Le rêve du prince
itre
ais un mal de chien , et mon entre jambes était en feu. Je m'efforçais à avancer mais je ne savais pas aussi si avec l'atroce douleur que je ressentais me permettra de parcourir toute seule la vaste étendue jusqu'à voir un endroit habité par les bédouins pour chercher réfuge jusqu'à que je me remettre sur pieds. dans le désert , j'étais partagée entre le froid et la douleur qui commençait à touché mon âme. Pour le froid, c'est ainsi que ça à toujours été dans ma petite ville
fois-ci par des personnes qui m'etait inconnu malgré que je voyais flou. J'avais mal à la tête et très soif aussi. Les voix murmurant autour de moi avaient commencés à m'inquièter malgré mon état de faiblesse. ( à voix faible) : où suis-je ? Me posais je cette qu
) : comment tu t'ap
: ana Mayna. ( dans ma
oi qu'il parlait la
e que tu mouras tellement que ton corps était brûlant de fièvre. Mais grâce aux soins traditionnels q
e) : deux jou
tu as envie de
redresser, j'ai supe
m'asseoir et là on dirait que ce des
seour Asma s'en est allé de sitôt à cause de la douleurs qu'elle avait fait preuve lors de sa nuit de noce. Elle avait toujours été fragile et allergique à la douleur. Pourquoi nous infligés toutes ses douleurs ? Pourquoi les filles devraient elles vivres ces matyrs lors de leurs nuits de noces dans notre ville? J'ai était la seule à m'opposer à cette barbaries
me fixant
, j'ai commencé à voir plus clair et me met à regarder tout autour de moi. Il n'avait pas que cet ho
ù sommes
omprendras si je t'expliques. Nous sommes ici à
mes yeux) : vous c
mme on t'a trouvé évanouir pas très loin de la ville, on
uoi m'avez-vous pas rame
be) : elle s'est réveil
l'air bien. Tu as
nt ma tête) :
une potion de feuille verte dans une petite c
ite calebasse) : bois ça...e
ements amer. Quelques minutes après je me suis rall
os bagages attaqué dans le dos de leurs chameaux. Tantôt je marchais
pour que je me sente à l'aise mais j'étais méfiante, ils étaient bizarres et m
ssés en leur
s chevaux m'ont poussés à sortir la tête pour voir ce qui se passait... Et là, je vois des hommes voilés aussi. Ils o
posais je toute seule cette question. J'avais compris à cet instant pourquoi , nos parents nous laissaient jamais nous éloignés de notre petite ville. Aucun moin d'échappoir pour moi... ils m'ont mener en bateau pour po
e , j'étais sorti de la tente et
que vous m'avez sauvez la vie pour pouvo
à tour de rôle) ( en arabe)
d'intéressant, elle est vr
t complément de mon champs de vision avec le regard plus de dégoût et de regret. J'avais fui la mor
ion dans ma tête. Ma vie venait complément d'être foutu en l'air par la faute à qui? Mon géniteur qui voulait
nt dans leur langue. Je ne comprenait pas grand chose jusqu'à ce qu'ils me jetent dans u
que j'avais trouvés trouver à l'intérieur s'étaient mis a me devorer comme une bête de f
j'avais cherchés un peu petit coin pour m'i
e là quoi qu'il arrive. Sur cette pensé bien d
trer. Le roi de la tribu était passé le soir pour venir nous véhiculer une information en arabe, je n'
ortir du cachot. Ils nous ont mis au rang pour sûrement permettre à nos nouveaux maîtres de no
n ne voit les hommes et les femmes joliments habiller qui descendaient
bois.. Leurs servirent à boire d'autre on bus et d'autr
ue des femmes rôdaient autou
autres suivit par le roi de la tribu der
enlevé ton voile pour que je
que je préfèrais mourir que de dévoilé
e voir la dame mon visage) : tu enlève ça pour l
nt) : elle n'enten
n voile sur mon visage est sacré , seul mon futur époux à le droit de voir mon visage
on statut désormais ? Tu es une esclave dorénavant,