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L'abandon
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je me présente, je m'appelle Aisha Ba je suis sénégalaise et plus précisément halpular, je suis grande avec des longs cheveux à cause de mes origines peulh, j'ai le teint très Claire que parfois les gens me prennent pour une métisse je suis fille unique mais je n'ai qu'un petit frère de 10ans qui s'appelle tidiane , il est comme mon oxygène, rien que dy penser que quelqu'un poura lui faire du mal me terrorise, je vis dans une famille polygame, dont mon père à 3 femmes, ma mère plus les deux autres...nous vivons à fouta d'où beaucoup de peulh y vivent... les deux autres femmes de mon père ont eu chacune la chance d'avoir de nombreux enfants sauf ma mère qui n'en est que nous deux malheureusement, chez nous s'est chacun pour soit Dieu pour tous, chaque femme se bat seulement pour subvenir aux besoins de leurs propres enfants, je n'ai pas eu la chance de terminer mes études à cause des problèmes financièrs qui s'abattent sur nous... Rectification sur ma mère, par ce que apparemment mon petit papa s'en sort bien, depuis qu'on lui avait nommé chef adjoint du village... mon père préfére ses autres femmes à ma mère, nous, nous ne sommes pas du tout considéré dans la maison, c'est ma mère qui s'occupe seule de mon frère et de moi, papa ne nous donne plus d'argent depuis des lustres, il les donnent qu'à ses autres femmes et leurs enfants, et ses femmes ne manquent jamais l'occasion pour se moquer de ma mère, elles ne cuisinent même plus, c'est maman et moi qui s'en occupent avec les maigres sommes que maman gagne en plus, grâce a sa petite commerce d'arachide, parfois les charges deviennent tellement lourde pour elle, qu'elle tombe malade de temps en temps... Mais je m'en faisais même pas cas en pensant que c'était passageur comme ses autres maladie

Chapitre 1 1

je me présente, je m'appelle Aisha Ba je suis sénégalaise et plus précisément halpular, je suis grande avec des longs cheveux à cause de mes origines peulh, j'ai le teint très Claire que parfois les gens me prennent pour une métisse je suis fille unique mais je n'ai qu'un petit frère de 10ans qui s'appelle tidiane , il est comme mon oxygène, rien que dy penser que quelqu'un poura lui faire du mal me terrorise, je vis dans une famille polygame, dont mon père à 3 femmes, ma mère plus les deux autres...nous vivons à fouta d'où beaucoup de peulh y vivent...

les deux autres femmes de mon père ont eu chacune la chance d'avoir de nombreux enfants sauf ma mère qui n'en est que nous deux malheureusement, chez nous s'est chacun pour soit Dieu pour tous, chaque femme se bat seulement pour subvenir aux besoins de leurs propres enfants, je n'ai pas eu la chance de terminer mes études à cause des problèmes financièrs qui s'abattent sur nous... Rectification sur ma mère, par ce que apparemment mon petit papa s'en sort bien, depuis qu'on lui avait nommé chef adjoint du village...

mon père préfére ses autres femmes à ma mère, nous, nous ne sommes pas du tout considéré dans la maison, c'est ma mère qui s'occupe seule de mon frère et de moi, papa ne nous donne plus d'argent depuis des lustres, il les donnent qu'à ses autres femmes et leurs enfants, et ses femmes ne manquent jamais l'occasion pour se moquer de ma mère, elles ne cuisinent même plus, c'est maman et moi qui s'en occupent avec les maigres sommes que maman gagne en plus, grâce a sa petite commerce d'arachide, parfois les charges deviennent tellement lourde pour elle, qu'elle tombe malade de temps en temps...

