La Soumise de Maître Drake
mé
a parlé. Je ne peux tout simplement pas continuer à danser quand il me touche comme ça. Il se redresse et se rapproche de moi, son visage n'est plus qu'à un ce
arrêtée mur
e je continue de danser quand tu me fais complètement perdre mes moyens ? Je pousse un
rai prénom, la vraie toi, celle que tu es réellement quand tu en
terai enfin ce pays pour aller tout recommencer ailleurs. Alors si une fois, une seule, je décide de céder, ce n'est pas bien grave si ? Il ne s'agit que d'un coup d'un soir, de toute façon en ce moment et pour un long moment, j'évite de m'engager avec qui que ce soit. Il me caresse le dos, je me sens comme électrisée, il me rend toute chose. Alors je décide de me lais
appelle
e, qu'il caresse aussi. Il semble hypnotisé par celle-ci, comme si tout le reste de mon visage n'existait pas. Lorsqu'il veut
lèvres, cette lenteur est un supplice alors je le prends dans ma bouche en fermant les yeux. Je sens son rega
mbien tu es sexy là ? Toi ondulant sur m
rit contre mes lèvres, puis me rend mon baiser. Ma langue franchit la barrière de ses lèvres, il grogne de plaisir et me rapproche de lui. Il me rend mon baiser, un baiser gourmand et impatient. Putain ça fait des années que je me suis privée d
bouche et il me
vu danser au club avec tes a
que j'aurais pu dire ? Je ne pourrais rien ajouter à ça. Sa main gliss
i gém
aime
Oui
de plus en plus fort, ne pouvant me retenir. Son doigt s'insère en moi, il commence alors un lent mouvement de va et vient qui va avoir raison de moi. Ça fait tellement longtemps que je sens que
me porte jusqu'à son lit, sur lequel il nous allonge. Je me laisse faire sans réagir, il se redresse pour retirer sa chemise et son pantalon. Je peux alors le dévorer des yeux
igts, elle est tellement ferme, on dirait du granite. Je me mor
e et l'épaisseur qu'il faut. Je me passe la langue sur les lèvres une fois de plus. D'une main , il termine
ce que tu
out en même temps. Il le comprend et prend mon téton entre ses dents et le mord. Je glisse ma main entre nos deux corps et je m'empare de son sexe qui suffit à peine entre mes doi
eut pas exister, c'est beaucoup trop puissant, beaucoup trop fort. Je sens que je suis sur le
ec moi, est-ce q
rsque je l'ai vu, j'ai ressenti une attirance coupable, comme une soudaine montée de fièvre. C'est un dominant et moi je suis une soumise, j'adore ça et il l'a compris. Comment ? Je n'en sais rien, mais tout ce que je sais c'est que je va
visant des coins précis. Je le prends par surprise en renversant la situation, je le renverse sur le lit et je décide de le chevaucher. Cette position est celle que je préfère, je peux sentir son sexe d
ce monter, je le regarde pour demander sa permission pour jouir, il me dit non de la tête et me renverse à
uir, il s'arrête et ralenti. Merde ! Il est doué, très doué. Il recommence encore avec de violents coup
esoin de jouir. Il sourit, po
, maint
effectue encore quelques coups de reins puis s'écroule à côté de moi ext
t de plaisir est passé,
me mettre, je regarde par
aiment gêna
toutes ces années, aucun homme n'avait réussi à me faire ça depuis trois ans. Trois ans
la moindre idée, mais ça
vrai, c'est s
ain sur ma jo
déjà dit que tu avai
fois et ça s'est mal fini. Je le pousse et je
chose de mal ? Demande-t'il ave
ste machinal, j'ai fait ce que j'ava
ec moi faisait partie de
de traînée tant
je me fiche de ce que les autres peuvent penser. En plus il n'a pas le droit de me juger, lui le monsieur qui
moins je pourr
pas dis-je en atta
me regarde comme si j'étais un extraterrestre, putain même son air narquois est sexy, j'ai envie
dis-je en sortan
ière moi avec un pincement au cœur, comme si mon