- repasse ma chemise s'il te plait! - laquelle? - celle que tu as lavĂ© hier. - mais des chemises tu en as des tonnes et dĂ©jĂ repassĂ©es pourquoi seulement celle lĂ ? Enplus, elle est vielle, tu la porte Ă la maison. - j'ai un rendez vous avec mon pĂšre j'aimerais ĂȘtre le moins presentable possible. Je me lĂšve et j'ouvre l'armoire, cet homme vas me rendre folle. - et tu pense que je vais te laisser? Allez arrĂȘtes de faire l'enfant. J'ai sorti une chemise blanche avec le pantalon noir assorti avant de chercher un demanbrĂ© blanc. - mets ça. Il a pliĂ© la bouche. - tu m'enerve. - je t'aime aussi Caro. Enfin, il est partit, aprĂšs des heures de supplication de ma part. C'est toujours comme ça, Caro ne s'entend pas avec son pĂšre et ce depuis toujours et il y a de quoi. Mon nom est OrlĂ©anne, comme nouvelle orlean, c'est vrai c'est etrange mais c'est originale, qui s'appelle pareille? Seulement moi jusqu'a present, je donne le chapeau Ă maman pour l'inspiration. J'ai 40 ans dans deux mois et je suis mariĂ©e Ă Caro. C'est drole comme prenom tant qu'on ne connait pas la signification. Caro en italien signifie cheri. Je ne sais pas ce qui Ă©tait passĂ© dans la tĂȘte de nos mĂšres et ça faisait parti d'un de nos points communs. Il s'appelle ainsi, Caro et je n'ai plus besoin d'un surnom vu que ça signifie cherie. Caro travaille dans une grande entreprise d'import export en plus d'ĂȘtre musicien. Ce que je fais dans la vie? Je suis femme d'affaire, disons le comme ça je suis propriĂ©taire de beaucoup de point de vente mais la plus part du temps je suis Ă la maison avec ma machine pour travailler. Caro et moi avons un seul enfant, c'est le seul que j'ai pu lui donner heureusement, lui aussi n'etais pas difficile. Notre fils s'appelle william. Il a 18 ans. C'est un garçon comment dirais je, parfait oui, parfait, je n'ai rien Ă lui repprocher. Mais je suppose que vous qui me lisez, aimerez savoir comment tout s'est passĂ©? Et bien je vais vous racontez cette histoire pleine de rebondissement avec mon Caro.
J'avais 18 ans. J'etais en premiĂšre annĂ©e Ă l'ecole de commerce. Un peu jeune pour la salle compte tenu de mes camarades qui Ă©taient un peu plus agĂ©s mais bon, je m'Ă©tais fait une place dans la salle. On m'appellait Kadji la gamine. Les cours avaient commencĂ©s depuis septembre et nous Ă©tions en debut novembre. On apprĂȘtait les contrĂŽles continues.
Je m'entendais bien avec mes voisins de banc, Ă ma gauche Fally qui Ă©tait plus calme et Ă ma droite Marco qui Ă©tait plus ouvert.
Moi j'etais une fille plutĂŽt timide avec les gens que je ne cernais pas.
Nous etions donc en plein TD quand je l'ai vu entrĂ©. Il Ă©tait si... beau! Je l'ai fixĂ© pendant longtemps et sa bouche oh lĂ lĂ ! Je n'arrĂȘtais pas de le regarder.
Le prof: bonjour jeune homme, ĂȘtes vous perdu?
Lui: heu.. non Monsieur, je cherchais la salle C205. Je suis le nouvel Ă©tudiant.
Le prof: il s'agit bien de cette salle. A qui avons nous l'honneur? J'aime maitriser mes Ă©tudiants et le tout commence par les presentations. Je suis Mr Remy.
Lui: enchanté Mr Remy, excusez moi pour le derangement, je suis Njah Caro.
Mr Remy: Caro?
Il hocha la tĂȘte.
Mr Remy: trĂšs originale.
Et un desordonné a crié au fond: BIENVENUE CAROLINE.
Tout le monde a commencé à rire sauf moi. Et nous regards se sont croisés, mes yeux ne m'obeïssaient plus.
Mr Remy: ça suffit, Antoine, dehors. Mr Njah, allez vous asseoir.
Antoine pris son sac pour sortir alors que Njah vint s'asseoir et oĂč? DĂšrriĂšrre moi. Il semblait trĂšs timide.
