5.0
avis
7K
Vues
26
Chapitres

Un nouveau jour se levait pour Nicole. Elle sentait déjà que le bout du tunnel était proche. Le fait que la police enquête sur son affaire lui a redonné la joie au cœur et elle était plus confiante que jamais parce qu'elle sais qu'elle s'en sortira. C'est avec le cœur plein de joie qu'elle s'est réveillée, a pris sa douche et est sortie faire le petit déjeuner. Au moment de partir elle a souhaité à aller dire au revoir à maman Thérèse vu que la veille elle ne se sentait pas bien. Arrivée dans sa chambre, elle l'a trouvé couchée enroulé dans sa couverture. Elle a posé la paume de sa main sur son front et il était brûlant.

Chapitre 1 1

Un nouveau jour se levait pour Nicole. Elle sentait déjà que le bout du tunnel était proche. Le fait que la police enquête sur son affaire lui a redonné la joie au cœur et elle était plus confiante que jamais parce qu'elle sais qu'elle s'en sortira. C'est avec le cœur plein de joie qu'elle s'est réveillée, a pris sa douche et est sortie faire le petit déjeuner. Au moment de partir elle a souhaité à aller dire au revoir à maman Thérèse vu que la veille elle ne se sentait pas bien. Arrivée dans sa chambre, elle l'a trouvé couchée enroulé dans sa couverture.

Elle a posé la paume de sa main sur son front et il était brûlant.

Nicole : ma'a ça ne va pas ?

Maman Thérèse : pas très bien je me sens mal

Nicole : et tu ne me dis pas comment je voulais même déjà partir hein. Tu es très brûlante il faut peut être aller à l'hôpital

Maman Thérèse : ça va aller donne moi juste l'efferalgant.

Nicole : n'est-ce pas tu as bu ça hier qu'est ce que ça a fait. Si c'est le palu l'efferalgant va juste baisser les maux de tête mais pas la fièvre je vais appeler Achille

Maman Thérèse : ah non ne le dérange pas pour ça il va s'inquiéter pour rien

Nicole : tu dois te faire consulter maman. Je vais l'appeler.

Elle a pris son téléphone et lancer l'appel. Achille a décroché

Achille : oui allô

Nicole : bonjour Achille c'est Nicole

Achille : Nicole ?

Nicole : oui maman ne se sens pas bien je crois qu'il faut l'emmener à l'hôpital

Achille : quoi ? Qu'est ce qu'elle a ?

Nicole : ça doit être le pâlu elle fait trop de fièvre

Achille : mince. D'accord j'arrive

Nicole : OK.

Il a raccroché. Nicole a aidé maman Thérèse à se lever et se brosser les dents. Elle l'a aidé à se changer tout en attendant achille qui n'as pas tardé à arriver. Il n'a pas perdu de temps pour la faire monter dans sa voiture bien qu'elle refusait disant qu'elle devrait seulement se reposer. Arrivés à l'hôpital elle a été prise en charge sa température était tellement levée qu'on a été obligé de la mettre sous perfusion avant de faire une prise de sang pour les examens. Nicole et Achille étaient auprès d'elle.

Achille : je demande hein sa maladie a commencé quand ?

Nicole : hier elle a dis qu'elle ne sentait pas bien elle est allée se coucher

Achille : hummm maman tu veux déjà me donner la tension hein

Maman Thérèse : c'est rien vous paniquez trop tu aurais du me laisser à la maison je prend les produits

Achille : sans savoir de quoi tu souffres c'est hors de question.

Maman Thérèse : c'est le palu

Achille : les examens vont nous dire. J'ai une grosse réunion tout à l'heure et pas possible de la rater je vais devoir partir

Nicole : moi même je devais travailler mais je suis obligée de rester ici

Achille : je vais te couvrir

Nicole : d'accord merci

Le téléphone de maman Thérèse a sonné, Nicole a pris

Nicole : c'est Luc

Maman Thérèse : décroche alors il veut sûrement te parler

Elle a décroché

Nicole : Allo.

L'inspecteur : oui bonjour c'est Nicole ?

Nicole : oui c'est moi

L'inspecteur : je voulais arriver à la maison je ne sais pas si tu es là

Nicole : je suis à l'hôpital avec maman elle a fait un malaise

L'inspecteur : ah bon ? Depuis quand ça

Nicole : tout à l'heure

L'inspecteur : c'est quel hôpital ?

