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Ahmed 22 ans est un fils Ă  papa dakarois, fĂȘtard, sĂ©ducteur. Entre luxe et paillette, il mĂšne une vie dorĂ©e dans les lieux branchĂ©s de la ville. AprĂšs une soirĂ©e arrosĂ©e entre amis, Ahmed commet une grosse bĂȘtise. Cette bĂȘtise changera Ă  jamais le cours de sa vie positivement ou nĂ©gativement ... Ma plume vous le dira .... BIENTÔT

Chapitre 1 01

Ahmed 22 ans est un fils Ă  papa dakarois, fĂȘtard, sĂ©ducteur.

Entre luxe et paillette, il mÚne une vie dorée dans les lieux branchés de la ville. AprÚs une soirée arrosée entre amis,

Ahmed commet une grosse bĂȘtise.

Cette bĂȘtise changera Ă  jamais le cours de sa vie positivement ou nĂ©gativement ...

Ma plume vous le dira .... Fil Rouge - 1

Il était 18h, Ahmed Kébé, venait de rentrer et avait à peine posé ses clés que sa mÚre vociférait en pénétrant dans sa chambre :

- Ahmed , je t'attends depuis des heures pour ma commission

- mamaannnnn, bonjour, je viens d'arriver , laisse-moi me doucher au moins

- mais Khady n'attend que toi , elle part Ă  22h . ton frĂšre a besoin de ce colis d'urgence, si elle part sans, tu vas l'entendre, tu le connais non ?

- mais maman il n'est que 18h

- tu m'avais dit que tu serais à la maison à 16h, tu es en retard et tu te permets de me répondre ?

- et plus on discute plus je vais avoir du retard , je peux? demanda Ahmed en désignant la porte de sa salle de bain

- mais qu'est-ce que tu attends ? hurla sa mĂšre , vas vite te laver

Ahmed secoua la tĂȘte en souriant et se dirigea vers sa salle de bain .

A 22 ans , il Ă©tait le cadet d'une famille de 4 enfants , il habitait aux almadies le quartier huppĂ© de Dakar avec ses parents . Son pĂšre Ă©tait le PDG d'une grosse entreprise dans l'industrie pharmaceutique et il siĂ©geait Ă©galement au conseil d'administration de plusieurs autres boĂźtes , comme il Ă©tait de coutume dans le cercle fermĂ© de la haute sociĂ©tĂ© : les mĂȘmes postes occupĂ©s par les mĂȘmes personnes .

Sa mÚre, malgré la fortune de son mari, avait toujours tenu à garder son travail et était directrice des ressources humaines chez le plus grand opérateur téléphonique du pays . Ahmed était ce que l'on pouvait appeler 'un gosse de riche' et avec sa bande de potes dont les parents étaient aussi ,sinon plus riches que son pÚre , ils croquaient la vie à pleines dents et pendant que leurs parents dirigeaient le pays, eux dirigeaient les soirées .

Concernant les Ă©tudes , elles n'Ă©taient pas sa passion . En effet, bien qu'il soit en Master 1 de finance dans une Ă©cole de commerce oĂč son pĂšre Ă©tait actionnaire , il n'Ă©tait pas un bon Ă©lĂšve . S'il validait ses annĂ©es , c'Ă©tait uniquement Ă  cause du statut et du portefeuille de son pĂšre qui n'hĂ©sitait pas Ă  gracier le directeur de l'Ă©cole pour gonfler les notes d'Ahmed . Le corps professoral Ă©tait au courant mais ne pipait mot , leur travail et leur salaire Ă©taient en jeu .

Ahmed profitait de son statut pour troubler pendant les heures de cours , quand il trouvait le temps pour aller Ă  l'Ă©cole . Bien souvent , il Ă©tait tellement amochĂ© aprĂšs ses soirĂ©es et beuveries qu'il dormait toute la journĂ©e . Ses parents le grondaient mais ils finissaient toujours par lui pardonner ses bĂȘtises surtout sa mĂšre pour qui il Ă©tait le "thiatt" ( cadet ) et donc le prĂ©fĂ©rĂ©, le pourri gĂątĂ©.

