi et vous savez comment le matin les embouteillages nous manque de respect. Je suis arrivé à l'entreprise, nous sommes situés au troisième niveau dans un immeuble de la ville. J'entre vite dans l'ascenseur et monte au 3e étage. Dès que j'arrive je me dirige vers la machine à café je lui prend ce qu'elle aime et je prend aussi pour moi. En me tournant je me bouscule avec un collègue et l'un des café tombe et se verse

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Aventure

5.0

La circulation est saturée, en plein midi où ça devrait être plus fluide. On peut voir des personnes qui pressent le pas pour rejoindre soit leur domicile, soit leur lieu de travail ou même encore qui vont déjeuner comme le fait Alan PRISO. Le ciel fait grise mine, on peut écouter le grondement torrentiel c'est sans doute ce qui explique cet embouteillage monstrueux des personnes et des véhicules. <Oh merde il va pleuvoir il faut que je me dépêche > dit Alan en traversant la route presque sans regarder ni à gauche ni à droite. Il accélère le pas on aurait dit un combattant qui va livrer une dernière bataille pour délivrer son peuple comme on les voit dans les films. Alan, la trentaine d'années avec des cheveux courts et une taille de girafe, traverse une supérette, et arrive à un carrefour il faut qu'il attende que le feu passe au vert pour qu'il traverse. Les quelques secondes qui ont suivi cette attente lui étaient comme une éternité car il recevait déjà quelques gouttes de pluie sur sa peau bien noire. < fait chier > cria-t-il en traversant la route. Sous ses aisselles, il garde bien enfoui sa serviette qui contient ses documents de l'école où il est enseignant. Sa serviette bien à l'abri des gouttelettes de pluies, il longe le couloir qui mène à son restaurant préféré, par chance il arrive vite avant que le ciel ne verse encore plus de ses grosses gouttes d'eau. _ oufff enfin, dit-t-il entre deux soupirs. Il entra dans le restaurant et alla s'asseoir sur une table vide, près de la fenêtre où il est assis, il peut facilement regarder l'extérieur et voir sa copine arriver. Observer les passants fuir la pluie l'amuse, il a eu la chance de l'avoir échappé de justesse. Subitement il sursaute en fouillant ses poches de partout comme s'il cherchait un objet précieux. Il finit par le trouver et son sourire s'illumine. Alan ouvre l'écrin de bijoux ou se trouve cette magnifique bague de fiançailles et se rappelle du jour où il l'avait acheté. Ça devrait faire plus d'un mois jamais il n'a trouvé le bon moment de demander à Déborah la femme avec qui il vit depuis quelques mois de l'épouser. Au départ il s'est dit que c'était trop tôt pour le faire, ensuite est venu s'ajouter à ça les conseils de son meilleur ami Stéphane qui lui a fait douter de lui et même de ses sentiments. Maintenant il est plus que décidé à faire sa demande, il veut se faire connaître de sa famille, de son entourage tout ce qu'elle aime. Depuis plus d'un an il vit un conte de fée avec cette déesse qu'il veut prendre pour moitié. Il veut l'épouser et faire d'elle la mère de ses enfants. Il aurait pu attendre faire sa demande la semaine prochaine le jour de son anniversaire mais non pour lui c'est très loin à force de repousser il finira par ne plus le faire. Ou même il pourrait la perdre.