Nicole : général.

L'inspecteur : d'accord j'arrive je suis à côté.

Il a raccroché.

Nicole : il arrive

Maman Thérèse : OK

Achille : elle a mangé ?

Nicole : non

Maman Thérèse : je ne veux rien

Achille : mais il faut que tu manges quelque chose

Maman Thérèse : pas pour le moment stp

Achille : OK bon moi je vais partir je vais revenir dès que la réunion finie

Nicole : je suis la.

Achille : OK. Maman j'arrive hein. S'il y'a un problème mon téléphone est ouvert

Maman Thérèse : d'accord

Il est parti. Dehors il a vu l'inspecteur arrivé il l'a salué

L'inspecteur : c'est comment avec la mère alors que hier on s'est vu elle semblait bien portante

Achille : je ne sais pas les examens vont nous dire

L'inspecteur : OK. Nicole est la nor

Achille : oui elle est la. Euhh tonton dis moi tu crois vraiment qu'elle est innocente ?

L'inspecteur : oui elle a été piégé et je vais découvrir qui a été derrière tout ça

Achille : hummm OK. Bon je file au bureau avant de revenir

L'inspecteur : on fait comme ça..

Luc est entré dans la chambre de maman Thérèse

L'inspecteur : la femme ci dit qu' elle a quoi ?

Maman Thérèse : bonjour Luc. La vieillesse me dérange

L'inspecteur : est ce que la vieillesse c'est une maladie. Werrr assiiiaaa ça va aller

Maman Thérèse : merci.

L'inspecteur : je ne vais pas vous déranger longtemps Nicole j'étais voir Marc ses réponses ne m'ont pas convaincu il cache quelque chose ça c'est sur

Nicole : même avec le document là il n'a pas avoué ?

L'inspecteur : il dit que c'est une erreur, il est vraiment un con s'il pense que je vais croire à ça. Par contre il m'a parlé de votre sœur comme quoi elle avait envoyé une lettre de menace à votre fiancé vous étiez au courant de ca ?

Nicole : une lettre de menace ? Non je n'ai jamais été au courant.

L'inspecteur : je dois l'interroger tu peux me passer son numéro de téléphone

Nicole : d'accord.

Elle a pris son téléphone et lui a communiqué le numéro de sa sœur.

Nicole : si c'est vrai ça fera d'elle une suspecte ?

L'inspecteur : bien sur elle lui en voulait c'est déjà un motif

Nicole : hummm.

L'inspecteur : bon je vais continuer mon enquête maman je t'appelle plus tard prend soin de toi

Maman Thérèse : merci mon fils.

Il est sorti. Nicole était toute pensive

Maman Thérèse : tu penses à quoi ?

Nicole : à ce qu'il vient de dire. Ma sœur aurait proféré des menaces à Franck c'est sérieux là

Maman Thérèse : ma chérie en matière de cœur on pose des actes sans réfléchir

Nicole : je ne peux pas croire qu'elle a quelque chose à y voir dedans. Elle m'aide même à m'en sortir contrairement à Marc qui n'arrête pas de cacher les choses

Maman Thérèse : elle peut bien t'aider pour faire semblant'. Et Marc peut bien cacher des choses pour qu'on ne sache pas qu'il avait empoché tout l'argent

Nicole : hummm c'est compliqué dehh

Maman Thérèse : ne prend pas encore position observons d'abord le résultat de l'enquête de Luc

Nicole : OK. Maintenant repose toi

Maman Thérèse : je me sens mieux

Nicole : je vois comment tu transpires c'est bon signe

Maman Thérèse : oui.

De l'autre côté de la ville, Alexe avait reçu l'appel de l'inspecteur et l'attendait chez elle. Elle était tout de même surprise de le recevoir et ne savait pas pourquoi il était là.

L'inspecteur : bonjour madame

Alexe : bonjour inspecteur entrez, asseyons nous ici (en se dirigeant vers la table à manger) je vous sers quelque chose à boire ?

L'inspecteur : non merci. Vous vous demandez sans doute pourquoi je suis la

Alexe : oui je suis surprise. Mon fiancé a encore fait quoi ?

