L'oubli impardonnable — Tome 2: Le Celio

es en train de changer ! Et

it où ils ne connaissaient personne. Et où Alistair avait accepté d’aider à tuer quelqu’un. Depuis, il passait son temps à la bibliothèque, à fouiller dans les archives, à mener un travail d

cessaires pour se rendre compte de la vérité. Malgré ça, il restait aveugle. Alice avait entendu parler du pouvoir psychique dont été c

nger” ? demanda Alistair, passablem

compte… souffla-t-elle. Tu

ment, je sens que quelque chose ne

fou des gens ! s’emporta-t-elle, agac

tré ces personnes ? Un médecin a fait des certificats ? A donné des traitements ? Tu ne l’as pas vue dans

l’est ! Comment tu peux fe

mort quelqu’un sans avoir une bo

Elle était un peu justifiée, même si le reconnaître touchait son ego. S’il était si obsédé, comme disait Alice, c’est parc

demanda Alice d’un ton suspicieux. Ce ne s

la détenue ? Sexuellement ? C’était une mauva

s’exclama Alistair déco

u aussi froid que la glace. Ou peut-être que c’est avec cette garce de Libery qu’il se pas

dit-il sidéré. Tu penses série

? Peut-être bien que tu vas me sortir

ce que tu veux à la fin ? Que quelqu’un te fasse un rapport de mes faits et gestes H24 ? C’est ça que tu

plus en plus fort. Hein ! C’est ce que tu penses ? C’est moi la m

s complètement pété les plombs ! D

PUIS QUAND T

rmement Alistair, jeta ses pa

t ses pantoufles sans aucun soin, il prit ses chaussures, les mains tremblantes de colère. Mettre ses ch

? lança-t-elle d’un ton p

ai besoin de ta

a la porte

Lucius, avec la boulangère du quartier. Et depuis qu’elle vivait avec lui, il s’était rapidement rendu compte que ces simples rapports de courtoisie ne plaisaient guère à Alice. Craignant pour son couple, il avait désiré en discuter avec elle, afin de comprendre précisément ce qui la dérangeait à ce point.

’adresser la parole qu’à de vieilles femmes, et… des femme

qu’il n’y avait aucune femme de sa connaissance avec qui il aurait pu avoir une quelconque relation profonde. Elles se montraient joviales, so

rofondeur, c’était Sa femme. Son esprit ouvert sur le monde et sur les autres. Son regard particulier sur les arts, sur les cultures. Sa compréhension

une question qu’il ne s’était, jusque-là, jama

rrier, il décida de se diriger dans les étages au-dessus. C’était de là que descendaient les employés. Ces gens en costumes, parfois extravagants pour

l y avait

demandait pendant combien de temps il pourrait encore se retenir de lui coller son poing sur le

onne centaine d’escaliers se croisaient de long en large, et de haut en bas. À cette heure, il y avait peu d’affluence : la plup

silencieusement. Les rires résonnaient dans le grand hall. Si quelques regards interrogateurs se tournaient subrepticement vers eux, les autres se concentraient sur leur destination. Parmi les hommes, il reconnut un stagiaire du service de la D

! Ha

hautain qu’il ne conn

ve ! Imaginez-vous ! Elle était dans un tel état de choc, qu’el

u’on la regardait et qu’on l’écoutait. Alistair ria doucement en la regarda. Elle n’était pas une mauvaise personne. Souvent, il s’était demandé si elle avait eu des parents attentifs. Il n’était pas rare qu’une personne qui aime autant attirer l’attention, soit une personn

qu’il lui a fallu courir à la salle de bain pour se remaquiller. Ha ! Ha ! Oh ! fit-elle en remarquant Alistair. Veuillez

au cinéma, et une invitation à la machine à café du deuxième étage au service juridique. Son succès auprès des hommes était indéniable. Cependant, elle n’exerçait aucun attrait

vers lui, le corps légèrement penché en arrière.

e une étreinte pour dire bonjour. Ne voulant pa

travaillais aujourd’hui, l

ses à te raconter, dit-elle en s’accroc

er un courrier d’abord. Je ne retrouve pas mon téléphone, et

’est-ce pas ? dit-elle de son air e

ris la porte vitrée d’un magasin en plein visage, tellement la vitre était bien nettoyée. Puis celle de son amie Béatrix qui, ne s’entendant avec aucune femme, n’avait que sa bell

ille, et c’était une belle femme, certes, mais une femme doit avoir des qualités psychologiques. La ma

. L’excès est ridicule. Et peut même se révéler désastreux, voire toxique. Lorsqu’on abuse de quelque chose, c’e

uel excès s’ét

recouverts de grandes cartes. Une gigantesque recouvrait un mur entier, et représentait la planète. Les autres étaient plus précises dans les destinations les plus récurrentes : les trois grands royaumes des elfes, les vallées des fées, et les pays qui composaient leur continent. Ces cartes semblaient anciennes, mai

us petite, et comportait seulement quatre petits bureaux dotés d’une pile de papiers, d’un pot à crayons, et d’enveloppes. Meryl lui expliqua qu’il pouvait écrire

us avait vingt-cinq ans, mais Al voyait toujours en lui son tout p

i d’autre ? Il ne pouvait pas lui dire qu’il pensait avoir retrouver Sa mère, ou même quelqu’un qui

r mon

s bien. Nous avons fait une rencontre inattendue à Pranelle. Il y a e

nfié une mission importante, et je travaille dessus. J’espè

bien, mon chéri. Fais bien attention à toi. T

’emb

a

articulier sur les pétales de glace. Ce qui ne signifiait qu’une chose : tout cela ne venait pas du pétale, mais d’une âme.

de magie, et que les visions de

ire que son hypot

faisait u

es gens avaient lu tellement de pages, de lignes, de mots et de lettres, que leur vue était devenue floue. Ils ne distinguaient plus le moindre mot. Si cela ne tenait qu’à Charlie, ils auraient laissé les livres sur le sol. Mais

des années, l’architecture des différentes époques, des romans policiers, des contes, des recueils de poésie, des ouvrages sur le développement personnel, des ma

s cuisses étaient dures. Ses talons lui rentraient dans les mollets. Se lever sans être b

décourageant. S’il n’y avait rien dans la bibliothèque, peut-être aura

ulter, ils descendirent dans la cuisine. Tandis que Lucius se faisait couler un expresso, Charlie ouvrait une biè

e boire de l’alcoo

ie en souriant. Je savoure et apprécie les création

s, et il doit y avoir des albums photo dans la chambre de mon père. I

e la table haute, quand lu

har

it l’ange en a

t-ce que les autres sont identiques au mien ? Est-ce qu’ils ont

ur meurt, seuls leurs fruits peuvent activer leurs pouvoirs. Et jusqu’à présent, seul

eu de mal avec ce terme), vous ne les avez jamais ut

les condamner à la destruction, ou à l’esclavage. Ce qui est étrange, c’est que cela ne les empêche pas d’aimer les humains, les fées, les

t à l’origine de la Création avec le Monde, le jeune hom

ouvez aimer, puisq

ai. Mais c’est

ue c’est t

e fois depuis qu’ils se connaissent, Lucius voyait que s