Ahmed ne s'inquiĂ©tait pas pour son avenir professionnel , il savait qu'il aura toujours un poste de cadre dans l'entreprise de son pĂšre. Les rennes de l'entreprise reviendraient peut ĂȘtre Ă  son grand frĂšre beaucoup plus sĂ©rieux et ambitieux que lui mais il se contenterait d'un poste Ă  moindre responsabilitĂ© et trĂšs bien payĂ© . Ses deux sƓurs Ă©taient au Canada et y travaillaient , elles avaient fondĂ© leur famille et venaient trĂšs souvent au SĂ©nĂ©gal avec leurs enfants . Il Ă©tait le seul Ă  ĂȘtre restĂ© Ă  Dakar par choix , connaissant beaucoup d'autres pays de par ses vacances, il ne s'Ă©tait jamais senti mieux qu'Ă  Dakar Ă  cĂŽtĂ© des parents et avec tous les privilĂšges de gosse de riches: prĂšs de 3 voitures disponibles pour lui, une maison avec piscine, des chambres luxueuses, des voyages partout dans le monde quand il le voulait. Il plaignait plus son frĂšre et ses sƓurs dans leurs minuscules appartements Ă  l'Ă©tranger .

Ahmed sortit de la douche 10 minutes plus tard et partit voir sa mĂšre pour prendre le colis . Il prit la range Rover noire et se dirigea vers le quartier de libertĂ© 6 oĂč habitait la copine de sa maman .

Une jeune fille trÚs jolie lui ouvrit la porte , en quelques secondes , il l'avait déjà déshabillé , et l'imaginait dans son lit . Son esprit était trÚs vif pour ce genre de choses , en 10 secondes il pouvait savoir si une fille était bonne au lit ou pas et il se trompait trÚs rarement .

La jeune fille la conduisit au salon aprÚs qu'il ait décliné son identité et annoncé qui il venait voir:

" ah c'est mon fils chéri , comment vas-tu ? S'écria Khady en le voyant pénétrer dans le séjour

- Bonjour Tata

- Nafi , vient dire bonjour au fils de Tata mariétou ,dit la dame en apostrophant la fille qui avait ouvert la porte à Ahmed

- on s'est déjà dit bonjour maman, répliqua Nafi, en revenant sur ses pas

- Ah d'accord, je la garde pour toi déh Ahmed , c'est ta femme

Ahmed sourit Ă  cette remarque.

- je suis sĂ©rieuse, insista Khady qui voyait en Ahmed un excellent parti pour sa fille , et puis je suis amie Ă  ta mĂšre et vous ne vous connaissez mĂȘme pas . Nafi donne lui ton numĂ©ro , il faut garder les liens nous sommes une famille

- si si Tata , ce n'est pas normal , c'est ma sƓur , Ahmed dĂ©gaina son tĂ©lĂ©phone pour enregistrer le numĂ©ro de Nafi

- Non , c'est ta future femme dal

Nafi donna son numéro , Ahmed eut plus le temps de l'observer et il confirma sa premiÚre impression . Cette fille était une bombe et qui ferait des merveilles au lit .

Il discuta quelques instants avant de remettre le colis et de rentrer .

Dans sa voiture, il appela son meilleur ami Jules qui fĂȘtait son anniversaire le lendemain

" man, finalement , c'est confirmé pour le Five ? ( nom d'une boßte de nuit dakaroise)

- je ne sais pas encore , pa bi il fait des chichis il dit que c'est trop cher . Je compte sur maman pour le convaincre un peu

- sinon na wone fawone rekk Wala ?( sinon on fait comme d'habitude )

- Yaw nakk Dangua euppeul , ( Tu exagĂšres aussi ) weekend dernier on l'a fait

- et? Je suis encore vivant , il ne s'en est mĂȘme pas rendu compte ,

- je te dirais si d'ici demain, il ne me donne rien

Ahmed et son ami parlaient de la chambre Kagne ( trĂ©sor ) , il avait dĂ©couvert un jour cette piĂšce secrĂšte de la maison oĂč son pĂšre gardait de l'argent . Ahmed , trĂšs curieux voyait souvent son pĂšre faire des allers retours vers une piĂšce situĂ©e au sous-sol de la maison et oĂč personne ne s'aventurait . Curieux de savoir ce qui se cachait dans cette piĂšce mystĂ©rieuse , il avait rĂ©ussi Ă  voler la clĂ© qu'il avait souvent avec lui , l'avait tout simplement dupliquĂ© puis y Ă©tait allĂ© un matin qu'il Ă©tait seul Ă  la maison . Quand il avait ouvert la piĂšce il y avait trouvĂ© des mallettes remplis d'argent : billets en euros, livres sterling, dollars, cfa c'Ă©tait la caverne d'ali baba .