L'inspecteur : hahahaha il ne s'agit pas de votre fiancé mais de votre sœur. Nous avons réouvert son dossier et suis chargé de l'enquête d'où ma présence

Alexe : ah d'accord. Je suis disposée à répondre à vos questions

L'inspecteur : bien. Comme ça vous étiez la petite amie de Franck avant qu'il ne vous quitte pour votre sœur

Alexe : oui c'est ça

L'inspecteur : comment avez vous vécu cette trahison ?

Alexe : je n'allais tout de même pas les applaudir, je l'ai très mal vécu j'étais en colère

L'inspecteur : contre qui ?

Alexe : plus contre ma sœur que Franck. Les hommes sont tous des cochons donc c'était à elle de repousser ses avances mais elle ne l'avait pas fait

L'inspecteur : ce qui vous a un peu éloigné de votre sœur, du moins votre relation s'est dégradée

Alexe : oui elle s'est beaucoup dégradée je ne voulais plus la voir même pas en peinture. Elle me dégoûtait

L'inspecteur : raison pour laquelle vous aviez envoyé une lettre de menace à Franck

Alexe : oui je l'avais fait. J'étais emportée par la colère c'était plus fort que moi je me suis laisser dominer par cette colère là

L'inspecteur : si je ne me trompe pas vous disiez dans cette lettre que vous allez vous assurer qu'ils ne soient jamais heureux

Alexe : oui quelque chose comme ça

L'inspecteur : en disant ça c'était quoi votre plan pour les rendre malheureux

Alexe : je n'en avais pas. Comme je vous l'ai dis j'étais emportée par la colère je ne mesurais pas l'ampleur de mes mots.

L'inspecteur : OK. Le soir de sa mort ou étiez vous ?

Alexe : à la maison

L'inspecteur : quelqu'un peut le confirmer ?

Alexe : non j'étais seule, ma tante chez qui je vivais avait voyagé

L'inspecteur : d'accord. Avez vous tué Franck ?

Alexe : mais non jamais. Avec quel courage

L'inspecteur : et pourtant vous aviez le mobil pour le faire

Alexe : oui j'avais envie de lui arracher les yeux je le haïssais mais pas au point de le tuer. Même si ça m'avait effleurer l'esprit, cette idée là n'a jamais fait partie de mes objectifs.

L'inspecteur : d'accord. La relation avec votre sœur s'est-elle améliorée ?

Alexe : oui on s'est retrouvé après tant d'années de séparation et de colère de mon côté bien sûr

L' inspecteur : OK merci de m'avoir répondu je vais vous laisser et si j'ai d'autres questions je reviendrai

Alexe : sans problème vous avez mon numéro vous m'appelez avant parce que j'ai des horaires de travail un peu bizarre

L'inspecteur : j'ai pris note. Bonne soirée madame

Alexe : merci je vous raccompagne

Elle l'a laissé devant la porte et l'a regardé partir dans sa voiture. Elle était en colère contre sa sœur, elle aurait voulu que cette dernière lui prévienne de ce qui se passe mais non elle agissait comme ci elle l'a prenait pour suspecte. Il fallait absolument qu'elle l'a voit. Elle a pris son téléphone pour l'appeler

Nicole : oui Alexe

Alexe : bonjour c'est comment ?

Nicole : ça va et toi ?

Alexe : ça peut aller j'aimerais qu'on cause si tu es libre ?

Nicole : ah non je suis à l'hôpital avec maman Thérèse elle est internée

Alexe : ah bon depuis quand ? Qu'est ce qu'elle a ?

Nicole : le docteur a dit le palu nous somme arrivés ici depuis le matin. Si c'est urgent tu peux passer

Alexe : c'est urgent mais bon je n'ai pas le temps de passer je vais prendre Alice à l'école et je file au boulot. On va seulement remettre peut-être demain matin en rentrant je peux passer à l'hôpital

Nicole : d'accord je suis la tu me fais seulement signe.

Alexe : OK salut la moi

Elle a raccroché.

C'est aux environs de 16h que Achille est revenu à l'hôpital accompagné de Olivia.

Olivia : bonsoir Nicole

Nicole : bonsoir

Olivia : comment elle va ?

Nicole : ça va, la température a beaucoup baissé.

Achille : elle dort depuis ?

