Moi: non ne fermes pas les yeux ne...noooon! Beep beep beep. Il est parti à tout jamais. Mon ange mon tout. Comment ferais je sans lui? Qui veillera sur moi? Pourquoi il part? pourquoi encore un? si tout mes anges partent, qui veillera sur moi? Moi: ne me laisse pas ici mon ange. Tu as promis de ne jamais me laisser. Pourquoi tu pars? Je crie bien évidemment. Sinon que faire? Je pleure; les enfants pleurent, tout le monde pleure. Il n'est plus. Michèle: calmes toi maman! Je regarde Michelle qui a les yeux remplis de larmes. Moi: si je me calme tu vas me le ramener hein?? Tu vas me le ramener? Je me détache d'elle et je me met près du corps couvert de drap blanc. Moi: lève toi Marion c'est pas une blague. Je t'en prie ne me laisse pas. Ouvres les yeux, ouvres les yeux! Je le secoue de toute mes forces. Ça ne peux pas être réel. - madame calmez vous. Dis le médecin. Moi: laissez moi, laissez moi pleurer mon mari! De mon ange. Je veux par... Et puis trou noir, plus rien. Je me suis évanouie. ( Deux mois plus tard ) Tony: maman arrêtes. Ça fait trois mois que papa est parti. Tu ne fais que pleurer ici dans ta chambre. Tu ne manges presque plus, tu ne sors plus. Moi: Laisse moi. Sors de ma chambre Antony! Tony: Non je n'irai nul part aujourd'hui. Faut que tu te reprennes en main. Nous souffrons tous, après tout c'était aussi notre père. Tu pense qu'il aurait aimé te voir ainsi? Tu ne pense plus à nous. C'est quand la dernière fois que tu as vu les enfants? Tu ne sais même pas qu'on les a envoyé chez grand mère pour qu'ils ne te voient pas comme ça. Je le regarde et je commence à me poser des questions. Il a raison, je les ai abandonné. Je devais les rassurer, leur dire que tout ira bien. Je suis une mauvaise mère. Je suis faible. Tony: Maman on t'aime et on ne veut pas te perdre aussi. S'il te plaît maman reprends toi. Il faut que tu vois un psychologue pour qu'il t'aide à sortir de ce mutisme. Moi: je ne suis pas folle. Tony: Maman je sais que tu n'es pas folle et on ne compte pas t'interner. Maman tu dois parler à quelqu'un de ce que tu ressens et une fois que tu te seras confié, tu verras que tout ira mieux. Il prend mes mains dans les siennes. Tony: tu promet de réfléchir à ma proposition? Moi: oui. Je vais y réfléchir. Tony: merci. Il me serre fort dans ses bras. Tony: Maman vas prendre un bain on va bientôt passer à table et tu seras de la partie. Moi: ok, j'y vais. (...) John: Maman wow ! Tu es resplendissante. Moi: merci Johnathan. Les triplés ne sont pas là? John: Non. J'irais les chercher demain. J'arrive près de la table et comme j'ai des enfants galants, Johnathan me tire la chaise comme le faisait toujours leur père. Lui qui... Non je ne vais pas y penser. Moi: comment ça vas Micha? Michelle: bien et toi? Moi: je vais aller bien maintenant que vous êtes là. Tony: tu ne peux pas te passer de nous princesse. Et tout le monde rigole, même moi. Tony: ton rire nous a manqué maman. Moi: oui. Je suis navrée de vous avoir délaissé. J'ai été égoïste. Tony: c'est du passé. Moi: oui. On a commencé à manger. John: le notaire est passé. Moi: ah bon? Tony: oui la semaine passée. Papa avait un testament. Moi: ah ok! Je savais vu qu'avant d'aller voir le notaire il m'avait parlé. Tony: comme John n'a pas le sens des affaires il a laissé l'hôpital en son nom. Et les 1/5 de la moitié de l'entreprise à chacun de nous. Vu que l'autre moitié t'appartient. Cette maison en ton nom pour qu'elle reste familiale. Les 6 autres maisons en nos noms. Et enplus il avait ouvert un compte d'épargne pour chacun de nous ou il versait de l'argent chaque mois. Et le reste de ses biens à mami, à mon oncle Jason, et au reste de la famille.
Moi: non ne fermes pas les yeux ne...noooon!
Beep beep beep. Il est parti à tout jamais. Mon ange mon tout. Comment ferais je sans lui? Qui veillera sur moi? Pourquoi il part?
pourquoi encore un? si tout mes anges partent, qui veillera sur moi?