Njah: bonjour.
Je fu la seule Ă repondre et mes voisins firent comme s'ils n'avaient pas attendu. Le cours est fini et c'etait la pause.
J'ai dit que j'etais timide non? Mais avec lui, c'etait comme si on se connaissais. Je suis allée m'asseoir prÚs de lui.
Moi: rebonjour, je suis kadji Orleane. Mais on m'appelle Lea.
Je tendit la mains qu'il prit en souriant.
Njah: bonjour.
Moi: tu t'appelle vraiment Caro?
Njah: oui mais appelle moi Njah.
Moi: j'aime bien Caro comme cheri, c'est original.
Caro: comment tu sais que Caro signifie cheri?
Moi: je sais c'est tout. Tu es venue en retard, dans deux semaines on compose les contrĂŽles continus. Mais si tu veux, je te passe mes cours pour que tu te mette Ă jour.
Caro: merci, c'est gentil Orleanne.
Moi: je...
Ivan: hey face de crabe, t'as pas vu l'heure j'ai faim lĂ ?
Moi: Ivan, respecte moi.
Ivan etait mon ami, on avait fait le lycée ensemble. Je me suis levée pour sortir.
Moi: viens allons je te fait visiter.
Caro: non ça vas merci.
Et je suis sortie avec Ivan qui m'a prise la main.
Ivan: c'etait qui lui?
Moi: un nouvel Ă©tudiant.
Ivan: je n'aime pas comment il te regardait.
Moi: tsuiiipsss! En quoi ça te gĂȘne face de bouc?
Ivan: en rien.
Il me serra fort.
Moi: arrĂȘtes tu m'etouffe.
Ivan avait 20 ans. Et c'etait ça comme ça entre nous, toujours entrain de se taquiner.
Je suis rentrée ce jour à la maison et j'ai appelé Larryssa ma grande soeur qui ne restait pas à la maison mais plutÎt à la cité universitaire dans une autre ville. On a parlé un peu avant que je ne raccroche.
Chicago: tu viens de rentrer?
Moi: oui, tu Ă©tais oĂč? Je suis rentrĂ©e et je ne t'ai pas trouvĂ©. Je t'ai dĂ©jĂ parlĂ© de tes marches.
Chicago: tu aimes trop ça. J'ai 14 ans je te rappelle.
Moi: et alors? Quand papa n'est pas lĂ , tu fais toujours ton malin.
On était une famille plutÎt modeste on avait juste le neccessaire sans manqué de rien. Papa était celibataire, il était trop dongeon pour se poser à 43 ans. D'ailleurs, il avait trois enfants avec trois femme differentes. D'abord Larry qui avait 20 ans, moi et enfin notre petit frÚre Chicago.
Toutes les copines de ce dernier aprÚs une grossesse indésirée, aprÚs la naissance, venait lui remmettre l'enfant et il ne disait pas non. Par contre la maman de chicago, la seule femme que papa aimait est morte en donnant naissance à Chicago. La maman de Lary allait de mec en mec sans vraiment se poser. Et c'est cette vie de vagabondage que papa voulait eviter en acceptant de prendre Larry.
Moi aussi j'etais un frein pour les perspectives d'avenir de maman. Elle vivait dorenanavant en Italie elle était mariée avec un vieux blanc sans enfants. Je la voyais une fois par an pendant au plus une semaine mais dÚs qu'elle était là bas, elle m'oubliait et pouvait faire des mois sans m'ecrire.
Papa ne pouvait nier sa paternité compte tenu de la ressemblance, nous etions ses portraits crachés.
La seule figure maternelle que nous avions était tata Giselle, la soeur unique de papa. Elle était trÚs gentille et passait la moitié de la semaine à la maison.
Je parlais de Chicago, trop tĂȘtu, il Ă©tait le champion des bĂȘtises et dĂšs que tu en plaçait une, il te repondais comme Ă©tant ton egale. Il avait ma taille et n'avait plus peur de moi. Notre petite maison avait trois chambres. Celle de papa, de lary et moi et celle de Chica.
Je n'avais pas à me plaindre de mon mode de vie malgré le fait que je sois dans une école d'enfants de boss. Papa m'y avait inscrite avec difficultés pour que j'ai la meilleure éducation et donc, je ne m'amusais pas. La croyance? Mon pÚre avait laissé le choix à chacun de choisir vu qu'il n'etait pas trÚs centré religion. Larry et moi avons avions décidé de servir Dieu mais Chica etait trop dure d'esprit. Mais ça allait aller.