Nicole : pas vraiment.

Achille : elle a mangé ?

Nicole : elle m'a dit qu'elle voulait un bouillon de pommes j'attendais comme ça que tu arrives je cours à la maison préparer et lui apporter avant que la nuit ne tombe

Achille : ah OK. Vas y alors nous sommes là

Nicole a pris quelques effets et est sortie. Achille l'a suivi et l'a interpellé au couloir

Achille : Nicole un instant

Nicole : oui

Il lui a tendu un billet de 5000 frs

Achille : c'est pour la nourriture

Nicole : ah ok sinon j'allais me débrouiller hein

Achille : merci de t'occuper d'elle

Nicole : je ne le fait pas pour toi

Achille : je sais merci quand même

Elle n'a pas répondu et s'est retournée pour partir.

Arrivée à la maison elle a commencé à faire la cuisine quand Raoul a appelé

Raoul : bonsoir ma puce

Nicole : bonsoir tu étais ou depuis ?

Raoul : téléphone en panne j'ai dû m'acheter un autre. Toi ça va ? Tu m'as manqué

Nicole : n'est-ce pas

Raoul : on se voit ce soir ?

Nicole : j'aurais bien aimée mais je suis à l'hôpital avec ma mère

Raoul : oulala elle est malade ?

Nicole : oui.

Raoul : désolé j'espère que c'est pas grave

Nicole : non ça ira.

Raoul : on va donc remettre ça. Je vais voir un ami en ville avant de rentrer

Nicole : d'accord

Raoul : on s'écrit le soir si tu veux

Nicole : bien sur

Raoul : cool à plus bb

Nicole : à plus

Raoul a roulé jusqu'aux bureaux de Marc. Il est entré sans attendre vu qu'il l'attendait déjà

Marc : toi tu es même ou depuis, quelqu'un peut même mourir tu ne seras pas au courant

Raoul : qui voulait mourir j'ai eu un souci de téléphone. Qu'est ce qui s'est passé

Marc : n'est-ce pas Nicole a réussi à réouvrir le dossier jusqu'à j'ai reçu un inspecteur de police ce matin

Raoul : hein ? Ne me dis pas il a découvert quoi ?

Marc : l'argent que j'ai touché, il a sorti le bordereau de virement mais j'ai nié en feignant une erreur je ne pense pas qu'il m'a cru

Raoul : Mince !

Marc : tout ça est de ta faute si tu avais bien fait ton travail on en serait pas là j'aurais eu une longueur d'avance sur eux et me préparer en conséquence. Le gars m'a coincé

Raoul : tu crois que c'est facile, Nicole ne parle pas de ses affaires et je ne peux pas lui obliger

Marc : eh bien tu devrais le faire, ça commence à bien faire là ! J'ai été même obligé de raconter tout à Joëlle mais sans lui dire que j'ai touché l'argent de son frère

Raoul : hummm. On va donc procéder comment ?

Marc : il ne faudra pas qu'il sache que j'ai empoché tout le blé. Occupe toi de faire parler Nicole ca urge. Cette fille commence sérieusement à me gonfler

Raoul : je vais le faire mais vraiment c'est pas facile hein.

Marc : werrr le gar ci je ne te connais pas si mou comme ça qu'est ce qui t'arrive même elle te fait peur '?

Raoul : mon frère toutes les femmes ne sont pas les mêmes c'est pas parce que avec Vanessa ça s'est vite passé que ça serait pareil avec adèle. Nicole est difficile et ne s'ouvre pas facilement.

Marc : en tout cas débrouille toi j' attends des résultats. Je n'aimerais plus me retrouver dans une situation comme celle ci. Une petite peste comme ça elle a mis la police derrière 'moi pffff

Raoul : si tu as géré le coup ci c'est bon

Marc : maintenant je dois créer un faux bordereau qui atteste que j' ai reçu 4 millions au lieu de 8 stuiip

Raoul : c'est facile mon frère il ya des gens qui peuvent te faire ça

Marc : oui mais il faut avoir un exemplaire de celui de la banque pour fabriquer un autre de semblable je vais avoir l'exemplaire ou. En plus ca doit être un exemplaire de cette époque là pas celle ci.

Raoul : on va trouver une solution calme toi.