Moi: ne me laisse pas ici mon ange. Tu as promis de ne jamais me laisser. Pourquoi tu pars?
Je crie bien évidemment. Sinon que faire?
Je pleure; les enfants pleurent, tout le monde pleure. Il n'est plus.
Michèle: calmes toi maman!
Je regarde Michelle qui a les yeux remplis de larmes.
Moi: si je me calme tu vas me le ramener hein?? Tu vas me le ramener?
Je me détache d'elle et je me met près du corps couvert de drap blanc.
Moi: lève toi Marion c'est pas une blague. Je t'en prie ne me laisse pas. Ouvres les yeux, ouvres les yeux!
Je le secoue de toute mes forces. Ça ne peux pas être réel.
- madame calmez vous. Dis le médecin.
Moi: laissez moi, laissez moi pleurer mon mari! De mon ange. Je veux par...
Et puis trou noir, plus rien. Je me suis évanouie.
( Deux mois plus tard )
Tony: maman arrêtes. Ça fait trois mois que papa est parti. Tu ne fais que pleurer ici dans ta chambre. Tu ne manges presque plus, tu ne sors plus.
Moi: Laisse moi. Sors de ma chambre Antony!
Tony: Non je n'irai nul part aujourd'hui. Faut que tu te reprennes en main. Nous souffrons tous, après tout c'était aussi notre père. Tu pense qu'il aurait aimé te voir ainsi? Tu ne pense plus à nous. C'est quand la dernière fois que tu as vu les enfants? Tu ne sais même pas qu'on les a envoyé chez grand mère pour qu'ils ne te voient pas comme ça.
Je le regarde et je commence à me poser des questions. Il a raison, je les ai abandonné. Je devais les rassurer, leur dire que tout ira bien. Je suis une mauvaise mère. Je suis faible.
Tony: Maman on t'aime et on ne veut pas te perdre aussi. S'il te plaît maman reprends toi. Il faut que tu vois un psychologue pour qu'il t'aide à sortir de ce mutisme.
Moi: je ne suis pas folle.
Tony: Maman je sais que tu n'es pas folle et on ne compte pas t'interner. Maman tu dois parler à quelqu'un de ce que tu ressens et une fois que tu te seras confié, tu verras que tout ira mieux.
Il prend mes mains dans les siennes.
Tony: tu promet de réfléchir à ma proposition?
Moi: oui. Je vais y réfléchir.
Tony: merci.
Il me serre fort dans ses bras.
Tony: Maman vas prendre un bain on va bientôt passer à table et tu seras de la partie.
Moi: ok, j'y vais.
(...)
John: Maman wow ! Tu es resplendissante.
Moi: merci Johnathan. Les triplés ne sont pas là?
John: Non. J'irais les chercher demain.
J'arrive près de la table et comme j'ai des enfants galants, Johnathan me tire la chaise comme le faisait toujours leur père. Lui qui...
Non je ne vais pas y penser.
Moi: comment ça vas Micha?
Michelle: bien et toi?
Moi: je vais aller bien maintenant que vous êtes là.
Tony: tu ne peux pas te passer de nous princesse.
Et tout le monde rigole, même moi.
Tony: ton rire nous a manqué maman.
Moi: oui. Je suis navrée de vous avoir délaissé. J'ai été égoïste.
Tony: c'est du passé.
Moi: oui.
On a commencé à manger.
John: le notaire est passé.
Moi: ah bon?
Tony: oui la semaine passée. Papa avait un testament.
Moi: ah ok!
Je savais vu qu'avant d'aller voir le notaire il m'avait parlé.
Tony: comme John n'a pas le sens des affaires il a laissé l'hôpital en son nom. Et les 1/5 de la moitié de l'entreprise à chacun de nous. Vu que l'autre moitié t'appartient. Cette maison en ton nom pour qu'elle reste familiale. Les 6 autres maisons en nos noms. Et enplus il avait ouvert un compte d'épargne pour chacun de nous ou il versait de l'argent chaque mois. Et le reste de ses biens à mami, à mon oncle Jason, et au reste de la famille.
Moi: c'est bien.
Michelle: moi j'aurais aimé qu'il ne nous laisse rien mais qu'il reste en vie.
John: Michelle! Tu vois bien qu'on essaie de ne pas aborder le sujet pour ne pas rendre maman plus triste qu'elle ne l'est déjà.
Michelle: je suis désolée maman.
Moi: c'est pas grave. Mangeons. Bonne appétit.