Mais je m'en faisais même pas cas en pensant que c'était passageur comme ses autres maladie

(....)

ce matin de bonheur je dois piller le mil pour ensuite préparer la bouillie de mil pour le petit déjeuner, maman est déjà partie chercher le bois, depuis un moment je là sentais bizarre mais j'ai pas posé trop de question, les autres dorment toujours et papa est sur la terrasse...

après avoir finis j'ai fais tout le nécessaire mais aucune trace de maman, elle à prit trop de temps aujourd'hui pourtant ce n'ai pas dans ses habitudes de durée autant, je l'attends une bonne minute, puis je là vois venir qui marche très lentement avec les bois sur la tête, je cours vers elle puis prend les bois pour les amener à la cuisine...

Je revenue de la cuisine et trouve toujours maman sur la même place, alors là je commence réellement à m'inquiéter...

moi: (inquiète) maman, maman, qu'est-ce qu'il y a ? tu es toute pâle...

elle: (avec la respiration saccadé) ce....n'ai rien ma...fille j'ai...juste un peut mal à la tête...dit_elle avec un petit sourire comme pour me rassurer...

elle: (se forçant pour parlé ) ne...t'en fait pas chérie amène moi juste dans la chambre s'il te plaît... mais tu es sûr que tu pourras faire le reste du travail seule ?

moi: bien sûr maman, ne te fait pas du soucis pour moi, pour le moment c'est toi le plus important...

tout ceci... c'est passé devant papa, sans qu'il ne puisse bouger d'un semelle pour nous aider...

j'amène ma mère dans la chambre où nous occupons tout les 3, sa fait des années que papa ne donne plus sa tour à ma mère, je l'allonge sur le lit, qui n'est plus du tout fameux comme pour mes tantes, puis je l'apporte de l'eau et du Dolipranes pour soulager la douleur...je part à mes occupations après qu'elle se soit endormie..

(....)

2h du matin

:hum, hum,hum,hum

c'était les bruits de quelqu'un qui essayait de refouler la douleur, comme sa insistait de plus en plus je lève la tête et trouve maman en sueur...

je saute sur mes jambes et cours vers elle...

moi: (tremblante de peur) maman qu'est-ce qui ne vas pas? dis_je en touchant son front qui, en passant est beaucoup trop brûlante...

je commence à avoir très peur, de plus elle a du mal à aligner les mots, non maman ne me fait pas sa s'il te plaît, à part toi je n'ai personne...

elle: (appuyant) appelle....ton...père...

je ne me fait pas prier, je cours pour appeler papa qui est dans la case d'une de mes tantes comme d'habitude...

toc toc toc

moi: (a petite voix) PAPA? PAPA?

lui:....

il ne répond pas peut être qu'il dort me dis-je intérieurement, oui je sais c'est à 2h du matin quand même...a chaque fois que je suis paniqué ou préoccuper par quelque chose, je me met a parler tout seule comme en ce moment.. Pas de choix j'ai crier en tapant fort dans la porte ....

moi: PAPAAAA? PAPAAAA?

il ouvre brusquement la porte qui à failli me casser la gueule au passage, mais je n'ai pas calculé, le plus important en ce moment s'est maman...

Lui: (criant) QUOIII?

moi: (begayant en frotant mes deux mains ) pa....pa c'est maman,...elle ne se sens pas bien, il faut qu'on l'amène aux urgences...

Lui: (me fixant méchamment ) ET TU NE PEUX PAS ATTENDRE QU'IL FASSE JOUR ? TU NE VOIS PAS QU'ON DORT ?

moi: si, mais...papa c'est urgent je...

papa:(en me coupant) je m'en fiche, hors de ma vue, s'il ne fait pas d'abord jours je ne bougerai pas d'ici tchippp dégage avant que je me mets vraiment en colère, petite effrontée...

il dit ça en tournant les talons, je suis là en pleurs, j'arrive pas à croire que s'est mon propre père, qui puisse se comporter de la sorte, ma tante chez qui il est de tour vient me trouver devant la porte, croyant qu'elle allé me venir en aide je lui demande...

moi: ma...tante s'il te plaît, aide...moi...maman est entre la vie et la mort...je...

