icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

Sun Set

Chapitre 4 Chapitre 4 - Tristan

Nombre de mots : 3366    |    Mis à jour : 30/09/2022

autres encore, une cause inconnue rendait la Déesse folle de chagrin quand elle posait les yeux sur lui et elle a disparu de sa vie et des nôtres. Ce Prêtre est béni

n savoir de génération en génération à de n

ù cet homme serait encor

à lui enlever la vie, mais elle ne voulait pas non plus risquer qu’il ne raconte tout d’el

tique

elle n’était pas plus intéressée q

me qui pourrait ramener à la connaissance du monde l’emplacement de votre Dieu ? Vous pourr

cisions. Imagine que vous trouviez le Prêtre, qu’il sache où elle se trouve, si elle est encore matérielle, que vous marchiez jusque là-bas. Il lui

oment, mais quelque chose me

t pas vra

qués posés sur moi pour que je me rende compte que c’ét

lus personne ne le fait maintenant. Peut-être qu’elle pense que vous êtes aussi bien sans elle, que vous êtes satisfaits de votre culte de temple et que vous n’avez pas besoin qu’elle revienne en personne. Quel mal cela peut-il faire, un voyage vers un prêtre, si c’est pour rendre la vie à l’ob

hir à ce que je disai

e cas, peut-être est-ce exactement ce qui s’es passé. Elle a choisi de protéger la race humaine à l’encontre des autres dieux. Et si elle l’a fait par amour de la race en général, probablement que ses choix étaient motivés par l’affection personnelle qu’elle avait à l’égard de certains d’entre eux. Peut-être est-ce leur perte qui l’a tant affectée qu’elle a décidé

e pas. Je

e silence, Tiffan

s toujours pas comment nous sommes arrivés ni comment repartir. Si el

effet, quand nous sortîmes, la place centrale était remplie de gens, et en son centre était aménagé un bûcher modeste sur lequel reposait une femme au ventre fort rebond

ne distinguai pas les paroles mais que tout le monde reprit. La mélancolie était palpable et de la chair de poule se forma sur ma peau. Je passai un bras autour des épaules de Virginie et la serrai à mon côté. Le mari de la défunte s’approcha d’elle avec une torche et enflamma le bois sec. Le vent était tombé ave

ait pas sur ces terres désolées. Elle leva la tête vers moi et je lus la détresse sur son visage à la lumière des flammes dansantes. Je resserrai mon étreinte autour d’elle et me remis à pleurer à l’instant où ses yeux s’embuèrent, parce que sa détresse était la mienne, et elle me

tions qu’elle se posait. Où étions-nous ? Comment faire pour rentrer ? Rentrerions-nous jamais ? Si nous ne retrouvions pas le chemin de la maison, comment nous habituer à ce monde hostile où la vie et la mort marchent si littéralement main dans la main et où tout autour de nous à l’avantage parce que nous étions habitués à la lumière du soleil si vive et rassurante et non à la nuit perpétuelle qui nous était imposée ici ? Elle n’était pas du genre à se laisser abattre, et encore moins à le montrer, mais tout ceci éta

a autre

rêt, même Lexie et Xoria, mais a

Elle est

soit à voir avec l’incompréhension des autres. Ils avaient entendu, sans aucun doute, mais refusaient de compren

incent demanda, et Trist

ste pas. Le sol

? Mai

mposs

du jour, ou s’ils n’avaient simplement pas réfléchi de peur de trouver cette réponse que Tristan leur offrait. En tout cas, la compréhension s’installa peu à peu sur chaque visage, suivi par l’expression qui s’était emparée de Tristan et moi, et de Virginie par la suite. Et, comme j’avais été touchée par l’émotion de Virginie, qui ne s’était toujours pas estomp

eil ? Qu

notre

vons des

es et notre terre tourne autour de lui en même temps que sur

pliquer ce concept à ceux qui voient dans la nuit ? Je tentai de comparer cela à marcher les yeux fermés, et je pense qu’elles comprirent un peu. Je leur expliquai aussi les effets du soleil, la beauté du lever et du coucher, les couleurs infiniment nuancées que le ciel prenait, les effets de lumière sur les nuages, les rayons qui perçaient à travers eux, la cha

leurs bras, et invariablement cela leur rappelait qu’ils voulaient rentrer pour ressentir à nouveau toutes les magnifiques choses que je citais, mais aussi que nous en étion

pouvait rien y faire, Xoria savait qu’elle avait dans son jeu une carte qui pourrait peut-être nous aider, mais elle était plus qu’incertaine et elle hésitait, soit par peur de perdre du temps ou la vie, soit parce

pourrait vous aider. S’il existe

qu’à nous faire la peau. Mais entre vivre ici et mourir en essayant de rentrer, le choix était vite fait. Nous reçûmes de nouveaux vêtements de cuir souple et de tissus, légers mais qui offraient une meilleure protection que nos vêtements de base, ainsi que quelques armes supplémentaires. Une épée pour notre maître, une autre plus large

nné qu’elle n’avait que onze ans, mais avait toujours désiré se consacrer à Illyria. Selon Xoria, elle était excellente élève et serait capable de s’occuper du village pendant notre absence, aussi longue soit-elle. Elle pria cependant que nous ne mourrions pas tous dans notre quête et que nous reviendrions effectivement un jour, car, alors que nous n’étions pas encore partis, T’Aw manquait déjà à Lexie et Xo

de porter des tentes, de l’eau et du pain, mais aussi de l’eau sacrée de Xoria prit en quantité. Apparemment nous chasserions pour

nous et parlait avec Xoria, qui répondait docilement à ses questions sur la magie et Illyria aussi bien qu’elle le pouvait, sans pour autant parler de choses trop complexes qui auraient pu entraver la compréhension. J’entendis quelques bribes mais je ne me concentrais pas vraiment sur la conversation. Les chiens aboyaient de temps à autre lorsqu’un bruit de la forêt leur déplaisait mais dans l’ensemble la première partie

village d’Olath dans l’espoir de convaincre l’un d’eux de nous rejoindre, puis nous rallierons Ssuu’Hha dans le même but. Si nous avons de la chance jusque là

nous ce ne sont que des noms de village. Quelle différen

si l’eau n’existait pas, le courant ne les emporte pas, le fait d’avoir la tête immergée ne les empêche pas de respirer, les pierres mouillées ne sont pas glissantes. Maintenant, la race d’Ul’nusst est plus hasardeuse. Selon les situations, un même être est une personne totalement différente. Au lieu d’avoir une personnalité propre et de s’adapter aux choses, ils en changent. Alors qu’une personne comme vous et moi peut choisir, face à l’objet de sa peur, de rester figé sur place, de courir pour sa vie ou de combattre, et que cette décision change en fonction des circonstances mais restent quelque chose qui fait partie de nous, les gens d’Ulnusst se modifient. C’est comme si des dizain

t ses explications, elle décréta qu’il

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir