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Séparées depuis la naissance

Chapitre 4 Chapitre 3

Nombre de mots : 2679    |    Mis à jour : 26/10/2022

artie

ans

**

iger son éducation. Donc depuis trois ans, je m’efforce de faire de mon mieux. Quand on m’a appelé pour m’annoncer la mort de ma mère, j’ai trouvé une jolie jeune fille mais qui commençait à foutre sa vie en l’air. J’ai été obligé de l’amener au couvent pour que les religieuses m’y aident mais apparemment, c’est déjà

négalais et celle-ci en montrant une grande fille blonde c’est Murielle. On est dans la même u

nes. Comment se pa

ur me répond l

scuter et vais demander à Ange, la gouver

épondirent-i

fermer dans mon bureau du rez de chaussée. Le

**Christi

ne maman et un frère ou sœur avec qui me chamailler et partager mes joies et peines. Lamine m’a offert un bracelet artisanal qu’il a ramené en venant en France. Je l’aime bien mais lui ne pense qu’à ses études. Quand je l’ai un jour embrassé sur la bouche alors qu’on était au stade en train de suivre un match de ligue des champions entre le PSG et CHELSEA, il n’a pas apprécié et n’a pas hésité à me le faire savoir. Depuis lors, il garde ses distances avec moi car me considérant comme une enfant gâtée et je ne peux pas le détromper car c’est l’image que je donne aux gens de l’extérieur. Il m’est arrivé dans le passé d’avoir des comportements anormaux mais qui n’a pas commis de bêtises étant plus jeune. Moi j’en ai commis et il fallu que je découvre la vie du couvent pour m’en rendre compte. Je suis revenue de chez les religieuses plus mature et plus posée. Désormais, je réfléchis avant d’agir et grâce à dieu, mes problèmes avec l’alcool et la drogue sont loin derrière moi. Avant même d’avoir mes règles, j’étais accro ces deux substances et ils ont failli me tuer. C’est à la mort de ma grand-mère que j’y ai gouté et a

*

depuis trois ans maintenant car je sais que seules les études peuvent nous sortir ma famille et moi de la misère dans laquelle on vit. Ma mère, avant sa condamnation, venait rarement à la maison. Grand-mère m’avait toujours dit qu’elle travaille loin de Dakar, mais en grandissant, j’ai compris qu’elle mène une vie de débauche. Je suis que son fils, je ne dois pas la juger mais c’est son comportement qui m’a rendu tel que je suis : asocial et mal dans ma peau. Les parents doivent penser à leurs enfants avant de faire certaines choses car après ce sont ces derniers qui payent les pots cassés avec les regards et les actes des autres membres de la société. Je ne connaissais pas tata Anta et c’est quand elle est venue à la maison accompagnée de tata Yacine et tonton Willy que je l’ai vu pour la première fois. On nous menaçait d’expulsion de notre maison car ma mère avait mis la maison en gage. C’est quand le nouveau propriétaire est venu avec des clients qu’on s’est rendu compte de ce qui se passe. Les frères et sœurs de maman ont commencé à se faire une guerre malsaine et finalement, j’ai été pointé du doigt car je suis le fils de Daba. J’étais en classe de première au lycée Limamoulaye de Guédiawaye et je faisais toujours parti des premiers de ma classe. Cette année, j’ai failli rater mon second trimestre et c’est grâce à la générosité d’Anta et à son soutien moral sans faille que j’ai oublié tous mes problèmes. Elle m’a pris dés notre rencontre comme un fils à elle et pourtant, ma mère a failli gâcher son mariage mais elle a oublié tout ça et m’a aidé plus que je ne le pensais. Depuis lors, elle venait ou envoyait son chauffeur pour nous apportait le ravitaillement de la maiso

**Fa

puis trois jours. J’allais oublier mon anniversaire si ce n’était pas mes amis facebook qui m’avaient souhaité un joyeux anniversaire. Je n’ai jamais fêté cela car au village, on ne connait pas les anniversaires et j’avais d’autres préoccupations que de faire la fête. Ma grand-mère m’a éduqué car ma mère est morte à ma naissance et mon père je ne le connais pas. C’est le grand-frère de ma mère qui m’a déclaré comme sa fille quand il a fallu me chercher un extrait de naissance lorsque je faisais la classe de CM2. J’ai toujours su que je suis différente des autres enfants. A l’école, on m’appelait la toubab car je suis blanche. En me voyant, on ne penserait même pas que ma mère était sénégalaise tant je suis blanche. Mami coupait mes cheveux mais ça repoussaie

ec les enfants dans le salon. Ses jumeaux sont aujourd’hui chez leurs grands-parents et je dois rester ce soir avec Anta Bou Ndaw et bébé Yacine. Elles sont f

*

and je serais plus de ce monde, elle doit être capable de les diriger. Quand elle a voulu suivre des études de médecine, j’avais cru qu’elle allai

ais discuter avec toi s

a tu t’en occ

is j’aimerai que tu t’y connaisses car

ellement vieux pourt

r c’est ta fortune après to

vacances, je vais aller au bureau pour savoir ce qui se passe là

r le hanter. Je ne sais pas quand j’aurais assez de courage pour lui en parler. J’ai peur de sa réaction mais j’ai peur pour moi même car j’ai abandonné mon autre fille tout en sach

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