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Un pĂȘcheur retrouvĂ© noyĂ©

Un pĂȘcheur retrouvĂ© noyĂ©

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5.0
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Chapitres

Bernard, homme au physique attirant, dĂ©mĂ©nage, avec sa compagne, Nelly, Ă  Saint-DiĂ©-des-Vosges pour des raisons professionnelles. FĂ©ru de pĂȘche, il se rend rĂ©guliĂšrement Ă  l'Ă©tang Bertrand et y passe des heures. Malheureusement, un mardi, alors que l'endroit est dĂ©sert, son corps inerte est retrouvĂ© dans l'eau, laissant planer le doute sur un possible meurtre. Est-ce un crime passionnel ou un rĂšglement de comptes liĂ© Ă  son travail ? Richard Sylar nous invite au cƓur d'une enquĂȘte longue et compliquĂ©e oĂč s'entremĂȘlent passion, trahison et suspense. À PROPOS DE L'AUTEUR AprĂšs Le lacet du Donon, Richard Sylar demeure dans son sillage et nous propose une nouvelle aventure policiĂšre palpitante dans Un pĂȘcheur retrouvĂ© noyĂ©.

Chapitre 1 No.1

Du mĂȘme auteur

- Se sentir bien au Maroc, Le Lys Bleu Éditions, 2020 ;

- Le parfum de l'Ă©toile, Le Lys Bleu Éditions, 2020 ;

- Le lacet du Donon, Le Lys Bleu, Éditions, 2021.

Cet ouvrage est une Ɠuvre de fiction. Les personnages sont une pure invention. Lorsque l'auteur fait allusion Ă  des organismes ou des lieux ayant rĂ©ellement existĂ©, c'est tout simplement pour mieux intĂ©grer l'action dans la rĂ©alitĂ© historique sans causer de prĂ©judices Ă  la sociĂ©tĂ©.

Chapitre 1

En dĂ©but d'aprĂšs- midi, Sylvain, professeur EPS dans un collĂšge, doit se rendre dans un centre de contrĂŽle technique, pour prendre un rendez-vous pour sa voiture. Il choisit de s'y rendre Ă  pied. Cet Ă©tablissement, qu'il connaĂźt bien, se situe Ă  peine Ă  deux kilomĂštres de chez lui. La date et l'heure de la visite sont dĂ©cidĂ©es par Baptiste, le fils du responsable du centre. Sylvain repart et rencontre Manu, le patron de cette station de contrĂŽle, au niveau de la route d'accĂšs. Celui-ci s'arrĂȘte pour lui demander.

- Sylvain, le rendez-vous te convient ?

- Je me suis arrangé avec ton fils, pas de soucis.

À ce moment-lĂ , venant du cĂŽtĂ© oĂč se situent des Ă©tangs, une voiture arrive rapidement. Au volant d'une 208 noire, une femme Ă  la chevelure foncĂ©e tourne bizarrement la tĂȘte Ă  notre hauteur, comme si elle ne voulait pas ĂȘtre reconnue.

Sylvain fait une remarque.

- Une dame pressée.

- Comme beaucoup de femmes. Je te laisse, Sylvain, normalement, je dois avoir un client.

- Je vais continuer ma promenade vers les Ă©tangs, il fait bon, l'endroit est paisible.

Tranquillement, Sylvain arrive Ă  proximitĂ© du lieu oĂč se trouvent plusieurs de ces Ă©tangs. Aujourd'hui mardi, il me semble que les pĂȘcheurs ont dĂ©sertĂ© les lieux, ou ils savent que la mĂ©tĂ©o n'est pas propice pour pĂȘcher. En avançant, un peu cachĂ©e, masquĂ©e par la vĂ©gĂ©tation, je distingue une voiture utilitaire. Certains jours, ils sont nombreux autour de ces Ă©tangs, pour certains, c'est un moment de dĂ©tente. Il faut dire que tout est fait pour eux. Les berges pour s'installer sont bien entretenues, avec des endroits ombragĂ©s ainsi qu'une bonne route d'accĂšs.