elle: heyiii ne me mêlé pas dans vos histoires dèh, que ta mère crève même je m'en fiche, comme sa on sera tranquille en famille, vous êtes de trop ici, si elle meurt, sa sera une de moins, ne vient plus tapé à ma porte, sinon je te crève les yeux...wallah regarde moi très bien je ne blague pas tchuuur dit_elle en refermant sa porte...

je n'en revenais pas, je ne savais pas qu'elle nous détestait à ce point, l'être humain est vraiment cruel, ma mère est entre la vie et la mort, mais sa ne les fait ni chaud ni froid, et ce qui me choque le plus c'est le comportement de papa, on dirait qu'il est envoûté, je commence vraiment à me poser des sérieux questions, mais l'heure n'ai pas à la réflexion...je part chez l'autre coepouse s'est pire avec elle, dès qu'elle a su que c'est moi elle m'a claqué la porte au nez...

je suis désespérée, je ne sais pas vers qui me tourner... quand soudain je me rappelle de Tata kadi la seule meilleure amie de ma mère, elle est ma seule recours, je me dirige vers chez elle, heureusement que c'est a deux pâtés de notre maison....

(....)

nous voilà dans le taxi transportant maman aux urgences, Tata n'a même pas retardé les choses, j'ai été obligée de réveiller mon petit frère qui dormait à point fermé...je ne peut pas le laisser avec ses sans coeur.....

arrivé à l'hôpital, ils prennent directement maman en charge pendant que Tata et moi attendons dans la salle d'attente...

quelques heures plus tard le docteur appelle Tata kadi qui me dit de l'attendre un moment, ce n'est pas bon signe du tout....

j'attends une bonne minute puis je là vois venir vers moi le visage triste...

moi: (me levant avec le coeur qui bat la chamade) Tata? maman à quoi? elle vas s'en sortir n'est-ce pas ?

elle :(me rassurant avec un sourire triste) oui ma puce ne t'inquiète pas, elle va rester pour la nuit et demain elle pourra rentrer, mais pour l'instant vas acheter ces médicaments à la pharmacie d'a coté....

je fais comme elle dit, j'achète tout et retourne à l'hôpital, ils lui ont fait des injections, et des sérums anti-douleur...

le lendemain Tata kadi à payer toutes les frais de maman alors qu'elle aussi ne marche pas sur de l'or, quand je l'ai su j'ai tellement pleuré qu'elle ma grondé disant que nous somme aussi comme sa deuxième famille que c'est tout à fait normal, mon Dieu cette femme est une perle rare, lorsque je serais riche Insha'Allah je ferai tout mon possible pour la remercier de sa gratitude et sa clémence envers nous...

2 jours plus tard maman va un peu mieux mais elle est toujours faible, papa à fait comme si de rien était, mais plus les jours passent et plus une rage immense gonfle entre mes poumons, je commence a éprouvé une grande haine pour ma famille, que j'arrive plus à refouler, ma mère à beau me calmer mais je ne peux plus, c'est au déçu de mes forces...

Tata kadi m'invoque chez elle pour me parler de quelques choses de très important, je hâte donc les pas, arrivé chez elle, elle m'amène dans sa chambre et la ferme à clé je commence vraiment à flipper là, je m'assoie sur le lit attendant qu'elle parle, elle me regarde un moment avant de dire...

elle : chérie je t'ai fait venir ici pour te parler de quelques choses de très important...

j'ai tellement peur que je commence à trembler avant qu'elle n'ouvre la bouche!

moi: quoi Tata ? vous me faites peur il....il s'agit de maman ?

elle: s'il te plaît calme toi ! elle m'avait interdit de te le dire mais on ne peut pas te le cacher éternellement, tu es son aînée donc tu as le droit de le savoir je n'ai pas trop le choix...

moi ( mes yeux ont commencé a s'en imbibé de larmes) :.....

