SYLMAN
Les livres d'SYLMAN(14)
Revenge note
Romance
Si le monde n'est qu'un terreau de souffrances que nous avons créé par nos antagonismes et nos haines, la vie lui sera toujours supérieur, insufflée par l'amour et finalement, ce dernier sera toujours gagnant. Après tout, "la force de l'amour paraît dans la souffrance".
Certaines personnes dans ce monde ne trouvent de la joie qu'après avoir tué, brisé et détruit la vie des autres juste pour satisfaire leurs désirs les plus bas !
Mais la justice n'est jamais loin et dans ce monde, chacun récolte toujours ce qu'il a semé.
Voyons voir dans cette nouvelle aventure comment des émotions comme la colère, la haine, la jalousie, l'amour, la méfiance, la peur... peuvent s'emparer des gens et laisser des dégâts à leur passage.
Ma seconde chance
Romance **PROLOGUE :**
C'est samedi aujourd'hui et je ne travaille pas, je vais donc passer ma journée avec mes trésors. Je me lève très tôt et fais le ménage en profondeur et la lessive avant de préparer pour midi. Pendant que les marmites sont au feu, je vais réveiller mes enfants pour les laver.
Aimé : (Refusant de se réveiller) Maman, j'ai encore sommeil, c'est toujours la nuit non ?
Moi : (Amusée) Lève toi paresseux, c'est toujours la nuit non. Attends-moi là je viens te verser de l'eau glacée.
Dès qu'il a entendu ça, il a bondi du lit sous les rires de son frère et moi.
Aimé : Non maman regarde, je suis réveillé déjà.
Moi : (Les tirant à moi pour un câlin) Vous avez bien dormi ?
Eux : Oui et toi ?
Moi : Non, vous avez mis les pieds sur moi.
Aimé : C'est Amour qui met toujours les pieds sur les autres, il dort trop mal.
Amour : Menteur, c'est toi qui dort mal.
Moi : (Souriante) Vous dormez mal tous les deux. Allez, on s'en va à la douche.
Le quinquagénaire et la mineure
Romance Avant-gout
Gracia : tu es où Adolphe??
Adolphe : je suis en famille Gracia s’il te plait je t’écris après.
Elle : j’ai envie de baiser Adolphe et si dans les prochains heures je ne te vois pas à notre lieu habituel, je ne vais pas me gêner de coucher avec une autre personne.
J’ai lu le message plusieurs fois, quoi ?? Elle est entrain de dire qu’elle va faire à un autre homme ce qu’elle me fait ?? Cette petite va me rendre fou wallah. Que faire ??
Dans ma famille chacun reçoit chaque samedi les membres de la famille pour partager un repas ensemble et ainsi de suite. Aujourd’hui c’est moi qui reçoit chez moi et nous allons bientôt passer à table oh non quel excuse je vais sortir ici pour que je puisse abandonner tout ce monde et partir rejoindre Gracia ??
Emmanuela (ma femme) : depuis quelques minutes tu es accrocher à ton portable au lieu de t’occuper de nos hôtes, je n’aime pas ça Adolphe.
Moi : désoler mais il y’a une urgence que je dois partir régler au boulot vite fait. (Mensonge)
Emmanuela : mais tu ne peux pas partir et laissez nos invites comme ça, l’urgence ne peux pas attendre ??
Moi (me grattant la barbe): non ma belle. (Les yeux doux) Tu peux me couvrir s’il te plait ??
Elle : et comment tu comptes partir d’ici ??
Moi : je vais leurs dire que je vais prendre la boisson dans moins d’une heure je serais déjà là.
Je suis partie vite rejoindre ma petite et lorsque je pense à ce qu’elle va me faire dans quelque minutes j'ai des frissons.
Moi : coucou toi
Elle : coucou bébé tu as mis du temps.