Je faisais à manger à mon retour des cours pour le lendemain, je n'avais pas trop de choix. Mais quand papa se liberait tÎt ', il le faisait Chicago était trop pareusseux pour. Heureusement, la moitié de la semaine, Tata Gigy le faisait.
Un bref résumé de ma vie à cette epoque.
Ce jour, j'ai Ă©tĂ© traumatisĂ© par Caro, il Ă©tait trop beau enfin d'aprĂšs. Certainement plus agĂ©, oui bien plus agĂ©. Je n'arrĂȘtais pas de revoir son visage mais je me suis dite que c'etait Ă cause de la beautĂ©. Je n'etais pas ce genre de fille, je n'avais jamais eu de petit ami et je n'y pensais pas, encore moins avec papa qui ne s'amusait pas avec ça. Il ne savait mĂȘme pas que Iann etait mon ami, et j'avais peur qu'il le decapite.
... a suivre.
Alors? ...
Caro: alors tu pense que tu feras comment?
Moi: tu parle des CC? Je vais valider comme toujours.
Caro: bravo. Moi aussi je vais validé mais sans ton aide, je n'aurais pas pu.
Je lui souris. On venait de finir les compos. Caro et moi Ă©tions devenus proches. Proches dans la mesure oĂč je l'aidais avec les explications et moi il m'aidait dans la seule matiĂšre que je ne comprenais pas, les maths. Je n'avais jamais pu depasser une note de 8/ 20. Mais avec lui, je comprenais beaucoup plus vite. Il Ă©tait toujours timide sauf avec moi. Diana, une vraie peste s'approcha de nous.
Diana: bonjour Caroline.
Moi: ne l'appelle pas comme ça.
Diana: hey toi, suis pas ton Ă©gale, quand les grands parlent, tu la ferme gamine.
Toute la classe a éclaté de rire. Caro a retiré sa main sur lui.
Caro: tu devrais plutĂŽt avoir honte de te retrouver dans la mĂȘme salle que cette gamine.
Il avait pris ma defense, je n'y revenais pas. MĂȘme mes voisins de banc etait devenus durs parceque j'avais refusĂ© les avances de chacun.
Diana: ouh! Il defend sa cherie. C'est normale, vous venez du mĂȘme milieu bande de crĂšve la faim.
Et elle est sortie. Caro m'a regardé.
Caro: est t'elle toujours aussi desagreable?
Moi: comme la plupart dans cette salle.
Caro: vraiment!
Et on a continuer à parler de tout et de rien. Il me lançait toujours des compliments par çi, par là et moi je disais qu'il me taquinais.
On nous donna donc les congés de Noel. 'Je me voyais déjà aller à la foire avec Ivan et papa entrain de me forcer à aller avec Chicago. Heureusement, Larry aussi prenait les congés et revenait à la maison,j'avais hate de la voir.
DÚs que j'ai poussé le portail, j'ai remarqué la vielle voiture de papa signe qu'il l'avait ramené. J'ai couru dedans et quand je l'ai vu, j'ai sauté sur elle.
Moi: LARY!
Papa: c'est seulement Larry qui se trouve dans cette piĂšce kadji?
Moi: bonsoir papa.
Papa: toujours avec les salles maniĂšres, on doit tout te rappeller?
Moi: pardon papa.
Papa Ă©tait trĂšs sĂ©vĂšre mĂȘme s'il ne me faisait pas peur mais surtout Ă son fils, qui se calmait quand le daron Ă©tait lĂ .
Papa: pourquoi tu rentre Ă cette heure?
Moi: j'ai eu du mal à trouver un taxi retour. Ah Larry, tu m'as trop manqué.
Larry: toi aussi.
Chicago: vous ĂȘtes deguelasses avec vos manifestations d'amour, nous ne sommes pas dans bisounours ici.
Moi: degage d'ailleurs, combien tu as encore tué comme moyenne?
Chicago: suis pas comme toi, moi j'ai eu 13/20.
Larry: et tu es sure que tu as tué n'est ce pas?
Puis elle est partie dans la chambre et je l'ai suivie. On a passé toute la nuit à se raconter nos vies avant qu'on ne s'endorme. Les congés promettaient.