Eux: Merci maman.
(...)
John: Maman je te présente le docteur Kayla. C'est ma collègue.
Moi: bonjour docteur.
Kayla: bonjour madame. Je vais être votre psychologue.
Moi: ok on se verra à l'hôpital?
Kayla: non ici ce sera mieux. Vous vous sentirez plus à l'aise.
Moi: ok.
Kayla: ok on peut commencer tout de suite. Quelle est votre pièce préférée?
John: sans doute sa chambre. Du vivant de papa elle y passait presque tout son temps libre avec lui.
Kayla: ok on vas y aller juste nous deux elle et moi John.
John: zuuttt!
Kayla: tu n''es pas spy mais gygy, cardiologue et chirurgien. Allez ouste!
Il s'éloigna en renfrognant sa mine ce qui me fit rire.
Kayla: on vas se presenter hein. Je suis Kayla Sallam j'ai 30 ans. Et vous?
Moi: je m'appelle Michelle Zanga Messi j'ai 45 ans.
Kayla: ok madame Messi. Parlez moi un peu de vous!
Moi: je suis une femme d'affaires. Je détiens 50% d'une société. J'étais mariée à un médecin de renom et homme d'affaires. Et maintenant je suis veuve. On a eu 6 enfants ensemble. John, les jumeaux Michelle et Tony et les triplés Johan Loanne et Yoan.
Kayka: ok. Parlez moi de votre mari; de vous. Comment vous vous êtes rencontrer? Racontez moi!
Moi: c'est un peu long.
Kayla: nous aurons plusieurs séances.
Moi: d'accord. Marion est mon ange.
Kayla: pourquoi vous dites cela?
Moi: tout remonte à très longtemps. Je n'ai pas grandi dans le luxe comme on le croit. J'ai souffert dans mon enfance et c'est Marion qui a mis fin à ces souffrances.
Kayla: racontez moi alors j'ai du temps pour vous madame.
J'étais épuisée et malade mais maman me demanda quand même de monter faire une course. Je n'avais que 18 ans à cette époque.
Je marchais et tout me semblait flou. Au moment de traverser la route qui était déserte à cette heure de la journée, j'ai perdu l'équilibre et un voiture m'a foncé dessus. Je me suis écroulée sur le trottoir ne sachant si c'était la fatigue ou la voiture. Puis un jeune homme est sorti de la voiture et m'a soulevé pour m'amener à l'hôpital. Bien sûr, j'étais inconsciente en ce moment.
Je n'ai pas tardé à reprendre connaissance
Moi: où suis je?
J' aperçu non loin de moi, un jeune homme en blouse.
- vous vous êtes évanouie en pleine route mademoiselle. Vous avez mal quelque part?
Moi: oui à la tête. J'ai eu un accident de voiture je crois.
- non vous vous êtes évanouie en route et Dieu merci que je ne roulais pas à si vive allure.
Moi: com...comment?
- c'est moi qui vous ai amené à l'hôpital après que vous soyez évanouie. J'ai essayé... en fait je voulais bien joindre vos proches. Je l'aurais d'ailleurs fait si seulement j'avais pu déverrouiller votre téléphone.
Moi: le mieux c'est de ne pas prévenir.
- ah bon? Vous ne voulez pas que j'appelle votre père? J'ai peur parce que je sais que les blancs sont possessifs. Il vaudrait mieux appeler votre père.
Moi: Mon père n'est pas blanc ma mère non plus d'ailleurs.
- j'aurais jurer que vous étiez métisse. Bref faudrait prévenir vos parents ou alors vous vivez seul?
Moi: non mais je préfère ne pas en parler. je veux m'en aller.
- impossible. Je ne peux pas vous laissez partir il faut vous faire soigner.
Moi: je ne demande pas votre avis je vous informe. Vous n'avez pas le droit de me retenir ici.
- ok si vous insistez. Mais avant donnez moi votre prénom s'il vous plaît.
Moi: Michelle mais tout le monde m'appelle Mimi.
- ok je règle un détail et vous pourrez partir.
Il est sorti et est allé essayer mimi comme mot de passe dans mon téléphone et ça a marché. Puis il a passé un coup de fil à ma mère Et c'etait une grande erreur de sa part. Maman a debarqué et au lieu de demander si j'allais bien, elle m'a giflé et je m'y attendais.
Maman: espèce de devergondée qu'est ce que tu fous ici? je t'ai envoyé faire une course et non te faire renverser par une voiture. stupide fille.
le medecin etait sidéré mais je crois qu'il avait compris pourquoi je ne voulais pas qu'on la prévienne.