Depuis ce jour , parfois il y allait pour retirer des sous, c'était sa banque personelle et avec ses amis, ils dépensaient en une soirée des centaines de milliers de cfa dans les boßtes de nuit . Ils attiraient , ainsi , des dizaines de filles toutes plus belles les unes que les autres .

Ahmed ne savait mĂȘme pas combien de copines il avait entre les officielles, oui lui avait plusieurs officielles les classe A : les filles gentilles , chastes, belles, intelligentes avec qui il aimait avoir des discussions profondes intellectuelles . Comme sa mĂšre lui disait toujours , s'il mettait son intelligence dans ses Ă©tudes, il serait le meilleur de tous il n'Ă©tait pas bĂȘte mais manquait de volontĂ© .

Ensuite , il y avait les B moches , mais dĂ©gageant un charme fou , elles aussi c'Ă©tait direct le lit parce qu'elles savaient y faire et Ă©taient trĂšs mokk pothie (coquines ). Yallah dou tedie bounte, tedje palanterr, wathiĂ© rideau ( littĂ©ralement Dieu ne ferme pas les fenĂȘtre, les portes , puis rabaisse les rideaux )

Enfin, il y avait C Girl, les belles et la ferme , avec qui il aimait juste s'afficher . Il n'avait aucun sujet de conversation avec elles, il les emmenait en boite , ils dansaient puis direction le lit de chez lui ou une suite qu'ils louaient parfois au king fahd palace ( hĂŽtel luxueux de Dakar ) .

Avec ses amis ils avaient donc ces 3 catĂ©gories : A, B, C qu'Ahmed avait dĂ©fini en s'inspirant du systĂšme de notation anglophone. Il n'avait jamais trouvĂ© de A+ et promettait de l'Ă©pouser Ă  la minute oĂč il la verrait, pour le moment aucune des filles ne pouvait prĂ©tendre ĂȘtre la mĂšre de ses enfants, il n'y pensait mĂȘme pas .

Il mettait Nafi en A, elle avait l'air intelligente et était suffisamment belle pour appartenir à cette catégorie. Quand elle lui écrit des minutes aprÚs sa visite, il changea d'avis :

" ravie de t'avoir connu Ahmed . J'espĂšre qu'on aura l'occasion de se revoir .

- moi aussi

- Choisis une date , ma gneuww setssila gnou deff bamou bakh ( je viendrai te voir et on s'amusera ) , Khana nekh

-Je vois que tu es une fille directe , j'aime bien ca

- manne rekk ssi khalei doyouma beyye dess *

- C !!! babyyyyy , dit-il en rigolant

Fille de la copine de sa mĂšre ou pas , une catĂ©gorie C se mettait rapidement dans un lit . Et avec ses potes, ils avaient dĂ©cidĂ© que toute fille qui sortait au moins trois de ces innombrables expressions wolof crĂ©Ă©es n'importe comment par n'importe qui, du type ' khana nekh, deff bamou teupp, li loukeyye feyye, doyouma beyye dess.... ' * dans une mĂȘme phrase s'auto classait en C.

Il rappela Jules , son anniversaire Ă©tait l'occasion pour inviter Nafi :

" Boy annule Marie pour Samedi

- pardon ? quelle marie ?

- Marie Ndiaye, tu en connais plusieurs ? annule la, je te dis

- non, ce n'est pas ta marie Ndiaye khana ?

