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Mon patron bien aimé

Mon patron bien aimé

BIJOURO

5.0
avis
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21
Chapitres

Flora Devis était heureuse de retourner dans sa ville de son enfance. Elle avait trouvé un poste d'assistante personnelle pour le grand et énigmatique Thomas Charpenter. Un homme pas du tout abordable mais à la beauté à vous couper le souffle. Comment réussir dans son travail sans succomber au charme ravageur de son patron sachant qu'elle est déjà fiancée à Walter?

Chapitre 1 Quel goujat !

La jeune fille arriva à pied et à bout de souffle devant les barreaux de hautes grilles de fer forgé. Elle avait dû laisser sa vieille voiture une Mini au bord de la route pour arriver ici malgré le soleil et sa grande chaleur. Pourtant, le vent de la mer se levait, soulevant la longue chevelure blonde ce celle-ci, mais aussi il fit courir une vague pourpre sur les vignobles.

Les mains posĂ©es sur la grille, Flora Devis contemplait de trĂšs loin, le beau manoir, au bout de l'interminable allĂ©e bordĂ©e de chĂȘne. Était-ce bien la maison dans laquelle elle allait vivre pendant une annĂ©e ? Elle plissa lĂ©gĂšrement le front, son petit visage espiĂšgle qui la faisait paraĂźtre plus jeune que ses vingt-deux ans, ses yeux verts prirent une expression songeuse.

" Bonjour mademoiselle, est ce que tout va bien?"

Un homme bien habillé avec un badge de la sécurité accroché à son cou s'était approché d'elle.

" Bonjour Monsieur, excusez-moi je suis Flora Devis et je suis attendue par Monsieur Charpenter pour commencer le travail d'assistante personnelle." Balbutia t-elle honteuse d'avoir Ă©tĂ© surprise dans sa rĂȘverie.

" D'accord, nous avons Ă©tĂ© prĂ©venus de votre arrivĂ©e. OĂč sont vos affaires ?" demanda le virgil en regardant autour d'elle.

" Oh j'ai dĂ» abandonner ma voiture Ă  l'ombre d'un arbre Ă  quelques kilomĂštres d'ici. J'irais la chercher d'ici peu."

" Ne vous dérangez pas pour ça, donnez-moi vos clés nous iront la remorquer pour vous. En attendant patientez un moment il y'a une navette qui viendra pour vous emmener rapidement au manoir."

" Merci c'est gentil à vous." Elle lui remis les clés de sa vieille Mini et attendit la navette qui ne tarda pas à arriver.

Tout le long du chemin, Flora eu à contempler l'immensité du domain, qui s'étendait à perte de vie. En effectuant des recherches, elle avait appris que les vignobles de ce domaine étaient les plus respectés dans tout l'Etat. Le propriétaire était l'un des hommes les plus riches au monde.

ArrivĂ©e devant la maison, elle Ă©tait encore plus Ă©merveillĂ©e. Construite au flanc mĂȘme de la montagne, la demeure Ă  premiĂšre vue, Ă©tait un R+1 immense avec plusieurs piĂšces et trĂšs luxueuse. De toute sa vie, elle n'avait jamais vu une si belle maison, on disait que c'Ă©tait un manoir, mais pour elle c'Ă©tait simplement un chĂąteau de rois et de reines. Et dire qu'elle allait vivre dans cette belle maison pendant une annĂ©e entiĂšre ! Si on lui avait prĂ©dit que cela lui arrivait jamais elle l'aurait cru et pourtant !

" Nous sommes arrivés mademoiselle." L'informa le jeune chauffeur de la navette tout souriant.

" Merci beaucoup monsieur" Dit-elle reconnaissante.

" Je vous en prie mademoiselle, appellez-moi moi Didier, je suis un peu l'homme à tout faire ici." Il lui fit la révérence et s'en alla toujours en souriant.

La grande porte s'ouvrit sur un homme d'un certains ùge, grand de taille qui s'avança vers elle.

" Mademoiselle Devis je suppose ! Bienvenue au domaine La SĂšve Noire. Je suis Douglas Sint le majordome de la maison. Monsieur Charpenter vous attend dans son bureau, veuillez me suivre s'il vous plaĂźt."

En entrant par la grande porte, elle vit à sa gauche, un luxueux escalier, juste à cÎté d'un ascenseur, à sa droite un salon en cuir jaune or composé d'un canapé de trois places, de deux fauteuils et deux pouffes. Ensuite un autre salon

en blanc plus grand que celui dans la

salle précédente et d'une grande table à manger qu'elle n'a pas eu le temps de bien regarder.

À gauche au fond, il y'avaient deux portes fermĂ©es, il frappa Ă  la seconde porte et l'ouvrir doucement

" Monsieur, mademoiselle Devis vient d'arriver." L'annonça t-il avant de lui faire signe d'entrer et puis referma la porte derriÚre elle.

" Bonjour Monsieur Charpenter"

" Vous ĂȘtes en retard mademoiselle. Sachez que je ne supporte pas les personnes qui ne respectent pas l'heure."

La dureté de sa voix la surprit. Du coup, elle demeura stupéfaite sans oser dire un mot. L'homme leva le visage et Flora lança un rapide regard au visage cynique de son future patron et faillit s'évanouir. Elle se sentait à la fois bouleversée et intensément vivante il avait les yeux verts lui aussi, et son visage était trÚs beau.