Moi (nerveux): je viens de laisser les membres de ma famille chez moi pour tes caprices à deux balles. Je n’aime pas ce comportement Gracia, je n’aime pas !
Elle : bon dans ce cas rentre chez toi rejoindre tes invités comme ils sont plus important que moi.
Elle se lève en prenant son sac au passage non elle ne peut pas oser me faire ça.
Moi (bloquant les passages): où est-ce que tu vas ??
Elle : bah je rentre chez moi.
Moi (doux): s’il te plait ne le prends pas mal reste ma poupée.
Elle a posé son sac sur la table basse puis dans un geste sensuel elle s’est dévêtît, puatate je jure maman que cette gamine va me tuer (pardon enlever le nom de ta mère dans tes conneries). Je ne faisais que baver sur son corps, je sens même la salive au coin de ma bouche.
Elle : ferme ta bouche tu risques d’avaler une mouche.
Elle m’a tendue sa main que j’ai saisi, elle m’a dévêtît puis allonger au lit, j’ai vite fait de prendre la position gynécologique parce que je sais que ce qui va suivre la hum.
L’auteur : un vieux tonton comme toi loleuh
Elle as pris un glaçon dans un verre poser à la table de chevet, elle a mis dans sa bouche après quelques secondes elle a remis dans le verre puis elle est venue m’embrasser sur la bouche, le baiser froid et délicieux a fait monter mon excitation a une vitesse indescriptible puis elle est descendue sur mon cou en me léchant avec sa langue bien humide et froide .
Elle faisait des vas et vents entre mon cou et ma bouche. Puis elle a pris un autre glaçon dans sa bouche qu’elle a fait passer sur mon torse, mes cuisses dans un mouvement sensuelle, j’ai froid et chaud en même temps mais putain cet enfant n’a pas froid dans la bouche ?? Elle a laissé tomber le glaçon qu’elle avait dans sa bouche puis elle a pris mon pénis avec sa main froide en faisant des mouvements circulaires sur ma verge.
Elle regarde mon pénis comme un gosse devant une glasses puis elle à avaler mon pénis de toute sa longueur sans sourciller, j’ai poussé un cri de que moi-même je ne peux pas décrire, de soulagement, de plaisir moi-même je ne sais pas. Elle m’a sucé mini Adolphe puis elle est descendue tout droit sur mes bijoux des familles en caressant mon pénis avec son autre main libre. J’ai étouffé mes gémissements avec l’oreiller sinon toute la ville pouvait m’attendre gémir.
Moi (n’en pouvant plus): bébé han je vais jouir
Elle a continué sa tache comme si la seule chose qui la préoccupait au monde était ma jouissance. Je me suis déversée dans sa petite bouche rose et elle a tout avaler sans cligner les yeux …. Oh God les enfants de cette pluie, les enfants de cette pluie baza bana te (ce ne sont pas des enfants) dixit Koffi Olomide dans une de ces nombreuses chansons ……
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Renaître des Ruines : Le Secret de Juliette
Gavin En rouvrant les yeux, l'odeur âcre de l'encre et du vieux papier a envahi mes narines.
Assise dans le bureau du maire, stylo en main, j'étais prête à signer le contrat d'achat d'une villa.
Ce nid d'amour était destiné à mon fiancé, Tyrone Larson, et son nom seul figurait sur le document.
À ses côtés, Tyrone affichait un sourire impatient, tandis que sa soi-disant «muse», Carole Dixon, se tenait innocemment derrière lui.
Puis, la mémoire du passé m'a frappée, une vie que j'avais déjà vécue.
Dans cette autre vie, j'avais signé ce papier, dépensant tout mon héritage pour cette maison.
Quand un projet immobilier a transformé la villa en or, Tyrone et Carole m'ont jetée dehors sans pitié.
Il m'avait dit que mon amour naïf et campagnard l'étouffait, qu'il avait besoin d'une âme sœur comme Carole pour son art.