elle: ta mère à des problèmes cardiaques un peu avancé a cause des nombreuses soucis qu'elle encaisse, malheureusement sa à affecté son coeur, elle peut, peut être soignée si ont trouve rapidement la sommes demandé, mais....la Somme que le docteur demande est beaucoup trop pour nous même moi je ne peux pas me le permettre, il Faut vite là soigner sinon elle risque de mourir...

moi:(pleurs) QUOI ? NONN !

elle: (essuyant mes larmes) je te comprends ma chérie, sa doit beaucoup t'affecté mais ce sont les épreuves que Dieu nous impose ont doit donc faire notre possible pour les surmonté, va et parle a ton père d'accord ?....

moi: d'accord Tata merci infiniment de m'avoir mis au courant, je vais voir ce que je peut faire...

elle: bien ma fille, du courage tu en as vraiment besoin...

moi: merci

je sors de chez elles le coeur meurtri, les problèmes s'abattent sur nous, je ne sais plus quoi faire...

(....)

moi: mais papa elle doit être soignée au plus vite sinon elle risque de mourir sniffff

je pleurs comme pas possibles, juste imaginer que maman nous quitté me fend le coeur...

papa: (cries) NON ! MAIS DÉGAGE IMBÉCILES, TU CROIS QU'ON RAMASSE DE L'ARGENT PAR TERRE ? T'AS MÈRE EST UNE INCAPABLE, ELLE N'AS QU'À SE DÉBROUILLER TOUTE SEULE, JE NE DONNERAI AUCUNE CENTIMES, OHHH! NON MAIS ELLE EST FOLLE CETTE FILLE, J'AI UNE FAMILLE À NOURRIR MOI...

moi: mais...mais pa...pa nous aussi nous sommes ta famille....

lui: HEYYY ! JEUNE FILLE NE M'ÉNERVE PAS HORS DE MA VUE ,LE JOURS OÙ JE VOUS AIDERAI, LES POULES AURONT DES DENTS...

sniffff je me met a pleuré de te plus belle en tenant ses jambes, il me donne un grand coup de pied et me crache dessus puis part en me laissant par terre....mes tantes et mes demi sœurs se moquent sans-gêne je ne fais pas cas et part retrouver ma mère dans la chambre le coeur gonflé de peine et de tristesse....

(....)

Elle : (me gourmandant) qui t'a dit dallée demandé de l'aide au prèt de ton père, tu sais combien il me déteste...

M'installant sur le lit a ses côtés.

-moi : dit plutôt qu'elle nous déteste maman... Tante ma tout raconté a propos de ta maladie, on doit faire quelque chose le plutôt possible..

-(silence)....

moi:(en attrapant ses mains dans les siennes) maman c'est l'heure pour moi de partir.

- elle : (tirant ses mains dans les siennes) partir où ?

- moi : me cherché du travail pour t'aider maman, on ne peut pas rester trenquille face a ce qui concerne ta vie.

- elle : (touffant) il n'en ait pas question jeune fille tu m'entends, tu es ma seule fille, je ne peux pas te laissé partir seule comme ça ?

- moi : maman, il le faut, aujourd'hui tu refuse que je parte a la quête d'argent pour te soigné, hastafourlah... Et si cette maladie t'emporte en nous laissant seuls mon frère et moi dans cette famille, d'où on nous traite comme des mals propre... Maman, nous sommes abandonné par notre propre père, tu es notre seule famille... Tu es notre épaule maman, slTp laisse moi y allé, je suis majeur, je peux me défendre contre toute danger qui se mettra a travers mon chemin... L'abandon de papa m'a pas aussi affecté que ça, mais il m'a plutôt enseigné d'être forte... Maman laisse moi y allé.

- elle : (me fixant) où compte tu y aller jeune fille ?

- a Dakar !

- quoi ? Dans cette ville plein de cruauté et des malfaiteurs pour une jeune de ton âge, non ! Je préfère mourut que de te laisse y allé dans cette grande ville qui t'est totalement inconnu, depuis ta naissance, jusqu'à là... Tu n'as jamais franchi la côte de ce village...