Entre les courses de noel et la preparation de ce mĂȘme noel, nous etions vraiment bordĂ©s. Tata Gigi Ă©tait aller au village. Nous etions entrain, de faire les courses avec papa et Larry.
Papa: je ne serais pas lĂ le 25 je vais voyager demain.
Larry: pourquoi papa? On vas fĂȘter seule?
Papa: non, vos cousins viendront passer les congés avec vous.
Moi: pas grave. Mais depuis lĂ on fait les courses, tu ne nous donne pas notre part d'argent? OĂč bien on vas fĂȘter sans caleçon.
Avec Larry on s'est fait un top lĂ avant de rigoler.
Il ne pouvait pas refuser parcequ'il avait trop peur qu'on aille chercher ailleurs.
Papa: c'est vous deux qui finissez mon argent chaque mois.
Larry: quand on vous demande de ne pas faire d'enfants, vous ne comprenez pas.
Encore un tope lĂ , papa souffrait vraiment avec nous.
Finalement il nous a donnĂ© 50k et 15k pour Chicago. Connaissant sa taille et sa pointure, nous avons pris des vĂȘtements et chaussures pour lui. Quand on le lui a ramenĂ©, il s'est fachĂ©.
Chica: non mais, qui vas porter un costume pour fĂȘter noel? Suis je un homme d'affaire?
Larry: tu voulais quoi? Qu'on te laisse t'habiller comme un voyou? Grandi un peu Chica si tu veux qu'on te considĂšre comme un grand, tu es trop immature.
Elle lui avait passé un sacré savon. Et les jours suivants, je le trouvais etrange. Nos cousins sont venus passé les congés, il s'agissait des enfants aux cousins de papa. Bref la maison était animée. Larry et moi avons decidé de sortir seule. J'avais déjà dit à Ivan qu'on se verrait à la foire. Chica voulait venir mais nous avons dit non.
Chica: je le dirais Ă papa.
Moi: oui fais le gamin.
Et nous sommes sorties, nous nous sommes amusées avant de rentrer. Malheureusement papa était là à notre retour et il finit de nous faire la morale comme si on risquait quelque chose en revenant à 18 heures.
J'etais épuisée, j'ai servi papa avant d'aller dormir. J'etais allongée quand je réçu un message de Caro.
Caro: bonsoir Orly, est ce que je peux t'inviter demain?
Moi: oĂč ça?
Caro : chez moi.
Moi: je ne vais pas chez les gens désolée.
Caro: pourquoi tu dis non? Tu as peur que je t'embrasse?
Moi: non, je n'ai peur de rien ni personnes, je viens pas chez les gens point final.
Et j'ai raccroché, il avait réussi à m'enerver. Il me prenait sans doute pour une fille facile mais il se trompais, je n'étais pas ce genre.
Les congés sont finis et nous avons repris les cours. J'ai remarqué que Caro était de plus en plus distant mais je m'en foutais pas mal, l'important était que je valide le semestre avec les meilleures notes. Ivan est venu à la pause et s'est assis prÚs de moi avant de passer un bras autour de mon cou.
Ivan: bĂ©bĂ©, tu fais quoi? On organise une fĂȘte le weekend, seras tu lĂ ?
Moi: ecoutes Ivan, les congĂ©s sont finis, l'amusement fini, arrĂȘtes de parler fĂȘte et reviens sur le mot etude. Sinon tu payeras les rattrapages seule. J'ai pas 2500f par matiĂšre Ă gaspiller. Bref aujourd'hui, je veux que tu m'invites.
Ivan: d'accord, allons manger.
Je me suis levée et je suis sortie au retour, les filles de la classe me regardaient alors que Caro me toisait.
Une fille: kadji, c'est ton gars lĂ bas?
Elle ont commencĂ©s Ă rire moi, je m'en foutais. Diana est ensuite venu s'asseoir prĂšs de Caro, on les voyait ensemble derniĂšrrement et les rumeurs couraient qu'elle serais sa copine. Je m'en foutais en plus, Diana Ă©tait trop frivole pour ĂȘtre son genre.
On a composĂ© la session normale et j'ai tout validĂ©. Deux semaines de repos plus tard, les cours ont repris et Caro est redevenu normal avec moi, on est mĂȘme devenu encore plus proches, encore plus proches qu'avec Ivan.
