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Le rêve du prince

Le rêve du prince

Aiicha

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20
Chapitres

Je suis Mayna, une jeune fille soudanaise de 18ans qui n'avait jamais imaginez qu'elle sera un jour une reine. Je vivais au soudain avec ma pauvre famille, j'avais des soeurs des tantes et des frères. Durant toute notre vie , qu'est ce qui nous préoccupait ? Trouver quoi mettre sous les dents pour n'est pas mourir de faim. Je savais qu'au delà de cette vie de chien , il existait un monde fabuleux rempli de nourriture et de joie. Au delà de tout ses martyrs que nous vivions, ma mère encore n'a j'avais été aimer par son mari ...et vous savez pourquoi? Parce qu'elle n'a eu que des filles. Jetais sa cadette, mes deux autres soeurs mon père leurs ai donnés en mariage à l'âge de 12ans. Chez nous au soudain, c'est le jour du mariage que l'on excise les mariées avant de leur conduirent à leurs époux. Ma soeur aîné n'a pas survécu à cause de la douleur. Ma seconde à 17ans et elle à 5 enfants. Nous sommes toutes voilé dès nos cinq ans on nous couvre le visage. Je rêvais chaque nuit de ma vraie vie , du monde merveilleux et ce rêve m'a conduit dans ce palais. Dans ce palais d'où j'ai souffert mais grâce à Dieu j'ai su surmonter. Je suis Mayna la soudanaise , une jeune fille pas comme les autres.

Chapitre 1 1

Chapitre : 1

Le soleil fervent du mois de mars venait tout juste de se pointé vers l'horizon...et vient épouser mon visage dans mon sommeil. Je me suis levée avec nonchalance de ma natte étalé dans ma petite chambrette faite en banco et de la paille. Il suffit que le soleil ouvre juste ses yeux et là la chaleur étouffante de notre petite ville s'annonce. Je reste assise quelques minutes avant de me décider à sortir commencer ma routine journalière qui n'est d'autre que la quête d'eau qui est l'élément vital de notre quotidien. Depuis que jai distingué du mal au bien , depuis la mort de ma soeur aîné à cause de notre coutume insensé obliger sur toute jeune fille qui aura l'âge de 12ans...je me suis jurée de n'est pas suivre le même chemin qu'elles, même si nous n'avons pas nos mots à dire même notre génitrice qui devrait nous protégés contre tout cela se soumet à contre coeur au décision de son mari. Mon père est obstiné à suivre coûte que coûte la coutume mais moi je ne suis pas pour. Je me suis opposé à plusieurs propositions du mariage. Fatigué, il m'a laissé tranquille mais fait voir ma pauvre sur toute les couleurs se disant que c'est parce qu'elle m'a pas bien éduquer que je m'inverse à toute ces décision. Je venais d'avoir mes 18ans qu'elle chance pour moi...même si la ville entière me traitent à la longueur de la journée de vieille fille mais moi je n'en ai rien cirer. Ce que moi Mayna, je ne suis pas faite pour être une pondeuse d'enfant et une soumises d'un homme. Ma soeur Meriame n'a que 22ans et là elle vient de mettre au monde son cinq ème enfants. Où trouvera telle le moin de subvenir aux besoins de tous ses enfants? D'abord dans cette ville , on peut faire des jours et des jours sans avoir quoi mettre sous les dents. À part le coran, je n'ai jamais su ce qui s'est l'école des blancs. Je ne parle que notre langue nationale et entends un peu la langue arabe aussi.

Je rêves et je suis sûr que ce rêve deviendra un jour une réalité. J'ai dans ma tête qu'il ya une vie au delà de ce que nous vivons dans cette ville entre la chaleur étouffante, la famine et le recour à la quête d'eau. Je ne veux pas de cette vie , je veux une vie , une vrai vie loin de cette vie de chien.

J'ai couvert mon visage avec mon voile que je porte depuis mes cinq ans. Au début , ça m'était insupportable et je l'égarais souvent en jouant avec mes amies. Je suis sortis de la chambrette et trouve mon père assis sur sa place habituelle le nez pointé dans son coran.

J'ai fait la génuflexion avant de lancer le salam avec tous le respect du monde.

-Salam aleykoum papa.

Comme il ne me répond pas comme toujours , j'ai tracé mon chemin vers la cuisine pour prendre mes seaux. Ma mère était encore en cuisine, elle préparait le gibier que le fils aîné de ma tante a apporter hier en venant de la chasse.

-Moi : Bonjour maman.

- Elle : bonjour. C'est à l'heure là que tu te réveil mayna?

-Mou : désolé maman, je n'ai pas vu l'heure passé.