- moi :(pleurs) maman, j'ai 18ans, j'ai ta bénédiction et les bonnes valeurs que tu m'as inculquer, sltp...

- elle : (a contre coeur) d'accord, mais tu pars et tu reviens vite d'accord ?

-moi : dès que je trouve la Somme demandée je reviendrai aussi vite que je peux, je te le promets...

- tidjane : grande soeur, pourquoi tu range tes bagages ?

- moi : le serrant fort contre moi : c'est maman qui ma consommé d'aller cherché ses médicaments dans le village voisin, a mon absence tu prends bien soin de maman d'accord ? Elle est un peux malade, voici ses médicaments, chaque matin tu parts cherché son manger chez tante kadi d'accord... Si les autres te provoquent ne répond personne d'accord ?

- lui :d'accord, toi aussi prend soin de toi et reveint vite d'accord ? Tu sais comme il est méchant papa, sinon il me fera trop travailler a ton absence...

- moi : moi en refoulant mes larmes : fait tout ce qu'il te demande d'accord ?

Il a haussé la tête et sors de la maison en courant pour allé jouer...

je pars en ville pour chercher du travail, plus précisément à Dakar où vivent les riches pleins aux ass, elle ne voulait pas que je parte et là laissé seule, mais j'y peux rien de toute façon tidiane va rester auprès d'elle le temps que je revienne...

elle: ma....fille fait attention à toi, tu as ma bénédiction, je t'aime fort...

moi: moi encore plus mamounet

je lui fait un bisou sur son front puis prend ma petite valise qui ne contienne que peu d'habits et sort de la maison...

(...)

:care pour Dakar, allez, allez

moi: OUI, JE PART POUR DAKAR AUSSI, ATTENDS PREND MON SAC cris_je au apprenti des cares

les gens se bousculent de fous, tout le monde veut la meilleure place... je ne vois aucune place quand un monsieur me demande de m'asseoir près de lui

lui: vient t'asseoir ici ma belle dit-il avec un sourire pervert...

moi :( refusant) non....je préfère rester debout...

lui: c'est pas confortable ma jolie, allez viens...

: elle est avec moi et nous allons s'asseoir ensemble dit une jeune dame qui me prend ensuite par la main pour que je m'assois auprès d'elle...

elle: tchurrr, faut vraiment se méfier des hommes dans les cares ma belle, je vois que tu n'en sais pas trop, c'est ta première fois de partir à Dakar ?

moi: oui madame, j'y vais pour chercher du travail...

elle: appelle moi maryam, enchanté, arrivé là-bas peut être que je pourrais t'aider...

c'est par la suite qu'on a parlé de tout et de rien, puis quelques heures plus tard nous arrivons à Dakar...