Au retour Ă cause de la difficultĂ© Ă trouver un taxi il m'arrivait de longer jusqu'Ă un niveau oĂč j'avais plus de possibilitĂ©. Les filles se moquaient de moi, aprĂšs tout, on venais les chercher en personnel.
Je longeais avec Ivan quand on finissais en mĂȘme temps sinon seule, avec mes ecouteurs pour suivre la musique.
J'etais entrain de rentrer quand j'ai senti une main sur mon épaule et je me suis retournée. C'etait Caro.
Caro: attend moi, nous allons longés ensemble.
Moi: ok.
J'ai retiré mes ecouteurs.
Caro: tu Ă©coutais quelle genre de musique?
Moi: Gospel, tu peux pas...
Caro: si, j'adore le gospel.
Moi: je savais pas. Alors, tu passe souvent ici?
Caro: a vrai dire non mais c'est risqué que tu marche seule surtout sur ce tronçon alors j'ai décidé que j'allais te suivre.
Moi: oh! Merci mon protecteur.
Il a souris et on marchais en parlant de tout et de rien jusqu'Ă la station de taxi avant de me mettre dans le taxi. Il Ă©tait trĂšs galant.
On a commencé à rentrer ensemble tous les jours.
Caro: tiens des esquimeaux. Attend moi.
J'ai attendu et il est revenu et m'en a offert.
Moi: merci.
Et on a continué à marcher.
J'en apprenais un peu plus sur lui. Il jouait à la guitare pendant ses heures perdus et était le dernier né d'une fratrie de quatre. Il vivait avec sa mÚre, juste eux deux parceque les autres étaient déjà independant. Il travaillais déjà , dans une cooperative et n'assistais pas au cours toute la semaine et pendant ce temps, je prenais bien les cours pour les lui remettre.
Nous Ă©tions de plus en plus proches et nos camarades avaient finis par remarquer.
J'etais assise sur la place de Caro et on regardais des videos drĂŽles dans sa machine.
J'avais la tĂȘte sur son Ă©paule pour mieux voir.
Diana: tiens, madame et monsieur Njah Caroline.
Moi: laches nous un peu Diana, s'il te plait. Pourquoi tu adore te mĂȘler de nos affaires? On dirais que je suis ton souffle de vie, que tu vis pour nous.
Sans que je ne m'y attende, elle m'a tiré et je suis tombée. Je me suis levée, j'ai depoussiéré ma tenue avant de la regarder. Diana avait 21 ans. Je l'ai encore regardé. J'étais assez intelligente pour ne pas me rabaisser mais...
Diana: fille de mendiant.
Je ne sais d'oĂč me venait la force mais je l'ai giflĂ© trĂšs fort, avec toute la rage du monde. Elle a arrĂȘtĂ© sa joue et voulut riposter mais Caro pris sa main.
Caro: n'ose pas, ne tente mĂȘme pas sinon, je ne donne pas chĂšr de ta peau.
Les gens ont commencĂ© Ă crier, la tension Ă©tait palpable dans l'air. Elle a prit peur avant d'aller poser sa masse arriĂšre Ă sa place. Puis Caro a pris ma main et a demandĂ© si j'allais bien. Oui, j'allais bien, trĂšs bien mĂȘme et j'avais remis cette conne Ă sa place. Non mais insulter l'homme qui faisait tant de sacrifices pour moi? Elle n'Ă©tait pas normale.
Chapitre 1 1
18/12/2023
Chapitre 2 2
18/12/2023
Chapitre 3 3
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Chapitre 4 4
18/12/2023
Chapitre 5 5
18/12/2023
Chapitre 6 6
18/12/2023
Chapitre 7 7
18/12/2023
Chapitre 8 8
18/12/2023
Chapitre 9 9
18/12/2023
Chapitre 10 10
18/12/2023
Chapitre 11 11
18/12/2023
Chapitre 12 12
18/12/2023
Chapitre 13 13
18/12/2023
Chapitre 14 14
18/12/2023
Chapitre 15 15
18/12/2023
Chapitre 16 16
18/12/2023
Chapitre 17 17
18/12/2023
Chapitre 18 18
18/12/2023
Chapitre 19 19
18/12/2023
Chapitre 20 20
18/12/2023
Chapitre 21 21
18/12/2023
Chapitre 22 22
18/12/2023
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