En se rapprochant, Sylvain ne voit personne. Pourtant il aperçoit du matĂ©riel de pĂȘche et un siĂšge trĂ©pied Ă  bonne distance de l'eau pour pĂȘcher. En arrivant Ă  la hauteur du vĂ©hicule, Sylvain n'en croit pas ses yeux. MasquĂ© par des buissons, un homme se trouve inerte dans l'eau, presque immergĂ©, la tĂȘte et le devant de son corps sont face au fond, il n'y a pas de doute, il a dĂ» se noyer. Comme il ne bouge plus, il est inutile de se jeter Ă  l'eau. ImmĂ©diatement, Sylvain s'empresse de faire le 18 des pompiers. Le contact pris, la personne de la rĂ©gulation, aprĂšs avoir posĂ© les questions d'usage, me demande de ne pas m'approcher du corps. Cinq minutes se sont passĂ©es quand arrivent un vĂ©hicule des pompiers suivis d'un autre Ă©quipĂ© d'un zodiac sur une remorque, derriĂšre eux une voiture de la police nationale.

À la vue du noyĂ© situĂ© Ă  deux mĂštres du bord n'atteignant pas une hauteur d'eau d'un mĂštre, deux pompiers Ă©quipĂ©s de cuissardes vont se mettre Ă  l'eau, une gaffe suffit pour rapprocher et extraire le corps de l'Ă©tang, Ă  l'aide de deux sangles, la sortie de l'eau pourra se faire sans grandes difficultĂ©s, avant de le poser sur le sol. Avant cette opĂ©ration, un fonctionnaire de police prenait des photos pour comprendre ce qui Ă©tait arrivĂ© au pĂȘcheur. Pendant ce temps, un autre policier sur les lieux prend ma dĂ©position avec une explication simple.

- Je viens souvent dans cet endroit, je retrouve des pĂȘcheurs habituĂ©s en faisant mon jogging, c'est l'occasion de dialoguer un peu avec. L'endroit est agrĂ©able et tranquille, mais j'avoue qu'aujourd'hui, ce surprenant drame est choquant.

- Vous connaissez ce pĂȘcheur ?

- Non, c'est la premiÚre fois que je le vois, le véhicule utilitaire aussi.

- Vous nous avez appelés immédiatement

- AussitĂŽt que je l'ai vu. L'heure, je ne la connais pas, je ne l'ai pas consultĂ©e sur mon portable. Ce que je peux vous dire, c'est que je me suis arrĂȘtĂ© avec Manu avant d'arriver ici. Il avait un client pour un contrĂŽle technique Ă  quatorze heures. De lĂ , j'ai dĂ» mettre normalement, dix Ă  quinze minutes en marchant, pour arriver Ă  cet endroit. Je suis Ă  votre disposition, s'il vous faut des complĂ©ments.

- Il en est fort possible, merci de votre collaboration, vous pouvez disposer.

Un pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ© fut mis en place Ă  l'aide de rubalise, pour Ă©viter toute intrusion dans la zone situĂ©e autour de l'endroit oĂč se trouve le pĂȘcheur, pour Ă©viter de dĂ©truire les traces des diffĂ©rents indices qui sont Ă  exploiter. Ce pĂȘcheur devait certainement ĂȘtre assis sur sa chaise pliante, puis il s'est retrouvĂ© dans l'eau en bordure du rivage, le pourquoi et le comment devront ĂȘtre Ă©lucidĂ©s. Un membre de la PTS, police technique et scientifique, Claude, arriva avec deux officiers et un mĂ©decin lĂ©giste pour les premiĂšres constatations. Un des officiers observa des marques de talons fins de femme, proches de l'emplacement du siĂšge du pĂȘcheur. Il s'adressa au policier de la scientifique.

- Claude, vous ferez les empreintes des talons.

- Oui, mais avant, je termine, avec le légiste, mes observations sur la mort qui a été provoquée par noyade dans les deux heures précédentes. Le médecin ne peut pas se prononcer avec plus de précisions sur les causes de ce décÚs. Il a dû se produire aux alentours de douze heures, douze heures trente. La température de son corps, malgré qu'il ait été retrouvé dans l'eau, est encore élevée. Il faut faire une autopsie.

L'officier appelle le procureur pour qu'il décide de la marche à suivre.

- Monsieur le procureur, nous sommes sur une noyade. Un pĂȘcheur vient d'ĂȘtre retrouvĂ© dans un Ă©tang environ Ă  deux mĂštres du rivage. Il devait ĂȘtre assis sur son siĂšge qui est toujours en place, une canne Ă  pĂȘche est posĂ©e au sol, lui est retrouvĂ© dans l'eau, ce qui me semble assez Ă©trange pour un pĂȘcheur expĂ©rimentĂ©, au vu du matĂ©riel dont il disposait, il Ă©tait loin d'ĂȘtre un novice, c'Ă©tait plutĂŽt un passionnĂ© averti, cette noyade me semble Ă©trange.