- Madame ce n'est pas une facon de traiter sa fille. Mais qu'est ce qui vous prend?
Maman: hey toi caches au moins le fait d'être charmé par ma fille et puis mêles toi de tes oignons. et j'espère qu'il n'y a pas de note a payer parce que je ne déverserais pas un centime pour cette conne.
j'ai eclaté de rire. Enfait j'ai trouvé ma mère et son sale caractère drôle. depuis le temps moi j'etais deja habituée. depuis que mon petit frère est venu au monde, ma mère me traitait comme une esclave et avec le temps j'ai fini par m'habituer. Et puis physiquement, on avait rien à voir l'une et l'autre pareil avec mon père qui était tout le temps en déplacement et qui se fichait pas mal de ce que sa femme me faisait vivre. Bref, lui et moi etions comme des etrangers et on ne se parlait presque jamais et ce depuis mon enfance. maman elle au moins même si c'etait pour m'insulter m'adressait la parole. et pourtant je n'avais rien fait. après que j'ai obtenu mon diplôme en quatrième, ils ont arrêté de payer mes études. Pendant que les autres enfants s'amusaient pendant les vacances, moi je travaillais pour continuer à etudier. J'aurais pu me faire de l'argent plus facilement en me vendant aux hommes mais non je ne l'ai pas fait. Et mes valeurs me venaient de ma tante Laura avec qui je partageais toutes mes peines et qui m'avait montrer le droit chemin mais elle est morte l' année de mes 10 ans et j'ai dû apprendre à faire sans elle. Après que j'ai eu mon bac à 15 ans, grâce à ma bourse j'ai pu continuer mes études et en plus dans une école prestigieuse. Et depuis Maman faisait tout pour que je rate les cours le plus souvent mais ce n'etait pas grave parceque je pouvais compter sur mes trois amis Haylin Tyler et Lissa. ils etaient en deuxième année et moi en troisième. ils venaient de famille riche mais nous sommes devenus amis.
Enfait comme en deuxième année je donnais cours au première année gratis. Vu que je fréquentais gratis, fallait une contre partie. pourtant les étudiants payaient ces cours lol (#African_Spirit#). Mes amis, ils faisaient partis des cinq élèves à qui je donnais cours. Et vu qu'on avait le même âge avec Lissa et que les deux autres etaient mes ainés, le courant est vite passé et nous sommes devenus amis. Bref retour à la réalité.
Maman: descends de ce lit tu as des tâches à terminer! Elle montre même ses dents cassées et noires là.
lol mes dents cassées et noires.
Moi: je t'aime aussi maman!
Ai je dis amusée. enfaite, avec le temps je m'étais habituer à ça. Je suis descendue du lit pour partir.
-mais vous n'allez pas bien on devrait vous faire des examens.
Moi: vous connaissez l'Eutanasie?
-oui.
Moi: donc mon corps c'est mon corps. La mort fait partie de mes droits alors laissez moi tranquille et merci pour tout! Maman allons y!
Elle a bousculé le médecin pour sortir et ça m'a fait rire, et elle aussi rit. Et oui il arrivait qu'on rit ensemble qu'on cause comme des copines. Ça arrivait, une fois par ans. Nous sommes rentrées et j'ai fini ce que j'avais à faire. j'avais la tête qui tournait mais j'ai fini et je suis allée me coucher fiévreuse avec d'horribles maux de tête en me demandant si je verrai le lendemain .
(...)
Miguel: maman maman Mimi ne se réveille pas et elle est toute pâle.
Maman: pfff! et je dois danser? quand je viendrai lui verser de l'eau chaude dessus elle vas se réveiller cette feniasse.
C'était Miguel qui essayait de dire à maman que je n'allais pas bien.
Parlons de mon petit frère Miguel. il avait 7ans et était en CE2. Il était en avance pour son âge et comprenait vite les choses. il m'adorait et vice versa. il me défendait toujours face a maman quitte à se faire fouetter. C'était lui ma raison de vivre. Et si je faisais tout pour réussir c'était pour assurer son avenir. Je devais à priori le détester parce qu'il était la raison de la froideur de ma mère à mon égard. Mais il m'en a dissuader. Déjà tout petit il passait son temps collé à moi. il pouvait faire des jours sans voir ni maman ni papa mais dès que je sortais de son champ de vision il commençait à pleurer. Il a toujours détesté Tyler parceque c'était un garçon et il avait peur que celui çi nous sépare. Mon petit frère m'a sauvé la vie mainte fois et c'était la première fois ce jour.