Marc : je suis pressé didon

Raoul : pardon rentre te reposer quand tu es nerveux comme ça c'est pas bon. Repose toi ensemble on va trouver une solution

Marc : je haïs cette fille

Raoul : hummm je devais la voir aujourd'hui mais elle est empêchée.

Marc : une laide chose même comme ça

Raoul : hahahaha werrrr quand tu es fâché hein c'est très grave. Je vais te laisser, fait ce que je t'ai dis va te reposer demain est un autre jour

Marc : je le ferais

Raoul : on s'appelle

Marc : fait l'effort de garder ton téléphone ouvert

Raoul : d'accord

Il est sorti et est parti

Continuer

Autres livres par FLORAISON

Voir plus
RUPTURE

RUPTURE

Romance

5.0

Je m'appelle Destiny, ah oui mon prénom me plaît trop ça fait genre stars quoi hihihi. je suis une fille ou alors un femme de 32 ans, célibataire sans enfant et boss comme commercial dans une assurance. Je peux dire que je gagne bien ma vie mais ça ne me suffit pas. J'ai un teint clair sans maquillage, forme généreuse comme une vraie africaine, j'ai un piercing au nez c'est sexy je trouve. Je fais 1m69 pour 78 kilos. Pour dire vrai, ce sont mes fesses qui pèsent le plus mdr. ... Je vis dans un appartement avec ma meilleure amie Julia. C'est ma Juju comme on dit chez nous, on se connait depuis plus de 15 ans, du coup elle est comme une sœur pour moi. Je n'ai pas de frère ni de sœur, ne me demandez pas pourquoi je n'en sais rien. Je pense que je vais poser cette question à ma mère la prochaine fois que je la verrais. Mes parents sont divorcés depuis des années, je pense que je n'avais pas plus de 15 ans. Ma mère ne s'est plus remariée et mon père, ah je sais pas. Bref, passons sur eux. Je peux dire que j'ai tout ce que je veux matériellement parlant mais au fond de moi je me sens seule. Je n'ai pas de petit ami, or j'aimerais bien avoir un homme comme mes collègues, la plupart de mes amis mais je n'ai personne. Tous les hommes qui viennent vers moi c'est par intérêt et quand ils constatent que je ne suis pas du genre à entretenir un homme ils s'en vont pffff ca me saoul. je suis fatiguée d'avoir des relations sans lendemain oui parce que parfois je vais en boîte de nuit et je rentre avec un gars finir la soirée en beauté mais c'est juste pour me satisfaire rien de sérieux. Je n'ai plus envie de fonctionner comme ça je veux aussi un homme à moi. Je suis dans ma voiture pour la maison j'ai bien envie d'acheter un bon vin blanc que je vais boire et me saouler devant la télé. Je pense à Julia c'est aujourd'hui qu'elle revient de son weekend passé chez son petit ami donc pas possible de me saouler. J'envie souvent ma copine par rapport à sa relation avec John depuis 1 an déjà. C'est la première fois qu'elle vit une relation d'un an, elle est très contente et espère que ça aboutisse au mariage. Je le lui souhaite dans tous les cas. L'immeuble où je suis possède un parking, je gare donc ma voiture et sort. Il y a déjà quelques voitures garées au parking, mes voisins sont déjà rentrés. La plupart de mes voisins sont des hommes mariés, et les quelques célibataires sont chelou on dirait des vampires on ne les voit jamais. Je prend mon sac et bloque les portières. Je monte jusqu'au 2e' c'est une chance que nous ne sommes pas au 4e c'est la galère pour monter chaque jour. La porte est entrouverte j'entre