- Makomome ? ( elle m'appartient ? ) , il ne faut pas qu'elle vienne Ă  l'annif

- mais je ne peux pas. , elle m'aide Ă  organiser cette fĂȘte depuis des semaines

- ON s'en fout , j'ai une classe de prime abord A mais qui est en réalité une C, tu sais bien que je ne peux pas rater cette occasion

-pfff, avec ton cƓur raps ( transport en commun ) lĂ , tu me mets toujours dans des problĂšmes palestiniens. Marie s'est beaucoup investie pour la 1ere partie de la soirĂ©e au restaurant, elle m'a aidĂ© Ă  choisir, Ă  lancer les invitations tu veux que je l'Ă©jecte ?

-depuis quand j'ai un cƓur ba mouyye nek raps ( jusqu'à ce que tu le compare à un raps ) , dans mon cƓur, il n'y a que ma mùre et mes futures filles. C'est plutît autre chose qui est comme raps et qui trouve toujours le chemin pour passer , dit-il en rigolant à sa propre blague

-Tu es trop con, j'annule rien . DĂ©brouille toi, c'est une fille bien Marie arrĂȘte de jouer avec elle

-Si tu n'annules pas , je vais devoir la quitter

-Tu es trop con ,

-tu me connais non ? je l'appelle de suite, non je ne me donnerai pas cette peine, Sms non whatsapp légui et je la quitte , c'est à toi de voir quel moyen est le moins brutal pour ta nouvelle amie

- pfff ... tiao

Jules raccrocha, énervé . Ahmed ignorait pourquoi Jules avait fait de Marie, une de ses officielles petites amies, son amie.

Ils Ă©taient ensemble , ou du moins Marie croyait qu'il Ă©tait avec elle depuis plus de 6 mois et elle pensait comme toutes les officielles, qu'Ahmed lui Ă©tait fidĂšle et que les rumeurs qu'elle entendait, Ă©taient les Ɠuvres de personnes jalouses de leur amour.

Chez lui, Ahmed continua sa conversation avec Nafi sur whatsapp, il se rendait de plus en plus compte de la niaiserie de cette fille mais avant d'avoir ce qu'il voulait, il se devait de s'investir et s'il fallait parler toute la nuit , il le ferait. Un homme est prĂȘt Ă  tout pour avoir ce qu'il veut: Top des rĂšgles qu'il se promettait de rĂ©pĂ©ter Ă  ses futures filles jusqu'Ă  sa mort.

Jules ,contre son gré, finit par annuler Marie pour la soirée . La bande de quatre copains était au jus et ne parleraient pas de la soirée pendant le dßner. Son pÚre avait fini par lui remettre 500 mille francs mais cela ne suffisait pas pour une simple soirée entre potes encore moins pour celle de son anniversaire. Ahmed dut aller puiser dans la caverne et les remit à Jules la veille au soir .

Le jour J, Ahmed avait invitĂ© Nafi pour la soirĂ©e et partit la chercher aprĂšs le repas au restaurant. Il arriva chez elle vers 00h et la jeune fille Ă©tait dĂ©jĂ  prĂȘte . Nafi lui avait fait savoir que ses parents n'accepteraient pas qu'elle sorte plus tard , il Ă©tait parti la chercher tĂŽt aprĂšs avoir dĂ©posĂ© Marie .

Ahmed lui proposa de l'emmener chez lui , ses potes ne seraient en boite que vers 1h du mat et il voulait aussi se changer , ce que Nafi accepta facilement . Ses parents Ă©taient en weekend dans leur rĂ©sidence secondaire Ă  Toubab Dialao , et mĂȘme s'ils avaient Ă©tĂ© prĂ©sents , emmener des filles dans sa chambre n'a jamais Ă©tĂ© un souci .

En pĂ©nĂ©trant dans la demeure des KĂ©bĂ©, Nafi sans pouvoir le cacher semblait ĂȘtre Ă©bahie face Ă  tant de luxe , Ahmed avait l'habitude de voir ce regard surpris chez lui et ne fut pas dĂ©rangĂ© au contraire . Il la fit monter dans sa chambre :

" je vais prendre une douche , je reviens , cela ne te dérange pas ?