-Elle : Comment tu pourras voir l'heure alors que tu es tout le temps plongé dans ton rêve imaginaire.

+

-Moi : je réaliserai un jour ces rêves maman. Ça sens bon par là.

-Elle : Hum , fait vite sinon on aura pas encore d'eau propre aujourd'hui. Dit-elle en se retournant dans la cuisine.

Jai pris mes seaux puis me dirige vers le marigot qui devrait être super sale en ce moment car les autres filles ont déjà passé avant vu à qu'elle à heure je me suis réveillé aujourd'hui. Comme je le pensais, j'ai trouvé le marigot dans de pitié état. Il n'y avait que quelques filles qui se sont levés à la même heure que moi.

-Moi (lançant) : bonjour les filles.

Certaines m'ont répondu au bout du langes et d'autres n'ont même pas prie la peine de me repondre. C'est devenu une habitude pour moi c'est pourquoi ça m'affecte plus qu'elles me répondent ou pas. On me voyait tous dans la ville comme la fille rebelle de son père. Tanpis pour eux. Je suis descendu remplir mes bassines quand la coépouse de ma soeur meriame m'a directement attaquée disant que c'est elle qui a mis des barrières pour bloquer l'eau de passer.

Je l'ai multiplié par zéro et commence à faire ce que j'avais à faire. Sans vu venir une gifle monumentale m'a fait levé le dos pour la faire face.

+

-Moi ( en colère) : comment oses tu hafssa ?

-Elle ( mains sur les hanches ) :et toi comment oses tu touchés à mon eau? je te dis que c'est moi qui a mis des barrière devant l'eau pour pouvoir puisser et tu fais la sourde oreilles.

- Moi : comme c'est ton père qui a créé ce marigot, vient m'en empêcher de puisser de l'eau. Ta gifle là, je la laisse passe pour cette fois mais prochainement...je la riposterai de la pire des manières.

-Elle : ( encore une autre) : comment oses tu mêler le nom de mon père dans ta salle gueule? Rebelle , vieille fille.

J'ai riposté ses gifles et elle s'est jetée sur moi comme une furie. J'ai eu le dessus sur elle et je l'ai fait tombé dans l'eau, puis me positionne sur son ventre. Je lui ai dévolu toute la rage que j'avais en moi. Cette sorcière fait vivre à ma soeur un véritable enfer vu qu'elle est la préférée de leur mari. Les filles ont essayées de nous séparés mais je n'avais pas fini avec elle , elles ont couru aviser mon père qui est directement venu nous séparés. Il a attradpé mon oreille gauche puis me traîne avec lui. Cela me faisait super mal mais je ne voulais pas pleurer devant mes ennemis qui ne souhaite que ça.

Arrivé chez nous , il m'a jeté par terre devant mes marâtres et mes démis frère vu que c'est ma mère seule qui a eu des filles.

Mon père est entré dans sa chambrette puis resort avec un long chicote. Il a appelé ma mère qui est directement venu en tremblant de tout son corps. Voir ma mère payer par ma faute me glace le sang et me fait atrocement mal.

Il a demandé à ma mère de s'allonger pour la frappée devant tout le monde. J'en ai plus que marre de mes comportements idiots, et de tout ce que je fais vivre à ma pauvre mère.

-Moi ( me levant) ( me levant) : papa , tu dois d'abord m'écouter sltp. Ça fait des mois que hafssa me cherche à chaque fois qu'on se croise au marigot mais je ne dis rien. Aujourd'hui c'est elle qui m'a giflé en premièr papa. ( me jettant à ses pieds) : ma mère n'est pour rien de tout ce que je fais comme bêtise et ne la faite pas payer pour mon erreur. Frappe moi , tue moi si tu veux mais pas ma mère. Il m'a même pas écouter et il s'est jeté sur ma mère. Il a battucomme un âne devant ses coepouses et leurs enfants et aucun d'eux n'ont bouger leur doigt pour venir au secourer ma pauvre mère. Il a battu malgré que je lui tirai par derrière jusqu'à que cette dernière soit inerte. Il a lâché et sors définitivement de la maison. Je me suis jeté en pleure sur ma mère qui ne respire plus. En pleure, j'ai couru chercher sa petite soeur qui habitait juste à quelques mètres de notre concession.

-Elle ( inquiète) : Mayna, qu'est ce qu'il y'a ma fille? Pourquoi tu pleures ?

- Moi ( en sanglot) : mon père à encore battu ma mère et cette fois elle ne respire plus tante.

Elle a porter son enfant dans son dos et ma suivit en courant . On a trouvé ma mère à la place que je lui avais laisse couché.