Je m'étais retrouvée à la rue, malade, mourant seule dans le vent glacial de Marseille, hantée par leurs rires cruels.
« Juliette, qu'est-ce que tu attends ? Signe. » Sa voix mielleuse cachait une avidité palpable.
Mais cette fois, c'était différent.
À ma mort, je me suis posée une question obsédante.
Pourquoi avais-je été si aveugle, si naïve, pourquoi n'avais-je pas vu la trahison venir?
Est-ce que je pourrais un jour me pardonner d'être si ignorante?
Alors que la plume touchait le papier, une pensée claire a traversé mon esprit : je ne ferais pas la même erreur.
Je suis revenue.
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Gavin J'ai vu ma famille se faire massacrer, un par un, sous mes yeux.
Mon père, le Grand Druide, égorgé par un Fomoriien.
Puis la forêt sacrée de Brocéliande, notre foyer millénaire, a brûlé.
Et la lame maudite était encore plantée dans mon cœur.
C'était Valérian, le Prince des Sidhes, l'homme que j'avais aimé toute ma vie.
« Pourquoi ? » ai-je réussi à supplier, la bouche pleine de sang.
Son visage noble était déformé par une haine que je ne lui connaissais pas.
Il m'a accusée d'avoir tué sa nymphe Ondine, jurant de détruire tout ce que j'aimais.
J'ai senti la douleur me consumer, ma vision s'est obscurcie.
La dernière image fut le sourire triomphant du Roi Fomoriien derrière lui.
Puis, le néant.
Jusqu'à ce que j'ouvre les yeux.
J'étais vivante, au Palais des Tuileries, le jour où je devais choisir un époux.
Le même jour où, dans ma vie passée, j'avais follement choisi Valérian.
Mon cœur n'a senti aucune palpitation, seulement une froideur glaciale.
Valérian se tenait là, arrogant, certain de mon choix.
Mais cette fois, mon regard croisa celui de Loup, le chef des Lycans, qui me fixait avec une dévotion silencieuse que je n'avais jamais remarquée.
Cette fois, je ne ferais pas la même erreur.
Je saisis le stylet d'or, ignorant les murmures de la foule qui s'attendait à ce que je me tourne vers le prince.
Lentement, délibérément, sous les yeux stupéfaits de toute l'aristocratie magique, j'ai gravé un autre nom sur la pierre sacrée.
L. O. U. P.
Un silence de mort est tombé sur la salle.
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Gavin Le médecin m'a accordé quelques mois, mais le même jour, Kyle, mon premier amour, est revenu à Lyon, épousant une autre.
Dévastée par un diagnostic sans appel, je n'avais plus le temps pour les larmes, seulement celui de le revoir.
Pour l'attirer auprès de moi, j'ai brandi la seule carte qu'il me laissait: une vidéo intime de notre passé, le forçant à "passer du temps" avec moi.
Mais cette tentative désespérée de réconciliation s'est transformée en cauchemar: humiliée par ma mère, piégée par sa fiancée, j'ai vu ma réputation traînée dans la boue quand Kyle, pour protéger son couple parfait, a mis en ligne la photo de mon corps vulnérable, brisant à jamais ma dignité.
Aujourd'hui, alors qu'il s'apprêtait à dire « oui » à une autre, ma vie fauchée par une tragédie inattendue, ma dernière pensée fut pour lui, un appel brisé emporté par les notes joyeuses de sa marche nuptiale.
Pourtant, un an plus tard, je me suis réveillée, une nouvelle identité, des souvenirs fragmentés et les yeux d'une autre femme greffés sur les miens, me donnant une seconde chance de comprendre le passé. Le Passé en Éclats, l'Avenir en Fleur
Gavin Mon cinquième anniversaire de mariage devait être un voyage romantique en Corse, juste Juliette et moi, comme toujours.
Puis elle a annulé, prétextant un prétendu déplacement professionnel urgent.