- Non bien sûr "

Nafi se mit Ă  l'aise et s'assit sur son lit , quelques minutes plus tard , Ahmed sortit avec la serviette attachĂ©e autour de la taille .Il fit quelques va et vient , tout en sentant le regard de sa nouvelle conquĂȘte, il savait qu'il Ă©tait beau et qu'il faisait tomber les minettes .Nafi n'Ă©tait pas encore sa copine mais il lui lançait ainsi une perche .

Il prit ses habits de son armoire et retourna dans sa salle de bain pour s'habiller, Ahmed se regarda dans le miroir, avec sa chemise noire serrée, son jean diesel bleu , il se trouvait simple et beau, terriblement beau. Quelques gouttes de parfum, et le tour était joué.

DĂšs qu'il sortit, Nafi, le regarda avec envie:

« On y va ? prĂȘte ?

-oui

-Ou tu veux qu'on reste discuter un peu, connaissant mes potes à cette heure, ils sont encore chez eux, c'était faux !! Jules était déjà au Five et le harcelait de messages mais maintenant que le feu commençait à prendre d'aprÚs les yeux d'envie de Nafi , il ne pouvait risquer de le laisser s'éteindre

-Ah, yaye beigne ( cela dépend de toi )

Il s'assit à cÎté d'elle et la regardait droit dans les yeux. Il avait un regard qu'il savait perçant , avec son air des plus sérieux, il commença son discours :

-Depuis quelques jours, on se parle tout le temps et je dois avouer que le courant passe bien entre nous . Tu as vraiment un truc spécial qui m'attire plus que chez d'autres filles . Et je ne sais pas ce qui va arriver mais je suis une personne franche et je tenais à te le dire .

'Toujours faire croire Ă  une fille qu'elle est spĂ©ciale, qu'elle a quelque chose de plus que les autres , une rĂšgle Ă  laquelle il ne faut jamais dĂ©roger pensa-t-il en mĂȘme temps et le sourire de Nafi lui montra que ses rĂšgles avaient encore marche .'

- mais je sais que tu es la fille d'une bonne amie à maman , je ne peux donc pas me lancer dans une relation avec toi . Je ne peux pas me mettre avec toi tant que je ne suis pas sûr de mes sentiments, je ne suis pas dans une relation fixe pour le moment , mais quelque chose me dit qu'avec toi je peux changer

'Toujours leur faire croire qu'elles sont des magiciennes pouvant nous faire changer et devenir sĂ©rieux .Elles croient toutes disposer de ce don de changer un homme coureur en mari fidĂšle, comme chacune d'elle se croit ĂȘtre insufflĂ©e de ce don divin, il faut en profiter.'

- cela me touche beaucoup Ahmed

- je ne cherchais pas à te toucher , je te dis uniquement la vérité

'Insister sur les mots honnĂȘtes , vĂ©ritĂ©s , des siĂšcles aprĂšs elles n'ont toujours pas compris que l'un de nos dons c'est de pouvoir transformer tout mensonge en vĂ©ritĂ© naturellement .'

- tu sais si je voulais jouer avec toi , il y a des dizaines d'autres filles qui seraient prĂȘtes Ă  tout pour moi . Si je ne pensais pas ce que je dis actuellement, je ne m'attaquerai pas Ă  la fille de ma Tata prĂ©fĂ©rĂ©e ( il avait complĂ©tement oubliĂ© le prĂ©nom de cette amie de sa MĂšre, elle aussi en avait tellement des amies, c'est un rĂ©seau social Ă  elle seule Mme KĂ©bĂ© )

'Le coup de maitre , leur dire que l'on pouvait prendre une autre si c'était juste pour le sexe . Ce qu'elles ignorent encore et encore , c'est que les hommes khelmatti ( ont des poussées de désir pour une fille ) et que tout comme chaque personne est différente , chaque fille attire différemment et l'envie sexuelle par ricochet diffÚre .'

- je sais , tu me laisses réfléchir ?

- réfléchir à quoi ma belle , je te demande rien , il fallait juste que je te le dises . Je ne suis pas du genre à garder mes sentiments , il fallait que ça sorte

- ok

Nafi Ă©tait toute chamboulĂ©e , Ahmed Ă©tait si beau si riche si craquant , si c'Ă©tait un autre homme il aurait essayĂ© de la toucher mais il a parlĂ© avec elle comme s'il parlait Ă  une sƓur .