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Cet homme était mon mari , il n'a jamais été présent pour moi en tant que mari. À chaque fois que je me plaignais chez ma grande sœur aîné vu que c'est elle que je connaissais comme mère. Nos deux parents nous ont quitté il y'avait de cela 20ans. La vie a été très difficile pour nous jusqu'à que l'un de nos cousins ne quitte en ville après l'université pour venir l'épouser. Elle m'a confié à la meilleure amie de notre défunte mère qui m'a fait vivre l'enfer sur terre au village. Quand elle s'était bien installée en ville avec son mari , elle m'a fait venir près d'elle. Je suis arrivé en ville quand je n'avais que 11 ans. Son mari n'était pas riche mais c'était un vrai battant ma sœur de même. Grâce au bénéfice de sa petite commerce du riz au bord de la route elle payait mon ecole. En grandissant je suis devenue une jeune tellement belle qu'ils m'ont prénommé l'étoile de Conakry. À mes 18 ans plusieurs hommes se tuaient pour que je sois leurs épouse. Les riches comme les pauvres mais l'heureux élu à été le patron du mari de ma sœur. Un homme âgé de 45ans alors que moi je n'avais que 18ans mais il était plein aux as et moi aussi je revais d'épouser un homme riche. Je me suis marié à cet homme qui m'a offrir tout l'or du monde je dirai mais il n'était jamais à la maison. Après deux ans de mariage on a eu une petite fille qu'il a nommé Salimata. Mon portrait cracher je dirai malgré qu'elle avait pris le teint noir ébène de son père. Comme aimait dire les gens que l'argent fait le bonheur mais mes chères je n'en d'inconvénient pas mais l'argent y contribue et le facilité mais l'argent ne fait pas le bonheur. Cet homme passait tout son temps à voyager , il n'avait aucune considération pour moi. À chaque fois que j'essayais de lui parler il me sort ceci ( estime toi heureuse que je t'ai sorti de ton trou a ras. Tu as tout ce que les jeunes filles de ton âge rêve d'avoir contente toi de ça) .Quand il me sortait ce genre de mot je me sentais tellement blesser que la seule chose que je faisais s'était de pleurer. Quand je raconte à ma sœur ce que je vis elle me laisse pas terminer et parfois elle me gronde même. Ma vie a basculer en une seule nuit. Cette nuit là j'étais avec ma meilleure quand mon mari m'a appeler pour dire qu'il sera sur Conakry dans une heure. J'étais heureuse de revoir mon mari après 3 longs mois absence. J'ai couru dans la cuisine pour préparer des différents mets pour lui faire plaisir. En un lap de temps la maison a été décorer des fleurs de pétales et tout genre je dirai. J'ai pris une douche me parfumer puis m'installe au salon pour attendre mon mari avec ma meilleure amie qui voulait aussi lui saluer avant de rentrer. On a entamé une discussion sur comment séduire son mari c'est la que elle m'a conseillé ce médicament qui a détruit ma vie. Elle m'a dit que si j'avale cette pilule que mon mari n'aura plus yeux qu'à moi seule. Je voulais que cela se réalise. Ensemble nous sommes allés acheter ce médicament à la pharmacie. La jeune fille qui nous a vendu le médicament s'est attarder sur le fait que si mon mari sera là. Je lui ai dit oui que mon mari sera là dans quelques minutes. Elle a tellement insister sur le fait que j'ai eu peur mais ma copine m'a rassuré que ce n'est rien. Je lui ai déposé chez elle et moi j'ai continuer chez moi. Une fois chez moi , le gardien m'a annoncer que le chauffeur de mon mari est allé le récupérer à l'aéroport. J'ai appelé la grand mère de Salimata pour lui dire que son fils est rentré et qu'il veut voir sa fille mais elle m'a dit que Salimata rentrera le lendemain.J'ai avalé la pilule pour n'est pas qu'il rentre et me voit avec. Je suis resté à l'attendre jusqu'à tard du soir mais il n'est pas rentré. J'étais sur le point de sombrer quand il m'a appeler pour dire qu'il ne sera là que tôt le matin. Déçue j'ai dit OK avant de remonter la couverture sur moi. Le médicament n'a fait son effet que tard dans la nuit. Mon intimité à commencé à me démanger , je transpirer de tout mon corps, mon cœur battant à rompre et n'en parlons de mon envie de faire l'amour. J'avais la respiration saccadée pas de choix je suis allé frapper la porte du gardien qui été surpris de me voir à cette heure. Je ne lui ai pas laissé parler que je me suis jeté sur ses lèvres pour l'embrasser. Il était retissant au début mais a fini par céder. On a fini par faire l'amour plusieurs fois un vrai affamé du sex je dirai. L'effet du médicament que j'ai avalé allait lui faisait perdre la tête. Il criait en me pilotant comme quelqu'un qui est possèder. Les mots salaces sortaient de sa bouche sans retenue. À bout de souffle on s'est endormi. Le lendemain quand je me suis réveillé et me retrouve dans la chambre du gardien, j'ai sangloter mais il m'a dit que il n'est pour rien que c'est moi qui est venu vers lui. J'ai chassé le gardien puis rentre chez moi.

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