Leader

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Aventure

5.0

Je m'appelle Fidèle Noah, oui c'est moche je sais. Je ne comprends pas pourquoi mes parents m'ont donné ce prénom vraiment c'est tellement démodé et pas très adapté pour une fille comme moi. Heureusement que j'en ai deux, Carla est mon second prénom c'est celui-ci que j'utilise toujours et partout, ça me ressemble mieux et me reflète. je suis l'aîné de ma famille, J'ai 30 ans, eh oui je suis déjà une grande fille encore célibataire et sans enfants. Vous allez comprendre pourquoi je n'ai pas d'enfants, c'est volontaire. Je suis issue d'une famille modeste, des anciens riches aujourd'hui pauvres parce que je suis pratiquement la seule qui apporte de quoi manger à la maison. Je vis avec ma petite sœur, Lydie qui est encore à l'école et mon père François Noah qui se bat comme il peut pour m'aider dans les charges de la maison. Ce n'est pas toujours facile parce qu'il est tout le temps malade, il est diabétique et hypertensive du coup il est souvent de repos. Nous logeons dans un appartement, une chance que mon oncle nous l'a laissé lorsqu'il est parti en Europe avec sa famille, je ne sais pas ce qu'on aurait fait si nous avions été en location avec la vie chère de la capitale économique, c'est pas évident. Ma mère pffff je n'aime pas parler d'elle elle m'énerve. J'écoute très souvent les gens parler en bien de leur mère, dire qu'elles sont leur dieu et tout, ça me fait de la peine j'aurai tellement voulu que ma mère soit comme les mamans des autres mais dommage, elle s'est préférée à nous. Il y a quelques années mon père a perdu son emploie, un emploi qui nous mettait à l'abri du besoin, je me rappelle encore bien de cette période là nous étions si heureux une famille presque parfaite, mon père prenait bien soin de nous et de sa femme, nous ne manquions de rien. Un soir mon père rentra du travail tout abattu et affichait la mine désespérée, le pire était arrivé, il avait perdu son emploi suite à un sérieux problème que subissait son entreprise ils ont été obligé de limoger des employés et lui en même temps. Le monde s'est écroulé sous nos yeux, mon père n'avait pas un plan B rien du tout et ma mère, femme au foyer comptait aussi sur lui. Le train de vie a commencé à régresser peu à peu le temps pour lui de trouver un autre emploi. On aurait dit que la malchance était de son côté car il ne trouvait rien, rien à faire malgré ses compétences, rien, même pas un sous métier. Cette année-là a été la plus difficile, ma mère n'a pas pu supporter l'extrême galère dans laquelle nous avons plongé, un beau matin on se réveilla qu'elle avait déserté sans laisser de traces ni de mots. J'avais 22 ans, je pouvais déjà m'occuper des miens comme une femme. J'ai donc pris le relais, j'ai essuyé les larmes de mon père, je me suis occupée de lui tel un bébé il avait perdu confiance en lui, perdu l'amour de sa vie et croyait perdre en même temps notre respect. ça n'a pas été le cas. Ma petite sœur et moi lui avions donné tout l'amour que les enfants pouvaient donner à leur papa. Peu à peu, il s'est relevé et enchaîné des petits boulots grâce à ça j'ai pu obtenir ma licence et j'ai arrêté l'école. Il était temps pour moi de prendre mes responsabilités en tant que grande sœur. J'ai commencé à chercher du travail, je faisais aussi n'importe quel genre de travail pourvu que ça m'apporte quelque chose, avec ce que je gagnais et ce que mon père ramenait on pouvait se gérer et continuer à payer les études de Lydie. Jusqu'au jour où mon père chute, c'était un deuxième choc pour nous il avait arrêté de travailler et j'étais la seule à ramener de l'argent, combien ? Pour combien de personnes ? sans compter ses médicaments, ses soins et visites médicales, avec tout ceci on ne pouvait plus gérer le loyer et avions accepté la proposition de son grand frère, notre oncle de vivre chez lui. Nous y sommes jusqu'à ce jour. Vous comprenez que après tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent je n'ai pas eu la tête posée pour penser à faire un enfant même pas par accident, j'ai toujours pris mes précautions, pour moi ma famille passe avant tout et en dépit de ce qu'on vit je ne voudrais pas, il serait irresponsable pour moi de ramener une autre charge et même ma petite sœur je le lui dis tout le temps. C'est une belle petite fille de 20 ans très intelligente elle vient d'entrer en fac et étudie les finances, je sais qu'un jour elle prendra le relais elle deviendra une grande dame. Le départ de notre mère l'a beaucoup affecté, elle pleurait des fois de son absence moi je ne pouvais rien faire je ne savais pas où elle était jusqu'au jour où sa sœur ma tante nous a fait savoir qu'elle vit chez un blanc, eh ah un blanc du n'importe quoi. Ma mère c'est une mauvaise femme je la déteste vous allez pensez que je suis dur tant pis c'est mon ressenti, je ne veux pas la voir ni aujourd'hui ni demain...

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