Ils discutÚrent de leur passion commune pour le gospel. Cette nouvelle passion qu'Ahmed venait de se créer , il avait vu sur le mur facebook de Nafi qu'elle avait publié des vidéos de gospel . Comme disait son potes Jules, ' Dieuredieuffé borom Facebook '( Merci au créateur de Facebook), il avait créé un réseau qui permettait de connaitre beaucoup de traits d'une personne en se promenant sur son mur et cela facilitait énormément la drague.

Vers 1h30, ils sortirent pour aller au Five qui se trouvait Ă  2minutes de chez Ahmed.

Ses amis étaient déjà à l'intérieur de la boite . Ils avaient réservé une grande table , dessus trÎnaient les bouteilles de champagne , d'alcool de tout genre . Ils étaient les meilleurs clients de la boite ce soir-là , Ahmed avait donné à Jules 2 millions de francs CFA et ils comptaient bien tout dépenser en une soirée , le lendemain ils passeraient la journée au king fahd célÚbre Hotel 5 étoiles .

Nafi fut un peu surprise par la quantité d'alcool sur la table , mais quand elle vit des bimbos célÚbres qu'elle voyait parfois dans les journaux à scandale , déjà assises à leur table, se servir , elle se sentit obligée de faire comme elles . Quand Ahmed lui demanda ce qu'elle voulait boire , elle désigna le champagne , il lui chuchota :

"Tu n'es pas obligée

- je sais mais loma tekk Mo ( tu me prends pour qui ? ) , vas-y sers moi

- ok ok "

Ils prirent une minute pour trinquer avant de se lancer sur la piste de danse .

Vers 4 heures du matin , la soirĂ©e battait son plein et ses amis voulaient aller Ă  la suite rĂ©servĂ©e au king fahd pour continuer la fĂȘte jusqu'au lendemain.

Nafi demanda Ă  rentrer , elle se plaignait de maux de tĂȘte . Sans doute, l'effet de ses premiers verres d'alcool ,

Devant la boßte, Ahmed prévint ses amis qui se répartissaient dans les autres bolides :

"Jules, je vais déposer Nafi ,je vous rejoins au king fahd

- ok ,mais boy, Marie a vu des photos sur snap , elle me fait une crise

- j'ai vu ses appels et SMS mais faleiwoumako, bayiko ssi birr ( je n'ai pas répondu, ignore la ). Toute façon elle commençait déjà à me fatt ( saouler )

- Tchey , ni rekk mais Nafi diarrnako ( Nafi en vaut la peine )

- Ahh, tu vois ? Bon, Ă  plus

Il rejoignit Nafi qui l'attendait déjà dans sa voiture , ils arrivÚrent devant chez elle dix minutes plus tard :

"Merci beaucoup pour cette soirée

- tu t'es bien amusée ?

- oui c'était génial

- c'Ă©tait l'essentiel , reposes toi bien , nous on n'a pas fini de faire la fĂȘte

-vous ĂȘtes infatigables

- faut que jeunesse se fasse babe , bonne nuit la plus belle

Il se pencha pour lui faire les deux bises syndicales , elle tourna sa tĂȘte et l'embrassa

« Toutes les mĂȘmes au final, pas besoin de beaucoup d'effort » se dit il

#filrouge #ladyba

* HonnĂȘtement , je ne peux pas traduire ' manne rekk ssi khalei doyouma beyye dess' ptdrrrrrrrrrrrrrrrr, j'ai cherchĂ© longtemps, faudrait dĂ©jĂ  que je comprenne cette phrase. Si vous pouvez aider les non woloff speaker ce serait bien . Merci d'avance

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Romance

5.0

Rena est entrĂ©e dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir oĂč elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il Ă©tait attirĂ© par sa beautĂ©. Ainsi, ce qui devait ĂȘtre une aventure d'une nuit s'est transformĂ© en quelque chose de sĂ©rieux. Tout allait bien jusqu'Ă  ce que Rena dĂ©couvre que le cƓur de Waylen appartenait Ă  une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessĂ© de rentrer Ă  la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supportĂ© cela jusqu'Ă  ce qu'elle reçoive un chĂšque et une note d'adieu un jour. Contrairement Ă  ce Ă  quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a Ă©tĂ© amusant, Waylen. J'espĂšre que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisĂ©s. Cette fois, Rena avait un autre homme Ă  ses cĂŽtĂ©s. Les yeux de Waylen brĂ»laient de jalousie. Il a crachĂ© : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passĂ© ! » Rena a jetĂ© ses cheveux en arriĂšre et a rĂ©torquĂ© : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandĂ© une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est rĂ©apparu, s'est agenouillĂ© et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »

