À l'aube des origines: La légende d'Argassi V Deuxième partie

miir, dans une moiteur à son maximum. Ils atteignirent la passe vers minuit et bivouaquèrent une dernière fois en terre de Nass avant d’affronter les rigueurs

r pour dormir, Adam le

s dernières heures de notre monde tel que nous le connaissions et écriro

verre au cri de « Daena naeish Ardaltanïnn ! Que vi

tés à protection nasale, ils complétèrent l’ensemble d’une cape fourrée, blanche à dessein. Ils enduisirent leurs montures d’une préparation blanche

s au bout, il souffla à nouveau le son magique et déverrouilla la sortie. Ils clignèrent des yeux sous le soleil et se déversèrent les uns derrière les

ta une épreuve inattendue, spécialement compliquée pour les Skell qui n’avaient, pour la plupart, jamais quitté Nass ni vu de neige de leur vie.

collines qui menaient à Galea Bayda. Les yeux rivés sur le ciel,ils cheminèrent trois heures durant, long serpent invisible, nimbé de la vapeur d

ière colline, Galea Bayda su

eresse blanche aux multiples tours, son dôme étincelant sous le froid soleil d’hiver. Sa herse grande ouverte crachait un flot ininterrompu de soldats qui se hâtaient sur la rampe en direction

oignirent. Ozias

ils sont beaucoup plus nombreux que prévu et j’imagine qu’il doit en aller d

ou les Alnnaqil et nous serons au grand complet !

ussa les

gäre ! Elle nous portera et nous en viendrons à bout facilement ! Je m’inquiète davantage p

n geste d’

nt effectivement nous poser un problème, mais si Alakhar veut mener son Jōṛī à bien, il devra lâcher du lest avec eux et l

byd se profilèrent au-d

u loup… murmura Ma

ir dès maintenant ! Envoyez un message sur tous les sites pour lance

alisera ce qu’il se passe dans toute l’Ardaltanïnn ! Les A

en attendant que les opérations se mettent en place partout

re assez nombreux pour pouvoir lui teni

us d’eux. Une boule de feu plus proche

stata ca

mmencé ! Hâ

rna vers

ur le reste, tenons-nous-en au plan et n’oublions pas nos objectifs ! Affaiblir suffisamment Alakhar pour pe

hra de son fourreau et dressé sur ses étr

Ardalt

rmes vers la sienne et

Ardalt

rallièrent leurs trou

ejoindre la tête des archers, mais Adam au botte à

pagne, Ève ! À tout à l’heure à

rent un reg

Le mien aussi ! Toi

ri piaffaient d’impatience. Les jagäre lancèrent leurs chevaux au galop et foncèrent vers eux. Arc en

tance raisonnable, elle leva le Raad et d’un premier trait donna le signal. Une nuée de flèches dans son dos lui répondit en sifflant et monta haut dans le ciel pour s’abattre sur

rprise total. Nombre de jagäre et leurs chevaux paniquèrent à la vue des formidables créatures qui fondaient sur eux, pinces en avant. Profitant de leur assise plus basse

ldats, épées pointées devant eux, et foncèrent dans les rangs.

s atteindre. Ils visèrent alors les parties tendres, les yeux, les narines, la gueule et sous le ventre à la commissure des pattes. Après maintes tentatives infructueuses, ils parvinrent enfin à en toucher un, puis un autre et un autre encore. Hélas, chaque Albyd à terre

ur le ballet incessant des Albyd, ils parvinrent sans encombre aux premiers contreforts et sautèrent à terre, abandonnant leurs chevaux. Invisibles dans

l’entrée du souterrain ! Elle chercha des indices autour d’elle qui aurait pu l’aiguiller, mais peinait à se repérer, la moindre indication disparue sous la couvertur

ntit son h

alisé l’ent

e, embarrassée, sc

la pense vraiment tout près

fuite. Les collines sur la gauche, la plaine en contrebas et en face, les montagnes

venir sur nos pas et monter plus haut. Le pas

rt d’heure plus tard, s’arrêtèrent de

ment par ici, sous l’un des

sortir leurs torches. Dans une poche de cuir accrochée à sa ceinture, elle prit de l’amadou, un silex ainsi qu’un morceau de pyrite et frotta les pierres l’une contre l’autre. Des

uve, n’oubliez pas qu’il a le pouvoir de lire dans les esprits ! Ne le regardez pas dans les yeux, sinon il nous détectera immédiatement et vous y perdrez votre âme ! Quant à l’affronter direct

lh aj

ment amenés à y croiser des jagäre. Gardez en mémoire que vous n’aurez plus en face de vous ni un frère ni ami, mai

e et se glissèrent en file