Miguel: maman j'ai faim donnes moi de l'argent pour que j'aille acheté du pain.
Elle lui remit des pièces et au lieu d'aller à la boutique, il se dirigea vers la station de taxi. Malheureusement, la route était desserte à cette heure. il ne rentra pourtant pas. un taxi gara.
Miguel: hôpital 100f.
Le chauffeur le toisa avant de démarrer.
ce fut pareil pour les taxis suivants. Il se mit à pleurer et ne vit pas la voiture garée devant lui.
-Hey petit où tu vas?
Moi: monsieur snif je...je n'ai pas le droit snif de parler aux étrangers mais ma soeur risque de mourir.
-chuut! respires!... inspires et expires et maintenant parles lentement.
Moi: j'ai besoin d'aide ma soeur risque de mourir. J'aimerais aller à l'hopital.
-pas besoin. Je suis médecin montes on y vas.
Il monta et conduit la voiture jusqu'à notre cour. Il gara, descendit et tomba nez à nez avec maman.
-vous ici?
Maman: toi ici?
-Quelle coïncidence. Je suppose que la grande soeur du petit c'est votre fille.
Maman: Amougou Miguel ne t'ai je pas dit mainte fois de ne pas monter avec des étrangers? Maintenant tu me défi hein ok!
Miguel: désolé maman.
Maman: et toi tu vas partir d'ici.
-ok. Mais avec votre fille.
Il est entré et m'a cherché partout avant de trouver dans mon palais( je veux dire le magasin)
- comment peut on faire dormir quelqu'un dans un magasin alors qu'il y a une chambre vide?
Il m'a porté jusqu'a la voiture et m'a allongé derrière.
Miguel: je peux venir avec vous?
-Oui Miguel.
Maman: Tu n'iras nul part.
Miguel était têtu quand il s'agissait de moi. donc il est monté et la voiture a demarré.
(...)
un mois dans le coma.
un mois sans personne à part Miguel.
un mois ou un inconnu prenait soin de moi comme si sa vie en dépendait.
un mois a rêver.
un mois de pure repos.
j'étais hors de danger il fallait juste que je me réveille et ça a mis plus de temps que prévu.
mes amis ne savaient pas ce que je vivais avec maman et étaient partis pour leur stage hors réseau. Le pire est que j'avais mes examens de fin de semestre dans deux semaines.
j'ouvris les yeux et je refermais aussi tôt car la lumière me faisait mal. Quand je me suis habituée j'ai ouvert et je suis tombée sur lui.
je l'avais dejà vu mais je n'avais pas prêté attention la première fois. il avait un très beau teint chocolat c'est ce qui captivait d'abord. et puis ses yeux de biche faisaient fondre. Il avait des fossettes bien creuses et du coup qui se voyaient sans qu'il ne fasse un mouvement. Il ne semblait pas sévère et savait tout de suite qu'il aimait rigoler. Il était grand de taille pas mince, pas costaud. il avait un stylo en me main et me fixait.
Moi: Qu'est ce qui s'est passé?
il m'a tout raconté
Moi: merci de m'avoir sauvé. Merci docteur ...
-Atangana Messi Marrion.
Chapitre 1 1
18/12/2023
Chapitre 2 2
18/12/2023
Chapitre 3 3
18/12/2023
Chapitre 4 4
18/12/2023
Chapitre 5 5
18/12/2023
Chapitre 6 6
18/12/2023
Chapitre 7 7
18/12/2023
Chapitre 8 8
18/12/2023
Chapitre 9 9
18/12/2023
Chapitre 10 10
18/12/2023
Chapitre 11 11
18/12/2023
Chapitre 12 12
18/12/2023
Chapitre 13 13
18/12/2023
Chapitre 14 14
18/12/2023
Chapitre 15 15
18/12/2023
Chapitre 16 16
18/12/2023
Chapitre 17 17
18/12/2023
Chapitre 18 18
18/12/2023
Chapitre 19 19
18/12/2023
Chapitre 20 20
18/12/2023
Chapitre 21 21
18/12/2023
Chapitre 22 22
18/12/2023
Chapitre 23 23
18/12/2023
Chapitre 24 24
18/12/2023
Chapitre 25 25
18/12/2023
Chapitre 26 26
18/12/2023
Chapitre 27 27
18/12/2023
Autres livres par AZURE PUBLISING
Voir plus