L'esclave du roi

L'esclave du roi

Romance

4.9

Il Ă©tait une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour oĂč le roi de Mombana est dĂ©cĂ©dĂ© et un nouveau monarque a pris la relĂšve, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir aprĂšs son couronnement, il a alors dĂ©cidĂ© d'attaquer Salem. L'attaque Ă©tait si inattendue que Salem ne s'y est jamais prĂ©parĂ©. Ils ont Ă©tĂ© pris au dĂ©pourvu. Le roi et la reine ont Ă©tĂ© tuĂ©s, le prince hĂ©ritier a Ă©tĂ© rĂ©duit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survĂ©cu Ă  la guerre ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©duits en esclavage, les terres leur ont Ă©tĂ© enlevĂ©es et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage Ă©tait rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, Ă  l'Ăąge de trente ans, a organisĂ© un coup d'État et a Ă©chappĂ© Ă  l'esclavage. Ils se sont cachĂ©s pour rĂ©cupĂ©rer. Ils s'entraĂźnaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrĂ©pide et froid qui Ă©tait motivĂ© par son aspiration de rĂ©cupĂ©rer les terres de ses ancĂȘtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tuĂ© le prince Cone et ont rĂ©cupĂ©rĂ© tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posĂ©s sur la fiĂšre princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la premiĂšre fois. Il marcha jusqu'Ă  la princesse avec la chaĂźne d'esclave qu'il avait portĂ©e pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriĂ©tĂ©. Je te paierai Ă  la pelle, tout ce que toi et ton pĂšre avez fait Ă  moi et Ă  mon peuple », dĂ©clara-t-il sĂšchement. La haine pure, la froideur et la victoire Ă©taient la seule Ă©motion sur son visage.

La mariée imposteur

La mariée imposteur

Romance

4.9

Janet a Ă©tĂ© adoptĂ©e quand elle Ă©tait enfant, pour les orphelins, c'est comme un rĂȘve devenu rĂ©alitĂ©. Cependant, sa vie Ă©tait tout sauf heureuse. Sa mĂšre adoptive l'a constamment raillĂ©e et brutalisĂ©e. L'amour et l'affection familiaux qu'elle a jamais connus venaient de la vieille domestique qui l'a Ă©levĂ©e. Malheureusement, la domestique est tombĂ©e malade, les parents adoptifs de Janet ne voulaient pas payer ses frais mĂ©dicaux sauf si Janet remplacer leur fille biologique pour Ă©pouser un homme tristemet cĂ©lĂšbre. Serait-ce un conte de Cendrillon ? Mais l'homme Ă©tait loin d'ĂȘtre un prince, Ă  l'exception de sa belle apparence. Ethan Ă©tait le fils illĂ©gitime d'une famille riche qui menait une vie insouciante et avait du mal Ă  joindre les deux bouts. Il s'est mariĂ© pour rĂ©aliser la derniĂšre volontĂ© de sa mĂšre. Cependant, lors de sa nuit de noces, il a constatĂ© que sa femme Ă©tait diffĂ©rente qu'il l'avait cru. Le destin avait uni ces deux personnes qui avaient tous les deux de profonds secrets. Ethan Ă©tait-il vraiment l'homme qu'on pensait qu'il Ă©tait ? Étonnamment, il ressemblait Ă©trangement Ă  l'homme le plus riche et le plus mystĂ©rieux de la ville. DĂ©couvrirait-il que Janet l'a Ă©pousĂ© Ă  la place de sa sƓur ? Leur mariage sera-t-il un conte romantique ou un dĂ©sastre total ? Lisez la suite pour dĂ©couvrir l'histoire de Janet et Ethan.

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