-Ma tante( se courbant) : ouvre tes yeux ma soeur.

Elle a levé ses yeux sur moi et me souffle quelques mot tels que ( vas t'en d'ici) avant de fermer les yeux.

Mon père à tuer ma pauvre mère par ma faute. Ce genre de cas arrive chaque jours dans notre ville et personne ne lève les petits doigts pour faire quelques choses. Les femmes sont traités comme des objets à faire des enfants et travaillé à la longueue de la journée sans repis.

J'ai beau être rebelle mais aujourd'hui j'ai eu le prix vu que la seule personne qui m'aime sincère dans cette ville s'en est allé par ma faute.Depuis la mort de ma soeur, j'en ai voulut à mon père et devenu une fille rebelle...il m'a plusieurs fois donnée en mariage mais j'ai toujours refusé pour juste le faire payer ce qu'il à fait à ma soeur.

Ma mère aussi , ma mère aussi. Répétais je en me levant pour entrée dans ma petite chambrette. J'ai pleuré jusqu'à finir par m'en dormir.

Deux mois depuis que ma pauvre mère s'en est aller pour de bon. Mon père n'est même pas affectée par ce qu'il a fait car ce n'est pas une première fois pour lui. C'est ainsi que sa quatrième femme aussi s'en est allée au troisième jour de son mariage. Le mari de ma soeur aîné l'a tué ici et c'était pareille.

Ses femmes m'ont transforme en un âne dans la maison de père. C'est moi qui fait tout sous l'ordre de mon père . Je suis rebelle mais la mort de ma mort par faute m'a transformé une fille calme. Je me suis tut depuis sa mort , je suis devenu comme muette.

Voilà deux jours qu'on à pas posé la marmite sur le feu par faute de moin chez nous. J'avais fait tellement faim que j'étais obligé d'attacher une pierre en venant du marigot pour pouvoir bien marcher. On souffre de faim mais ça nous tue jamais parce que c'est devenu une habitude chez nous.

Je suis arrivé à la maison, difficilement avec le corps tremblant presque.

J'ai trouve mes demis frères qui ont attrapée une souris et ils étaient entrain de la grillée.

- ( me courbant à leur nouveau) : où vous avez trouvés ça ?

- Salim : laisses nous tranquille Mayna, papa nous a interdit de t'adresser la parole.

-Moi : OK , ne me parler pas mais donner moi au moin un petit morceau de votre souris slvp. J'ai super faim.

-Rahim : on va te donner un peu parce que tu es notre soeur mais ne vient plus nous parles ici.

-Moi ( le ventre qui gargouille) : d'accord.

Rahim me tendait le morceau quand sa mère est directement devenu.

-Elle : tu fais quoi avec les gamins Mayna? Alors que tu les vaisselles à faire ou bien c'est nous qui allons le faire à ta place?

-Moi ( me levant ) : les vaisselles ?

-Elle : non , ta tête.

+

-Moi : je ne savais pas qu'il y'a les vaisselles à faire ici vu que moi j'ai fait des jours sans rien manger. ( les yeux eblouient par les larmes) Vous preparez ici a mon insu et refusiez de me donner même un tout petit peu. Cela fait deux jours que je n'ai rien mis sous les dents , vous savez cela et vous me faites encore travailler comme un âne.

-Mon père ( faisant son entré avec son ami pervers avec qui il veut me marier) : c'est moi qui a autorisé qu'on ne te donne rien. En tant que tu refuse de te marier Mayna, tu toucheras même pas à un petit morceau de ma nourriture ici. Toutes les filles de ton âge sont mariés même tes petites soeurs et toi tu refusés catégoriquement de te marié.

-Moi ( furieuse) : es-tu vraiment mon père? Pourquoi tu es si méchant avec moi? Parce que je suis une fille ? Les filles ne sont elles pas des humains ?

-Mon père : si ta mère était en vie elle te répondra ta première question. Je n'ai rien contre mes filles mais contre toi Mayna. Depuis ton jeune âge , tu es têtue et tu refuse catégoriquement à te soumettre à mes décisions. De un tu acceptes de te marier à mon ami ici présent ou tu meurt de faim c'est ta toi d'en décider. ( s'adressant à ma tante) : à telle fait tous les ménages ?

-Elle ( baissant sa tête) : pas encore mon mari.

-Mon père : au travail.

-Moi : je ne bougerais plus jamais les petits doigts ici pour travailler. Tes enfants qui mangent dit les de travailler.

Je tournais les talons quand il ma tiré par mon voile et a directement dévoile mon visage devant son pervers d'ami.