L'ACCORD

L'ACCORD

Aventure

5.0

Je m'appelle FOKOU Daniel, jeune homme célibataire de 34 ans sans enfants. je travaille dans un journal, plus précisément la presse écrite vous savez le genre qu'on lit le matin au bureau ou à la télé ou même dans les kiosques. Je suis assistant de la directrice générale depuis 3 ans. J'aime beaucoup mon travail ça me pasionne mais j'aimerais évoluer pourquoi pas être éditeur ou même rédaction, je fais tout pour avoir une promotion mais rien à l'horizon. Je me sens bien dans mon lieu de service mes collègues sont sympas on s'amuse super bien . Par contre la directrice, mon Dieu c'est une personne atypique je vous assure qu'elle fait peur à tout le monde. Moi même je me demande comment j'ai fais pour la supporter durant toutes ces années' cette femme terrorise pratiquement tout le monde au service. Quand elle n'est pas la nous sommes heureux on s'amuse et s'éclate mais quad elle est là l'entreprise est comme un cimetière chacun est concentré devant sa machine. Cette femme est comme une sorcière, il est impossible de savoir quand elle est heureuse ou pas d'ailleurs même je ne me rappelle pas de la dernière fois que je l'ai vu rire. En passant elle s'appelle Robyn le prénom des hommes même, son nom est difficile à prononcer du coup ça m'énerve elle est compliquée comme son nom. Elle n'est pas du pays c'est une Sud Africaine, c'est comme si elle est tombée du ciel elle est toujours seule, je n'ai jamais vu un membre de sa famille. Sérieusement elle me fait peur. Je supporte encore à cause de l'amour que je porte pour mon travail et aussi je sais qu'elle a toujours besoin de moi, elle sait qu'elle peut compter sur moi à tout moment je suis son plus proche collaborateur. Figurez vous qu'elle m'appelle souvent à 6h pour ne pas oublier de lui prendre son café ou même me demander où se trouve un dossier. C'est chiant parfois j'ai envie de lui donner un coup de poing ou même de mettre du poison dans son café. Je ne comprends pas pourquoi une femme peut être si amère, fade, aigri et ça l'a rend Vilaine or elle est bien jolie. Me voici en route qui court pour arriver au bureau, c'est un lundi si elle arrive avant moi je suis mort. Ma voiture est en panne obligé de prendre un taxi et vous savez comment le matin les embouteillages nous manque de respect. Je suis arrivé à l'entreprise, nous sommes situés au troisième niveau dans un immeuble de la ville. J'entre vite dans l'ascenseur et monte au 3e étage. Dès que j'arrive je me dirige vers la machine à café je lui prend ce qu'elle aime et je prend aussi pour moi. En me tournant je me bouscule avec un collègue et l'un des café tombe et se verse

PRÉCIEUSE

PRÉCIEUSE

Moderne

5.0

Dans la ville de Douala, plus précisément au quartier Bonapriso, l'un des quartiers huppés de la ville, vit un couple CHRISTAL âgée de 28 ans, grande de taille avec un corps très fin, elle est qualifiée comme étant une personne très forte, travailleuse aimable, sûr d'elle, très attachée à sa carrière et rêve de devenir internationale. Certains disent d'elle qu'elle est hautaine et se prend la grosse tête à cause de la belle vie qu'elle mène elle nargue ceux qui n'ont pas '' réussi'' et qui ne sont pas fiancé avec un homme riche comme elle ; son fiancé PATERNE âgée de 38 ans, assez grand et robuste. Il est qualifiée comme étant une personne de fort caractère, colérique, bosseur et très habille dans le travail. Certains se plaignent qu'il est hautain, égoïste, impoli et irrespectueux vu qu'il côtoie certaines personnalités de ce pays. Ils ont aménagé ensemble il ya 3 ans juste après la dot de Christal. Ils sont en couple depuis 5 ans déjà. Paterne est un homme d'affaire qui travaille dans l'import et export, aussi il voyage beaucoup à cause de ses multiples affaires. Christal quant à elle est mannequin depuis l'âge de 22 ans. Avec l'aide de son fiancé, elle a su se faire des relations et monter en grade dans son activité, elle voyage aussi beaucoup et affectionne surtout la vie de luxe que son fiancé lui apporte quotidiennement. Christal vient d'une famille démuni, avec un père instituteur à la retraite, une mère femme au foyer et son petit frère Loïc âgé de 22 ans qui vit encore chez ses parents, Christal aide ses parents comme elle peut ainsi que son fiancé qui n'hésite pas souvent à leur apporter son soutien financier. Paterne par contre vient d'une famille moyen. Ses parents n'étaient pas riches mais ils se suffisaient largement. Son père, un ancien fonctionnaire est décédé il ya 2 ans, sa mère une femme au foyer s'est toujours battu à faire de la couture qu'elle a arrêté avec de l'âge. Paterne à une petite sœur Alma âgée de 30 ans qui vient d'avoir son premier emploi après des années d'enchainement de petits boulots. Grâce à son frère aujourd'hui elle a un emploi en temps plein et est très bien payée. Jusqu'ici Christal n'a pas encore pu concevoir ce qui cause des tensions dans le couple, mais pour Christal ce n'est pas un problème elle sait qu'elle le sera et requiert la patience de son fiancé. Ce matin Paterne est devant le miroir en train de nouer sa cravate, Christal est couchée en train de le regarder.