J'ai cru ses paroles douces, comme toujours.
Une semaine plus tard, la vérité m'a frappé en pleine face sur Instagram : Juliette, rayonnante, sur un yacht à Saint-Tropez, au bras de son premier amour, Alan Dixon, avec des bracelets assortis.
Mon cœur s'est serré, non pas de jalousie, mais devant le vide glacial de la trahison de celle pour qui j'avais tout sacrifié et payé.
Son comportement a viré à la folie : elle a débarqué à notre appartement, puis à Lyon, puis à l'hôpital après m'avoir jeté un verre au visage.
Elle me suppliait, puis me menaçait de tout détruire, clamant son amour tout en portant le parfum d'Alan.
Comment une femme à qui j'avais tout donné pouvait-elle me salir à ce point, et pourquoi continuait-elle cette mascarade ?
Alors que l'humiliation publique atteignait son paroxysme, j'ai pris une décision irrévocable : le masque était tombé, et son règne sur ma vie était terminé. L'Héritière Inattendue : Le Goût de la Liberté
Gavin Le sifflet strident du TGV retentit, le cœur battant, alors que je m'apprête à embarquer pour l'école d'œnologie la plus prestigieuse du pays, ma seule chance.
Mon fiancé, Alan Moore, arrache sa main de la mienne, fixant Carole Ortiz qui prend son temps près de la fontaine.
« Non. On attend Carole. » Sa voix est dure, indifférente à notre urgence.
Dans ma vie précédente, j'avais cédé, le suppliant de venir, le forçant à monter dans le train in extremis et laissant Carole derrière.
Nous étions devenus des œnologues respectés, mais Alan m'en avait toujours voulu pour le destin de Carole restée au village.
Le soir de notre mariage, il avait utilisé une corde à vigne pour m'étrangler, me reprochant la mort de Carole.
Ses derniers mots glaçants résonnent encore alors que je me retrouve par miracle sur ce même quai, quelques secondes avant le départ fatidique.
Cette fois, je ne le forcerais pas.
Je lâche complètement sa main, mon cœur libre pour la première fois.
J'étais de retour, et cette fois, il ferait son choix.
Mais je m'assurerais que le mien serait le bon. Trop Tard, Maxime : Elle est Revenue
Gavin Dans ma vie passée, j'ai tout donné pour Maxime, mon premier amour.
J'ai puisé dans les fortunes de mon domaine de champagne, le plus grand de la région, pour financer son ascension politique.
Il est devenu le plus jeune ministre de la Cinquième République, comme il le souhaitait.
Mais son ambition n'avait pas de limites, et son cœur était de glace.
Il a savamment orchestré la faillite de mon domaine familial, nous laissant ruinés et sans un sou.
L'instant d'après, ma voiture plongeait dans le ravin.
Avant que le vide ne m'engloutisse, ses yeux froids m'ont transpercée.
« Si ce n'était pas pour toi et ton argent, Camille n'aurait jamais sombré dans la dépression. Sa souffrance, je te la ferai payer au centuple. »
Ses mots glaçants furent ma sentence de mort, ma dernière pensée étant la cruauté infinie de cet homme.
Puis, les ténèbres m'ont emportée.
Mais quand j'ai rouvert les yeux, le soleil filtrait à travers les rideaux de ma chambre d'enfance à Paris.
Je n'étais pas morte. Je n'étais pas ruinée. J'étais revenue, revenue exactement au jour du dîner qui avait tout déclenché.
Un dîner où mon oncle, le Ministre, me demanda de choisir mon futur époux.
J'ai regardé mon reflet : jeune, vivante, pas ce spectre brisé que j' étais devenue.
Cette fois, Maxime, tu vas regretter chacun de tes choix.
Ce soir, ma revanche commence. Ma Mort, Leur Enfer : Le Réveil de l'Héritière
Gavin Je me souviens de ma mort.