Cet dernier m'a dévorer comme s'il n'a jamais vu le visage d'une fille de toute sa misérable vie. Chez nous, aucun homme n'a le droit de voir ton visage si ce n'est pas ton mari...c'est lui qui a le droit de levé la main sur toi même ton propre père n'a pas ce droit. Si le père est fâché contre l'enfant, c'est la mère qui en paye le prix. Mes tantes ainsi que mes frères ont mis leurs mains sur leurs bouches.

-Mon père ( baissant sa tête) : il est désormais ton mari.

-Moi ( en pleure) : plutôt mourir comme ma mère et ma soeur qui sont partis par ta faute. Je n'épouserai jamais ce vieux pervers tu m'entends ?

Il m'a donné une gifle bien chaudes puis autorise à mes frères de m'attacher.

Je me suis battu mais ils étaient plus fort que moi , ils m'ont attacher puis me fait entré dans la chambrette de papa. J'ai pleuré toute les larmes de mon corps avant que les vieilles sorcières du village ne viennent m'exciser. Elles m'ont fait sortir de force puis me traîne dans ma petite chambrette. Elle m'ont déshabiller de force puis l'autre à écarté mes jambes. Coupant ma clitorie j'ai cru que la douleur allait m'emporter. J'étais couché, plus de force et je ne pleurais même plus. Elles m'ont fait faire des choses , comme me laver puis me masser. J'étais désormais habiller d'un nouveau vêtements , un nouveau voile sur ma tête. J'étais couché entre la faim et la douleur, les chants et le son de la tam-tam qui battait dehors m'était lointaine.

Je ne savais même pas si c'était la nuit ou le jour , elles sont quand même venus me chercher. Je me suis vu portée dans le dos d'un homme je ne sais qui , quand il a écarté mes jambes pour mettre dans son dos , j'ai cru que j'allais mourir de douleur. Quelques pas de marches. Il m'a fait couché sur une natte dans une notre chambrette sûrement celui de mon mari.

+

-la voix d'une femme : manges un peu Mayna car une longue nuit t'attend.

Comme je ne réponds , elle m'a aidé à me lever puis se met à me nourrir. Je ne voulais pas manger mais il faut que je reprenne mes forces pour pouvoir m'enfuir de cet enfer. J'ai mangé tout ce qu'elle m'a donné.

-Elle : maintenant rallonge toi un peu , ton mari ne va plus tarder à venir.

-Moi ( à voix faible) : de l'eau.

Elle m'a donné de l'eau avant de sortir de la chambretre. J'étais couché à penser à comment m'enfuir quand ma soeur à fait son entré . Je me suis redressée et la serre fort dans mes bras en pleure. Ma soeur m'avait tellement manquer , depuis la mort de notre mère son mari l'avait catégoriquement interdit de me parler.

-Elle ( essuyant mes larmes) : je me suis enfui pour venir te voir Mayna.

-Moi : merci d'être là ma soeur.

-Elle : Mayna, pourquoi tu as accepté ce mariage ma soeur? Tu te rappelle quant tu nous disais à ma notre soeur et à moi qu'un jour tu te marieras à un prince ? Pourquoi toi encore ? Cette vie n'est pas une vie ma soeur.

Je lui ai expliquer tout ce qui s'etait passer en pleurant et elle pleurait également.

-Ma soeur : enfui toi Mayna, cette vie n'est pas faite pour toi. Je ne veux pas que tu répétes la même erreur que moi Mayna. Cette ville c'est une ville au poids femme , On te dit ce que tu dois faire , on te bat , on prend des décisions à ta place sans que tu n'aie ton mot à dire. Je te connais avec ton fort caractère Mayna, tu vas pas te laisser faire et à force de te faire soumettre ton mari finira par te tuer. Je ne veux pas te perdre aussi comme j'ai perdu ma mère et ma soeur. ( me tendant mes peu de vêtements envelopper dans un pagne) : vas t'en.

-Moi ( la serrant dans mes bras) : je viendrai te faire sortir de cette souffrante tes enfants et toi un jour.

-Elle ( me souriant tristement) : je comptes sur toi. Lève toi et vas t'en, il est encore temps les autres sont occuper a danser dehors. ( elle m'a encore serré dans ses bras) : que Dieu te protége. Tient , un garaffe d'eau, tu en auras besoin.

Je me suis appuyée sur elle et nous sommes sortis en tout discrétion sans que les autres ne se rendre comptes.

Un peu éloigné de la ville , elle m'a encore serré dans ses bras avant de tourner les talons.

J'ai regardé le désert , le noir et j'ai soupire avant de me lancer dans ma nouvelle aventure avec toute la difficulté du monde de marcher correctement.

Continuer

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