LA BELLE FAMILLE

LA BELLE FAMILLE

Aventure

5.0

La circulation est saturée, en plein midi où ça devrait être plus fluide. On peut voir des personnes qui pressent le pas pour rejoindre soit leur domicile, soit leur lieu de travail ou même encore qui vont déjeuner comme le fait Alan PRISO. Le ciel fait grise mine, on peut écouter le grondement torrentiel c'est sans doute ce qui explique cet embouteillage monstrueux des personnes et des véhicules. <Oh merde il va pleuvoir il faut que je me dépêche > dit Alan en traversant la route presque sans regarder ni à gauche ni à droite. Il accélère le pas on aurait dit un combattant qui va livrer une dernière bataille pour délivrer son peuple comme on les voit dans les films. Alan, la trentaine d'années avec des cheveux courts et une taille de girafe, traverse une supérette, et arrive à un carrefour il faut qu'il attende que le feu passe au vert pour qu'il traverse. Les quelques secondes qui ont suivi cette attente lui étaient comme une éternité car il recevait déjà quelques gouttes de pluie sur sa peau bien noire. < fait chier > cria-t-il en traversant la route. Sous ses aisselles, il garde bien enfoui sa serviette qui contient ses documents de l'école où il est enseignant. Sa serviette bien à l'abri des gouttelettes de pluies, il longe le couloir qui mène à son restaurant préféré, par chance il arrive vite avant que le ciel ne verse encore plus de ses grosses gouttes d'eau. _ oufff enfin, dit-t-il entre deux soupirs. Il entra dans le restaurant et alla s'asseoir sur une table vide, près de la fenêtre où il est assis, il peut facilement regarder l'extérieur et voir sa copine arriver. Observer les passants fuir la pluie l'amuse, il a eu la chance de l'avoir échappé de justesse. Subitement il sursaute en fouillant ses poches de partout comme s'il cherchait un objet précieux. Il finit par le trouver et son sourire s'illumine. Alan ouvre l'écrin de bijoux ou se trouve cette magnifique bague de fiançailles et se rappelle du jour où il l'avait acheté. Ça devrait faire plus d'un mois jamais il n'a trouvé le bon moment de demander à Déborah la femme avec qui il vit depuis quelques mois de l'épouser. Au départ il s'est dit que c'était trop tôt pour le faire, ensuite est venu s'ajouter à ça les conseils de son meilleur ami Stéphane qui lui a fait douter de lui et même de ses sentiments. Maintenant il est plus que décidé à faire sa demande, il veut se faire connaître de sa famille, de son entourage tout ce qu'elle aime. Depuis plus d'un an il vit un conte de fée avec cette déesse qu'il veut prendre pour moitié. Il veut l'épouser et faire d'elle la mère de ses enfants. Il aurait pu attendre faire sa demande la semaine prochaine le jour de son anniversaire mais non pour lui c'est très loin à force de repousser il finira par ne plus le faire. Ou même il pourrait la perdre.