L'odeur âcre de l'usine, le bruit assourdissant des machines que mon corps épuisé n'arrivait plus à supporter.
J'étais seule, mourante, sur un lit d'hôpital minable, tandis qu'à la télévision, mon petit ami Léo, pour qui j'avais tout sacrifié, célébrait son succès d'œnologue aux côtés de Camille, la riche héritière des vignobles Dubois.
Ma place. La place que j'avais stupidement abandonnée pour lui, cédant à ses paroles empoisonnées sur l'amour et la différence de classe.
Pourtant, au seuil de la mort, une vérité glaçante m'avait frappée : j'étais Amélie Dubois, la vraie héritière, retrouvée par ma famille, mais cachée par les manipulations de Léo et les complots de Camille.
J'avais littéralement donné ma vie pour un traître qui utilisait mon argent pour séduire ma cousine, celle-là même qui avait sûrement ourdi le plan pour que je ne regagne jamais ma juste place.
Mon dernier souffle fut un mélange de rage et d'un regret cuisant.
Mais la mort n'était pas la fin.
J'ai rouvert les yeux, vingt ans en arrière.
La même chambre miteuse, le même ultimatum, et Léo, ce serpent, qui tentait de nouveau de me retenir par la fausse peur de la différence de classe.
Cette fois, mon regard n'y voyait qu'un manipulateur, les années de mensonges et ma fin solitaire défilant en un éclair.
Non. Je ne serai plus l'idiote sacrifiée.
J'ai retiré mon bras de sa prise. Je me suis détournée de la misère de la banlieue et des fantômes de ma vie passée.
Je suis montée dans cette voiture de luxe, sans un regard en arrière.
Cette fois, je ne renoncerai à rien. Je vais tout reprendre, et que Léo, Camille, et Julien tremblent, car ma renaissance sera leur cauchemar. La Vigne de sa Liberté
Gavin Dans notre somptueux appartement parisien, les fêtes de Maxence s'enchaînaient, chacune plus bruyante et plus extravagante que la précédente.
Ce soir-là, tandis que Chloé, sa maîtresse, se plaignait d'une migraine et lui demandait un massage, Maxence m'a regardée avec mépris.
« Élodie. Va me chercher l'huile « Orchidée Impériale ». La boutique est sur les Champs-Élysées. »
Il a sorti une liasse de billets et me l'a jetée au visage, sous les rires de ses amis.
J'ai ramassé chaque billet, mon visage impassible, mais à l'intérieur, je brûlais.
Ce qu'ils ignoraient, c'est que la dernière traite pour le vignoble familial en Bourgogne venait d'être payée.
Mon sacrifice touchait à sa fin.
Pourtant, en rentrant, j'ai entendu Maxence murmurer à Chloé : « Elle est tellement plus passionnée que cette grenouille de bénitier que j'ai à la maison. »
C'était trois jours après la fausse couche qu'il avait provoquée en m'obligeant à promener le Doberman de Chloé sous la pluie glaciale.
Puis, Chloé a eu une autre idée cruelle : « Oh, Max, ne pourrais-tu pas me sculpter une rose dans la glace pour mon cocktail ? »
Maxence m'a jetée sur le balcon, malgré ma douleur et mes analgésiques.
Mes mains sont devenues violettes, et une violente crampe m'a fait m'effondrer.
Ma robe blanche s'est tachée de sang, l'hémorragie redémarrait.
Maxence s'est précipité, mais Chloé a crié à propos d'un ongle cassé, et il s'est immédiatement détourné de moi, me laissant saigner.
À l'hôpital, Chloé a tenté une « acupuncture », brûlant mes cheveux alors que Maxence ne se souciait que de son doigt éraflé.
Plus tard, mon mari a organisé une projection d'une vidéo de lui et Chloé, où il promettait de l'épouser dès qu'il se serait « débarrassé de la provinciale. »
Mais une autre vidéo s'est lancée par erreur, me montrant humiliée, ivre, sous les rires de tous.