- Faites-le transférer à l'IML de Nancy par un service compétent.

- Merci, monsieur le procureur.

Ensuite, madame la commissaire est avisĂ©e de ce qui s'est passĂ© en bordure d'un des Ă©tangs de la pĂȘcherie.

Pendant ce temps, le lieutenant Daniel, l'autre OPJ, se chargeait de trouver l'identité du noyé en fouillant ses poches. Un téléphone portable s'y trouvait, mais avec les dégùts de l'eau, il était inexploitable dans l'immédiat ; seul le laboratoire de la police pourrait s'en charger. Les papiers d'identité, ainsi qu'un badge d'entrée d'un grand centre de distribution se trouvaient dans la boßte à gants du véhicule. Dénommé Bernard, ùgé de quarante-cinq ans, résidant dans un hameau de Saint-Dié, son adresse était prise sur la carte grise du véhicule.

Les OPJ se rendirent à l'adresse relevée sur la carte grise du véhicule, pour prévenir, éventuellement, la femme ou une personne de la famille. Sur la boßte aux lettres, deux noms, celui de Bernard et le nom d'une femme, Nelly. Personne ne se présenta à l'appel des agents, une voisine s'avança.

- Messieurs, Nelly est au travail, elle est infirmiĂšre aux urgences de l'hĂŽpital.

Ils partirent pour l'avertir de ce qui venait de se passer.

À l'hĂŽpital, en sa prĂ©sence, les OPJ demandĂšrent un endroit discret.

- Madame Nelly, bonjour. Comme nous l'avons vu sur votre boĂźte aux lettres, vous ne portez pas le mĂȘme nom que Bernard, vous ĂȘtes...

- Je suis sa compagne depuis quatre ans.

- Nous n'avons pas une trĂšs bonne nouvelle Ă  vous annoncer.

- Vous savez, dans le service oĂč je suis, nous sommes prĂ©parĂ©s Ă  rencontrer des situations dramatiques. Je vous Ă©coute.

- Nous avons retrouvĂ© Bernard Ă  proximitĂ© de sa canne Ă  pĂȘche, noyĂ© dans un Ă©tang.

- Il s'est noyé ou on l'a noyé ?

- À votre tour, vous nous posez une question. Vous semblez ne pas ĂȘtre Ă©tonnĂ©e, en disant : « Ou on l'a noyĂ© ». Nous ne pouvons pas nous prononcer sur ce drame, l'IML nous en dira plus. Il serait souhaitable que vous passiez au commissariat. Je vous prĂ©sente toutes mes condolĂ©ances. Nous restons Ă  votre disposition.

- Je vais avertir mon responsable, je vous rejoins avec ma voiture.

Pendant ce temps, le vĂ©hicule de type utilitaire Ă©tait observĂ©. Il semblait servir Ă  plusieurs usages, Ă©quipĂ© de rangements pour du matĂ©riel de pĂȘche plutĂŽt haut de gamme, des fixations en hauteur pour les cannes faisaient gagner beaucoup de place. Au sol, en observant bien, une couverture Ă©paisse Ă©tait encore Ă©tendue et froissĂ©e, avec certaines traces suspectes parsemĂ©es de cheveux et de poils de plusieurs couleurs. Des analyses ADN pourraient en dire plus, si des doutes subsistaient Ă  l'autopsie. Le matĂ©riel de pĂȘche fut rassemblĂ© et dĂ©posĂ© dans le vĂ©hicule. Un transporteur, Ă©quipĂ© d'un plateau, fut convoquĂ© pour Ă©vacuer celui-ci et le mettre en lieu sĂ»r. Des scellĂ©s allaient ĂȘtre mis Ă  la dĂ©pose du vĂ©hicule pour Ă©viter toute intrusion susceptible de polluer de futurs prĂ©lĂšvements pouvant servir Ă  des tests complĂ©mentaires

Le service de police, ainsi que les pompiers attendaient la venue de la voiture funéraire pour transférer le corps à l'institut médicolégal de Nancy.

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