" Et bien je vous écoute, qu'est-ce qui vous autant retardé ?" Demanda t-il de sa forte voix.

Elle essayait de dire quelque chose mais les mots refusaient de sortir de sa bouche tellement elle était subjuguée par ma beauté de l'homme en face d'elle.

" Mademoiselle Devis, si vous n'avez pas l'intention de vous expliquer, alors inutile de rester vous pouvez vous en aller maintenant. J'ai d'autres affaires importantes à régler." tonna t-il et cette fois-ci toute peur oubliée, Flora qui avait prit intensément conscience de la présence imposante de cet homme, répondit en balbutiant

"Monsieur Charpenter je suis dĂ©solĂ©e, ma voiture Ă  eu une crevaison Ă  quelques kilomĂštres d'ici et j'ai dĂ» marcher Ă  pieds jusqu'ici" Elle finit par donner une explication Ă  son patron malgrĂ© son cƓur qui battait la chamade.

" Vous avez marché jusqu'ici avec ces chaussures aux pieds?" demanda t-il moqueur

" Oui monsieur" répondit Flora honteuse.

" Stupide créature. Enlevez vos chaussures maintenant !" Flora regarda ses jolies escarpins à huit centimÚtres de talons et fut envahi une nouvelle fois par la honte d'avoir été prise encore en faute par son patron.

" Ça va Monsieur je peux encore les supporter vous savez!"

" Avais-je l'air de demander votre avis? Je vous dis d'enlever vos chaussures et c'est un ordre Mademoiselle ! Ne prenez pas l'habitude de remettre en questions mes ordres oĂč nous ne ferez pas long feu ici. Vous ĂȘtes prĂ©venue !"

Le son de sa voix n'admettant aucun refus, elle obéis, enleva ses chaussures comme il l'avait demandé et s'assit sur le fauteuil qu'il lui avait montré.

Il ouvrit un dossier devant lui.

" Alors, Mademoiselle Flora Devis, vingt-deux ans diplÎmée depuis trois en secrétariat et gestion administrative, orpheline de pÚre et de mÚre, aucun autre parent connu en dehors de son fiancé Walter Longue."

" Je doute fort que tous ces renseignements fassent partie de mon curriculum vitĂŠ" RĂ©pliqua Flora devant l'audace de ce grossier personnage.

" En effet vous avez raison. Mais en tant que homme trĂšs prĂ©voyant, j'effectue toujours une enquĂȘte dĂ©taillĂ©e sur mes futurs employĂ©s, et vous en faites partie ma chĂšre."

Il referma le dossier devant lui, et croisa les mains dessus.

" Vous le savez déjà et j'espÚre pour vous, que je viens d'acquérir toute cette propriétés avec des vignobles que je compte bien exploiter. Je me suis donné un an pour tout remettre à flot et j'ai besoin d'une personne qualifiée pour me seconder dans la gestion. J'ai plusieurs autres entreprises qui ont besoin de ma présence également et donc pas assez de temps pour me

concentrer entiÚrement à cette activité Vous m'avez été chaudement recommandé et j'espÚre qu'avec le salaire que je vais vous verser je ne serais pas déçu par vous. Je pourrais dormir tranquille vous sachant aux commandes."

Il inscrit un montant Ă  six chiffres sur un bout de papier qu'il lui prĂ©senta. Elle regarda le bout de papier et ensuite l'homme en face d'elle pour ĂȘtre sĂ»re d'avoir bien lu.

" C'est bel et bien votre salaire, sans compter vos primes annuelles et les avantages de service. Et pour commencer, vous allez virer de ma propriété ce tas de ferraille que vous osez appeller voiture. Vous prendrez une 4x4 tout terrain dans mon parking, ensuite Douglas va vous montrer vos appartements. Je vous attends dans trois heures pour la signature de votre contrat de travail. Je dois sortir en ville vérifier d'autres affaires" Il se leva brusquement de sa chaise, prit les clés de sa voiture et sortit de la piÚce sans plus se préoccuper d'elle.

" Quel goujat!" Fulmina Flora qui était restée seule dans le bureau.

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 commença la jeune Sue - Peu importe. Je vous donne cent millions, plus les avantages si vous acceptez d’ĂȘtre ma fiancĂ©e pendant un mois - Vous ĂȘtes sĂ©rieux ! Cent millions pour ĂȘtre votre fiancĂ©e? Mais on ne se connait mĂȘme pas Monsieur ! - Je peux tout savoir de vous dans la minute qui suit, si je le veux. Alors vous acceptez oui ou non ? - Mais qui ĂȘtes-vous Monsieur ? pourquoi ĂȘtes-vous prĂȘt Ă  payer une somme pareille pour avoir une fiancĂ©e ? - C’est drĂŽle vous devez ĂȘtre la seule femme dans ce pays Ă  ne pas savoir qui je suis : je m’appelle Bruno Louis Jefferson. Et j’ai besoin d’une fiancĂ©e pour des raisons personnelles, vous en saurez d'avantage en temps voulu. - Vous ĂȘtes Le Jefferson de la multinationale XULOR.Co ? - Lui-mĂȘme en personne. Quelle est votre dĂ©cision Mademoiselle ? Nous n’avons plus assez de temps mon assistant sera lĂ  d’une minute Ă  l’autre. - Monsieur Jefferson j’accepte votre proposition. - TrĂšs bien jeune fille. Mais sachez que cela ne se fera pas sans conditions


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