Mon calme l'a rendu fou, mais je lui ai dit : « Je pars. »
Maxence, fou de rage, m'a hurlé de dégager, mais je suis partie sans un seul regard en arrière.
Le lendemain, Chloé a tenté de me blesser avec une broche, mais j'ai riposté.
Elle a simulé une chute pour que Maxence m'accuse d'être folle et l'emmène à l'hôpital, me laissant seule, poignardée.
N'en pouvant plus, j'ai arraché la broche, attrapé ma dernière valise et j'ai quitté cet enfer sans un regard en arrière.
Que découvrira Maxence en rentrant, et comment Élodie, enfin libre, va-t-elle reconstruire sa vie ? La Clause Oubliée : Mon Arme Secrète
Gavin Pendant trois ans, ma vie avec William, étoile montante du vin de Bourgogne, était un véritable conte de fées.
Notre domaine familial prospérait, notre amour scellé par sa haine viscérale de l'infidélité, héritée d'un passé familial douloureux.
Je riais de Darlene, la jeune femme obsédée par mon mari, la voyant comme une nuisible inoffensive.
Pourtant, le jour de notre troisième anniversaire de mariage, en cherchant William pour le surprendre, c'est Darlene que j'ai trouvée, à moitié dévêtue dans sa cave de dégustation privée, jouant avec Mon cadeau.
Le choc fut brutal, mais la véritable horreur vint de William : un calme déconcertant, un ordre lointain de rhabiller l'indélicate, et surtout, ce geste furtif de dissimuler le tire-bouchon souillé de ses mains.
Ce détail, cette préférence tacite, détruisit tout.
Comment la confiance, bâtie sur l'aversion de la trahison, pouvait-elle s'effondrer devant une telle indifférence à la mienne ?
Mon cœur ne s'est pas brisé, il s'est transformé en pierre.
De retour à la maison, le plan devint clair : j'ouvris le coffre-fort mural pour activer notre contrat de mariage, cette clause d'infidélité que William avait lui-même exigée.
Puis, je composai le numéro de Kyle Larson, notre plus grand rival.
« Kyle, je te vends le domaine Evans. Cinquante millions d'euros. À prendre ou à laisser. »
La partie ne faisait que commencer. Trois Jours pour Tout Changer : L'Épouse du Capitaine
Gavin J'avais tout sacrifié pour Julien : mes études en œnologie, mes rêves, notre avenir. L'épouser semblait le choix évident, l'amour de ma vie. Je me voyais déjà fonder notre famille, installée dans une belle maison qu'il me promettait tant.
Pourtant, un jour, il est parti. Pas seul. Avec une autre, Chloé, la "veuve" de son coéquipier, prétextant devoir la "protéger". Il m'a laissée en Alsace, enceinte de notre fils Léo, avec sa mère malade, me promettant de nous faire venir "dès que le bébé serait là".
Ce fut une promesse vide de sens. L'argent a cessé d'arriver, nos biens ont été vendus un à un pour survivre. Ma belle-mère est morte de froid en cherchant du bois, et mon fils, Léo, atteint d'une maladie rare, suffoquait. J'ai vendu un rein pour le soigner, en vain. À mon retour de l'hôpital, il était trop tard. Julien est revenu, m'a traitée d'"incapable", a divorcé et a épousé Chloé. Il ne restait que le désespoir.
Je suis morte de chagrin cette nuit-là. Mais alors, une clarté froide : je me suis réveillée. Mes mains étaient intactes, mon fils et sa grand-mère étaient vivants. Nous étions trois jours avant leur mort.
Cette fois, la douleur était intacte, mais la rage m'animait. Plus jamais. Je ne verrai pas mon fils mourir. Cette fois, je ne vendrai pas mon rein. C'en est fini de la résignation. Julien, tu vas payer.