Leader

Leader

Aventure

5.0

Je m'appelle Fidèle Noah, oui c'est moche je sais. Je ne comprends pas pourquoi mes parents m'ont donné ce prénom vraiment c'est tellement démodé et pas très adapté pour une fille comme moi. Heureusement que j'en ai deux, Carla est mon second prénom c'est celui-ci que j'utilise toujours et partout, ça me ressemble mieux et me reflète. je suis l'aîné de ma famille, J'ai 30 ans, eh oui je suis déjà une grande fille encore célibataire et sans enfants. Vous allez comprendre pourquoi je n'ai pas d'enfants, c'est volontaire. Je suis issue d'une famille modeste, des anciens riches aujourd'hui pauvres parce que je suis pratiquement la seule qui apporte de quoi manger à la maison. Je vis avec ma petite sœur, Lydie qui est encore à l'école et mon père François Noah qui se bat comme il peut pour m'aider dans les charges de la maison. Ce n'est pas toujours facile parce qu'il est tout le temps malade, il est diabétique et hypertensive du coup il est souvent de repos. Nous logeons dans un appartement, une chance que mon oncle nous l'a laissé lorsqu'il est parti en Europe avec sa famille, je ne sais pas ce qu'on aurait fait si nous avions été en location avec la vie chère de la capitale économique, c'est pas évident. Ma mère pffff je n'aime pas parler d'elle elle m'énerve. J'écoute très souvent les gens parler en bien de leur mère, dire qu'elles sont leur dieu et tout, ça me fait de la peine j'aurai tellement voulu que ma mère soit comme les mamans des autres mais dommage, elle s'est préférée à nous. Il y a quelques années mon père a perdu son emploie, un emploi qui nous mettait à l'abri du besoin, je me rappelle encore bien de cette période là nous étions si heureux une famille presque parfaite, mon père prenait bien soin de nous et de sa femme, nous ne manquions de rien. Un soir mon père rentra du travail tout abattu et affichait la mine désespérée, le pire était arrivé, il avait perdu son emploi suite à un sérieux problème que subissait son entreprise ils ont été obligé de limoger des employés et lui en même temps. Le monde s'est écroulé sous nos yeux, mon père n'avait pas un plan B rien du tout et ma mère, femme au foyer comptait aussi sur lui. Le train de vie a commencé à régresser peu à peu le temps pour lui de trouver un autre emploi. On aurait dit que la malchance était de son côté car il ne trouvait rien, rien à faire malgré ses compétences, rien, même pas un sous métier. Cette année-là a été la plus difficile, ma mère n'a pas pu supporter l'extrême galère dans laquelle nous avons plongé, un beau matin on se réveilla qu'elle avait déserté sans laisser de traces ni de mots. J'avais 22 ans, je pouvais déjà m'occuper des miens comme une femme. J'ai donc pris le relais, j'ai essuyé les larmes de mon père, je me suis occupée de lui tel un bébé il avait perdu confiance en lui, perdu l'amour de sa vie et croyait perdre en même temps notre respect. ça n'a pas été le cas. Ma petite sœur et moi lui avions donné tout l'amour que les enfants pouvaient donner à leur papa. Peu à peu, il s'est relevé et enchaîné des petits boulots grâce à ça j'ai pu obtenir ma licence et j'ai arrêté l'école. Il était temps pour moi de prendre mes responsabilités en tant que grande sœur. J'ai commencé à chercher du travail, je faisais aussi n'importe quel genre de travail pourvu que ça m'apporte quelque chose, avec ce que je gagnais et ce que mon père ramenait on pouvait se gérer et continuer à payer les études de Lydie. Jusqu'au jour où mon père chute, c'était un deuxième choc pour nous il avait arrêté de travailler et j'étais la seule à ramener de l'argent, combien ? Pour combien de personnes ? sans compter ses médicaments, ses soins et visites médicales, avec tout ceci on ne pouvait plus gérer le loyer et avions accepté la proposition de son grand frère, notre oncle de vivre chez lui. Nous y sommes jusqu'à ce jour. Vous comprenez que après tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent je n'ai pas eu la tête posée pour penser à faire un enfant même pas par accident, j'ai toujours pris mes précautions, pour moi ma famille passe avant tout et en dépit de ce qu'on vit je ne voudrais pas, il serait irresponsable pour moi de ramener une autre charge et même ma petite sœur je le lui dis tout le temps. C'est une belle petite fille de 20 ans très intelligente elle vient d'entrer en fac et étudie les finances, je sais qu'un jour elle prendra le relais elle deviendra une grande dame. Le départ de notre mère l'a beaucoup affecté, elle pleurait des fois de son absence moi je ne pouvais rien faire je ne savais pas où elle était jusqu'au jour où sa sœur ma tante nous a fait savoir qu'elle vit chez un blanc, eh ah un blanc du n'importe quoi. Ma mère c'est une mauvaise femme je la déteste vous allez pensez que je suis dur tant pis c'est mon ressenti, je ne veux pas la voir ni aujourd'hui ni demain...

Inspirés de vos vus

L'esclave du roi

L'esclave du roi

Kiss Leilani.
4.9

Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre